Ma femme et les vieux
Mon vieux
* * *
Ce fut dans un jardin public qu’il (il représente plusieurs de mes conquêtes de vieux car, en fait, cette situation m’est arrivée plusieurs fois, avec des vieux différents) m’aborda (je vais vous raconter ça en détails) et fit ma connaissance, qui devint de plus en plus approfondie au fil des jours. Peu à peu, de véritables sentiments naquirent entre nous, alors qu’au départ, pour moi il ne s’agissait que d’une aventure du genre « pourquoi pas avec un vieux ». Au plaisir que je lui procurais, s’ajouta peu à peu une véritable relation durable et sexuellement aboutie –absolument amoureuse pour lui dès le départ et qui le devint pour moi au fur et à mesure de ce que nous réalisions ensemble.
Les approches et la conquête :
Assez souvent, j’avais pris l’habitude de faire une halte dans ce jardin public proche de mon boulot soit très souvent entre midi et deux, soit en fin d’après-midi avant de rentrer chez moi … et même parfois en milieu d’après-midi lorsque je revenais de réunion ou rendez-vous à l’extérieur et, là, c’était bien parce que le jardin était beaucoup moins fréquenté. J’avais pris quelques habitudes de choisir des bancs à l’ombre ou complètement à l’écart des allées passantes, notamment sur une petite butte cernée d’arbustes. Evidemment, j’étais presque toujours habillée en tenue bcbg de femme de bureau… de femelle sexy même pour faire plaisir à mon patron, avec des tailleurs à jupe ajustée, des escarpins à talons, souvent en collants mais aussi très souvent avec des bas dim-up ou même des bas fins tenus par un porte-jarretelles.
A la pose de midi, je venais manger un sandwich ou une quiche en lisant un journal et là je devais croiser mes jambes assez haut, dévoilant mes cuisses aux regards appuyés et inquisiteurs de quelques mâles, plus ou moins vieux mais tous avec un air vicieux et un regard acéré, qui traînaient en quête de séances de zyeutage… que je me plaisais à garnir. Je m’amusais de leurs manèges car ils changeaient de place ou se promenaient en ralentissant leur pas à ma hauteur et me lorgnaient ostensiblement.
Peu à peu, je les reconnaissais et certains -eux, off course, m’avaient reconnue- m’adressaient un petit bonjour, un sourire qu’ils auraient aimé complice. Parfois, et de plus en plus souvent au fil des jours, je leur répondais par un petit signe de tête, un sourire en retour. Je connus mon cercle d’habitués, auxquels j’offrais de jolis angles de vue sur mes cuisses découvertes par une jupe remontée haut, par une ouverture savante de mon manteau, de ma veste ou de mon imper, par une fente coquine de jupe, par une échancrure de chemisier sur mon sous-tif apparent, par des mini-séances de « dangling » de mes escarpins ou de mes ballerines sur mes bas…
Je m’amusais de ce petit jeu, hiver comme été. Je me régalais de les voir s’affoler.
Il était vraiment amusant ce petit jeu lorsqu’il y avait affluence car tous hésitaient un peu à manifester leur matage en règle mais tous voulaient en voir un peu et toujours un peu plus. J’avais repéré les timides, les scabreux, les vicelards (encore que ils l’étaient tous plus ou moins), les « fréquentables » et les « à éviter ». Je choisissais celui, ceux, à qui j’allais offrir le plus de plaisir des yeux et cela me plaisait.
Certains échangeaient des mots complices en me regardant et me contemplant, d’autres se massaient longuement et consciencieusement la queue à travers la poche de leur pantalon probablement trouée (là, je leur offrais de longues séances qui leur permettaient d’emmagasiner des images pour leurs fantasmes nocturnes et peut-être même de décharger sur place dans leur futal), d’autres -les plus vicelards et les plus salaces- venaient se planquer (encore que pas vraiment) dans un buisson voisin et se masturbaient bite à l’air dans les fourrés dans mon dos ou de côté reluquant mes jambes, mes décolletés : pour ceux-là (à qui je ne voulais pas trop en donner car j’avais un peu peur d’un dérapage), je me régalais de les foudroyer du regard en faisant mine de « couvrir » mes charmes dévoilés lorsqu’ils étaient trop hardis et de les voir rengainer momentanément leur queue… pour la ressortir dès que possible (en fait, j’aimais bien les voir se masturber, les yeux hagards, s’astiquer de plus en plus vite et s’affoler de peur d’être surpris ou dérangés dans leur manège) ; je les tenais « à distance » mais, lorsque la faible affluence et l’absence de risques devenaient manifestes, je ne me privais pas de décroiser mes gambettes, de montrer mes jarretelles, mes bas et même ma culotte, de jouer des escarpins et de leur sourire en contemplant leur gland qui devenait turgide et bleu jusqu’à finir par cracher du foutre dans l’herbe, alors que leurs yeux leur sortaient de la tête et qu’ils s’astiquaient frénétiquement pour jouir de ce moment privilégié et fugace. J’adorais voir des bites bandées en fait et j’étais flattée que ce soit moi qui les fasse bander.
