Caroline, une occasion unique

C’était une époque où la ville regorgeait de bourgeoises. Une époque révolue.
Adepte de la french manucure, Caroline est une blonde sophistiquée. Un beau regard mis en valeur par un maquillage appuyé. Un cul à rendre dingue un eunuque. Cette croupe superbe est toujours moulée dans des jupes très près du corps, si bien qu’on peut deviner les contours de son string. Parfois, on peut aussi discerner les attaches de son porte-jarretelles. Évidemment, Caroline est une partisane des talons aiguilles.
Cette bourgeoise dirige l’un des services techniques de la ville. Souvent, je l’aperçois aux abords du bâtiment où elle travaille ou bien au volant de son coupé sport. À chaque fois, je m’habitue à la saluer mais elle ne rend pas forcément mon bonjour. Bourgeoise et fière de l’être. Je me dis qu’il faudra réellement provoquer une rencontre. Un élément déclencheur.

Un vendredi, en fin d’après-midi. Pour une fois, Caroline n’utilise pas son coupé sport avec lequel elle se gare souvent n’importe où. La belle blonde virevolte entre les passants et je me cale sur son pas. Elle se dirige vers la station de bus. En lieu et place de ses habituels tailleurs moulants, elle porte une jupe assez évasée qui souligne sa taille fine. Je sens que mes couilles travaillent déjà. Je me hâte afin de me caler derrière sa croupe tentatrice.
Elle grimpe dans le bus, valide sa carte auprès du chauffeur. Je fais de même et, chance immense, m’installe à côté d’elle. Son parfum est poivré. Ma main gauche, à quelques centimètres de sa cuisse, me démange. Alors que le bus démarre, mes doigts se déplacent jusqu’à sentir le contact chaud et doux du nylon.
Caroline me jette un premier regard et mes doigts reprennent leur position initiale. Il en faudrait plus pour m’arrêter. Je retente l’expérience. Cette fois, la bourgeoise ne dit rien et écarte même un peu les cuisses. Je m’enhardis. Tandis que le bus gagne le nord de la ville, ma main s’affaire désormais sous la jupe. J’ai atteint le revers de dentelle ouvragée de ses bas autofixants. Pas de porte-jarretelles aujourd’hui. Pas grave, ça ne m’empêche de poursuivre mon exploration. Caroline s’ouvre un peu plus, libère le chemin jusqu’à son string. Pendant que je chemine, j’observe son visage, sa bouche bien rouge et entrouverte, ses yeux lourdement fardés. Elle se mord les lèvres, se retient de gémir.
Tentant de combattre son excitation, elle se penche vers mon oreille :
- Vous n’êtes qu’un gros salaud mais ça me plaît. J’ai envie de bien plus. C’est ici que je descends. Vous me suivez ?
Je ne demande pas mieux. Caroline réside dans un quartier populaire, en total contraste avec son statut de bourgeoise. Nous traversons le boulevard alors que le soleil libère de beaux éclats sur ses bas. Je bande de plus belle.
D’une démarche alerte, nous gagnons un immeuble qui n’a rien d’engageant. Digicode, puis contrairement aux clichés, l’ascenseur n’est pas en panne. Dans la cabine, je me colle à Caroline. Mes mains glissent sous sa jupe pendant qu’elle me roule une galoche monumentale. Elle est veut, elle va être servie.
Troisième étage. Ma bourgeoise remet un peu d’ordre dans sa tenue ainsi qu’une nouvelle dose de rouge à lèvres. De chez elle, on domine vraiment la ville. Peut-être que d’ici, par temps extrêmement clair, on peut apercevoir jusqu’au Bois de Saint-Pierre.
Caroline me guide jusqu’au canapé et s’installe sur moi à califourchon. Pas de perte de temps. La putain est chaude. Une nouvelle grosse pelle. Encore plus baveuse. Ses doigts aux longs ongles s’affairent déjà sur mon jean tandis que je malaxe ses fesses musclées, que je joue avec la ficelle de son string.
- T’inquiète, tu vas pouvoir pomper.
Je l’aide un peu à dégager ma queue tendue. La garce s’y plonge sans attendre. Elle pompe comme une affamée et son rouge à lèvres laisse de belles traces sur mon vit. Je la tiens par les cheveux et enfonce un peu plus ma bite au fond de sa gorge. Elle bave, halète et j’adore ça.
