Le fils des voisins

J'étais occupée à essayer différents fringues de mon garde robe, je jonglais entre porte jarretelles et guépières, noire ou rouge, parfois verte.
cela faisait plus de deux heures que je prenais des photos de moi pendant mes essais.
Je changeais de couleur de bas, d escarpins à qui mieux mieux et je me sentais l'âme frivole.
Je venais d enfiler une guépière couleur parme de toute beauté. Pour embellir l'apparence j'avais enfilé des bas noirs à large jarretières ainsi que des escarpins hauts perchés blanc qui tranchaient énormément avec la tenue.


J'avais agrémenté le tout d une mini jupe plissée parme également. Elle se posait sur mes fesses comme un papillon et laissait apparaitre mon string assorti sans aucun complexe. Elle était tellement courte que mon cul redondi s'étalait à la vue comme un mille feuilles chez le patissier. Il restait à se faire déguster les feuilles unes par une par un chevalier galant qu'il me restait à trouver.

Je faisais ma séance photo sur cette tenue lorsque la sonnerie de la porte principale retenti. Qui cela pouvait il être puisque je n'avais dragué personne sur mon site préféré. Je n'attendais personne mais une personne à l'entrée m'attendait.

Je m'avançais à pas étouffés vers la porte et me jetais sur le judas pour découvrir quel était l'opportun qui cherchait à me voir. Dans le judas, en face de moi, bien bati, musclé comme un athlète dont le corps ceinturé de son "Marcel blanc" était un appel au sexe, le fils de mon voisin. Cédric de son petit nom, avait dépassé la trentaine et devait avoir un succès certain auprès de la gente féminine. Son visage d'ange et l'ensemble d ailleurs ne pouvait pas laisser indifférent.

J'avais à plusieurs reprises déjà, dit à mon voisin que son fils devait avoir une colonne de femmes qui faisaient le pied devant sa chambre....mon voisin en riait et ajoutait...."oh celui là !!! Il en brise des coeurs !!!
Dans mon esprit troublé j'avais compris "il en brise des culs !!! Vivement le mien pensais je ce jour là.

En attendant, derrière la porte, le fils de mon voisin trépignait comme un sportif sur le départ et je me devais de prendre une décision. Devais je ouvrir ou pas ?
Quand on se trouve dans une situation où l'émoi d'être en fille, l excitation de se sentir belle même si ce n est qu'une vue de l''esprit, quand les hormones sont dans la chambre de tir entrain de décider pour nous, il est difficile d être raisonnable et aucune travestie ne me dira le contraire....Le culot est décuplé par les dessous portés et tout autour n'est plus qu'un écran de sexe, de bites, de culs, de baise. Le brouillard installé dans le cerveau pousse à l'interdit, à l'audace.

Ni une ni deux, j ouvre la porte et me retrouve face à face avec Cédric qui marque un geste d'étonnement et de surprise.
"Pardon madame, excusez moi de vous déranger, je souhaitais voir Jean-Paul.
"Ne soyez pas désolé répondis je tout en m'inventant une identité qui faisait de moi la soeur de Jean-Paul. J'avais féminisé ma voix le mieux possible et je senti néanmoins qu'un léger malaise planait. Je pris par la main mon jeune éphèbe pour le faire rentrer dans le corridor. Une personne invitée est toujours en position d'infériorité mentale et beaucoup plus malléable que lorsqu'elle est chez elle.

Une fois dans le corridor, je m approche langoureusement près de Cédric, tout près même et mon corps frôle le jeune homme et je suis plus grande que lui perchée sur mes 12 cms. Une fois quasi collée à lui, je lui explique que finalement je suis Candice, un personnage que Jean-Paul s est inventé lorsqu'il se travesti, que Candice aime s essayer régulièrement à jouer la femme, à être sexy et que dans sa tête elle nourrit beaucoup de fantasmes...
Cédric qui s est ressaisi de sa surprise plonge par dessus mon épaule et noie ses yeux dans la glace de l'entrée en contemplant mes fesses qui s'exposent comme dans une galerie d'art. Il s'approche de mon oreille et me glisse doucement: et quels sont les fantasmes de la belle Candice ?


