Chère mère la suite

l est dix-huit heures. Les garçons sortent du lycée et s'égayent dans les
rues... Jean, lui n'a qu'une hâte, rentrer le plus vite possible, chez lui et
retrouver sa jolie maman.

Lorsqu'il sonne, elle vient lui ouvrir et il ne peut s'empêcher de penser: "
Comme elle est belle ! "... Il l'embrasse, mais avec plus d'attention qu'à
l'accoutumée, car sa bouche frôle la sienne... Elle ne paraît pas s'en
apercevoir et elle lui demande:

- Comment a marché ta composition ?

- Très bien.

- Je suis contente... Maintenant, va vite te passer les mains à l'eau et viens
à table... Je t'ai préparé un bon petit repas pour fêter ton succès. Jean se
dirige vers le cabinet de toilette et avant de se laver les mains, il sort sa
verge et l'agite un peu pour voir si elle va se raidir... Oui... Il tient à ce
qu'elle soit en forme si par hasard les choses tournaient ce soir comme il
l'espère.

A peine s'est-il touché qu'il se met à bander et il trouve sa queue beaucoup
plus raide que les autres jours... Peut-être parce que ce soir, il pense à sa
mère en se branlant...

Toujours en prévision de ce qui pourrait se passer, il décide de se laver... Il
prend sa verge, là décalotte à fond, puis avec sa main remplie de savon, il la
frotte sur toute sa longueur, jusqu'aux couilles qu'il badigeonne également. Il
est tout fier de sentir sa main largement remplie par ses testicules et de voir
son membre se dresser fièrement... Un bon coup de serviette... Tout est
sec...Il remet l'instrument en place, se reboutonne, puis se dirige vers la
salle à manger.

Sa mère l'attend, vêtue légèrement d'un joli peignoir.. Jean pense
immédiatement: "Dessous, elle doit être à poil. "

Pour le succès de ta composition, je t'offre un verre de porto. Ils boivent à
la santé l'un de l'autre, puis le repas commence... Jeanne, de temps en temps,
regarde son fils et se demande si elle cédera à l'envie qu'elle a de revoir sa
verge ou si elle continuera à agir comme par le passé... Cependant, tout à
coup, la conversation qui tourne autour de ce qui s'est passé à l'école
s'arrête sur un mot... Jean a lâché:

Mon copain Michel...

Rougissant, il s'arrête et sa mère demande:

- Eh bien quoi ton copain Michel ?

- Eh bien, il m'a trouvé dans les toilettes... Je ne me branlais pas, mais
j'étais tout de même tout tendu... Ça l'a intéressé et il m'a montré sa queue
au aussi... Elle est presque le double de la mienne.

- Ce n'est pas possible, car la tienne est déjà d'une très belle taille...

- Oh ! si... Il a voulu que je la prenne dans ma main et je pouvais à peine en
faire le tour...Il m'a dit qu'elle avait beaucoup grossi et allongé depuis *****... Parce que chaque soir...

- Chaque soir?

-Il fait l'amour avec... Avec ?

Tournant la tête, Jean bredouille :

- Sa mère!

- Quoi ? fait Jeanne.

- Oui... Tous les soirs.

- Avec sa mère ?... Je n'en reviens pas.

- Pourquoi ?... Elle est très jolie, tu sais... Aussi jolie que toi, mais dans
un autre genre...

- Il t'a raconté ?

- Oui.

- Alors, dis-moi ?...

Jeanne est soudain terriblement excitée.

- Tiens... Viens près de moi.

Se poussant un peu de la table, elle prend son fils sur ses genoux. Comme elle
le faisait lorsqu'il était encore un tout petit garçon... Jean niche sa tête
dans le cou de sa mère et commence à raconter tout ce que Michel lui a dit.
Excitée au plus haut point, Jeanne sent que ses dernières hésitations
faiblissent... Puisqu'une autre fait l'amour avec son fils, pourquoi pas elle ?
Sans qu'elle le veuille vraiment, sa main s'est posée sur la cuisse de Jean,
assez haut, juste à l'endroit où elle sent sous ses doigts le sexe remuer et
commencer à grossir.

Du coup, Jean s'enhardit, il enlace sa mère tout en gardant son visage blotti
dans son cou et le peignoir s'ouvre un peu, découvrant la naissance d'un sein
superbe.

Câlinement, il met sa tête dessus pour sentir contre sa joue sa tiédeur et,
voyant à travers le tissu une pointe se dresser, il la prend dans ses doigts et
la roule.

Il en est à l'épisode de la possession en levrette de Michel sur sa mère et la
main de la sienne se met à le caresser de plus en plus fort et de plus en plus
vite... Son membre gonfle l'étoffe de son pantalon et voudrait bien être
libéré.

