Première sodomie
Aujourd’hui, c’est décidé : je vous raconte ma première sodomie.
Ça fait un moment que j’y pense et là, je crois que c’est le bon moment.
La première fois que je me suis caressée entre les fesses, le trou du cul et que j’ai osé y mettre un doigt, j’ai tout de suite pensé que j’aimerai avec quelque chose de plus gros qu’un doigt dedans.
Ça me donnait déjà du plaisir et je pensais bien qu’une queue pouvait m’en apportait encore bien plus.
Avec mes précédents partenaires de jeu, je ne me suis jamais sentie en confiance ou assez à l’aise pour passer cette étape avec eux. Certains ne l’ont même jamais évoqué d’autres le souhaitaient vraiment mais il y avait toujours quelque chose qui me disait de ne pas le faire.
Je ne voulais pas être une pute…
Quand j’ai rencontré mon Maitre, c’est Lui qui a rapidement deviné que j’étais intéressé par cette nouvelle expérience et Il dégage tellement d’assurance que je me sentais en confiance pour lui en parler et pour passe à l’acte avec Lui (enfin, je l’espérais !).
Il a donc fait le nécessaire pour me préparer un minimum à ça.
En fait, qu’en j’y réfléchi, le premier objet qu’il m’a fait mettre dans mon cul, ce n’est pas un plug mais une brosse à cheveux…
Un soir, en rentrant du travail chez moi, Il a commencé par me guider par sextos. Il m’a d’abord fait mettre mon collier, ensuite à 4pattes et au fur et à mesure des caresses, il m’a dit de m’enfoncer le manche de ma brosse (la plus grosse ! J ) dans la chatte pour bien le lubrifier puis dans ma rondelle.
A ce moment, j’aurai pu avoir un moment d’hésitation. En effet, ce n’est pas le genre de choses que je faisais à l’époque où j’étais seule ou même avec quelqu’un.
Mais non, j’y suis allée franchement (j’ai confiance en mon Maitre et je veux le satisfaire un maximum).
Une fois le manche bien lubrifié de cyprine, j’ai pris ma brosse et je l’ai mise direct dans le cul. Bien sûr, il a fallu que je force, mais étonnement, très peu !
Et ça a confirmé ce que je pensais… je suis sensible du cul… ; pas sensible à avoir mal mais sensible aux niveaux des sensations, des bonnes sensations ! J
Après cette expérience, il m’a offert un petit plug pour élargir mon trou progressivement. Il m’a parfois demandé de le mettre au travail.
Dans ces moments, je me sentais à chaque fois excitée que parmi mes collègues, seul mon Maitre savait que je le portais. Même si nous ne travaillons pas dans le même bureau, ça m’excitait de savoir qu’Il devait y penser et que quand Il me voyait, Il devait se représentait le plug enfoncé dans mon cul.
En y repensant, c’était vraiment une bonne époque…
plug
Un jour, Il m’a donné rendez-vous pour une séance de soumission chez Lui.
A chaque fois, j’arrive à ces séances sans savoir ce que mon Maitre a préparé. En général, je ne raffole pas des surprises, mais ce jour-là, j’ai vraiment aimé !
Une fois nue chez Lui, Il m’a mis un collier, et m’a promenée un peu comme sa chienne. Après quelques caresses et préliminaires, nous sommes montés dans sa chambre et Il m’a attachée les bras et les jambes écartées, mon entrejambe bien exposé à son regard.
Il a commencé par me caresse, m’exciter le clito. Et pour que je sois bien excitée (encore un peu plus ;) ), Il s’est imbibé les mains de lubrifiant et à commencer à caresser l’intérieure de ma chatte avec ses doigts… 1 puis 2 puis 3… puis 4… de l’autre main, il caresser doucement ma rondelle
Je n’avais jamais ressenti cette sensation si forte quand quelqu’un me doigter. Ce jour-là, Il a pratiquement réussi à me fister. Mais là n’est pas le sujet du jour…
Après quelques minutes de ce traitement, Il m’a détachée les jambes et m’a demandée de les replier vers moi en m’expliquant que pour une première sodomie, ça se ferait plus facilement.