J’étais donc devenue une habituée et il y avait mes habitués. Peu à peu, un petit vieux dégarni à cheveux blancs, avec une petite barbe le plus souvent, me devint de plus en plus familier. Il me contemplait pendant de longues minutes, il ne se mêlait que très peu au cercle des vicelards qui me « commentaient », il m’adressait de temps en temps de petits signes, des esquisses de sourire, des « bonjours » muets lorsque l’affluence était faible. Il était là très souvent, le plus souvent, presque toujours… il devait bien connaître ma garde-robe et mes dessous.
Aussi, lorsqu’un après-midi, revenant d’une réunion sur les coups de 15h30, je fis une halte dans ce jardin et je me décidais pour un banc isolé sur une petite butte abritée par des massifs, je le retrouvais tout seul (excepté une jeune maman avec sa poussette) assis sur le banc d’en face. Experte en jeux de jambes croisées, de cuisses dévoilées, de jupe remontée et d’escarpins tentateurs, je me régalais de lui offrir un bel échantillon de vues sur mes bas marrons clairs tenus par des jarretelles sexy, la chair blanche au-dessus de la bande plus foncée en haut et des plongées directes entre mes deux cuisses jusqu’à ma culotte lorsque je décroisais volontairement bien sûr, allant même jusqu’à écarter un peu, pour laisser deviner ma vulve à travers le nylon fin et transparent de mes strings et culottes en tulle ou en dentelle.
A son regard appuyé et extasié et l’expression admirative de son visage, je choisis de répondre par un sourire engageant qui se transforma en invitation… Sautant sur l’occasion unique, il se leva et vint s’asseoir à mes côtés… Enfin !
Il osa enfin engager la conversation, qui porta aussitôt sur des compliments à ma tenue et plus précisément sur mes bas, mes escarpins et mes cuisses :
« vous êtes magnifique aujourd’hui »… me dit-il
je le regardais droit dans les yeux en lui souriant :
« merci, merci… je vous plais ? »
« oh ! oui ! cela fait longtemps que vous me plaisez… »
« Ahhhhhhh ? »
« mais aujourd’hui, avec ces escarpins vernis noirs, cette jolie petite jupe et vos bas à coutures marrons si fins, vous êtes fantastiquement sexy… follement excitante »
Je ne répondis rien et continuais à lui sourire, comme pour attendre la suite, tout en recroisant mes jambes très haut dans l’autre sens pour offrir à sa vue immédiate ma cuisse généreusement offerte jusqu’au liseré du haut des bas et jouant un léger « dangling » de l’escarpin à l’horizontale, pointe vernie vers le ciel, mollet cambré, talon à demi déchaussé, souligné par les coutures de mes bas hyper-fins…
« Ah ! ces bas, ils sont magnifiques ! hmm ! vous avez de belles jambes ! j’adore quand vous portez des bas ! »
Nous étions quasiment seuls, je me rehaussais encore un peu plus, la chair blanche au-dessus de mes bas marrons était bien visible presque jusqu’à la culotte et je continuais à le regarder en souriant doucement comme une invitation.
Alors, enfin ! il osa, il se lança à l’assaut. Doucement sa main se posa sur le haut de ma cuisse, il caressa le nylon doux du bas et remonta lentement le long de ma cuisse sans que je fasse le moindre geste qui puisse l’arrêter. Il s’enhardit alors et palucha longuement ma cuisse avec une infinie douceur. Je le laissais faire avec plaisir car ce vieux avait l’air « petit garçon » face à un jouet désiré mais je dus rompre le charme :
« Il va falloir que je retourne au bureau »
« Ohhhhhh ! déjà ! » dit-il d’un air authentiquement désolé car je commençais à percevoir chez lui une certaine excitation et même deviner une bosse significative dans son pantalon… « on vient à peine de commencer »
« Hé oui, navrée mais il faut bien aller bosser »
« Vous reviendrez bientôt hein? on continuera hein ? », ajouta-t-il, alors qu’il savait pertinemment que je venais très régulièrement dans ce jardin.