Jeanne est toute retournée. Elle sent entre ses cuisses sa vulve qui frémit et
se mouille... Jean a terminé, cette fois, mais avant de se taire, il a glissé
carrément sa main dans le peignoir pour en sortir un sein lourd et magnifique
qui lui donne envie de redevenir un petit garçon en mettant dans sa bouche ce
bout qui durcit de plus en plus.

Brusquement, Jeanne n'en peut plus, elle fait lever son fils et lui dit:

Va faire ta toilette, puis couche-toi dans mon lit...

Le temps de débarrasser la table et je te rejoins...

Jean hésite une seconde, puis avance sa bouche... Sa mère rougit violemment,
mais ne refuse pas ses lèvres... Leur baiser est tout de suite avide... Leurs
langues se joignent et ils fondent tous les deux dans une griserie qui chauffe
les reins du fils et mouille le sexe de la mère. Jean se précipite dans le
cabinet de toilette. C'est avec joie qu'il se lave tout le corps, puis il prend
de l'eau de Cologne et s'en passe partout... Lorsque c'est fait, il hésite à
mettre son pyjama, y renonce et, tout nu, court dans la chambre de sa mère.

Il enlève les couvertures du lit, puis s'étend à même les draps. Jeanne, à son
tour, après avoir débarrassé, passe dans le cabinet de toilette... N'entendant
aucun bruit dans sa chambre, elle y jette un coup d'oeil... Jean s'est *******.

Elle peut donc prendre son temps. Elle se déshabille complètement et toute nue,
se met devant la glace... Elle s'observe d'abord de face. Elle est fière de ses
seins, restés fermes malgré sa maternité. Elle admire l'aréole noire qui se
détaché sur sa peau légèrement brunie. Elle passe lentement ses mains sur les
globes majestueux et les caresse, puis elle prend dans ses doigts leurs pointes
raidies et les roule amoureusement.

Cela lui procure de délicieux frissons, aussi est-ce avec rapidité que ses
mains descendent le long de ses hanches et vont caresser sa chatte qui commence
à frissonner.

Jeanne est une vraie brune, levant ses deux bras au dessus de sa tête, elle
regarde sous ses aisselles les touffes de poils noirs qui y poussent. Elle
penche un peu la tête et respire un instant cette odeur de bête fauve qui
l'excite...

Puis, elle admire sa toison noire, très fournie qui dessine sur son ventre un
superbe triangle. Elle s'arc-boute un peu et, écartant ses poils, dégage de
cette superbe toison son clitoris qui se redresse et lui paraît aussi gros
qu'un haricot.

" Voilà le résultat de quatorze années de solitude et de masturbation ",
pense-t-elle un peu mélancoliquement.

Ses mains écartent un peu plus bas ses grandes lèvres et elle aperçoit l'entrée
de son vagin. Il brille, car il s'est arrosé, goutte à goutte, de son plaisir.
Amoureusement, elle passe un doigt dans sa fente, le ressort mouillé et, par
jeu, se met à le sucer... Elle recommence, ne trouvant pas cela mauvais...
C'est seulement un peu salé.

Comme depuis le matin son, imagination travaille sans arrêt, elle pense soudain
à la mère de Michel et elle se dit qu'elle aimerait bien faire une partie avec
elle... Une femme Jamais ça ne lui est arrivé... Et pourtant, brusquement, elle
trouve cela presque naturel tant son envie est grande.

De toute façon, d'est l'avenir... Pour le moment, elle pense surtout à Jean et,
sa toilette terminée, elle se dirige nue vers sa chambre...

L'électricité est restée allumée et elle admire le tableau magnifique que fait
son fils nu sur son lit. Il dort la bouche légèrement ouverte. Son torse est
musclé, sans une ombre de poils... Plus bas, sa légère toison mousseuse..., et
sous son ventre lisse sa queue pour le moment toute petite. Comme il tient ses
cuisses écartées, elle voit dessous, ses testicules... Un tableau vraiment
charmant... Jeanne éteint et se glisse près de son fils... Sa main commence
tout de suite à le caresser, mais la prédilection qu'elle a pour sa queue la
conduit rapidement vers le ventre... Elle saisit doucement le membre...

Dans son sommeil, Jean soupire et dans la main de sa mère sa pine durcit... "
Si je la prenais dans ma bouche pour achever de la réveiller ", pense Jeanne...
Si son fils la regardait, elle n'oserait certainement pas commencer à le sucer,
mais s'il se réveillait pendant qu'elle serait en action, ça la gênerait moins.
Et puis, elle se souvient de ce que son fils lui a raconté... La confidence de
Michel qui a dit qu'il aimerait jouir dans la bouche de sa mère... Si ça devait
plaire également à Jean, elle ne lui refuserait certainement pas ce plaisir...
Comme son lit est très large, elle se met de côté, les fesses en l'air et,
posant la tête sur le ventre de Jean, elle enfonce lentement dans sa bouche la
queue maintenant raidie.

