Chap.11: La face cachée de la Lune

Pour en avoir le cœur net, je décide de retourner à cette pagode. Une fois à l’intérieur, on dirait que rien ne s’y est jamais passé comme dans mes souvenirs. Il ne reste aucune trace de cette folle nuit et je remarque même que l’entretien est un peu négligé, alors que tout me semblait rutilant, l’autre soir.

Même le Bouddha est couvert d’excrément d’oiseaux. Il semble prendre cette injure avec beaucoup de philosophie et il me sourit avec bienveillance.

Je fais le tour du propriétaire et je ne remarque rien qui puisse me fournir un quelconque indice. Revenant vers le Bouddha, je constate que je ne suis plus seule. Une jeune asiatique prend la statue sacrée en photo sous toutes ses coutures.

Elle m’avise et me sourit. Je la regarde faire. Elle parait très jeune, mais, chez les peuples d’Extrême-Orient, ça peut être trompeur. Son corps (il est à faire rêver) ondule comme une liane sous les alizées.

Elle porte une courte robe noire qui met en valeur ses jolies jambes fines. Par-dessus, elle a une espèce de treillis militaire, aux multiples poches bien remplies. Et, aux pieds, elle a chaussé des baskets d’une marque chinoise bien connue.
C’est une fausse note, mais, heureusement, elle n’a pas mis d’affreuses chaussettes de sport, comme le font les Allemandes.

Elle me fait signe. Je la rejoins.

- Bonjour ! me dit-elle. Pouvez-vous me prendre en photo devant le Divin Bouddha ?
- Bien sûr !

Elle a un accent charmant, mais son français est tout à fait correct.
Je prends deux ou trois photos. Elle est souriante et franchement jolie. Evidemment, sa tenue laisse un peu à désirer.

- Vous ne voulez pas enlever votre veste. Ca fait un peu… militaire. Le Bouddha aimait la paix, je crois.
- Oh oui, vous avez raison cent fois !

Elle enlève son treillis. Elle porte donc une courte robe noire aux manches également courtes avec des lisérés dorés.

Elle reprend la pose auprès du Bouddha et je la mitraille. J’ai très envie de lui demander d’enlever sa robe, mais je pense que j’essuierais surement un refus de sa part.
Elle est ravie de la séance photo et nous nous promenons désormais dans le parc qui entoure la pagode.
C’est un charmant jardin japonais et ma nouvelle amie semble apprécier ce cadre bucolique très zen.

Je la questionne un peu. Elle s’appelle Moon, elle a 21 ans et elle est Chinoise de Singapour. Je découvre ainsi qu’il y a des Chinois qui, depuis des siècles, se sont expatriés dans de nombreux pays d’Asie, en Malaisie, aux Philippines et ailleurs.

Elle étudie l’économie à Paris et profite de ses loisirs pour découvrir notre pays. Elle adore la photo.
Je luis demande tout naturellement où elle loge pendant son séjour ici et elle me répond qu’elle n’a pas encore trouvé de point de chute.

- Si tu veux, je t’invite. J’ai de la place chez moi et je serais ravie de te recevoir.
- Oh, c’est très gentil ! J’accepte volontiers !

Elle se confond en remerciements et nous continuons notre promenade. Puis, nous partons ensemble. Après quelques courses, nous arrivons chez moi.

Romain n’est pas rentré. S’il ne rentre pas, il ratera la belle Moon et je me ferai un plaisir de le mettre au supplice en lui décrivant les charmes de la jeune et belle Singapourienne.

Nous déjeunons assez frugalement tout en discutant. C’est vraiment une fille intéressante et j’ai la nette impression que le courant passe bien entre nous. Aussi, après un bon café, je lui propose d’aller piquer une tête dans la piscine.

- C’est que… hésite-t-elle, je n’ai pas pensé à apporter un maillot de bain…
- Pas grave, je vais t’en prêter un !

Sauf que, même si je suis plutôt mince, j’ai plus de formes que la belle Moon et tous mes maillots sont un peu grands. Elle les essaye tous et, finalement, choisit un bikini noir qui est celui qui lui va le mieux.