« Oui, oui, bien sûr, je reviendrai… bientôt » dis-je d’un ton rassurant, en rajoutant même une couche qui aller hanter ses rêveries et branlaisons nocturnes : « n’ayez crainte, je remettrai des bas et vous pourrez continuer à me caresser ».
Effectivement, je revins dans ce petit jardin presque tous les jours qui suivirent. A chaque fois -sans exception- « il » était là ; il m’adressait un petit bonjour, un sourire et venait s’asseoir près de moi chaque fois que la faible affluence le permettait. Les conversations devenaient régulières, portaient souvent sur des banalités (météo …) mais dès que possible tournaient sur ma tenue du jour : « vous avez mis des collants aujourd’hui… ils sont beaux…ça vous fait de longues cuisses » et une complicité s’instaurait progressivement, me mettant définitivement (?) à l’écart d’une intimité les autres vieux mateurs, sans que l’occasion de me remettre la main sur les bas aussi précisément que la première fois se représente. Il m’effleurait dès qu’il pouvait, me contemplait… et s’impatientait… attendant toujours mon ‘feu vert’.
Comme dirait mon patron, j’étais toujours la maitresse du jeu.
Un jour d’automne un peu plus frais malgré le soleil, il s’aventura à tenter une invitation : « Il ne fait pas chaud aujourd’hui… si on allait dans un café, je vous invite, vous avez le temps ? »
Sans hésiter (tout en faisant mine d’hésiter quand même), je le suivis dans ce petit café désert, où il n’y avait que nous en salle… seul un tabouret du bar était occupé par un gros chauve quelque peu affalé sur le comptoir et le serveur, souvent absent pour aller fumer en cuisine.
Le sentant un peu fébrile et timide, ce fut moi qui allumais la première mèche. Pour le récompenser de tant de patience mais aussi pour concrétiser quelque chose avec lui, je défis sa braguette, extirpais sa queue que je dégageais peu à peu avec douceur et je commençais à le branler là dans ce bar. Un peu surpris par tant d’audace de ma part mais aussi enchanté par la « chose », il se redressa en arrière en m’observant et évidemment se laissa faire avec plaisir :
« oh oui, branle-moi, que tu es douce ! j’aime… »
Je mis tout mon savoir et rapidement je fis prendre de belles proportions à sa bite dans ma menotte experte. Il était aux anges.
Le bar étant toujours aussi calme, je m’enhardis encore plus et je me penchais vers sa queue, approchant imperceptiblement mon visage de son joli gland que j’avais rendu bien luisant, à force de le manipuler. Il se redressa encore plus en arrière et me tendit son bas-ventre à demi dénudé comme pour invitation à le sucer.
Alors je plongeais sur cette bite de plus en plus dure que je tenais entre deux doigts et je me mis à le sucer avec application dans ce bar.
« Orrrchhhhhh ! oui ! que c’est bon » grommela-t-il doucement
Et je me mis à bien pomper sa queue que je trouvais de plus en plus belle.
Le serveur refaisant une entrée interrompit cette « manœuvre » et rompit un peu le charme de cette situation inhabituelle qui me plaisait bien pourtant.
« Viens, on va sortir, on va aller dans la ruelle derrière, on sera plus tranquilles »
Je lui obéis sans peine, il paya et nous sortîmes.
Aussitôt arrivés dans cette impasse, à l’abri des regards, nous nous installons pour essayer de reprendre les choses là où nous les avions laissées. Je m’accroupis devant lui resté debout, refis descendre la fermeture éclair de sa braguette, extirpais à nouveau sa bite à peine débandée et je repris ma pipe avec application en lui montrant bien mes jolies cuisses gainées de bas :
« Suce-moi bien oui! Tu suces comme une reine! Putain que t’es belle avec ces bas et tes bottines, que tu es sexy ! que c’est bon ! »
J’appréciai le compliment et je redoublais d’ardeur sur sa bite. Je le sentais tressaillir, trembler d’excitation et je perçus qu’il voulut m’arrêter.
