Marie Pascale 1

Marie Pascale 1

Gourmande en sperme.

Voici mon histoire. Née en 1968, je viens de passer le dur cap de la cinquantaine. Je suis blonde (une vraie !) aux cheveux mi-longs. Je mesure 1m60. Je porte des lunettes. Je suis plutôt grassouillette ou grosse, suivant les humeurs ! J’ai longtemps eu du mal à assumer mes rondeurs. Mais avec le temps, et l’aide de mon mari, je m’y suis habituée. Il m’arrive même de trouver du charme à mes bourrelets. Mariée depuis plus de trente ans, un enfant, je vivais une situation professionnelle et familiale très agréable. C’est au niveau intime que cela clochait. Mon mari était rentré dans une certaine routine sur le plan sexuel. Hormis peut être notre première année en couple, je n’ai pas souvenir d’avoir connu l’extase. C’est bien lui qui m’a déniaisée, mais je n’ai pas attendue sa rencontre pour me trouver une âme de cochonne.
C’est au lycée que j’ai pratiqué mes premières fellations en échange d’argent ou de chocolat. Des jeunes mâles aux sexes de toutes tailles et formes, souvent mieux fournis que celui qui allait devenir mon époux. Pendant puis après ma scolarité, j’allais en ville le soir dans le quartier des putes pour faire des fellations à l’œil. Mais je dus cesser cela, le contexte n’étant pas toujours recommandable. Et c’est ainsi que j’eu une passion immédiate pour les pénis et surtout le sperme. Je m’essayais aussi à l’amour lesbien avec une copine de classe, mais sans que cela ne suscite autant d’intérêt. Non, mon truc à moi c’était le liquide séminal à ces messieurs. Donc, lors de mes premiers rapports avec mon chéri, il fut beaucoup question de pipes. Je le suçais jusqu’au bout sans cesse. Beaucoup d’hommes auraient sans aucun doute aimé être à sa place. Le coït arriva bien sur, mais son petit sexe avait du mal à me combler. Ce sont plus ses cunnilingus, ou il excellait, qui me faisaient jouir.
L’arrivée d’Internet fut une grande découverte. Je matais en douce des sites de photos ou de vidéos de gars bien membrés et essentiellement des hommes de couleurs. Je me branlais beaucoup en regardant des vidéos de nanas en gangbang avec des blacks. Mais ce qui me m’excitait le plus, était de voir des hommes de tous genres éjaculer en grosse quantité. Internet me permis aussi de m’acheter des jouets sexuels. Tout commença avec un simple vibromasseur doré de taille normale. Je me faisais jouir en stimulant mon clitoris et en me le pénétrant dans le vagin. Tout cela bien en cachette, bien entendu. Plus tard j’investissais dans un gode très réaliste avec testicules et de couleur chair, le tout sur une ventouse et avec une spécificité : un réservoir qui permettait de produire des éjaculations factices, une merveille ! Je me l’enfilais dès que je le pouvais en le fixant sur une chaise ou le rebord de la baignoire. Un jour je repris mon petit vibromasseur, et me titillais l’anus tout en m’empalant sur le gros gode. Je n’explique pas encore aujourd’hui cette envie de jouer avec mon rectum, mais j’avais encore atteins un stade supérieur de jouissance.
On ne peut pas dire que je ne faisais rien pour plaire à mon mari : coiffeur tout les quinze jours, manucure, pédicure,… J’ai même cédé à la mode de l’épilation. Je me faisais la totale au niveau du bas-ventre et toujours à l’institut de beauté. J’étais une grosse consommatrice de lingerie fine, et je me tentais même aux bas qui tiennent tous seuls sans aller jusqu’ aux porte-jarretelles. Mais rien ne suscitait un réel regain en mon homme, et mes parties de gode devenaient de plus en plus cochonnes. Je m’étais récemment acheter un réaliste de couleur noire, encore plus long et plus gros que celui en chair. Un deuxième également noir se rajouta rapidement et je me faisais des doubles pénétrations vaginales et/ou anales. Mes orgasmes devenaient intenses, mais malgré tout cela il me manquait la présence d’un vrai homme, d’une vraie queue…
Ma copine de classe, et meilleure amie, sortait souvent avec nous, ainsi que son mari. Nous nous invitions simultanément chez nous, nous faisions des restaurants, et également des diners dansants. C’est à un de ces diners que nous avons prit l’habitude de voir la sœur de mon amie et son conjoint Titi. De cinq ans mon cadet, il était beau gosse de taille moyenne et un peu rond. Je le connaissais déjà, mais jamais encore nous nous étions rencontrés autour d’une table. Nous avons dansé ensemble. Il me félicitait sur ma tenue, tout en me serrant très fort, me trouvant très belle. Enfin, il me draguait sévère ! Un autre diner du même genre eu lieu quelques semaines après. Je décidais de « tester » ce mec en m’habillant assez sexy. Un chemisier en satin au décolleté profond qui laissait bien deviné la dentelle de mon soutien-gorge rouge, une mini jupe en cuir brun très moulante, accompagné d’un collant en voile