Une fois au bord de la piscine, je la vois s’élancer et je pressens ce qui va arriver. Moon exécute un remarquable plongeon, on voit qu’elle a pratiqué la natation.
Mais, au moment ou elle disparait dans l’eau bleue de notre piscine, les deux pièces de mon bikini noir flottent à la surface…

Je ne peux m’empêcher d’éclater de rire. Lorsque Moon remonte à la surface, elle rit, elle aussi, de sa déconvenue.

- Ce n’est pas grave ! lui dis-je. Je vais faire pareil, nous serons à égalité !

Et je me débarrasse de mon bikini, avant de plonger vers ma nouvelle amie. Je la rejoins dans l’eau et nous évoluons, nues, comme deux sirènes qui, comme celle de la fable, auraient conservé leurs deux jambes.

L’eau déforme un peu le corps de Moon, mais ne me masque rien de son intimité. Elle a une toison en triangle qui semble plutôt touffue et je distingue nettement ses aréoles.
Relevant la tête, je constate qu’elle aussi examine mon corps. Nos regards se croisent et nous éclatons de rire.

Nous sortons et je lui tends un drap de bain. Elle s’en en essuie, puis le noue dans ses cheveux et, dans un geste très féminin, typique des femmes d’Extrême-Orient, s’en fait une coiffure.
Visiblement, elle n’est pas gênée d’être nue en ma compagnie et, comme on peut s’en douter, je n’éprouve, pour ma part, aucune pudeur excessive à exhiber mon corps.

Après vérification, je constate que nous ne risquons rien. Monsieur Durand, fidèle à son poste, veille sur nous.

Je m’allonge sur un matelas. Moon, au lieu de prendre l’autre, vient se coller à moi. Son corps chaud et son souffle sur mon visage sont comme une invitation à aller plus loin.
Alors, je pose mes lèvres sur les siennes et nous savourons un long baiser.

Moon, qui paraissait si réservée lorsque nous visitions la pagode, ne l’est vraiment plus. Elle a décidé de prendre les choses en main.
Je ne fais pas seulement allusion à mes seins, qu’elle caresse, lèche et mordille comme une petite chatte en rut. Elle a l’initiative et je la lui laisse volontiers.

Sa bouche est comme un fruit mûr qu’elle promène sur tout mon corps. Elle veut tout visiter et s’aide volontiers de ses mains.

- Ecarte tes cuisses, Claire, je veux voir ton abricot… me souffle t’elle, sans aucune timidité dans la voix.

Elle veut non seulement voir, mais sentir, humer mon parfum intime. Puis elle pose sa bouche sur ma vulve, sa langue sur ma délicate petite perle.
Elle me dit un truc dans sa langue, puis, en riant, se reprend.

- Je peux te visiter ?
- Oui, les visites sont permises même le samedi !

Elle introduit un doigt dans ma chatte. Puis, constatant l’humidité avancée de mon vagin, s’enhardit à en introduire un second. Je suis aux anges, mes tempes me brûlent et je souris, songeant à Monsieur Durand, derrière sa haie.

Tout en me pénétrant, elle continue de lécher mon clito. C’est vraiment très bien exécuté, Moon n’en est pas à sa première dégustation d’abricot.
Je ferme les yeux et je savoure. Je sens monter le plaisir et je ne tente pas de le réfréner, c’est bien trop bon. Je me laisse porter par les caresses de Moon et je jouis.

Joyeusement, elle vient m’embrasser. Mes bras et mes cuisses se referment sur son corps de liane et nous restons ainsi, enlacées, un long moment.
Puis, je la bascule sur le côté. C’est à mon tour de lui donner du plaisir.

Je lui ordonne de se mettre à quatre pattes. J’ai lu, récemment, une histoire ou une jolie asiatique, comme elle, est le jouet des perversions de deux femmes. Je n’ai pas d’œuf vibrant à ma disposition, mais je dispose de doigts flexibles et déliés. Et je déguste volontiers de beaux abricots bien juteux.