Voilà... Elle l'a bien... Elle l'avale le plus loin possible, puis la ressort
doucement, ne gardant entre ses lèvres que le gland dont elle fait le tour
amoureusement avec sa langue.

Très excitée, elle sort le membre de sa bouche et, le tenant serré dans la main
gauche, elle le parcourt avec sa langue, du gland à la racine, sans oublier, au
passage, ses couilles qu'elle a prises dans sa main droite.

Jean soupire de plus en plus fort et sa mère sent qu'il va jouir sans se
réveiller... Pour ne pas manquer ce moment, elle remonte vite vers le sommet du
gland et referme sa bouche dessus en lui donnant de grands coups de langue. Et
c'est l'explosion... Elle reçoit dans sa gorge un flot de sperme brûlant qui la
comble de joie, car c'est la première fois que ça lui arrive, son mari ne lui
ayant jamais fait l'amour que dans le vagin... Elle continue à sucer pendant
que Jean, brutalement éveillé, aide par des coups de ventre la sortie de son
sperme... Puis, comprenant ce que fait sa mère, il pose une main sur sa tête
pour l'appuyer plus fort sur sa bite. Jeanne a la gorge pleine, mais elle
n'avale pas, elle se retient, se dégage puis, avant que son fils ait pu dire un
mot; elle se retourne et colle sa bouche sur la sienne de façon à lui distiller
par petits coups le foutre qui lui reste dans la bouche.

Il ne trouve pas cela mauvais, Jean, et comme il ouvre sa bouche toute grande,
il y reçoit la langue de sa mère pour un combat acharné. Tout à ce baiser,
Jeanne n'a pourtant pas lâché la queue de son fils qui s'est légèrement
ramollie, et qui pour le moment ne peut plus servir à grand-chose.

Jean est abasourdi par ce qui lui arrive et il ne peut que répéter: Maman...
Maman chérie... Je t'aime.

Ses mains fureteuses sont étonnées de trouver le corps nu de sa mère et il
bafouille:

- C'était bon.... Tu ne peux pas savoir!

- Tu crois que tu as été aussi heureux que Michel lorsqu'il jouit dans la
bouche de sa mère ?

- Cent fois plus

- Ça, tu ne pourras pas le dire avant qu'elle t'ait sucé au moins une fois.

En riant, elle abandonne la queue de son fils, s'étend sur le dos et dit:

-Maintenant, caresse-moi, mon chéri...

- Comment ?

- Embrasse-moi partout... Fais tout ce qu'il te plaît, Je suis à toi... Tout ce
qui te passeras par la tête me plaira... Tout sera bon, venant de toi. Pour sa
plus grande joie, Jean se voit abandonner ce, beau corps qu'il ne voit pas,
mais qu'il touche... Ses mains le parcourent, caressent les seins majestueux
s'arrêtent sur leurs pointes dressées. Jeanne gémit de plaisir, puis Jean
remplace ses mains par sa bouche qui recommence. le même travail. Prenant tour
à tour les pointes entre ses lèvres, il tète comme un petit enfant.

Heureuse, Jeanne ouvre les cuisses et son vagin est de plus en plus mouillé...
La bouche de Jean descend sur son corps, atteint le ventre, contourne le
nombril d'une infinité de petits baisers- après avoir pointé sa langue dedans.
Doucement, il continue à descendre, sa tête se trouve soudain perdue dans la
forêt de poils noirs qui recouvre le pubis. Il n'en revient pas, il n'imaginait
pas qu'une femme puisse être aussi velue.

Cela l'excite... Ses mains se remettent de la partie et comme sa mère a repris
sa queue dans sa main et qu'elle la lui caresse en même temps qu'elle soupèse
ses testicules il sent déjà remonter le désir. Aussi, comme Jeanne entrouvre
largement les cuisses, il pense que sa bouche doit y aller et, écartant
largement les poils, il sent sous sa langue comme un petit haricot.

Il le lèche, en fait le tour, puis descend toujours dans le sentier mouillé.

Oh ! mon chéri... C'est ça, dit Jeanne... Continue... C'est bon... C'est
extraordinaire... Comme tu me lèches bien.

Très excité, Jean donne de grands coups de langue, ils sont peut-être
maladroits, mais déclenchent tout de même le spasme, chez sa maman... Elle a
saisi sa tête et la plaque sur son vagin...

