NICO LE ROUTIER (histoire à vivre)
Voilà, c’est fait… Rendez-vous est donné ! Nico, avec qui j’échange depuis un moment sur internet a l’occasion de venir dans ma région. Un voyage professionnel qui l’amènera à rester le temps de sa coupure sur une aire d’autoroute pas très éloignée de chez moi. Nous avons donc convenu de nous retrouver sur cette aire à son arrivée.
Les quelques jours qui passent me paraissent si longs ; je ne cesse de penser à lui. Qu’en est-il de ma « pudeur » d’homme ? Je sais pertinemment qu’il me faudrait me concentrer sur autre chose, tenter de repousser ces pensées… Phalliques. Car oui, c’est à son sexe que je pense, à tout ce qu’il pourra me faire et au plaisir qui y sera associé. Même si je conserve socialement mon statut d’homme avec mon entourage, il ne se passe pas un instant sans que je me projette dans l’avenir, à l’instant même où je serai femme pour lui.
Ce jour tant attendu arrive ; dans quelques heures, je m’offrirai enfin à cet homme. Je me prépare soigneusement. Douche et lavement suivi d’une manucure rapide. Vient ensuite une épilation particulière, aucun poil sur et entre les fesses et devant, juste un petit ticket de métro le plus sexy possible. Du lait pour le corps appliqué sur ma peau en insistant sur mes fesses, une légère touche de parfum qui révélera un peu plus ma féminité naissante. Je m’équipe ensuite d’un porte-jarretelles en dentelle noire auquel je viens accrocher mes bas résille. Je me glisse ensuite dans un string à motif floral assorti au reste. Un chemisier blanc très léger qui ne cachera pas le bas du ventre et une jupe à volants destinée à ne masquer que le haut des cuisses. Un petit gilet pour finir, pour lutter contre la fraicheur de l’automne.
Mes talons rejoignent les jouets coquins, que j’ai préalablement sélectionné, dans un petit sac à dos, sans oublier de mettre le gel, les préservatifs et un flacon de poppers. Enfin, un jean et un pull pour cacher tout ça ! Toutes mes petites affaires finissent cachées au fond du coffre dans l’attente d’être utilisées à bon escient. Je m’amuse alors à imaginer un contrôle douanier qui dévoilerait mon petit secret, une fouille humiliante, une situation qui m’afficherait comme tafiolle !
De plus en plus fébrile, je surveille mon téléphone. Je sens mon estomac se nouer inexorablement au rythme des minutes qui s’égrènent. Je refuse de croire qu’il ai pu me poser un lapin quand le vibreur de mon téléphone me fait sursauter. Quelle délivrance de lire le message qui m’informe de son arrivée prochaine sur l’aire choisie. Mon cœur bat à tout rompre quand je démarre à mon tour. Il me faudra une petite demi-heure pour être sur place…
Un instant plus tard, j’emprunte la bretelle qui me mènera à l’endroit choisi ; je passe le long de la station-service et vais me garer au fond d’un parking, là où les camping-cars viennent stationner en été. Un endroit tranquille en cul de sac, avec en son milieu, des toilettes quasiment inutilisées en cette saison. Il y’a juste à l’entrée, un fourgon bâché, immatriculé en Europe de l’est, dont les rideaux sont tirés. Le ciel s’assombri doucement en ce début de soirée, idéalement pour servir la discrétion. Je n’ose pas encore laisser Pascale apparaitre tant que mon Homme ne sera pas arrivé. Je surveille assidument la route qui mène au parking poids lourds que je ne peux pas voir de ma position. Quelques camions sont déjà passés quand mon téléphone retenti à nouveau.
• Pascale, c’est Nico, je suis là…
• OK, je suis dans ma voiture sur le parking à droite, t’es passé devant…
• Oui, j’ai vu ta voiture, je crois
• Tu veux que je te rejoigne au camion ?
• Non, je ferme le tracteur et j’arrive… Prépare toi !
• C’est tranquille, juste le fourgon à l’entrée…
• Alors, tu m’attends dehors… Et en femme !
• Oui...
J’ai répondu machinalement mais maintenant, je vais devoir assurer. Il ne fait pas encore nuit noire et j’ai accepté de m’afficher dehors en femelle ! L’excitation fait son effet… En un instant, mon jean et mon pull rejoignent mes baskets sur le tapis de sol. J’enfile rapidement mes talons et quitte ma place pour sortir de ma voiture, en salope. Très vite, je passe derrière celle-ci pour me cacher un peu tout en ressentant un besoin sournois de m’exhiber.
Un homme arrive, jette un rapide regard dans ma direction et se dirige vers les toilettes. Il ressort rapidement pour cette fois me faire un geste de la main. C’est bien mon homme ! Je suis toujours cachée par ma voiture quand je le vois insister en me faisant signe de le rejoindre. La lumière blafarde des lampadaires qui viennent de s’allumer autour des toilettes me dérange mais j’obéis malgré tout. Dans une démarche digne d’une putain qui racole, je me dirige vers lui et sors de l’ombre pour le rejoindre. Ma jupe vole doucement à chacun de mes pas, dévoilant le haut de mes cuisses parées de jarretelles sexy. Mes talons frappent le sol dans un bruit de métronome pour couvrir celui de mon cœur dans ma poitrine.