En effet, il m’arrête; probablement trop excité par ma pipe savoureuse :
« attends, attends, arrête un peu! »
Il me fait me relever et m’appuyer au mur, il soulève ma jupette, contemple longuement mes longues cuisses gainées par mes jolis bas dim-up beiges qui excitent tant les types :
« ah! Que t’es belle, oh! Ces cuisses! Hmmm! Et cette belle chatte! »
Il s’accroupit à hauteur de ma chatte, me fait relever une jambe -je m’agrippe à un tuyau pour ne pas tomber- et il commence à me brouter la chatte goulûment:
« Laisse-moi bouffer ta jolie chatte en caressant tes bas, j’adore ça! »
Sa barbe douce caresse mon entrecuisses et sa langue s’active sur ma chatte offerte en pleine rue. Ma foi, c’est vachement bon de me faire bouffer par ce vieux et je me livre totalement à lui, caressant sa tête que j’appuie contre ma chatte.
Mais… il va me faire jouir ce vieux salaud en me bouffant la chatte dans la rue!
Je jouis oui car je suis excitée à l’idée qu’on peut nous voir et il n’arrête pas de me brouter le minou en caressant mes bas.
Puis, il m’entraîne vers la rivière, là où il y a des arbres, des bancs publics et aussi ses copains voyeurs.
Il ressort sa bite devant ma jupette bien courte sur mes bas et mes bottines sexy… je suis prête à tout, même à être offerte au regard salace des voyeurs car j’imagine qu’il me protègera et saura me garder pour lui… alors je fonce !
Il m’entraîne vers le banc et il me demande de le branler devant ses copains voyeurs, histoire de les faire baver : « Viens sur le banc, vas-y branle-moi devant les mateurs planqués derrière les arbres » et j’obéis sans me forcer.
Telle une vraie salope, je le branle devant les types affolés et jaloux ; je croise très haut mes cuisses montrant mes bas, ma jupette devient symbolique.
Alors, il remonte encore plus haut ma jupe, me fait me relever puis prendre appui contre un arbre et dirige sa bite vers ma chatte, que je lui offre bien en soulevant une jambe, alors qu’il promène son gland dans ma raie.
Et là, il m’enfile debout devant les autres types médusés, qui se régalent de mater mes jolis bas beiges et de voir la queue du vieux veinard s’enfoncer entre mes fesses offertes et tendues car j’ai vraiment envie qu’il me prenne là, devant les autres.
Après cette séance debout, nous revenons sur le banc. Il m’installe sur lui, j’écarte mes cuisses et je m’assieds sur sa bite qui me prend bien profond sur ce banc public, sous les regards effarés et affamés des voyeurs, auxquels nous faisons face.
« Ah! Je suis en toi oui, c’est bon! » et il me pénètre bien profond.
Là je suis le spectacle, mes cuisses totalement ouvertes avec mes bas dim-up et mes bottines, ma chatte nue avec ma toison bien visible reçoit la queue du vieux que tous peuvent voir s’enfoncer dans ma chatte. Je sens bien sa bite en moi, je me fais baiser comme une salope en public par ce vieux baveux devant des voyeurs.
Alors c’est l’apothéose.
Après m’avoir bien baisée et rebaisée sur ce banc, sous le regard de quelques voyeurs embusqués, le vieux baveux complètement affolé et surexcité ne peut plus se contenir : il me fait bien écarter les cuisses, comme pour mieux montrer sa victoire aux types qui matent, et décharge dans ma chatte et se finit sur ma toison et mes bas en m’arrosant de manière désordonnée.
« Ahhh! Tu me fais jouir! Oh putain que c’est bon, je te décharge dans la chatte, que t’es bandante avec tes bas et tes bottes, j’en peux plus, j’explose, ouais là, tiens, prends mon foutre salope! Ah! Oui, ta chatte! Tiens! Tiens je t’arrose de foutre»
« Putain! Qu’est-ce qu’il lui met! Quelle est belle cette salope avec ses jolies cuisses et ses bas! Elle en prend plein la chatte la cochonne! Ah! La pute! »
J’entends tous ces commentaires salaces et envieux et je me régale de faire jouir ce vieux, « mon » vieux désormais, ce qu’il a compris :
« Ohhhhhh ! que c’était bon ! que tu m’as fais jouir ! ohhhhhh ! je t’aime »
Et moi coquine de sainte-nitouche : « tu as aimé ? c’était bon ? tu as bien déchargé, tu m’en as mis plein la chatte ! qu’est-ce-que tu dis que tu m’aimes ? »
« Oui, oui, si tu veux bien me laisser te le dire : je t’aime oui ! je n’ai jamais fait l’amour comme ça, jamais avec une aussi belle femme… et puis là, devant les autres c’est fou ! c’est génial ! si tu veux bien, tu seras mon amour, je t’aime oui »
* * *
Ce fut dans un jardin public qu’il (il représente plusieurs de mes conquêtes de vieux car, en fait, cette situation m’est arrivée plusieurs fois, avec des vieux différents) m’aborda (je vais vous raconter ça en détails) et fit ma connaissance, qui devint de plus en plus approfondie au fil des jours. Peu à peu, de véritables sentiments naquirent entre nous, alors qu’au départ, pour moi il ne s’agissait que d’une aventure du genre « pourquoi pas avec un vieux ». Au plaisir que je lui procurais, s’ajouta peu à peu une véritable relation durable et sexuellement aboutie –absolument amoureuse pour lui dès le départ et qui le devint pour moi au fur et à mesure de ce que nous réalisions ensemble.