oh !!! Ce serait trop long à tous les énumérer mais jouer avec le fils de mon voisin va entrer dans ma liste à cocher.
"Cochons la case tout de suite si ça te tente me réponds il assez vite".
Je n'ose lui refuser et ma main est déjà entrain de frotter son pantalon, sa braguette plus précisément.
Un sexe semble vivre dedans avec une consistance et un volume qui ferait pâlir des acteurs pornos. J'insiste un peu plus en cherchant son regard, ce dernier est entré dans un labyrinthe de caresses qu'il a du mal à maitriser.
Son souffle s active au rythme de mes caresses et il penche la tête en appréciant ces dernières. A ce moment je plonge ma tête au dessus de la sienne et je viens lui plaquer un baiser de cinéma, plutôt un French kiss où nos langues jouent une symphonie, un combat buccal, comme deux amants qui se retrouvent.
Je l'aide à se relever et d'une main ferme et assurée je l'invite à me suivre dans la chambre conjugale. Je marche devant lui en remuant du cul, ma jupe se soulève régulièrement à chaque pas, laissant entrevoir la ficelle de mon string à dentelles.
Je veux qu'il garde la flamme dans son slip, qu'il fasse rugir le lion qui doit être en lui.
J'arrive dans la chambre et le pousse sur le lit autour duquel trône des photos de ma femme. Je lui dis qu'ainsi elle participera un peu à nos ébats et que ça m'exciterait qu'elle voit ce dont je suis capable.....
Une fois allongé sur le lit, j'écarte mes interminables jambes des deux côtés de Cédric et viens le chevaucher.....Je sens son chibre dur se plaquer sur mes fesses ou plutôt, pour être franche, mes fesses chercher un point d appui en se collant à cette bite qui n'est pas moribonde.
Je me frotte à lui tout en allant l embrasser à nouveau et ses mains saisissent mon cul pour accentuer le frottement sur son entre jambes. Je mordille ses oreilles, lèche son cou longuement et mes mains descendues dans le boxer ont saisi l'objet du délit.
Je tiens fermement un gourdin de 6 cms au moins de diamètre sur 18 cms environ de longueur. Mes mains sont devenues expertes en prise de mesure. Comme un bon tailleur je connais au toucher la coupe exacte qui habillera son homme. En l'occurence ma bouche humide vient de saisir ce membre ferme et épais pour lui faire un beau costume. Habillé de cap en tête Cédric se laisse faire. Son plaisir est ponctué de petit ahhh et de petits ohh lorsque ma langue s'attarde sur ses couilles ou sur son gland.
Il est détendu un max dans nos draps conjugaux. Il reconnait que je suis une bonne suceuse, une découverte même, lui qui se croyait hétéro...
Il me félicite pour cette agréable façon que j'ai de sucer. Il n a encore jamais croisé aussi merveilleux malgré toutes ses conquêtes féminines.
De mon côté, son sexe affichait une forme olympique avait une plastique hors norme tellement les veines saillaient de son chibre, que son coeur palpipait dans ses couilles et que dire de son gland à la forme angélique. Il avait les courbes parfaites et l'allure d'un bois poli souvent. Il reluisait sous les rayons du soleil qui s'infiltraient dans la chambre comme des gardiens de notre plaisir.
Je pris le gland sur le bord des lèvres tout en posant ma langue en dessous et je suçais délicatement comme on suce une glace italienne devant un kiosque à musique.
Je plongeais ensuite sur toute la longueur de son sexe afin de lui tirer des soupirs de rage, des soupirs d'envie. Il se cabra sous ma fellation et aggripa mes cheveux pour plonger ma tête à nouveau dans une gorge profonde, dans une gorge abyssale. Je suffoquais mais je cherchais néanmoins à étirer ma langue le plus loin possible pour aller chercher le velours de ses couilles....
Il relâcha sa prise et je remontais lentement, au ralenti le long de sa queue sur laquelle je crachais ma salive avant de l étaler avec ma main sur sa hampe que je branlais de plus en plus vite...
Pris dans un déluge de frissons il m'insulta comme une merde, me traitant de garce, de chienne, de grosse salope avant de se redresser, me retourner sans prévenir et de cracher à son tour sur ma chatte avant de me posséder sans ménagement.
Mon cul en surchauffe encaissait sa bite de conquérant sans plainte. Je cambrais pour mieux sentir ses assauts. Il me serra la gorge tout en pistonnant de plus belle....il m'enfonça dans la gorge un gode trouvé dans un tiroir de la table de nuit et m'encula longuement sans féblir.
J'étais déjà monté au 7ième ciel avec un autre amant, là je rejoignais le panthéon du paradis...
fatigué de me sodomiser il s'échoua dans le lit où je replongeais avec gourmandise sur cette queue qui venait de quitter mes entrailles, je sentais son odeur d'intimité et léchais les excès de mouille. Dans ma bouche, chaude et accueillante les gémissements de mon jeune voisin reprirent leur concert. A cette allure, ses parents allaient l entendre exprimer son extase et je décidais de mettre de la musique pour couvrir sa voix.
A la radio la chanson érotique de Jane Birkin et gainsbourg "je t'aime moi non plus" au moment même où Jane simulait le plaisir...cette berceuse me mis en ébullition plus encore et j'avalais ses couilles en totalité tout en branlant sa bite de haut en bas, de bas en haut en gémissant à mon tour.
Je sentais la tension monter comme un soir d'orage où l'on s attend à chaque instant que le courant ne pète. Les rideaux ondulaient sous la brise qui venait rafraichir nos corps. La lumière naturelle faiblissait doucement à cause d un ciel soudain chargé.
Un dernier rayon de soleil frappa mes yeux de biche alors que je fixais Cédric qui semblait près à jouir.
Ma langue s enroula autour du gland comme un boa constrictor avant de poursuivre ma pipe pour libérer la sève tant attendue.