Il surveille les alentours, un sourire aux lèvres quand j’arrive à sa hauteur. Il reste sur place, comme pour m’imposer de rester visible. Une douce humiliation que j’accepte. Sans perruque ni maquillage mais dans une tenue qui ne masque pas le fait que je sois une tarlouze, je lui jette un timide « bonsoir »
• C’est bien ma salope… Répond-il en me dévisageant comme pour examiner la marchandise.
• Suis-moi, on va derrière.
Je m’amuse en constatant que je ne le suis pas mais le précède car il a posé sa main sur mes fesses pour me pousser devant lui. On contourne le bâtiment ; Il y a de nombreuses portes, probablement pour l’entretien des lieux. Sur la gauche, un muret qui donne sur une zone où les camping-cars peuvent se réapprovisionner en eau, qui débouche sur l’entrée du parking poids lourds. A droite, quelques pavillons en contre bas de l’autre côté de la clôture. Le décor est planté ! Un savant mélange de discrétion et d’exposition propice à des sensations fortes, un risque non négligeable d’être vue par un routier ou un habitant, suffisant pour m’exciter un peu plus.
Silencieux, il s’adosse à une porte… Je tombe à genoux ! Un scénario dont nous avons déjà parlé pendant nos échanges par claviers interposés.
• Aller, fais-moi voir comment tu te démerdes… Montre-moi que t’es une bonne femelle maintenant !
Un vocabulaire salace qui me cantonne à ma fonction de salope, des mots bannis des bien-pensants qui me font vibrer. Le visage à hauteur de son entre-jambe, j’entreprends de dégager le membre que je devine déjà tendu. J’ouvre la ceinture, La brayette glisse doucement… Une bosse conséquente semble confirmer l’état de mon Homme. Sans perdre plus de temps, je libère sa queue qui semble vouloir me sauter au visage. Celle qui occupait mes rêves est là, fièrement dressée vers moi et malgré le trouble qui m’envahi, j’y dépose un baiser sans plus tarder. Je le cajole en le pourléchant sur toute sa longueur, prend délicatement ses couilles dans une main, l’autre monte sur ses fesses pour l’entrainer vers moi. Des préliminaires auxquels il semble vraiment sensible. J’ouvre la bouche, mes lèvres recouvrent mes dents pour ne pas blesser le membre douillet, je salive en l’avalant !
Je lève les yeux vers lui et bien qu’il fasse sombre, je le vois me regarder. Il pose une main sur mes épaules, l’autre sur ma tête.
• Ca va ? Elle te plait ?
• Oh oui, elle est belle !
• Alors vas-y, elle est pour toi… Suce ma belle ! Prouve-moi que je ne vais pas regretter de m’être arrêté pour toi…
C’est fait, il me traite comme une vulgaire putain, je ne vais pas le décevoir. J’ai envie de lui, à moi de le lui prouver maintenant. Mes lèvres enserrent la tige de chair que ma langue goûte goulûment. Doucement j’avale cette queue raidie par le désir. J’entreprends de savants va et vient sur le membre chaud qui remplit ma bouche. Le gland soyeux plonge vers ma gorge. Je découvre combien j’aime ça et que cette caresse ne le laisse pas indifférent. Sa main s’est posée derrière ma tête pour m’indiquer le rythme qui lui convient. Il vient à la rencontre de celle qui lui offre cette sanction buccale. Je resterai ainsi à lui prodiguer une pipe mémorable pour nous deux.
• Oh ouiiii, t’es vraiment faite pour ça ! T’es vraiment une sacrée salope ! Tu devrais sucer des bites à la chaine !
Je ne peux répondre me contentant de glousser
• Mmmmm
• Maintenant, je vais te baiser ! C’est ce que tu veux ?
Je lâche sa queue pour reprendre mon souffle et lui répondre :
• Oui, j’en ai envie !
• Bien ma petite tarlouze, je vais faire de toi une femme !
J’attends un signe de sa part, un ordre pour lui obéir et lui prouver combien je suis docile
• Demande-le-moi rajoute-t-il
• Baise-moi !
• Mieux que ça, salope !!
• S’il te plait, j’ai envie que tu me baises
• Et ?...
• Je suis TA salope, je suis venue pour me faire sauter
Ses mains sur mes épaules, il me relève et me retourne ; sa queue frotte sur ma jupe réveillant en moi, mes instincts de femelle en chaleur. Il me plaque à lui, j’entame une danse sensuelle faisant rouler son gland sur ma croupe, sous les compliments de mon futur amant. Nico relève ma jupe, bien décidé à voir le cul qui lui est offert. Nos peaux se collent, je m’enflamme. Ma culotte ne tarde pas à glisser sous mes fesses, il savoure la vue de ce postérieur à la peau claire qui lui est acquis, si clair dans cette semi pénombre de cette soirée d’automne. Ses pouces plongent dans ma raie pour l’ouvrir, dévoiler ainsi le fruit défendu. Je me baisse, prenant appui sur mes genoux. Ses pieds écartent mes jambes, ma culotte se tend sur le haut de mes cuisses désormais ouvertes. Plus de doutes, je suis bien une salope. Sa queue y glisse naturellement, guidant son gland vers ce trou qui se détend déjà. Je sens sa chaleur, apprécie sa douce pression. Ma chatte se relâche.