Les approches et la conquête :
Assez souvent, j’avais pris l’habitude de faire une halte dans ce jardin public proche de mon boulot soit très souvent entre midi et deux, soit en fin d’après-midi avant de rentrer chez moi … et même parfois en milieu d’après-midi lorsque je revenais de réunion ou rendez-vous à l’extérieur et, là, c’était bien parce que le jardin était beaucoup moins fréquenté. J’avais pris quelques habitudes de choisir des bancs à l’ombre ou complètement à l’écart des allées passantes, notamment sur une petite butte cernée d’arbustes. Evidemment, j’étais presque toujours habillée en tenue bcbg de femme de bureau… de femelle sexy même pour faire plaisir à mon patron, avec des tailleurs à jupe ajustée, des escarpins à talons, souvent en collants mais aussi très souvent avec des bas dim-up ou même des bas fins tenus par un porte-jarretelles.
A la pose de midi, je venais manger un sandwich ou une quiche en lisant un journal et là je devais croiser mes jambes assez haut, dévoilant mes cuisses aux regards appuyés et inquisiteurs de quelques mâles, plus ou moins vieux mais tous avec un air vicieux et un regard acéré, qui traînaient en quête de séances de zyeutage… que je me plaisais à garnir. Je m’amusais de leurs manèges car ils changeaient de place ou se promenaient en ralentissant leur pas à ma hauteur et me lorgnaient ostensiblement.
Peu à peu, je les reconnaissais et certains -eux, off course, m’avaient reconnue- m’adressaient un petit bonjour, un sourire qu’ils auraient aimé complice. Parfois, et de plus en plus souvent au fil des jours, je leur répondais par un petit signe de tête, un sourire en retour. Je connus mon cercle d’habitués, auxquels j’offrais de jolis angles de vue sur mes cuisses découvertes par une jupe remontée haut, par une ouverture savante de mon manteau, de ma veste ou de mon imper, par une fente coquine de jupe, par une échancrure de chemisier sur mon sous-tif apparent, par des mini-séances de « dangling » de mes escarpins ou de mes ballerines sur mes bas…
Je m’amusais de ce petit jeu, hiver comme été. Je me régalais de les voir s’affoler.
Il était vraiment amusant ce petit jeu lorsqu’il y avait affluence car tous hésitaient un peu à manifester leur matage en règle mais tous voulaient en voir un peu et toujours un peu plus. J’avais repéré les timides, les scabreux, les vicelards (encore que ils l’étaient tous plus ou moins), les « fréquentables » et les « à éviter ». Je choisissais celui, ceux, à qui j’allais offrir le plus de plaisir des yeux et cela me plaisait.
Certains échangeaient des mots complices en me regardant et me contemplant, d’autres se massaient longuement et consciencieusement la queue à travers la poche de leur pantalon probablement trouée (là, je leur offrais de longues séances qui leur permettaient d’emmagasiner des images pour leurs fantasmes nocturnes et peut-être même de décharger sur place dans leur futal), d’autres -les plus vicelards et les plus salaces- venaient se planquer (encore que pas vraiment) dans un buisson voisin et se masturbaient bite à l’air dans les fourrés dans mon dos ou de côté reluquant mes jambes, mes décolletés : pour ceux-là (à qui je ne voulais pas trop en donner car j’avais un peu peur d’un dérapage), je me régalais de les foudroyer du regard en faisant mine de « couvrir » mes charmes dévoilés lorsqu’ils étaient trop hardis et de les voir rengainer momentanément leur queue… pour la ressortir dès que possible (en fait, j’aimais bien les voir se masturber, les yeux hagards, s’astiquer de plus en plus vite et s’affoler de peur d’être surpris ou dérangés dans leur manège) ; je les tenais « à distance » mais, lorsque la faible affluence et l’absence de risques devenaient manifestes, je ne me privais pas de décroiser mes gambettes, de montrer mes jarretelles, mes bas et même ma culotte, de jouer des escarpins et de leur sourire en contemplant leur gland qui devenait turgide et bleu jusqu’à finir par cracher du foutre dans l’herbe, alors que leurs yeux leur sortaient de la tête et qu’ils s’astiquaient frénétiquement pour jouir de ce moment privilégié et fugace. J’adorais voir des bites bandées en fait et j’étais flattée que ce soit moi qui les fasse bander.