Jean reçoit le foutre chaud dans la bouche et il le lèche jusqu'à ce qu'il ne
sente plus de contractions... Quand il sent que c'est fini, il fait comme sa
mère... Il remonte le long de son corps et vient coller sa bouche sur la
sienne. Pour cela, il s'est allongé et Jeanne sent contre son ventre le membre
tendu de son fils... Le moment est venu de l'initier au " baisage ", mais pour
le moment, elle savoure les baisers de son fils, car leurs langues à nouveau se
sont rejointes.

- Sais-tu que, pour la, première fois, tu t'y es pris magnifiquement, mon chéri?

- J'en avais tellement envie et je t'aime tellement. En disant cela, Jean se
trémousse sur sa mère en cherchant à placer au bon endroit sa queue bien raide,
mais il ne sait comment s'y prendre... Heureusement, Jeanne est là... Elle le
repousse doucement et ouvre des cuisses toutes grandes... En même temps, elle
prend la pine bien raide dans sa main et la dirige vers sa vulve... Elle la
promène un instant de bas en haut le long des lèvres... Se chatouille le
clitoris avec le gland, puis se l'enfonce dans le vagin en entourant le corps
de son fils de ses cuisses nerveuses. La pénétration. s'est opérée facilement
dans la vulve toute mouillée et Jean pousse un soupir de satisfaction.

Et si j'allais te faire un enfant ?

Aucun risque... J'ai pris la pilule.

Elle apprend à son fils la manière de s'y prendre... Des petits coups rapides
suivis de coups plus lents... Elle lui montre comment faire sortir sa pine
presque entièrement puis la rentrer d'un seul coup jusqu'à ce que ses couilles
cognent contre les fesses qui viennent à leur rencontre.

Ce petit jeu ne dure pas longtemps... Jeanne saisit son fils Par les fesses e t
le tient collé contre elle, lui interdisant tout mouvement... Elle n'en peut
plus... Jean non plus et, brusquement, il jaillit... Sa mère jouit au même
instant et ils se tordent de volupté, cherchant leurs lèvres, mariant leurs
langues avec des gémissements rauques..

Jean se sent léger tout à coup, léger comme un ballon de baudruche.. Il se
laisse glisser à côté de sa mère épuisée... C'est qu'il vient de jouir deux
fois, presque coup sur coup... De plus, il était fatigué... Sa mère prend ses
lèvres farouchement, mais le jeune garçon n'en peut plus, il ferme les yeux et
s'endort... Dans l'obscurité, Jeanne sourit... Elle est comblée, heureuse...

Doucement, elle se lève et gagne le cabinet de toilette où elle prend un gant
mouillé... Elle l'enfile sur sa main, puis revient jusqu'au lit... Saisissant
la verge de son fils, elle la lave doucement, puis passe le gant sous ses
fesses en caressant ses couilles... Jean ne se rend compte de rien... Il dort.

Jeanne retourne dans le cabinet de toilette où elle se met sur le bidet...
L'eau chaude lui fait beaucoup de bien et tout en se lavant, elle se caresse le
clitoris...

En même temps, elle rêve et garde dans sa bouche le goût du sperme de son fils
mêlé à celui de son propre foutre.. Ça la grise... Elle s'essuie, puis retourne
dans la chambre s'allonger sur le lit à côté de Jean...

Le sommeil ne vient pas tout de suite... Elle a trop de choses à mettre en
place dans sa tête et il y a longtemps qu'elle n'a pas été aussi heureuse... En
un sens, elle le doit aux confidences que Michel a fait à Jean... En fermant
les yeux, elle imagine Michel... avec sa mère et rêve de se trouver avec eux...............

Le lendemain matin, Jeanne se lève pendant que son fils dort encore... elle
prépare du café très fort, des tartines beurrées, puis revient dans la chambre
et pose le plateau sur le lit.

Son fils, elle le réveille d'un long baiser sur la bouche et comme elle veut
que Jean la considère désormais comme une maîtresse et non plus comme une mère,
elle ne s'est pas rhabillée.

C'est une femme nue que Jean a devant lui. II admire les seins puissants qu'il
a tant caresses au cours de la nuit sans les voir... II admire aussi la toison
noire de sa mère et se souvient de l'instant ou il y a collé sa joue en tendant
sa langue vers le sexe en fièvre.

Quant a Jeanne, elle contemple amoureusement son fils et naturellement ses yeux
s'arrêtent sur sa queue qui commence déjà a se redresser.

Ils mangent... Puis Jeanne reprend le plateau qu'elle va déposer sur un petit
meuble... Jean n'a pas bougé et, comme sa mère ne paraît pas disposée à venir
le rejoindre, il s'étonne:

-Pourquoi ne viens tu pas ?

-Tu risques d'être en retard au Iycée... Nous recommencerons ce soir...