Une brève discussion pour me convaincre de sa bonne santé finie par me rassurer. De toutes manières, j’ai bien trop envie de lui sans le carcan d’une capote. Je veux que nos chairs fusionnent et se marient sans obstacle. Marié, comme moi, il a toujours pris les précautions qui s’imposent et c’est donc, pour un accouplement sans préservatifs que nous optons d’un commun accord. Je fouille rapidement dans mon petit sac pour sortir le tube de gel… Et mon poppers. Je reprends ma position, écartant mes fesses pour libérer l’accès à ma vulve…
• Oh putain, t’as le feu au cul ma salope ! remarque-t-il en me badigeonnant de lubrifiant.
• T’es une sacrée tarlouze qui m’excite… Je vais te sauter comme une bête !
Je ponctue juste ses phrases de « hummmmm » étouffés dans ma gorge en gigotant du derrière. Une main sur mes reins, il se branle de l’autre en visant déjà mon petit trou. Je surveille les alentours, les routiers à notre gauche, les riverains à droite, presque déçue de ne pas y trouver d’éventuels spectateurs. Le constatant, il se repousse du mur, me projetant vers l’avant. Nous sortons de la pénombre offerte par la toiture. Il m’indique le poteau électrique devant nous. Là, nous ne serons plus cachés si d’aventure, quelqu’un venait, comme s’il voulait m’afficher comme trophée. Une situation qui décuple mes envies malgré la crainte que j’éprouve. Et si un routier arrivait… Et s’il venait nous rejoindre, me donner lui aussi sa queue… Autant d’idées qui me traversent l’esprit et probablement aussi celui de Nico. Dans mon état, je suis incapable de m’opposer à cet état de fait. Je ne suis plus qu’une femelle en chaleur, avide de sexe, prête à tout accouplement proposé.
J’avance vers le poteau où je prends appui d’une main, l’autre toujours à écarter mes fesses et je me cambre, impatiente. Le lampadaire sur le coté du bâtiment éclaire la scène que mon mec décide d’immortaliser par une photo en sortant son smartphone. Je pense au flash qui risque d’attirer du monde en gesticulant pour attirer mon amant. Oh oui, je suis chaude comme la braise, bien décidée à me faire sauter, à devenir la putain d’un homme que je fais bander comme un taureau. Je glousse en signe d’appel…
Un doigt inquisiteur et froid me fouille, un deuxième et aussitôt un troisième. Pas de doutes, je suis déjà prête. Sans perdre plus de temps, Il vient se coller à moi, se glisser entre mes chairs accueillantes. Sa bite est raide, dressée comme jamais. Il guide son gland dont je sens la pression sur ma rondelle. Il se recule pour mieux recommencer. Il joue avec moi ! Discrètement, je sniffe le flacon de poppers. J’ai la tête qui tourne, je sens mon ventre gonfler de désir, ce qui me restait de pudeur, disparait. Je couine maintenant en me cambrant plus encore.
• Ohhhh, baise-moi s’il te plait… Vas-y, encule-moi !
• Oh oui ma petite putain, continue, tu m’excites !
• Imagine que j’ai un vagin pour toi…
• T’as un vagin, salope… T’es un trou à bites !
• Ouiiiiiiiiiiii
• T’es faite pour te faire grimper comme une chienne en chaleur
Son gland a trouvé le passage, agréable sensation me confortant dans mes délires de femelle. D’un coup, il s’enfonce en moi, sans trouver de réelle résistance. Je sens son dard plonger dans mes entrailles ; je ferme les yeux pour mieux apprécier l’instant. Il se retire légèrement et replonge en moi et recommence encore, et encore, de plus en plus profond. Maintenant Il me frappe littéralement de ses coups de reins. Je sens les poils de son pubis contre mes fesses. J’appuie mon épaule au poteau, ma main viens se glisser entre mes cuisses, à la recherche de ses couilles qui frappent les miennes régulièrement ; de l’autre, j’essaie de le tirer encore plus en moi en m’accrochant à sa cuisse.
• Wowww… T’es une sacrée pute !... Je ne regrette pas de t’avoir trouvée.
Je gémis pour seule réponse
• Dommage que tu ne puisses pas passer la nuit dans ma couchette…
J’entame un long soupir d’approbation
• Je te baiserais toute la nuit… J’inviterais peut-être un collègue…
Autant de propositions qui ne me laissent pas indifférente, ce dont il s’aperçoit. Mais retour à la réalité, je contracte mon vagin autour de sa queue régulièrement, comme pour le pomper, en extraire le jus. Il se fige au plus profond de moi, j’entame une danse sur son pieu. Ses mains se crispent sur mes hanches, il reprend ses assauts, interrompus de pauses pendant lesquelles je m’affaire de la chatte sur sa bite. Dans un bruit sourd, parfois ponctué du claquement d’une gifle sur mes fesses, nous baisons comme des fous, comme des amants de toujours, oubliant parfois toute réserve. J’adore ça. Je suis ouverte comme jamais je ne l’ai été. Ma propre queue, ou plutôt mon clito de tapette, gigote lamentablement, synonyme de mon état de vraie femelle. Parfois, je prends en serrant doucement ses couilles dans ma main pour les malaxer, satisfaite de m’être donner à cet homme. J’en oublie la fraicheur de la nuit qui s’installe tant je suis absorbée par le plaisir de me sentir femme entre ses mains.