Cédric avait perdu toute maitrise et plongé dans un monde irréel il n'avait plus la force d attendre. Tout de lui exprimait le besoin d'éjaculer. Son gland rouge comme le sang, sa bite forte comme un cardan, ses mains crispées sur les draps.

Je continuais 2 minutes encore avant de sentir un électrochoc dans ma gorge lorsqu'il explosa du fin fond de son être. Une vague puissante et onctueuse inonda ma bouche au point d'en laisser s'écouler quelques Cm3 sur mes cuisses gainées de bas.

Avec beaucoup d empressement je nettoyais toute sa queue sans rien perdre juste avant d aller m'installer à califourchon sur son visage pour me faire faire une feuille de rose....sa langue entrait et sortait de mon anus comme un sexe, elle s'étirait sur 8 cms au moins et fouillait mon cul comme une perquisition. Elle ne semblait pas trouver les preuves qu'elle cherchait et continuait de plus belle. Tous les tiroirs étaient visités, les meubles renversés et je miaulais comme un chaton pas sevré.
J'avais besoin de jouir et je mis mon clito énorme dans sa bouche malgré quelques réticences qui disparurent rapidement. J'avais eu raison d insister, il dégustait désormais le plat comme un gourmet.
Il tirait mes fesses à lui pour mieux absorber une partie de mon corps et ses mains caressaient avec tendresse mes tétons.
JE fus prise d'un violent orgasme qui vint me chercher du premier orteil aux racines de mes cheveux. L'onde de choc parcouru mon corps avec la v******e d'un choc frontal.
Je montais sur mes genoux et hurlait mon bonheur avant de m'effondrer après plusieurs secousses intenses.
J'étais lavée de toute énergie et mon partenaire semblait sur la même voie de garage.
Je me blottis dans ses bras longtemps, appréciant ses instants magiques que je venais de vivre. Il émergea de son silence pour me remercier de mon accueil et me dire enfin les raisons de sa venue.
En fait le salaud avait entre aperçu une "dame" entre les branches de la haie et cette dernière, dans ses petites tenues l'avait exciter à mort. Pour pouvoir m'aborder il avait prétexter me rendre un outil emprunter par son père.
Depuis ce jour, je crois que l'atelier de son père a changé de garage, pièce par pièce, outil après outil.
Je lui demanderais de les récupérer une par une lorsque son père handicapé et fragile s apercevrait de l absence de ses affaires.