Une légère pause puis elle repart à l’assaut. Je ne suis pas en reste. Mes doigts ont gagné sa chatte bouillante. Mes doigts sont pleinement imprégnés de son jus de pute que je ne manque pas de goûter. C’est évidemment un délice.
J’en profite pour m’allonger sur le canapé plein cuir pour qu’elle puisse dévorer ma queue pendant que je bouffe sa chatte débordante de mouille. Son jus coule à grand débit sur ma langue. Caroline s’affaire sur ma queue avec une envie décuplée. Elle suce avec avidité, s’étouffe parfois, et lâche quelques gémissements. Une bourgeoise qui ne calcule pas. Il y a beaucoup de salive, des bruits de gorge, tout ce que j’aime.
- Tu es bien de la race des putes, des vraies.
Je continue de dévorer son minou dégoulinant d’une mouille épaisse, tout en alternant avec sa rondelle déjà bien fiévreuse. Cette pute bourgeoise s’échine sur ma bite avec une vigueur toujours renouvelée. Ce n’est pas le moment de cracher.
Je me relève, c’est à moi de commander les ébats, désormais. Je la laisse s’asseoir sur son canapé. Ma queue, déjà bien imbibée de sa bave, est à hauteur de sa bouche. Une main derrière sa nuque, c’est le moment de pilonner sa gorge. Son coûteux chemisier se retrouve rapidement inondé de sa propre salive. C’est un magnifique spectacle et je ne m’en lasse pas. Caroline, en bonne pute bourgeoise avertie, crache le surplus de bave sur ma queue et gobe mes couilles.
- Ta chatte est à point, grosse chienne. Mais c’est ton cul qui m’intéresse.
Ma putain capte aussitôt le message. De ses ongles, elle griffe ma queue avant se retourner avant de me présenter sa croupe. Y a de la cambrure, du muscle. De l’entretien en salle, de toute évidence. J’insère deux doigts dans sa rondelle, puis le double. Elle s’humidifie rapidement, cette catin. Je peux presque y loger le poing. Je renouvelle plusieurs fois, afin de bien préparer le chemin. Elle me supplie de l’enculer avec frénésie. Je ne vais pas me faire prier.
Je m’enfonce centimètre par centimètre dans son trou dilaté. Son conduit est large et ne demande qu’à aspirer ma bite. C’est ce que je ressens en pilonnant sa rondelle. Les mains agrippées à ses hanches, je lui impose un tempo dévastateur qui manque de la faire chavirer.
- Je vais te défoncer encore un peu plus. Mets à quatre pattes par terre.
Voilà une putain bien soumise. Elle cambre un peu plus les reins et, cette fois, je peux m’introduire d’une seule poussée. Elle gémit, elle crie, elle hurle, insiste pour que j’accentue le rythme. Sa chatte livre des grosses giclées et moi, je ne vais pas tarder à décharger au fond de son cul. Je me libère en envoyant une grosse semence puis me retirer avec lenteur afin de contempler le tableau. Mon foutre coule de sa rondelle puis ses cuisses.
Avec elle, il n’y aura pas d’autre fois.
เผยแพร่โดย devintaylor
2 ปี ที่ผ่านมาแล้ว
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devintaylor
devintaylor ผู้เผยแพร่ 1 ปี ที่ผ่านมาแล้ว
ถึง encage57 : Une bourgeoise assez exclusive.
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encage57
encage57 1 ปี ที่ผ่านมาแล้ว
Une seule rencontre,,dommage que cela soit sans suite
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devintaylor
devintaylor ผู้เผยแพร่ 2 ปี ที่ผ่านมาแล้ว
ถึง Geomaki : Thanks!!
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Geomaki 2 ปี ที่ผ่านมาแล้ว
So amazing and sexy !
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devintaylor
devintaylor ผู้เผยแพร่ 2 ปี ที่ผ่านมาแล้ว
ถึง caso29 : Merci !
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devintaylor
devintaylor ผู้เผยแพร่ 2 ปี ที่ผ่านมาแล้ว
ถึง trumanc13 : Merci !
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trumanc13
trumanc13 2 ปี ที่ผ่านมาแล้ว
Une belle histoire bien chaude!
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devintaylor
devintaylor ผู้เผยแพร่ 2 ปี ที่ผ่านมาแล้ว
ถึง caso29 : Exactement !
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caso29
caso29 2 ปี ที่ผ่านมาแล้ว
Une seule mais intense baise avec Caroline
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