Son souffle s’accélère, il grogne presque ; ses coups deviennent plus violents, me percutent littéralement, m’arrachant des gémissements non feins. Sans aucune considération pour moi, il m’encule maintenant, rageur et conquérant.
• Tiens putain, prends ça !
• Encore, plus fort !!!
• T’as envie que je t’engrosse, putain ?
• Oh ouiiiiiiiiiii… Je suis là pour me faire inséminer
• Je vais faire de toi une vraie femelle !
• Oui, jute dans ma chatte, fais-toi plaisir… Fais-moi plaisir !
• Tu vas l’avoir mon jus dans ton petit cul !
Sur cette dernière parole, d’un coup sec, il se plante en moi ! Ses mains viennent sous mon ventre, ses doigts se croisent sur mon pubis et me tirent fermement contre lui. Son corps se soude au mien en épousant la forme de mes reins creusés exagérément. Je ressens les pulsions de bite déversant son sperme dans ma chatte ; je suis aux anges. Mes jambes tremblent, un frisson parcours tout mon corps sous forme d’un orgasme interne. Oui, car j’ai bien un orgasme sans pour autant éjaculer, un plaisir purement féminin. Les contractions instinctives de mon vagin sont incontrôlables. Une sensation folle qui renforce l’émotion qui m’envahi. J’aimerais tant rester empalée ainsi des heures durant !
Mon étalon, reput maintenant, se redresse. Je prends appui au poteau et reste le cul en l’air. Sa queue se ramollit doucement et quitte l’endroit. Mes cuisses grandes ouvertes laissent apparaitre le fourreau dégoulinant dans lequel il vient de prendre son pied. Comme pour mieux voir, Nico m’écarte les fesses. Il tente de ramasser le nectar qui suinte de mon trou béant pour le remettre dedans. J’imagine à raison qu’il espère que je garde sa semence en moi. Un désir partagé.
• Quel pied ! T’es trop bonne…
Je ne réponds pas mais me contente de gigoter du popotin sous ses yeux.
• T’es prête à faire le tapin… Te faire sauter à la chaîne… Sucer tout ce qui vient…
Comme pour me tester, il m’enjoint de me retourner et m’offre sa queue à nettoyer. Sur le coté des toilettes, l’éclairage diffus du réverbère me permet de mieux voir sa queue. Elle n’est pas complètement redescendue et brille de nos sécrétions mélangées. Nous ne sommes plus dans la pénombre du toit ce qui m’excite davantage. Sans plus attendre, je retombe à genoux pour engamer le sexe d’un homme comme le ferait toute salope digne de ce nom. Je lèche des couilles au gland, m’appliquant à ne rien omettre, avale la bite qui retrouve sa fierté initiale. J’aime le goût de ma chatte mêlé à celui de son sperme. Je marque des pauses, le nez dans ses poils pubiens, la langue qui s’affaire sur la chair qui rempli ma bouche pour recommencer ensuite. Ses mains rassurantes sur ma tête me cajolent. Mais après quelques minutes, il me repousse doucement.
• C’est bon, je dois être propre… On va arrêter car je dois vraiment me reposer pour reprendre la route.
• C’est toi qui décides.
• Je serais bien resté plus longtemps, t’es un bon coup.
• Merci du compliment
• C’est vrai ! T’en apprendrais même aux nanas rajoute-t-il en riant.
• Tant mieux, j’aime trop ça
Il remonte son pantalon et se rajuste. Je suis toujours à genoux, les fesses à l’air, posées sur mes talons, la culotte descendue…
• Attends, ne bouge pas, je prends une photo souvenir !
Il sort son smartphone et se met sur mon coté pour immortaliser l’instant. Je creuse les reins, mes mains sur les hanches pour retenir ma jupe, la tête tournée dans l’autre sens (discrétion oblige). Le flash agit comme un éclair qui attirera peut-être un curieux, mais peut importe. J’aime à imaginer secrètement qu’un voyeur se soit repu du spectacle que nous avons donné. Quelques photos, différentes positions, un gros plan… Des images qu’il gardera et m’enverra plus tard. Des images qui seront certainement publiées !
• Aller, rhabille toi salope. Remonte ta culotte qu’elle soit trempée par mon jus.
Désolée mais ravie, j’obeis
• Et tu ne te changes pas, tu rentres en femelle !!! T’as bien compris ?
Une dernière humiliation à laquelle je vais me prêter de bonne grâce, bien trop contente de ce qui m’avait été offert en cette soirée. Etrangement, je me fous qu’on puisse me voir ainsi au péage.