Quand j’ai compris qu’il voulait m’enculer, je n’ai eu aucune appréhension. J’étais excitée et j’avais en fait hâte de voir si ce que je pensais, c’est-à-dire sensible de ma rondelle, allait s’avérer vrai.
Il a alors bien lubrifié sa queue déjà bien raide et Il a commencé par frotter tout doucement son gland sur mon clito pour descendre progressivement jusqu’à mon trou du cul.
Là, il a poussé un peu sur ma rondelle et m’a demandée de bien me détendre et de bien ouvrir mon cul.
Dans mon souvenir, Il est rentré assez facilement… Il faudrait que je Lui demande confirmation.
Il est resté quelques secondes sans bouger le temps que je m’habitue à sa présence dans ce lieu inhabituel mais j’étais déjà comblée. Je n’ai ressenti aucune douleur… uniquement du plaisir.
Sentir mon cul écartelé… sentir la chaleur de sa queue… J’étais comme dans un rêve. Je n’y croyais pas.
Enfin, je connaissais la sensation de me faire sodomiser après toutes ces années d’attente et en plus par mon Maitre. Que demander de plus ?
Eh bien, qu’il commence à bouger pour décupler ces sensations !
C’est ce qu’Il a fait et Il a commencé à bouger lentement puis plus vite.
Je ne sais pas trop comment décrire ce que j’ai ressentis à ce moment-là, mais j’ai apprécié chaque mouvement de sa queue. C’était vraiment bon, le bonheur…
Il a encore accéléré la cadence et là, j’ai joui !
J’étais tellement surprise que je Lui ai dit. Je ne me croyais pas capable de jouir du cul. Mon Maitre m’a simplement dit que je devais être faite pour ça, faite pour me faire enculer.
J’ai alors senti sa queue lissée hors de mon trou mais pas pour longtemps.
Mon Maitre m’a ordonnée de me mettre à 4 pattes pour qu’il puisse y aller vraiment sans se retenir pendant qu’Il me prenait en levrette. Il voulait me traiter vraiment comme la chienne, la pute que j’étais. Et je peux vous dire que je n’ai eu aucune honte à ce moment-là d’être une pute. (et depuis que j’ai mon Maitre, je suis très contente d’être capable d’être une pute pour Lui ! J )
J’ai encore plus apprécié, vous vous en doutez !
Dans cette position, je ressentais encore plus les coups de sa grosse queue m’écarteler et me remplir.
Je sentais mon Maitre mettre toutes ses forces dans de vigoureux coups de reins, ses mains me prenant fermement les seins ou les fesses, me donnant la fessée ; jusqu’à jouir en moi.
Après avoir joui plusieurs fois ce jour-là, j’étais en sueur, fatiguée de ces efforts (si on peut vraiment appeler ça comme ça ! ;) ). Je me suis écroulé sur le lit, le temps de reprendre mes esprits.
Et là, malgré tout le plaisir ressenti par cette magistrale sodomie orchestrée par mon Maitre, l’humiliation, la honte m’a assaillie comme une vague qui arrive par surprise.
J’ai d’abord senti l’odeur puis j’ai réalisé que la queue de mon Maitre était recouverte par mes excréments.
A ce moment, j’aurai voulu pouvoir me cacher, disparaître tellement je me sentais humiliée.
Mon Maitre n’a rien dit sur ça. Je n’ai donc rien dit non plus, trop honte, et j’ai gardé ce sentiment pour moi.
J’ai bien pensé à utilise une poire de lavement, mais c’est resté une idée. Je ne sais jamais quand mon Maitre voudra recommencer.
Et même si je ressens toujours une honte après ce genre d’ébats, je ne refuserai jamais à mon Maitre de me sodomiser.