Jean ne l'entend pas ainsi... II se lève d'un bond, rejoins sa mère et plein de
détermination, la pousse vers le lit. Ils sont nus tous les deux et Jeanne sent
contre son corps le membre de son fils tendu et dressé..

Difficile de résister à une telle sollicitation... Elle s'allonge donc et ouvre
ses cuisses.. Cette fois, c'est sans son secours que Jean la pénètre... II n'a
plus besoin de conseil et lime farouchement, jusqu'a ce que les yeux de sa mère
se révulsent.

En même temps, il sent sur sa queue des contractions qui lui annoncent que sa
maman jouit... Il s'arrête, la laissant tout a sa volupté, se contentant de
rester plante en elle bien raide et enfonce profondément.

II prend goût a ce nouveau jeu et, une seconde fois, il procure à sa mère une
douce jouissance, toujours sans y participer, sachant s'arrêter juste avant
l'éjaculation.

A peine calmé, il reprend sa possession, mais cette fois, c'est lui qui
décharge le premier... A longs jets qui remplissent le vagin de sa mère...

Prise de court, la jeune femme réussit tout de même a repartir une troisième
fois et c'est complètement morte qu'elle murmure lorsque Jean se retire d'elle:

-Fais vise, maintenant... Sans cela, tu seras en retard.

Jean se dépêche... Le voile prêt est partir.. II est déjà a la porte lorsque sa
mère lui lance:

-Dis a ton camarade Michel que j'aimerais bien faire la connaissance de sa
mère..., et que si elle peut venir me voir demain mercredi, je l'attendrai a
quinze heures... Ou bien j'irai chez elle... Ce sera comme elle voudra.

-Je ferai ta commission.

Jeanne reste longtemps toute nue a rêvasser sur son lit. Sa chair est enfin
comblée... Tout son amour de la vie lui est revenu et elle sait que désormais
tous ses désirs seront rassasies.

C'est de justesse que Jean arrive au Iycée... II se glisse le dernier dans la
classe et, de loin, il adresse à Michel un signe
qui veut dire: >

Puis, il s'agit de travailler. Naturellement, Jean est plutôt distrait et il
attend avec impatience le moment ou il pourra retrouver Michel a la recréation.

Elle finit par arriver cette recréation et il rejoint immédiatement son ami.

-Raconte, dit Michel... Comment cela est-il passé ?

-Magnifiquement... Tu sais que je n'ai pas l'habitude des femmes, mais j'ai
pourtant l'impression que maman est une baiseuse formidable.

-Comme la mienne, sourit Michel... Nous avons de la chance.

Jean commence a raconter sa nuit et donne force détails sur les formes de sa
mère et sur ses coins intimes.

-Tu ne peux pas savoir, mon vieux, comme c'est beau cette magnifique fourrure
noire qui orne son ventre... Et c'est garni jusque dans les fesses. Pour
entrer, on est obligé de les écarter avec les mains... Et toi, cette nuit,
est-ce que tu as fait ?

-Oh ! Moi, j'étais tellement excité a l'idée qu'a la même heure, tu baisais ta
mère que j'ai voulu enculer la rnienne. Malheureusement, j'ai eu beau enduire
mon gland de vaseline et en mettre aussi dans l'anus, je n'ai pas pu y
entrer... Je suis trop gros et elle est trop étroite... Pour l'enculer, maman,
il faudrait une queue comme la tienne..., mais d'après ce que tu me racontes,
je suis à peu près sur que j'y arriverais avec la tienne.

-A ce propos... Maman demande si ta mère ne voudrait pas lui rendre visite
mercredi a trois heures...

-Je le lui demanderai a déjeuner et je te donnerai sa réponse cet après-midi.

- Si ta mère ne veut pas se déranger, maman ira chez elle.

On sonne la fin de la récréation. Ils se séparent et regagnent leurs places...
La matinée se tire trop lente pour les deux jeunes gens qui ont visiblement la
tête et surtout les pensées ailleurs.

Enfin midi arrive et ils se quittent sur une poignée de mains.

C'est sans s'attarder qu'ils rentrent tous les deux a la maison... Jeanne
accueille son fils comme une femme accueille son amant chéri et tout de suite
elle lui demande:

-As tu parlé a Michel ?

-Oui... II me donnera la réponse de sa mère cet après-midi.

-Parfait... Viens à table et raconte moi.

En s'asseyant, Jeanne fait la moue et jette à son fils d'un ton de vague
reproche:

-Je parie que tu as raconté notre nuit a Michel ?

-Oui... Et il m'a dit qu'hier soir, en pensant à nous, il était tellement
excité, qu'il a voulu mettre sa grosse pine dans le derrière de sa maman...

-Et alors ?

-Malgré tous ses efforts et de la vaseline, il n'a pas pu y arriver...