• Je me sauve, on reste en contact, je te rappellerai pour te redonner rendez-vous ici
• D’accord
Une petite tape sur les fesses quand je ramasse mon sac et je repars vers ma voiture alors qu’il s’éloigne. Je n’éprouve aucune crainte en repassant près des toilettes car finalement, je me sens… Pute ! Je n’ai plus qu’une pensée : Revivre ça !
Les quelques jours qui passent me paraissent si longs ; je ne cesse de penser à lui. Qu’en est-il de ma « pudeur » d’homme ? Je sais pertinemment qu’il me faudrait me concentrer sur autre chose, tenter de repousser ces pensées… Phalliques. Car oui, c’est à son sexe que je pense, à tout ce qu’il pourra me faire et au plaisir qui y sera associé. Même si je conserve socialement mon statut d’homme avec mon entourage, il ne se passe pas un instant sans que je me projette dans l’avenir, à l’instant même où je serai femme pour lui.
Ce jour tant attendu arrive ; dans quelques heures, je m’offrirai enfin à cet homme. Je me prépare soigneusement. Douche et lavement suivi d’une manucure rapide. Vient ensuite une épilation particulière, aucun poil sur et entre les fesses et devant, juste un petit ticket de métro le plus sexy possible. Du lait pour le corps appliqué sur ma peau en insistant sur mes fesses, une légère touche de parfum qui révélera un peu plus ma féminité naissante. Je m’équipe ensuite d’un porte-jarretelles en dentelle noire auquel je viens accrocher mes bas résille. Je me glisse ensuite dans un string à motif floral assorti au reste. Un chemisier blanc très léger qui ne cachera pas le bas du ventre et une jupe à volants destinée à ne masquer que le haut des cuisses. Un petit gilet pour finir, pour lutter contre la fraicheur de l’automne.
Mes talons rejoignent les jouets coquins, que j’ai préalablement sélectionné, dans un petit sac à dos, sans oublier de mettre le gel, les préservatifs et un flacon de poppers. Enfin, un jean et un pull pour cacher tout ça ! Toutes mes petites affaires finissent cachées au fond du coffre dans l’attente d’être utilisées à bon escient. Je m’amuse alors à imaginer un contrôle douanier qui dévoilerait mon petit secret, une fouille humiliante, une situation qui m’afficherait comme tafiolle !
De plus en plus fébrile, je surveille mon téléphone. Je sens mon estomac se nouer inexorablement au rythme des minutes qui s’égrènent. Je refuse de croire qu’il ai pu me poser un lapin quand le vibreur de mon téléphone me fait sursauter. Quelle délivrance de lire le message qui m’informe de son arrivée prochaine sur l’aire choisie. Mon cœur bat à tout rompre quand je démarre à mon tour. Il me faudra une petite demi-heure pour être sur place…
Un instant plus tard, j’emprunte la bretelle qui me mènera à l’endroit choisi ; je passe le long de la station-service et vais me garer au fond d’un parking, là où les camping-cars viennent stationner en été. Un endroit tranquille en cul de sac, avec en son milieu, des toilettes quasiment inutilisées en cette saison. Il y’a juste à l’entrée, un fourgon bâché, immatriculé en Europe de l’est, dont les rideaux sont tirés. Le ciel s’assombri doucement en ce début de soirée, idéalement pour servir la discrétion. Je n’ose pas encore laisser Pascale apparaitre tant que mon Homme ne sera pas arrivé. Je surveille assidument la route qui mène au parking poids lourds que je ne peux pas voir de ma position. Quelques camions sont déjà passés quand mon téléphone retenti à nouveau.
• Pascale, c’est Nico, je suis là…
• OK, je suis dans ma voiture sur le parking à droite, t’es passé devant…
• Oui, j’ai vu ta voiture, je crois
• Tu veux que je te rejoigne au camion ?
• Non, je ferme le tracteur et j’arrive… Prépare toi !
• C’est tranquille, juste le fourgon à l’entrée…
• Alors, tu m’attends dehors… Et en femme !
• Oui...
J’ai répondu machinalement mais maintenant, je vais devoir assurer. Il ne fait pas encore nuit noire et j’ai accepté de m’afficher dehors en femelle ! L’excitation fait son effet… En un instant, mon jean et mon pull rejoignent mes baskets sur le tapis de sol. J’enfile rapidement mes talons et quitte ma place pour sortir de ma voiture, en salope. Très vite, je passe derrière celle-ci pour me cacher un peu tout en ressentant un besoin sournois de m’exhiber.
Un homme arrive, jette un rapide regard dans ma direction et se dirige vers les toilettes. Il ressort rapidement pour cette fois me faire un geste de la main. C’est bien mon homme ! Je suis toujours cachée par ma voiture quand je le vois insister en me faisant signe de le rejoindre. La lumière blafarde des lampadaires qui viennent de s’allumer autour des toilettes me dérange mais j’obéis malgré tout. Dans une démarche digne d’une putain qui racole, je me dirige vers lui et sors de l’ombre pour le rejoindre. Ma jupe vole doucement à chacun de mes pas, dévoilant le haut de mes cuisses parées de jarretelles sexy. Mes talons frappent le sol dans un bruit de métronome pour couvrir celui de mon cœur dans ma poitrine.