C’est vraiment trop bon !
Ça fait un moment que j’y pense et là, je crois que c’est le bon moment.
La première fois que je me suis caressée entre les fesses, le trou du cul et que j’ai osé y mettre un doigt, j’ai tout de suite pensé que j’aimerai avec quelque chose de plus gros qu’un doigt dedans.
Ça me donnait déjà du plaisir et je pensais bien qu’une queue pouvait m’en apportait encore bien plus.
Avec mes précédents partenaires de jeu, je ne me suis jamais sentie en confiance ou assez à l’aise pour passer cette étape avec eux. Certains ne l’ont même jamais évoqué d’autres le souhaitaient vraiment mais il y avait toujours quelque chose qui me disait de ne pas le faire.
Je ne voulais pas être une pute…
Quand j’ai rencontré mon Maitre, c’est Lui qui a rapidement deviné que j’étais intéressé par cette nouvelle expérience et Il dégage tellement d’assurance que je me sentais en confiance pour lui en parler et pour passe à l’acte avec Lui (enfin, je l’espérais !).
Il a donc fait le nécessaire pour me préparer un minimum à ça.
En fait, qu’en j’y réfléchi, le premier objet qu’il m’a fait mettre dans mon cul, ce n’est pas un plug mais une brosse à cheveux…
Un soir, en rentrant du travail chez moi, Il a commencé par me guider par sextos. Il m’a d’abord fait mettre mon collier, ensuite à 4pattes et au fur et à mesure des caresses, il m’a dit de m’enfoncer le manche de ma brosse (la plus grosse ! J ) dans la chatte pour bien le lubrifier puis dans ma rondelle.
A ce moment, j’aurai pu avoir un moment d’hésitation. En effet, ce n’est pas le genre de choses que je faisais à l’époque où j’étais seule ou même avec quelqu’un.
Mais non, j’y suis allée franchement (j’ai confiance en mon Maitre et je veux le satisfaire un maximum).
Une fois le manche bien lubrifié de cyprine, j’ai pris ma brosse et je l’ai mise direct dans le cul. Bien sûr, il a fallu que je force, mais étonnement, très peu !
Et ça a confirmé ce que je pensais… je suis sensible du cul… ; pas sensible à avoir mal mais sensible aux niveaux des sensations, des bonnes sensations ! J
Après cette expérience, il m’a offert un petit plug pour élargir mon trou progressivement. Il m’a parfois demandé de le mettre au travail.
Dans ces moments, je me sentais à chaque fois excitée que parmi mes collègues, seul mon Maitre savait que je le portais. Même si nous ne travaillons pas dans le même bureau, ça m’excitait de savoir qu’Il devait y penser et que quand Il me voyait, Il devait se représentait le plug enfoncé dans mon cul.
En y repensant, c’était vraiment une bonne époque…
plug
Un jour, Il m’a donné rendez-vous pour une séance de soumission chez Lui.
A chaque fois, j’arrive à ces séances sans savoir ce que mon Maitre a préparé. En général, je ne raffole pas des surprises, mais ce jour-là, j’ai vraiment aimé !
Une fois nue chez Lui, Il m’a mis un collier, et m’a promenée un peu comme sa chienne. Après quelques caresses et préliminaires, nous sommes montés dans sa chambre et Il m’a attachée les bras et les jambes écartées, mon entrejambe bien exposé à son regard.
Il a commencé par me caresse, m’exciter le clito. Et pour que je sois bien excitée (encore un peu plus ;) ), Il s’est imbibé les mains de lubrifiant et à commencer à caresser l’intérieure de ma chatte avec ses doigts… 1 puis 2 puis 3… puis 4… de l’autre main, il caresser doucement ma rondelle
Je n’avais jamais ressenti cette sensation si forte quand quelqu’un me doigter. Ce jour-là, Il a pratiquement réussi à me fister. Mais là n’est pas le sujet du jour…
Après quelques minutes de ce traitement, Il m’a détachée les jambes et m’a demandée de les replier vers moi en m’expliquant que pour une première sodomie, ça se ferait plus facilement.