J’étais donc devenue une habituée et il y avait mes habitués. Peu à peu, un petit vieux dégarni à cheveux blancs, avec une petite barbe le plus souvent, me devint de plus en plus familier. Il me contemplait pendant de longues minutes, il ne se mêlait que très peu au cercle des vicelards qui me « commentaient », il m’adressait de temps en temps de petits signes, des esquisses de sourire, des « bonjours » muets lorsque l’affluence était faible. Il était là très souvent, le plus souvent, presque toujours… il devait bien connaître ma garde-robe et mes dessous.
Aussi, lorsqu’un après-midi, revenant d’une réunion sur les coups de 15h30, je fis une halte dans ce jardin et je me décidais pour un banc isolé sur une petite butte abritée par des massifs, je le retrouvais tout seul (excepté une jeune maman avec sa poussette) assis sur le banc d’en face. Experte en jeux de jambes croisées, de cuisses dévoilées, de jupe remontée et d’escarpins tentateurs, je me régalais de lui offrir un bel échantillon de vues sur mes bas marrons clairs tenus par des jarretelles sexy, la chair blanche au-dessus de la bande plus foncée en haut et des plongées directes entre mes deux cuisses jusqu’à ma culotte lorsque je décroisais volontairement bien sûr, allant même jusqu’à écarter un peu, pour laisser deviner ma vulve à travers le nylon fin et transparent de mes strings et culottes en tulle ou en dentelle.
A son regard appuyé et extasié et l’expression admirative de son visage, je choisis de répondre par un sourire engageant qui se transforma en invitation… Sautant sur l’occasion unique, il se leva et vint s’asseoir à mes côtés… Enfin !
Il osa enfin engager la conversation, qui porta aussitôt sur des compliments à ma tenue et plus précisément sur mes bas, mes escarpins et mes cuisses :
« vous êtes magnifique aujourd’hui »… me dit-il
je le regardais droit dans les yeux en lui souriant :
« merci, merci… je vous plais ? »
« oh ! oui ! cela fait longtemps que vous me plaisez… »
« Ahhhhhhh ? »
« mais aujourd’hui, avec ces escarpins vernis noirs, cette jolie petite jupe et vos bas à coutures marrons si fins, vous êtes fantastiquement sexy… follement excitante »
Je ne répondis rien et continuais à lui sourire, comme pour attendre la suite, tout en recroisant mes jambes très haut dans l’autre sens pour offrir à sa vue immédiate ma cuisse généreusement offerte jusqu’au liseré du haut des bas et jouant un léger « dangling » de l’escarpin à l’horizontale, pointe vernie vers le ciel, mollet cambré, talon à demi déchaussé, souligné par les coutures de mes bas hyper-fins…
« Ah ! ces bas, ils sont magnifiques ! hmm ! vous avez de belles jambes ! j’adore quand vous portez des bas ! »
Nous étions quasiment seuls, je me rehaussais encore un peu plus, la chair blanche au-dessus de mes bas marrons était bien visible presque jusqu’à la culotte et je continuais à le regarder en souriant doucement comme une invitation.
Alors, enfin ! il osa, il se lança à l’assaut. Doucement sa main se posa sur le haut de ma cuisse, il caressa le nylon doux du bas et remonta lentement le long de ma cuisse sans que je fasse le moindre geste qui puisse l’arrêter. Il s’enhardit alors et palucha longuement ma cuisse avec une infinie douceur. Je le laissais faire avec plaisir car ce vieux avait l’air « petit garçon » face à un jouet désiré mais je dus rompre le charme :
« Il va falloir que je retourne au bureau »
« Ohhhhhh ! déjà ! » dit-il d’un air authentiquement désolé car je commençais à percevoir chez lui une certaine excitation et même deviner une bosse significative dans son pantalon… « on vient à peine de commencer »
« Hé oui, navrée mais il faut bien aller bosser »
« Vous reviendrez bientôt hein? on continuera hein ? », ajouta-t-il, alors qu’il savait pertinemment que je venais très régulièrement dans ce jardin.