Il surveille les alentours, un sourire aux lèvres quand j’arrive à sa hauteur. Il reste sur place, comme pour m’imposer de rester visible. Une douce humiliation que j’accepte. Sans perruque ni maquillage mais dans une tenue qui ne masque pas le fait que je sois une tarlouze, je lui jette un timide « bonsoir »
• C’est bien ma salope… Répond-il en me dévisageant comme pour examiner la marchandise.
• Suis-moi, on va derrière.
Je m’amuse en constatant que je ne le suis pas mais le précède car il a posé sa main sur mes fesses pour me pousser devant lui. On contourne le bâtiment ; Il y a de nombreuses portes, probablement pour l’entretien des lieux. Sur la gauche, un muret qui donne sur une zone où les camping-cars peuvent se réapprovisionner en eau, qui débouche sur l’entrée du parking poids lourds. A droite, quelques pavillons en contre bas de l’autre côté de la clôture. Le décor est planté ! Un savant mélange de discrétion et d’exposition propice à des sensations fortes, un risque non négligeable d’être vue par un routier ou un habitant, suffisant pour m’exciter un peu plus.
Silencieux, il s’adosse à une porte… Je tombe à genoux ! Un scénario dont nous avons déjà parlé pendant nos échanges par claviers interposés.
• Aller, fais-moi voir comment tu te démerdes… Montre-moi que t’es une bonne femelle maintenant !
Un vocabulaire salace qui me cantonne à ma fonction de salope, des mots bannis des bien-pensants qui me font vibrer. Le visage à hauteur de son entre-jambe, j’entreprends de dégager le membre que je devine déjà tendu. J’ouvre la ceinture, La brayette glisse doucement… Une bosse conséquente semble confirmer l’état de mon Homme. Sans perdre plus de temps, je libère sa queue qui semble vouloir me sauter au visage. Celle qui occupait mes rêves est là, fièrement dressée vers moi et malgré le trouble qui m’envahi, j’y dépose un baiser sans plus tarder. Je le cajole en le pourléchant sur toute sa longueur, prend délicatement ses couilles dans une main, l’autre monte sur ses fesses pour l’entrainer vers moi. Des préliminaires auxquels il semble vraiment sensible. J’ouvre la bouche, mes lèvres recouvrent mes dents pour ne pas blesser le membre douillet, je salive en l’avalant !
Je lève les yeux vers lui et bien qu’il fasse sombre, je le vois me regarder. Il pose une main sur mes épaules, l’autre sur ma tête.
• Ca va ? Elle te plait ?
• Oh oui, elle est belle !
• Alors vas-y, elle est pour toi… Suce ma belle ! Prouve-moi que je ne vais pas regretter de m’être arrêté pour toi…
C’est fait, il me traite comme une vulgaire putain, je ne vais pas le décevoir. J’ai envie de lui, à moi de le lui prouver maintenant. Mes lèvres enserrent la tige de chair que ma langue goûte goulûment. Doucement j’avale cette queue raidie par le désir. J’entreprends de savants va et vient sur le membre chaud qui remplit ma bouche. Le gland soyeux plonge vers ma gorge. Je découvre combien j’aime ça et que cette caresse ne le laisse pas indifférent. Sa main s’est posée derrière ma tête pour m’indiquer le rythme qui lui convient. Il vient à la rencontre de celle qui lui offre cette sanction buccale. Je resterai ainsi à lui prodiguer une pipe mémorable pour nous deux.
• Oh ouiiii, t’es vraiment faite pour ça ! T’es vraiment une sacrée salope ! Tu devrais sucer des bites à la chaine !
Je ne peux répondre me contentant de glousser
• Mmmmm
• Maintenant, je vais te baiser ! C’est ce que tu veux ?
Je lâche sa queue pour reprendre mon souffle et lui répondre :
• Oui, j’en ai envie !
• Bien ma petite tarlouze, je vais faire de toi une femme !
J’attends un signe de sa part, un ordre pour lui obéir et lui prouver combien je suis docile
• Demande-le-moi rajoute-t-il
• Baise-moi !
• Mieux que ça, salope !!
• S’il te plait, j’ai envie que tu me baises
• Et ?...
• Je suis TA salope, je suis venue pour me faire sauter
Ses mains sur mes épaules, il me relève et me retourne ; sa queue frotte sur ma jupe réveillant en moi, mes instincts de femelle en chaleur. Il me plaque à lui, j’entame une danse sensuelle faisant rouler son gland sur ma croupe, sous les compliments de mon futur amant. Nico relève ma jupe, bien décidé à voir le cul qui lui est offert. Nos peaux se collent, je m’enflamme. Ma culotte ne tarde pas à glisser sous mes fesses, il savoure la vue de ce postérieur à la peau claire qui lui est acquis, si clair dans cette semi pénombre de cette soirée d’automne. Ses pouces plongent dans ma raie pour l’ouvrir, dévoiler ainsi le fruit défendu. Je me baisse, prenant appui sur mes genoux. Ses pieds écartent mes jambes, ma culotte se tend sur le haut de mes cuisses désormais ouvertes. Plus de doutes, je suis bien une salope. Sa queue y glisse naturellement, guidant son gland vers ce trou qui se détend déjà. Je sens sa chaleur, apprécie sa douce pression. Ma chatte se relâche.
