Nous sommes coquines à 18 ans...

Aujourd’hui, avec ma copine Laurie, nous avons décidé d’aller au lac pour profiter de cette chaude après-midi de juillet. Seulement, comme nous n’avons ni l’une ni l’autre une voiture malgré nos permis fraichement obtenus, c’est à pied en longeant l’Arve que nous nous rendons au plan d’eau.

De toute façon, pour rien au monde nous changerions cette habitude d’aller au lac à pied car nous en profitons justement pour discuter tranquillement de tout sans avoir les mecs de notre classe sur le dos. C'est d’ailleurs le moment que nous choisissons le plus souvent pour échanger sur nos peines de cœurs ou nos envies de changer de petit copain, ou encore sur le nouveau mec sur lequel l’une de nous a flashé, l’autre ayant bien sûr son mot à dire sur tous ces sujets.

Là, j’avais décidé de lui parler d’un de mes cousins que je n’avais pas vu depuis très longtemps car ses parents étaient partis travailler depuis plusieurs années en Australie, et sur qui je kiffais grave depuis qu’il m’avait envoyé une photo de lui...

- Regarde Laurie, comme il est mignon !

- Waouh... montre ! Tu as d’autres photos de lui ?

- Non, c’est la seule qu’il m’a envoyée... mais il revient bientôt en France.

- Trop cool ! Il a une meuf ?

- J’sais pas... attends, viens !

Je choppe Laurie par le bras pour que nous nous écartions du chemin...

- Qu'est-ce qu’il te prend ?! T’es folle de me tirer comme ça !?

- Putain, viens... j’ai trop envie de pisser !

- Mais arrête ! On va se chopper des tiques dans les herbes hautes.

- Allez, viens ! Le long de la rivière, ça fait.

Après un instant d’hésitation, Laurie me suit alors que je traverse le champ pour contourner un taillis de buissons épineux. À peine passée derrière ces buissons, je baisse mon short et ma culotte, me mets accroupie et m’apprête à pisser...

- Putain, arrête ! Il y a un vieux qui nous mate, là-bas !

- Où ?

Je me redresse brusquement et remonte mes fringues sans réfléchir, réussissant malgré tout à me retenir... Pour autant, je ne vois personne dans la direction où elle dit avoir vu quelqu’un.

- T’as rêvé, Laurie !

- Non... j’te dis qu’il y avait un vieux qui nous regardait. Il a peut-être fait le tour pour nous surprendre ?!

- Tant pis, j’ai trop envie ; je vais faire dans ma culotte, sinon !

Après un bref regard circulaire, je reprends ma position accroupie, le short au niveau des genoux, puis commence à pisser. Je ne sais pas si c’est l’idée d’être surprise ainsi par le “vieux” de Laurie, mais je sens mes deux petits tétons pointer d’excitation contre mon tee-shirt... et un trouble envahir mon esprit. Je ferme d'ailleurs les yeux un instant pour profiter du chatouillement de mon petit minou par mon jet d’urine et la légère brise qui souffle, m’imaginant dans cette même position avec un inconnu allongé sous moi pour me lécher mon intimité...

J’ai envie d’une bonne grosse bite...

- Hummm...

- Ma... Manon ! Il est là !...

La voix tremblotante de Laurie me fait tressaillir et ouvrir les yeux immédiatement...

- Ahhh !?!

Je perds l’équilibre et tombe sur les fesses... J’ai eu l'impression furtive de voir moi-aussi quelqu’un entre les arbres qui nous séparent du chemin.

Laurie comme moi, nous restons figées, le regard en alerte pour apercevoir le moindre mouvement et la moindre présence, à écouter pour déceler tout bruit suspect...



Rien... pas un bruit autre que ceux de l’Arve juste derrière nous et des véhicules qui passent plus loin sur l’autoroute, ne vient perturber la quiétude des lieux. Etonnamment, ces sensations de peur et de tension ne font qu’augmenter mon excitation intérieure au point de rendre presque douloureux mes tétons. Je sens aussi ma chatte maintenant toute humide...