I1 a un petit sourire ironique avant d'ajouter:

-Mais d'après ce que je lui ai dit de toi, il est certain qu'il pourrait y
arriver si tu lui permettais d'essayer.

-Et bien, c'est ça... Offre moi a tes copains, maintenant.

-Pas a mes copains... Uniquement a Michel.

-Tu ne serais pas jaloux si un autre faisait l'amour avec moi.

-Pas si c'était Michel en tout cas... C'est un peu grâce à lui qu'hier je suis
devenu un homme... Naturellement, je n'accepterai qu'il te fasse l'amour que
si tu me permets d'en faire autant avec sa mère... Elle est si jolie et si
douce.

-Tu la connais ?

-Je l'ai vue une ou deux fois... Je la trouve très jolie.

-Et ton Michel... Lui désire seulement m'enculer ?

-Oh ! non... II te fera tout et je le regarderai faire.

-Déjà voyeur ?... Dans ce qu'il me fera, est-ce que tu aimerais mieux regarder
?

-Je voudrais que tu le suces... Et que tu le sortes juste quand il jouira...
Que tu le sortes une seconde... Uniquement pour que je puisse voir son sperme
t'entrer dans la bouche...

Plutôt vicieux, Jean... Chez lui, c'est un déchaînement, mais ce n'est pas pour
déplaire à Jeanne.

-Très bien, dit elle... Je tacherai d'arranger cela avec sa mère si elle vient
me voir.

-Pourquoi refuserait-elle ?

-Peut-être aura t'elle honte ?

-Michel la décidera puisqu'il a envie de toi.

Michel au même instant est du reste en train de faire le siège de sa mère:

-Madame Silly voudrait savoir si tu peux aller la voir demain après-midi chez
elle ou si tu préfères qu'elle vienne te rendre visite... Ton jour sera le
sien.

-Demain, dit Suzy, je n'ai rien a faire... Dis à Jean que je serai chez sa mère
à trois heures... I1 t'a dit que tout s'était bien passe pour lui ?

-Oui... I1 a trouve que c'était >, puis il m'a raconte toute sa
nuit.

-Et toi, la notre, j'imagine ?

-Naturellement... Je lui ai dit que je n'étais pas arrive a t'enculer, mais que
si sa mère a lui acceptait, j'y arriverais sûrement avec elle...

-Michel !

-II paraît qu'elle a une chatte formidable... Du poil jusqu'au nombril et entre
les fesses... Tu ne crois pas que ça doit être excitant ?

-Oh, si !

-Même pour une femme ?

-Oui.. Ça doit être bon de plonger son visage dans une fourrure aussi
abondante.

Le soir en rentrant du Iycee, Jean a tout de suite annoncé à sa mère:

-La maman de Michel est d'accord... Elle viendra te voir demain a trois
heures...

Une bonne nouvelle qui a réjoui Jeanne et, lorsque le dîner a été terminé, elle
a dit à son fils:

-Allons nous coucher tout de suite... je voudrais expérimenter quelque chose
avec toi, mais aussi que nous dormions longtemps, car j'ai l'impression que
demain nous allons devoir pas mal nous fatiguer...

-Tu crois que tout se passera bien ?

-Bien sur... Tu diras à Michel de rentrer avec toi a six heures... Sous
prétexte de venir chercher sa maman... Je les garderai à dîner et le soir, nous
organiserons une petite orgie a quatre, s'ils sont d'accord...

-Ils le seront.

-Quant a vous deux... Je parle de Michel et de toi... Vous aurez toute la
journée de jeudi pour vous reposer.

Tout en parlant, ils sont montés au premier étage et ils sont entrés dans la
salle de bains... En un tour de main, ils se sont mi-nus et Jean admire une
fois de plus les seins de sa mère.

II les caresse... En prend les bouts dans sa bouche et il a le plaisir de les
sentir durcir sous ses lèvres... En même temps, il glisse sa main droite dans
la superbe fourrure qui l'attire et cherche immédiatement le clitoris... Mais
Jeanne l'arrête.

-Pas si vite.

Elle s'installe sur le bidet, les jambes bien écartées, dégageant sa chatte
superbe. Elle fait couler l'eau chaude.

-Tiens, dit elle... prend le savon et lave moi.

En même temps, elle écarte encore plus les cuisses. Alléché, Jean trempe ses
mains dans l'eau chaude, les remplit de savon et se met en devoir de savonner
le sexe de sa mère... II est tout étonné de sentir s'ouvrir sous ses doigts
l'intimité maternelle.

Sa main glisse et Jeanne est toute secouée de frissons. Jean sent, au passage,
se durcir sous ses doigts le gros clitoris qui, sous son action, commence a
bander comme une simple bite.