Une brève discussion pour me convaincre de sa bonne santé finie par me rassurer. De toutes manières, j’ai bien trop envie de lui sans le carcan d’une capote. Je veux que nos chairs fusionnent et se marient sans obstacle. Marié, comme moi, il a toujours pris les précautions qui s’imposent et c’est donc, pour un accouplement sans préservatifs que nous optons d’un commun accord. Je fouille rapidement dans mon petit sac pour sortir le tube de gel… Et mon poppers. Je reprends ma position, écartant mes fesses pour libérer l’accès à ma vulve…
• Oh putain, t’as le feu au cul ma salope ! remarque-t-il en me badigeonnant de lubrifiant.
• T’es une sacrée tarlouze qui m’excite… Je vais te sauter comme une bête !
Je ponctue juste ses phrases de « hummmmm » étouffés dans ma gorge en gigotant du derrière. Une main sur mes reins, il se branle de l’autre en visant déjà mon petit trou. Je surveille les alentours, les routiers à notre gauche, les riverains à droite, presque déçue de ne pas y trouver d’éventuels spectateurs. Le constatant, il se repousse du mur, me projetant vers l’avant. Nous sortons de la pénombre offerte par la toiture. Il m’indique le poteau électrique devant nous. Là, nous ne serons plus cachés si d’aventure, quelqu’un venait, comme s’il voulait m’afficher comme trophée. Une situation qui décuple mes envies malgré la crainte que j’éprouve. Et si un routier arrivait… Et s’il venait nous rejoindre, me donner lui aussi sa queue… Autant d’idées qui me traversent l’esprit et probablement aussi celui de Nico. Dans mon état, je suis incapable de m’opposer à cet état de fait. Je ne suis plus qu’une femelle en chaleur, avide de sexe, prête à tout accouplement proposé.
J’avance vers le poteau où je prends appui d’une main, l’autre toujours à écarter mes fesses et je me cambre, impatiente. Le lampadaire sur le coté du bâtiment éclaire la scène que mon mec décide d’immortaliser par une photo en sortant son smartphone. Je pense au flash qui risque d’attirer du monde en gesticulant pour attirer mon amant. Oh oui, je suis chaude comme la braise, bien décidée à me faire sauter, à devenir la putain d’un homme que je fais bander comme un taureau. Je glousse en signe d’appel…
Un doigt inquisiteur et froid me fouille, un deuxième et aussitôt un troisième. Pas de doutes, je suis déjà prête. Sans perdre plus de temps, Il vient se coller à moi, se glisser entre mes chairs accueillantes. Sa bite est raide, dressée comme jamais. Il guide son gland dont je sens la pression sur ma rondelle. Il se recule pour mieux recommencer. Il joue avec moi ! Discrètement, je sniffe le flacon de poppers. J’ai la tête qui tourne, je sens mon ventre gonfler de désir, ce qui me restait de pudeur, disparait. Je couine maintenant en me cambrant plus encore.
• Ohhhh, baise-moi s’il te plait… Vas-y, encule-moi !
• Oh oui ma petite putain, continue, tu m’excites !
• Imagine que j’ai un vagin pour toi…
• T’as un vagin, salope… T’es un trou à bites !
• Ouiiiiiiiiiiii
• T’es faite pour te faire grimper comme une chienne en chaleur
Son gland a trouvé le passage, agréable sensation me confortant dans mes délires de femelle. D’un coup, il s’enfonce en moi, sans trouver de réelle résistance. Je sens son dard plonger dans mes entrailles ; je ferme les yeux pour mieux apprécier l’instant. Il se retire légèrement et replonge en moi et recommence encore, et encore, de plus en plus profond. Maintenant Il me frappe littéralement de ses coups de reins. Je sens les poils de son pubis contre mes fesses. J’appuie mon épaule au poteau, ma main viens se glisser entre mes cuisses, à la recherche de ses couilles qui frappent les miennes régulièrement ; de l’autre, j’essaie de le tirer encore plus en moi en m’accrochant à sa cuisse.
• Wowww… T’es une sacrée pute !... Je ne regrette pas de t’avoir trouvée.
Je gémis pour seule réponse
• Dommage que tu ne puisses pas passer la nuit dans ma couchette…
J’entame un long soupir d’approbation
• Je te baiserais toute la nuit… J’inviterais peut-être un collègue…
Autant de propositions qui ne me laissent pas indifférente, ce dont il s’aperçoit. Mais retour à la réalité, je contracte mon vagin autour de sa queue régulièrement, comme pour le pomper, en extraire le jus. Il se fige au plus profond de moi, j’entame une danse sur son pieu. Ses mains se crispent sur mes hanches, il reprend ses assauts, interrompus de pauses pendant lesquelles je m’affaire de la chatte sur sa bite. Dans un bruit sourd, parfois ponctué du claquement d’une gifle sur mes fesses, nous baisons comme des fous, comme des amants de toujours, oubliant parfois toute réserve. J’adore ça. Je suis ouverte comme jamais je ne l’ai été. Ma propre queue, ou plutôt mon clito de tapette, gigote lamentablement, synonyme de mon état de vraie femelle. Parfois, je prends en serrant doucement ses couilles dans ma main pour les malaxer, satisfaite de m’être donner à cet homme. J’en oublie la fraicheur de la nuit qui s’installe tant je suis absorbée par le plaisir de me sentir femme entre ses mains.