Je réalise au bout de quelques minutes que je suis toujours assise fesses nues dans l’herbe, mes cuisses grandes écartées offrant une vue imprenable sur mon sexe et ma petite touffe brune finement taillée. Je m’aperçois que je me suis d’ailleurs pissée sur le bas des jambes et la culotte.

Laurie est quant à elle debout à deux mètres de moi, cherchant encore son inconnu des yeux telle une bête apeurée.

- Tu l’as vu, Manon ? Il était là, tout près, à te mater en train de pisser.

En voyant la tête de ma meilleure copine, je suis d’un seul coup prise d’un furieux et inarrêtable fou-rire...

- Mais putain, pourquoi tu rigoles comme ça ?! Tu ne me crois pas ?

- Si si... je l’ai vu aussi mais...

- Hiiii !!!

Je n’ai pas le temps de réagir mais je comprends au cri d’effroi de Laurie, qu’il y a quelqu’un derrière moi.

- Eh bien, que voilà de jolies petites chattes en chaleur !? J’avais donc bien vu !

- …

Je ne bouge pas, comme si j’étais dans un état avancé de sidération. Je n’essaye même pas de cacher mon intimité avec mes mains, le regard figé au-dessus de moi sur l’homme qui me surplombe maintenant de toute sa hauteur.

Je n’arrive pas à lui donner d’âge d’où je suis, ne voyant pas bien son visage. Il faut dire que toute mon attention est avant tout fixée sur sa bite qu’il a sorti de son pantalon et qu’il branle avec lenteur...

Bien sûr, Laurie n’a pas bougé non plus. Elle semble elle-aussi regarder l’inconnu comme si elle était en attente de la suite des évènements.

C'est donc l’homme qui rompt ce silence pesant au bout d’un moment. Il s’adresse à Laurie...

- Montre-moi ta petite craquette pour que je vois si elle est aussi appétissante que celle de ta copine !

- …

Elle reste muette... moi aussi ! Je la regarde pour voir ce qu’elle va oser faire face à ce vieux pervers, elle qui n’hésite pas à envoyer balader les mecs qui la colle de trop près... Seulement, à ma grande stupéfaction, elle relève doucement sa fine robe d’été et la retrousse au niveau de son ventre, puis elle fait glisser avec ses deux mains sa petite culotte blanche jusqu’au bas de ses cuisses.

Contrairement à moi, Laurie a sa petite chatte tout épilée et lisse, avec un joli sillon rose bordé de deux petites lèvres charnues. C’est la première fois que je la vois comme ça, nue et son sexe offert à mon regard, alors que nous étions copines depuis des années et notre entrée au collège. Je la trouve d’ailleurs vraiment belle et attirante... et je n’étais manifestement pas seule dans ce cas.

- Approche, maintenant !

- Moi ?

- Bah oui, toi, ma petite chatte !

Comme hypnotisée, Laurie fait quelques pas dans notre direction, sa culotte toujours au niveau des genoux...

- Tu sais, je t’ai déjà vue passer devant chez moi, avec ta tignasse blonde et ton joli petit cul... Tu habites où sur Passy ?

- Laurie !?

Ma copine me jette un regard ; j'en profite pour lui faire les gros yeux afin de lui faire comprendre que ce n’est pas prudent de dire à cet inconnu où elle habite, mais...

- Rue de la Couttetaz, près de la gendarmerie, monsieur... Et vous, vous habitez où pour me voir passer devant chez vous ?

- Et toi, la brune ?

- Je...

- Elle habite aux Prés Monfort, dans les immeubles, monsieur...

Je ne sais plus où me foutre... cette petite conne est en train de tout lui dire sur nous et je ne suis même pas foutue de réagir, la laissant faire comme si au fond de moi j’espérais cette situation. Je reste d’ailleurs sur les fesses et cuisses écartées aux pieds de l’inconnu, ce dernier se branlant lui-aussi toujours juste au-dessus de ma tête. Il continue également de nous poser des questions de plus en plus intimes auxquelles Laurie s’empresse de répondre avant même que je puisse prononcer un seul mot...