II en fait le tour doucement, ce qui a pour effet de le faire saillir encore
plus. II le prend entre deux doigts et le branle comme il le ferait avec sa
queue, puis sa main glisse et son médius bien raide entre dans le vagin.

Ainsi dilaté par l'eau chaude et le savon, il paraît immense et Jean s'amuse a
y glisser un doigt, puis deux, provoquant chez Jeanne un commencement d'extase.

Elle se retient, car elle ne veut pas jouir ainsi, puis Jean quitte son vagin
pour poursuivre sa friction jusqu'a l'anus auquel il n'a pas encore goûté.

II s'amuse a le titiller, puis il y entre un doigt qu'il fait aller et venir...
Sous le plaisir, Jeanne s'est contractée:

-Continue, chéri... Si tu savais comme c'est bon.

Devant elle, la queue de son fils se tient dressée, elle la prend en main et se
met a l'agiter avec des gestes de folle, puis soudain, elle se renverse contre
le mur.

Ce mouvement l'a séparée du doigt de Jean et celui-ci redresse admire la face
en pâmoison de sa mère dont la bouche s'ouvre comme pour chercher de l'air.

Les yeux de Jeanne se sont fermés sur son bonheur et sa poitrine se soulève
tumultueusement. Sous le désir, ses seins se sont durcis, Jean les contemple
avec ravissement.

Ses sens a lui sont exacerbés... Sous son ventre, sa queue qu'il prend à pleine
main est plus raide qu'elle ne l'a jamais été... Comme Jeanne a toujours les
yeux fermés, il approche sa bite de la bouche qui est restée entrouverte.

A ce contact, Jeanne, sans ouvrir les yeux a compris le désir de son fils...
Elle ouvre sa bouche toute grande pour que Jean puisse l'envahir, puis elle le
suce avec délice... Pas longtemps, car a quelques soubresauts de la verge elle
sent que Jean va jouir et elle l'abandonne:

-Pardonne-moi de ne pas te recevoir dans ma bouche, mais j'ai une autre idée...
Je n'aurais jamais cru qu'on pouvait jouir des deux côtes a la fois... Par la
vulve et par l'anus et pourtant, c'est ce qui m'est arrive lorsque ton doigt
m'a enculée...

-Tu as aimé ?

-Follement, mais maintenant, viens vite... Nous allons essayer avec ta queue,
car demain, si tout marche bien avec Mme Bellard, Michel voudra tâter de mon
derrière comme il te l'a dit, mais je ne veux pas qu'il soit le premier. C'est
toi qui vas m'étrenner de ce côté là.

Immédiatement, elle entraîne Jean vers le grand lit et ils montent tous les
deux.

-D'abord, un petit coup de langue pour que tu bandes ferme... ,Ca doit être
nécessaire pour entrer de ce côté là.

Elle se met en position pour pouvoir le sucer le mieux possible... Un coup dans
la bouche, puis la langue des couilles au gland...Elle tâte même en passant son
anus, mais s'aperçoit vite que c'est dangereux, car sous la caresse, Jean a
bien failli lâcher tout son sperme.

Heureusement, Jeanne s'en est aperçue à temps et elle s'est arrêtée.

-Nous allons pouvoir essayer maintenant... D'abord sans vaseline..., puis, si
ça ne va pas, nous en mettrons.

Tout excitée, elle se met à genoux en baissant la fête, exhibant ainsi sa
nudité dans toute sa splendeur... Jean est sidéré par tant de beauté... Les
globes ronds des fesses vent merveilleux. Au milieu se détache, entoure de
poils, le petit trou plisse qu'il va devoir emplir de son membre.

-Mets d'abord ta queue dans mon vagin... Comme je suis toute mouillée, elle le
sera aussi et tu auras plus de facilite pour m'enculer.

Ainsi fait il. II prend sa mère en levrette et la lime doucement, jusqu'a ce
qu'il sente sa queue bien a point. Alors, il la retire et la présente a la
porte étroite. Jeanne a ramené ses mains derrière elle pour saisir ses fesses
et mieux s'ouvrir.

-Va doucement, chéri.

Jean se pointe... Au contact du cul, la tête de sa queue s'est encore durcie...
Un effort... Le gland pénètre à demi.

-Doucement...

Encore un effort... Tout le gland s'est logé, mais instinctivement, il devine
qu'il doit laisser à sa mère le temps de s'habituer...

-Pousse...

II a l'impression que la coulisse s'est refermée et que son gland va être
écrasé... II n'ose plus bouger et croit même que le reste de sa queue ne pourra
pas entrer...

-Pousse, mon chéri.. Ça entre... Au début, c'était douloureux, mais ça se calme
déjà... Maintenant, tu peux y aller plus fort.