Son souffle s’accélère, il grogne presque ; ses coups deviennent plus violents, me percutent littéralement, m’arrachant des gémissements non feins. Sans aucune considération pour moi, il m’encule maintenant, rageur et conquérant.
• Tiens putain, prends ça !
• Encore, plus fort !!!
• T’as envie que je t’engrosse, putain ?
• Oh ouiiiiiiiiiii… Je suis là pour me faire inséminer
• Je vais faire de toi une vraie femelle !
• Oui, jute dans ma chatte, fais-toi plaisir… Fais-moi plaisir !
• Tu vas l’avoir mon jus dans ton petit cul !
Sur cette dernière parole, d’un coup sec, il se plante en moi ! Ses mains viennent sous mon ventre, ses doigts se croisent sur mon pubis et me tirent fermement contre lui. Son corps se soude au mien en épousant la forme de mes reins creusés exagérément. Je ressens les pulsions de bite déversant son sperme dans ma chatte ; je suis aux anges. Mes jambes tremblent, un frisson parcours tout mon corps sous forme d’un orgasme interne. Oui, car j’ai bien un orgasme sans pour autant éjaculer, un plaisir purement féminin. Les contractions instinctives de mon vagin sont incontrôlables. Une sensation folle qui renforce l’émotion qui m’envahi. J’aimerais tant rester empalée ainsi des heures durant !
Mon étalon, reput maintenant, se redresse. Je prends appui au poteau et reste le cul en l’air. Sa queue se ramollit doucement et quitte l’endroit. Mes cuisses grandes ouvertes laissent apparaitre le fourreau dégoulinant dans lequel il vient de prendre son pied. Comme pour mieux voir, Nico m’écarte les fesses. Il tente de ramasser le nectar qui suinte de mon trou béant pour le remettre dedans. J’imagine à raison qu’il espère que je garde sa semence en moi. Un désir partagé.
• Quel pied ! T’es trop bonne…
Je ne réponds pas mais me contente de gigoter du popotin sous ses yeux.
• T’es prête à faire le tapin… Te faire sauter à la chaîne… Sucer tout ce qui vient…
Comme pour me tester, il m’enjoint de me retourner et m’offre sa queue à nettoyer. Sur le coté des toilettes, l’éclairage diffus du réverbère me permet de mieux voir sa queue. Elle n’est pas complètement redescendue et brille de nos sécrétions mélangées. Nous ne sommes plus dans la pénombre du toit ce qui m’excite davantage. Sans plus attendre, je retombe à genoux pour engamer le sexe d’un homme comme le ferait toute salope digne de ce nom. Je lèche des couilles au gland, m’appliquant à ne rien omettre, avale la bite qui retrouve sa fierté initiale. J’aime le goût de ma chatte mêlé à celui de son sperme. Je marque des pauses, le nez dans ses poils pubiens, la langue qui s’affaire sur la chair qui rempli ma bouche pour recommencer ensuite. Ses mains rassurantes sur ma tête me cajolent. Mais après quelques minutes, il me repousse doucement.
• C’est bon, je dois être propre… On va arrêter car je dois vraiment me reposer pour reprendre la route.
• C’est toi qui décides.
• Je serais bien resté plus longtemps, t’es un bon coup.
• Merci du compliment
• C’est vrai ! T’en apprendrais même aux nanas rajoute-t-il en riant.
• Tant mieux, j’aime trop ça
Il remonte son pantalon et se rajuste. Je suis toujours à genoux, les fesses à l’air, posées sur mes talons, la culotte descendue…
• Attends, ne bouge pas, je prends une photo souvenir !
Il sort son smartphone et se met sur mon coté pour immortaliser l’instant. Je creuse les reins, mes mains sur les hanches pour retenir ma jupe, la tête tournée dans l’autre sens (discrétion oblige). Le flash agit comme un éclair qui attirera peut-être un curieux, mais peut importe. J’aime à imaginer secrètement qu’un voyeur se soit repu du spectacle que nous avons donné. Quelques photos, différentes positions, un gros plan… Des images qu’il gardera et m’enverra plus tard. Des images qui seront certainement publiées !
• Aller, rhabille toi salope. Remonte ta culotte qu’elle soit trempée par mon jus.
Désolée mais ravie, j’obeis
• Et tu ne te changes pas, tu rentres en femelle !!! T’as bien compris ?
Une dernière humiliation à laquelle je vais me prêter de bonne grâce, bien trop contente de ce qui m’avait été offert en cette soirée. Etrangement, je me fous qu’on puisse me voir ainsi au péage.
• Je me sauve, on reste en contact, je te rappellerai pour te redonner rendez-vous ici
• D’accord
Une petite tape sur les fesses quand je ramasse mon sac et je repars vers ma voiture alors qu’il s’éloigne. Je n’éprouve aucune crainte en repassant près des toilettes car finalement, je me sens… Pute ! Je n’ai plus qu’une pensée : Revivre ça !
2 yıl önce