- Vous avez des petits copains l’une et l’autre ?

- Oui, les deux... mais ils ne savent pas faire, monsieur !

- Pas faire quoi ?

- Eh ben, pas nous apprendre plein de choses comme vous pourriez le faire, vous, monsieur...

- Mais, t’es folle, Laurie !?

L'homme continue de se branler mais, avec son autre main, il caresse maintenant la poitrine de ma copine à travers le tissu de la robe...

- Comme quoi par exemple, Laurie ?

- Euh... ben, je ne sais pas puisque vous ne nous l’avez pas encore appris.

- Vous êtes majeures au moins, les filles ?

- Oh oui, monsieur... nous avons toutes les deux dix-huit ans !

J’ai l’impression d’être dans un rêve, que je vais me réveiller et m’apercevoir que je suis dans mon lit... La jolie petite chatte de Laurie est maintenant qu’à quelques centimètres de ma tête et la bite du vieux pervers pas beaucoup plus loin. Les deux m’excitent beaucoup, d’ailleurs...

Après quelques longues secondes à regarder ma meilleure amie se faire peloter les nichons, je réussis enfin à me bouger... je me redresse sur les genoux et me tourne vers l’inconnu, la tête juste à hauteur de sa queue. Elle m’obsède... je n’en ai jamais vu d’aussi grosses d’aussi près !

Qu’est-ce qu’il m’arrive ? Je pose ma main sur la sienne beaucoup plus massive, puis m’avance très doucement jusqu’à ce que mes lèvres viennent effleurer cet énorme gland couleur cramoisie. Il sent terriblement fort...

- Eh bien, dis-donc, la brune... tu ne parles pas beaucoup mais t’es une sacrée petite pute ! Allez... suce !

Je devrais être repoussée par ce vieux porc qui pue la sueur, mais quelque chose de plus fort encore me pousse vers l’impensable. Presqu'au ralenti, j’ouvre ma bouche et y engouffre cette bite objet de tous mes fantasmes. Je pompe, tète, joue avec ma langue... de la bave coule le long de mon menton alors qu’une main m’invite à m’empaler encore davantage sur cette énorme tige gonflée de sang. Je suffoque presque par moments...

- Et toi, Laurie, approche encore un peu, que je goûte ta salive !

- Oui monsieur...

J’en profite pour me retirer un court instant de sa queue afin de reprendre ma respiration. Je jette alors un regard vers le haut et aperçois ma meilleure amie bouche contre bouche avec l’homme à qui je donne maintenant environ soixante ans. Ils jouent l’un et l’autre avec leurs langues dans un balai endiablé et terriblement excitant...

Avant de réenfourner l'énorme bite dans ma bouche, je regarde brièvement la chatte de ma copine. Deux gros doigts, ceux de l’homme bien évidemment, lui labourent ses petites lèvres et pénètrent même carrément dans le vagin gorgé de jus. Elle jouit une première fois, bruyamment...

Je reprends immédiatement la queue entre mes lèvres et redouble d’ardeur...

- Oh ouiii... pompe, petite pute !

- Oui, monsieur... han ! C’est trop bon !

Je réalise d’un seul coup que je suis à genoux dans l’herbe, mon short et ma culotte en bas des genoux et le cul à l’air, en train de sucer un vieux qui pourrait presque être mon grand-père. Je réalise que ma meilleure amie, à peine majeure comme moi, est quant à elle en train de lui rouler des pelles et de se faire doigter allègrement par ce même vieux pervers...

Je suis folle... nous sommes complètement folles les deux ! Et pourtant, je n’ai pas envie que ça s’arrête ; je veux qu’il aille encore plus loin dans la perversité avec nous. Je veux sentir sa grosse queue en moi, au plus profond de moi !