Quand j’ai compris qu’il voulait m’enculer, je n’ai eu aucune appréhension. J’étais excitée et j’avais en fait hâte de voir si ce que je pensais, c’est-à-dire sensible de ma rondelle, allait s’avérer vrai.
Il a alors bien lubrifié sa queue déjà bien raide et Il a commencé par frotter tout doucement son gland sur mon clito pour descendre progressivement jusqu’à mon trou du cul.
Là, il a poussé un peu sur ma rondelle et m’a demandée de bien me détendre et de bien ouvrir mon cul.
Dans mon souvenir, Il est rentré assez facilement… Il faudrait que je Lui demande confirmation.
Il est resté quelques secondes sans bouger le temps que je m’habitue à sa présence dans ce lieu inhabituel mais j’étais déjà comblée. Je n’ai ressenti aucune douleur… uniquement du plaisir.
Sentir mon cul écartelé… sentir la chaleur de sa queue… J’étais comme dans un rêve. Je n’y croyais pas.
Enfin, je connaissais la sensation de me faire sodomiser après toutes ces années d’attente et en plus par mon Maitre. Que demander de plus ?
Eh bien, qu’il commence à bouger pour décupler ces sensations !
C’est ce qu’Il a fait et Il a commencé à bouger lentement puis plus vite.
Je ne sais pas trop comment décrire ce que j’ai ressentis à ce moment-là, mais j’ai apprécié chaque mouvement de sa queue. C’était vraiment bon, le bonheur…
Il a encore accéléré la cadence et là, j’ai joui !
J’étais tellement surprise que je Lui ai dit. Je ne me croyais pas capable de jouir du cul. Mon Maitre m’a simplement dit que je devais être faite pour ça, faite pour me faire enculer.
J’ai alors senti sa queue lissée hors de mon trou mais pas pour longtemps.
Mon Maitre m’a ordonnée de me mettre à 4 pattes pour qu’il puisse y aller vraiment sans se retenir pendant qu’Il me prenait en levrette. Il voulait me traiter vraiment comme la chienne, la pute que j’étais. Et je peux vous dire que je n’ai eu aucune honte à ce moment-là d’être une pute. (et depuis que j’ai mon Maitre, je suis très contente d’être capable d’être une pute pour Lui ! J )
J’ai encore plus apprécié, vous vous en doutez !
Dans cette position, je ressentais encore plus les coups de sa grosse queue m’écarteler et me remplir.
Je sentais mon Maitre mettre toutes ses forces dans de vigoureux coups de reins, ses mains me prenant fermement les seins ou les fesses, me donnant la fessée ; jusqu’à jouir en moi.
Après avoir joui plusieurs fois ce jour-là, j’étais en sueur, fatiguée de ces efforts (si on peut vraiment appeler ça comme ça ! ;) ). Je me suis écroulé sur le lit, le temps de reprendre mes esprits.
Et là, malgré tout le plaisir ressenti par cette magistrale sodomie orchestrée par mon Maitre, l’humiliation, la honte m’a assaillie comme une vague qui arrive par surprise.
J’ai d’abord senti l’odeur puis j’ai réalisé que la queue de mon Maitre était recouverte par mes excréments.
A ce moment, j’aurai voulu pouvoir me cacher, disparaître tellement je me sentais humiliée.
Mon Maitre n’a rien dit sur ça. Je n’ai donc rien dit non plus, trop honte, et j’ai gardé ce sentiment pour moi.
J’ai bien pensé à utilise une poire de lavement, mais c’est resté une idée. Je ne sais jamais quand mon Maitre voudra recommencer.
Et même si je ressens toujours une honte après ce genre d’ébats, je ne refuserai jamais à mon Maitre de me sodomiser.
C’est vraiment trop bon !
7 ปี ที่ผ่านมาแล้ว