« Oui, oui, bien sûr, je reviendrai… bientôt » dis-je d’un ton rassurant, en rajoutant même une couche qui aller hanter ses rêveries et branlaisons nocturnes : « n’ayez crainte, je remettrai des bas et vous pourrez continuer à me caresser ».
Effectivement, je revins dans ce petit jardin presque tous les jours qui suivirent. A chaque fois -sans exception- « il » était là ; il m’adressait un petit bonjour, un sourire et venait s’asseoir près de moi chaque fois que la faible affluence le permettait. Les conversations devenaient régulières, portaient souvent sur des banalités (météo …) mais dès que possible tournaient sur ma tenue du jour : « vous avez mis des collants aujourd’hui… ils sont beaux…ça vous fait de longues cuisses » et une complicité s’instaurait progressivement, me mettant définitivement (?) à l’écart d’une intimité les autres vieux mateurs, sans que l’occasion de me remettre la main sur les bas aussi précisément que la première fois se représente. Il m’effleurait dès qu’il pouvait, me contemplait… et s’impatientait… attendant toujours mon ‘feu vert’.
Comme dirait mon patron, j’étais toujours la maitresse du jeu.
Un jour d’automne un peu plus frais malgré le soleil, il s’aventura à tenter une invitation : « Il ne fait pas chaud aujourd’hui… si on allait dans un café, je vous invite, vous avez le temps ? »
Sans hésiter (tout en faisant mine d’hésiter quand même), je le suivis dans ce petit café désert, où il n’y avait que nous en salle… seul un tabouret du bar était occupé par un gros chauve quelque peu affalé sur le comptoir et le serveur, souvent absent pour aller fumer en cuisine.
Le sentant un peu fébrile et timide, ce fut moi qui allumais la première mèche. Pour le récompenser de tant de patience mais aussi pour concrétiser quelque chose avec lui, je défis sa braguette, extirpais sa queue que je dégageais peu à peu avec douceur et je commençais à le branler là dans ce bar. Un peu surpris par tant d’audace de ma part mais aussi enchanté par la « chose », il se redressa en arrière en m’observant et évidemment se laissa faire avec plaisir :
« oh oui, branle-moi, que tu es douce ! j’aime… »
Je mis tout mon savoir et rapidement je fis prendre de belles proportions à sa bite dans ma menotte experte. Il était aux anges.
Le bar étant toujours aussi calme, je m’enhardis encore plus et je me penchais vers sa queue, approchant imperceptiblement mon visage de son joli gland que j’avais rendu bien luisant, à force de le manipuler. Il se redressa encore plus en arrière et me tendit son bas-ventre à demi dénudé comme pour invitation à le sucer.
Alors je plongeais sur cette bite de plus en plus dure que je tenais entre deux doigts et je me mis à le sucer avec application dans ce bar.
« Orrrchhhhhh ! oui ! que c’est bon » grommela-t-il doucement
Et je me mis à bien pomper sa queue que je trouvais de plus en plus belle.
Le serveur refaisant une entrée interrompit cette « manœuvre » et rompit un peu le charme de cette situation inhabituelle qui me plaisait bien pourtant.
« Viens, on va sortir, on va aller dans la ruelle derrière, on sera plus tranquilles »
Je lui obéis sans peine, il paya et nous sortîmes.
Aussitôt arrivés dans cette impasse, à l’abri des regards, nous nous installons pour essayer de reprendre les choses là où nous les avions laissées. Je m’accroupis devant lui resté debout, refis descendre la fermeture éclair de sa braguette, extirpais à nouveau sa bite à peine débandée et je repris ma pipe avec application en lui montrant bien mes jolies cuisses gainées de bas :
« Suce-moi bien oui! Tu suces comme une reine! Putain que t’es belle avec ces bas et tes bottines, que tu es sexy ! que c’est bon ! »
J’appréciai le compliment et je redoublais d’ardeur sur sa bite. Je le sentais tressaillir, trembler d’excitation et je perçus qu’il voulut m’arrêter.