Après m’être de nouveau acharnée sur ce sexe bandé de désir avec ma langue et ma bouche, je le relâche...

- Monsieur, vous voulez bien m’apprendre la sodomie et me dépuceler le cul, s’il vous plait ?!

- Oh oui... moi aussi, monsieur !

- Waouh ! Je ne m’étais pas trompé... vous êtes bien deux petites chiennes en chaleur !

À peine avait-il dit ça que Laurie comme moi, nous nous empressons de sortir nos serviettes de bain et de les étendre à même le sol, puis de retirer l’une et l’autre nos derniers habits pour nous retrouver nues comme des vers. L'homme en fait d’ailleurs de même... il est gros et a le ventre couvert de poils... il est moche et en tout cas très loin des critères de beauté des jeunes hommes musclés devant lesquels nous fantasmons Laurie et moi sur les réseaux sociaux... et pourtant je n’ai jamais eu autant envie de m’offrir complètement et sans limite à un homme qu’à cet instant.

Plein de pensées salaces se bousculent dans ma tête... mon corps est quant à lui en fusion.

- Quels sublimes petites chattes ! J'ai envie de vous manger toutes entières l’une et l’autre... Par laquelle des deux je commence ?

L'homme se tient debout en face de nous et il a repris sa lente masturbation en nous regardant avec concupiscence. Je jette un bref coup d’œil à Laurie qui ne semble pas savoir plus que moi quoi faire à cet instant. Devons-nous prendre l’initiative ? Je prends pleinement conscience à cet instant de mon inexpérience, mais aussi et surtout de la folie de la situation... deux gamines d’à peine dix-huit ans complètement nues devant un vieux de soixante berges qui se branle !

Une autre pensée fugace me traverse l’esprit ; si mes parents apprenaient ce que je suis en train de faire, ils me tueraient. Un frisson me transperce le corps du bas vers le haut... frisson que je n’arrive bien sûr pas à masquer ! Étonnamment, mes tout petits tétons pointent maintenant vers l’avant comme jamais cela m’était arrivé auparavant, ce que l’inconnu ne manque pas de remarquer...

- J’adore tes nichons de salope, la brune !...

Il s’avance alors vers nous deux et s’allonge à plat dos sur nos draps de bains...

- Allez, viens me les faire goûter, tes petits nichons, pendant que ta copine va nous montrer ses talents de suceuse !

Je regarde de nouveau furtivement ma copine d’enfance et lui chuchote quelques mots...

- Laurie, tu ne crois pas que nous devrions y aller ?! Ils doivent déjà nous attendre au lac, les autres !?

Elle se rapproche de moi et me susurre également à l’oreille...

- Manon, t’as vu sa bite !? J’ai trop envie qu’il m’apprenne !

- Mais... et Kévin ?

- Il ne sait pas faire... tu ne lui diras rien, tu me promets ?!

Je ne sais pas quoi répondre à Laurie... mais, de toute façon, après m’avoir fait un bisou sur la bouche, elle se baisse et se met à genoux juste à côté du sexagénaire, puis commence à lui faire une fellation.

Je suis complètement déboussolée, torturée même, face à cette situation imprévue et insolite. Comme probablement la plupart des filles de mon âge, je m’étais déjà imaginée dans des scènes de sexe et de luxure intenses, brisant nombre de tabous inavouables... mais avec la quasi-certitude que cela resterait à l’état de fantasmes. Là, d’un seul coup, je devais faire un choix... soit fuir et laisser ma meilleure copine seule entre les mains de ce vieux pervers, soit céder moi-aussi à la tentation.
เผยแพร่โดย tatamix72
1 ปี ที่ผ่านมาแล้ว
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ccandau
ccandau 1 เดือน ที่ผ่านมาแล้ว
le bel âge voila deux jeunettes à la merci d'un papy
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Lopettenantaise
Lopettenantaise 2 เดือน ที่ผ่านมาแล้ว
Deux charmantes petites coquines
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