C’est le cas. Moon mouille et je prélève, du bout de ma langue, un peu de cette cyprine collante et odorante qu’elle produit pour mon plaisir et le sien.
Elle miaule. C’est un son charmant, très évocateur. Je suis sûre que Monsieur Durand apprécie ce genre de mélodie.

Je profite de ce moment pour visiter ses orifices. Pour son sexe, c’est assez facile, l’entrée est large et bien huilée, je m’y infiltre sans difficulté.
Je pense avoir plus de peine avec son anus. Mais, à ma grande surprise, Moon m’ouvre sa porte céleste assez facilement et je me dis que mon index n’est pas le premier à découvrir la face cachée de sa lune.
Cette fille est décidément pleine de surprises !

Je joue si bien des doigts et de la langue que ma nouvelle amie ne tarde pas à jouir, la tête sur le matelas et à demi enfouie sous sa magnifique chevelure noire.

Nous continuons à nous embrasser et à nous caresser une bonne partie de l’après-midi. Je la questionne un peu.
- J’aime faire l’amour avec d’aussi jolies filles que toi, dis-je. Mais j’aime aussi les hommes. Et toi ?
- Oui, moi aussi ! Mais je n’ai aucune envie de me marier ou d’une relation stable, alors, dans mon pays, c’est parfois compliqué d’avoir une relation avec un homme ! C'est plus simple avec une femme !
- Oui, les coutumes changent, en fonction des pays… Comment fais-tu alors ?
- J’ai parfois des relations avec des hommes mariés. C’est plus simple, il faut juste que l’épouse ne le sache pas !
- Ou qu’elle soit d’accord….
- Oui ! fait-elle en riant. Mais c’est très rare !

Je souris sans répondre. Derrière la baie vitrée, à l’étage, j’ai vu passer une silhouette, celle de Romain.
Il a un don pour toujours arriver au bon moment, celui-là !
เผยแพร่โดย sainte_levrette
3 เดือน ที่ผ่านมาแล้ว
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ccandau
cette pagode a un don, rencontrer cette superbe asiatique t'a emportée au paradis bravo
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sainte_levrette
ถึง raminagrossebite : Du téléphone seulement ?
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sainte_levrette
ถึง DrWhoWhatandWhere : Yes, for sure ! Next chapter is quite being written !
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DrWhoWhatandWhere
Not only was I jealous of your neighborhood  voyeur Mr Durand but I also became very hungry with all the talk of apricots and eggs. Oh how I wished these two mermaids were swimming in my pool. I look forward to the next adventures with Romain..I am sure he will be excited this the lovely Asian house guest
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raminagrossebite
Je sens que l'arrivée de Romain va donner une autre dimension, encore plus sauvage, à cette belle histoire ! J'attends avec impatience la suite, j'ai déjà la main autour de... mon téléphone !
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sainte_levrette
ถึง pantheredesneiges : Merci ! A bientôt, pour notre chasse aux œufs ! :stuck_out_tongue:
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sainte_levrette
ถึง laurent7891 : Oui, la suite va se passer entre trois protagonistes. Ou bien quatre, si l'on n'oublie pas Monsieur Durand, caché derrière sa haie !
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pantheredesneiges
Je vois que mon œuf vibrant fait son petit effet ! Je te le prêterais, si tu es bien sage !
Sinon, j'aime bien ce chapitre. La rencontre avec Moon et sa face cachée est une jolie péripétie ! :kiss:
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laurent7891
Mmmm....un peu plus et j’aurais juré que la jolie, sexy et sensuelle Moon, ressemblait à notre chère Chan... mais Chan n’est pas bi.... par contre,  je m’identifie volontiers dans le rôle de monsieur Durand.... car, oui... cette scène de sexe entre  2 superbes femmes est terriblement excitante et comme lui, j’ai hâte de voir la suite... avec l arrivée de Romain... le tout d’une main... merci Claire
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