En effet, il m’arrête; probablement trop excité par ma pipe savoureuse :
« attends, attends, arrête un peu! »
Il me fait me relever et m’appuyer au mur, il soulève ma jupette, contemple longuement mes longues cuisses gainées par mes jolis bas dim-up beiges qui excitent tant les types :
« ah! Que t’es belle, oh! Ces cuisses! Hmmm! Et cette belle chatte! »
Il s’accroupit à hauteur de ma chatte, me fait relever une jambe -je m’agrippe à un tuyau pour ne pas tomber- et il commence à me brouter la chatte goulûment:
« Laisse-moi bouffer ta jolie chatte en caressant tes bas, j’adore ça! »
Sa barbe douce caresse mon entrecuisses et sa langue s’active sur ma chatte offerte en pleine rue. Ma foi, c’est vachement bon de me faire bouffer par ce vieux et je me livre totalement à lui, caressant sa tête que j’appuie contre ma chatte.
Mais… il va me faire jouir ce vieux salaud en me bouffant la chatte dans la rue!
Je jouis oui car je suis excitée à l’idée qu’on peut nous voir et il n’arrête pas de me brouter le minou en caressant mes bas.
Puis, il m’entraîne vers la rivière, là où il y a des arbres, des bancs publics et aussi ses copains voyeurs.
Il ressort sa bite devant ma jupette bien courte sur mes bas et mes bottines sexy… je suis prête à tout, même à être offerte au regard salace des voyeurs car j’imagine qu’il me protègera et saura me garder pour lui… alors je fonce !
Il m’entraîne vers le banc et il me demande de le branler devant ses copains voyeurs, histoire de les faire baver : « Viens sur le banc, vas-y branle-moi devant les mateurs planqués derrière les arbres » et j’obéis sans me forcer.
Telle une vraie salope, je le branle devant les types affolés et jaloux ; je croise très haut mes cuisses montrant mes bas, ma jupette devient symbolique.
Alors, il remonte encore plus haut ma jupe, me fait me relever puis prendre appui contre un arbre et dirige sa bite vers ma chatte, que je lui offre bien en soulevant une jambe, alors qu’il promène son gland dans ma raie.
Et là, il m’enfile debout devant les autres types médusés, qui se régalent de mater mes jolis bas beiges et de voir la queue du vieux veinard s’enfoncer entre mes fesses offertes et tendues car j’ai vraiment envie qu’il me prenne là, devant les autres.
Après cette séance debout, nous revenons sur le banc. Il m’installe sur lui, j’écarte mes cuisses et je m’assieds sur sa bite qui me prend bien profond sur ce banc public, sous les regards effarés et affamés des voyeurs, auxquels nous faisons face.
« Ah! Je suis en toi oui, c’est bon! » et il me pénètre bien profond.
Là je suis le spectacle, mes cuisses totalement ouvertes avec mes bas dim-up et mes bottines, ma chatte nue avec ma toison bien visible reçoit la queue du vieux que tous peuvent voir s’enfoncer dans ma chatte. Je sens bien sa bite en moi, je me fais baiser comme une salope en public par ce vieux baveux devant des voyeurs.
Alors c’est l’apothéose.
Après m’avoir bien baisée et rebaisée sur ce banc, sous le regard de quelques voyeurs embusqués, le vieux baveux complètement affolé et surexcité ne peut plus se contenir : il me fait bien écarter les cuisses, comme pour mieux montrer sa victoire aux types qui matent, et décharge dans ma chatte et se finit sur ma toison et mes bas en m’arrosant de manière désordonnée.
« Ahhh! Tu me fais jouir! Oh putain que c’est bon, je te décharge dans la chatte, que t’es bandante avec tes bas et tes bottes, j’en peux plus, j’explose, ouais là, tiens, prends mon foutre salope! Ah! Oui, ta chatte! Tiens! Tiens je t’arrose de foutre»
« Putain! Qu’est-ce qu’il lui met! Quelle est belle cette salope avec ses jolies cuisses et ses bas! Elle en prend plein la chatte la cochonne! Ah! La pute! »
J’entends tous ces commentaires salaces et envieux et je me régale de faire jouir ce vieux, « mon » vieux désormais, ce qu’il a compris :
« Ohhhhhh ! que c’était bon ! que tu m’as fais jouir ! ohhhhhh ! je t’aime »
Et moi coquine de sainte-nitouche : « tu as aimé ? c’était bon ? tu as bien déchargé, tu m’en as mis plein la chatte ! qu’est-ce-que tu dis que tu m’aimes ? »
« Oui, oui, si tu veux bien me laisser te le dire : je t’aime oui ! je n’ai jamais fait l’amour comme ça, jamais avec une aussi belle femme… et puis là, devant les autres c’est fou ! c’est génial ! si tu veux bien, tu seras mon amour, je t’aime oui »
2 yıl önce