Enhardi, il donne un coup de boutoir... Quelle surprise. La tête du noeud qui
paraissait si serrée et qui lui faisait mal s'est enrobée d'une sorte de sirop
qui l'enveloppe et lui prodigue un bien être magnifique.

Il pousse, pousse encore. Jeanne gémit, mais c'est de plaisir et Jean arrive a
faire toucher son ventre aux fesses maternelles. Ses couilles battent dessus et
il commence son va-et-vient... D'abord doucement... C'est délicieux...

Au fur et à mesure qu'il entre et qu'il sort, sa queue est merveilleusement
enrobée, plus serrée et il constate que c'est meilleur que dans le vagin, car
tout le long de sa verge est comprimée, comme si une bouche très profonde la
lui serrait dans toute sa longueur.

Sa mère s'agite de plus en plus. II sent que la jouissance approche et il va
de plus en plus vise.

-C'est fou ce que c'est bon... Pousse ! ... Pousse ! ... A grands coups ! ...

Jeanne crie:

-Ne jouis pas tout seul ! ... Attends-moi ! ... Je te préviendrai ! ...
Retiens-toi !

Elle glisse la main sur sa chatte, cherche son clitoris et commence à le
branler... II est gros... Plus gros que d'habitude, presque la taille d'un
flageolet . . . Elle le frotte avec ardeur.

-Jean ! ... Jean ! ... Attention ! ... Je sens que ça vient ! ... Ta queue est
bonne ! ... Comme c'est bon d'être enculée ! ... Par toi !

Elle ne sait plus ce qu'elle dit, ni ce qu'elle fait:

-Va, mon chéri ! ... Va ! ... Traverse-moi ! ... Je suis ta femme ! ... J'aime
ta queue !...

Jean donne de grands coups de boutoir et, brusquement, il éjacule dans
l'intimité profonde de sa mère, un flot impressionnant de sperme...

Tous les deux sont chavirés de jouissance. Aucun ne bouge. Jean reste rivé a ce
cul superbe et Jeanne, heureuse plus qu'il n'est possible de l'être, pleure de
joie sur son oreiller...

Ils restent ainsi très longtemps, puis Jeanne murmure:

-Retire-toi, maintenant... Doucement... Tout doucement.

Jean, comme a regret, quitte ce réceptacle qu'il vient de combler... Ses
couilles sont vides, mais par l'effet de l'excitation, sa queue est restée bien
raide.

Des que la verge a quitte son anus, Jeanne s'est affalée sur le dos et, cette
fois, elle offre à son fils la vision troublante de son corps magnifique.

Ses seins sont deux merveilles de forme et de douceur et son ventre plat,
satiné se termine par cette voluptueuse fourrure dont Michel rêve déjà avant de
l'avoir vue... Michel et sa mère.

Maintenant, Jean admire les jambes fuselées et parfaites, les pieds ou les
ongles vernis sont autant de diamants jetés au pied de ce sexe personnifient
par sa mère.

II admire, mais il est beau lui aussi, a genoux devant sa maman avec son torse
poli, telle la statue d'un sculpteur grec. Son ventre plat et lisse, son poil
châtain et sa belle queue bien dressée, qui semble lancer un appel.

Un appel auquel Jeanne ne résiste pas... Elle attire Jean sur elle et le fait
asseoir sur sa poitrine. II sent sous ses fesses la douceur des seins.

-Tu veux te regarder jouir dans ma bouche ?

-Oh, oui !

Alors préviens-moi juste avant de tout lâcher.

Dévotieusement, elle prend son membre entre les lèvres et commence à le
sucer... Jean la regarde... II distingue les moindres détails... Les lèvres
arrondies, la langue qui pointe...

II n'en faut pas plus pour que la volupté lui chauffe brutalement les reins.

-Maman ! ... Je vais partir ! ... Maintenant !

Elle le repousse et ouvre sa bouche toute grande devant le gland... Le sperme
jaillit... Jean le voit éclabousser le palais, puis retomber sur la langue
pendant qu'une nouvelle giclée se répand dans les joues...

En gémissant, il ferme les yeux pendant que sa mère le reprend dans sa bouche
pour le finir d'une succion lente et amoureuse... Lorsque plus rien ne sort de
sa queue, elle lui rend sa liberté.

-Allonge-toi maintenant, mon petit.

II s'étends à côté d'elle, passe son bras sous sa tête et ferme les yeux
pendant qu'un sein...,la pointe d'un sein vient taquiner le coin de sa
bouche...
Yayınlayan jcfrmi
4 ay önce
Yorumlar
4
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Excellent récit
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kime bothways1947 : thank you. i love families stories....and real family......
Yanıt Ver Orijinal yorumu göster Gizle
what an excellent recollection  of sex with your mother thank you
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Encore plus excitant cette deuxième partie de récit.
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