brillant beige, et des escarpins noirs aux talons assez hauts. Titi fut directement sous le charme, et m’invita par plusieurs fois à danser. Il me serrait assez fort, et sa poitrine venait régulièrement se frotter à mes seins, chose qui me fit darder. Mes tétons pointaient très forts sous mon chemisier. Gênée, je me rendais aux toilettes, histoire d’essayer de cacher cela. Au sortir des toilettes dames, celles des hommes se trouvaient en face. J’arrivais à apercevoir Titi qui urinait. Il secouait énergiquement son sexe que je pouvais deviner. De retour à la salle, je m’installais seule à table, les autres étant en train de danser. Je me mis à discuter à une dame assise derrière moi. Titi était revenu s’installer entretemps. L’action me fit croiser mes jambes et remonter ma jupe par la même occasion. Titi était aux premières loges pour admirer mes gros cuissots. Étants toujours seuls à table, j’en rajoutais une couche en recroissant mes hanches pour mieux les dévoiler à ce beau gosse, tout en continuant de discuter avec ma voisine de dos. Ma jupe était remontée très haut, je pouvais moi-même voir la démarcation de mon collant. Titi ne quittait plus mes jambes du regard et je faisais genre de ne pas m’en apercevoir. Il était comme hypnotisé. Avant que tout le monde ne revienne, je l’invitais à aller danser. Il me complimenta sur ma ligne. Je lui dis que ce n’était pas possible qu’il pouvait s’intéressé à mes formes rondes, alors que sa femme était si fine et élancée. Il me dit que malgré la taille svelte de sa compagne, son truc à lui c’est les femmes rondes. C’est ainsi qu’il commença à me parler d’elle, et de son manque d’intérêt au niveau intime. Il me parlait aussi de lingerie, qu’il adorait les bas et jarretelles. Sa femme ne voulait pas faire l’effort d’en porter. Ce petit curieux me demanda s’il m’arrivait d’en porter. Je ne lui répondis pas, jugeant sa question un peu indiscrète. Mais j’étais séduite, nous trouvant pleins de points communs. En rejoignant notre table, il se coinça derrière moi, et me prit par la taille afin de laisser passer d’autres gens. Je sentais ses mains sur mes cuisses, et son sexe plaqué contre mon cul. Je me sentais bien blottie contre lui, personne de nos amis ne pouvait nous voir sur l’instant. La soirée se terminait et suite à cela, mes séances de masturbation tournaient autour du beau Titi.
Puis nous nous retrouvâmes pour fêter la nouvelle année chez lui. Je m’étais vêtue d’une petite jupe en cuir noire, avec un haut très moulant blanc qui laissait bien deviner le dessin de mon soutien-gorge. Le tout était assorti de bottes à talons, et d’un collant en voile couleur chair. Toute la nuit, Titi me matait les jambes et le décolleté. Il me prenait même en photo. Au court de la soirée, l’ambiance devenait chaude, et Titi se mit à parler de lingerie. Il avait acheté une parure à sa femme pour Noël. Je lui dis que jamais encore mon mari n’aurait osé pareille démarche. Ce dernier me fit remarquer qu’il ne connaissait pas mes mensurations. C’est à ce moment que Titi, motivé par la boisson, chercha un mètre pour me prendre le tour de poitrine. Avant même de me « mesurer », il regardait mon décolleté de près puis me lança un « 100D ». J’étais scotchée, c’était en effet ma taille habituelle. Il me mesura tout de même annonçant un 100 sous la poitrine, et un 112 sur la pointe des seins. Tout cela dans une ambiance bonne enfant, sa femme en riait elle-même. Il avait bien sur bien profité de me tripoter les nichons durant l’action. Moi, j’étais une fois encore sous le charme.
Titi prit l’habitude de m’envoyer des SMS, parfois assez coquins. Un jour, il me proposa de passer chez lui pour l’apéritif le vendredi vers 11 heures. Je ne travaillais pas ce jour, et Titi finissait son boulot très tôt. Je déclinais une première fois, puis il me relança très habilement pour le vendredi suivant. J’avais vraiment envie de le revoir, et lui proposais de venir chez moi non sans risque. Nos habitations étaient séparées d’environs 500 mètres, et comme tout le monde regarde sur tout le monde… Titi accepta immédiatement. Je lui demandais de venir chez moi en toute discrétion, chose qu’il accepta sans poser de questions. Il ne restait plus qu’à lui faire de l’effet…
Le jour venu, je m’étais levée assez tôt pour ne rien laisser au hasard dans mon opération de séduction. J’étais déjà passée la veille à l’institut de beauté pour me faire épiler, ainsi qu’une manucure/pédicure. J’avais également acheté une parure assez coquine en tulle brun brodé de jaune et de rose. Le soutien-gorge et la culotte étaient très transparents. J’ajoutais à cela des bas dim-up en voile beige. Une petite jupe flottante noire et un chemisier gris, volontairement ouvert et légèrement transparent complétaient mon habillement. On pouvait très bien deviner le soutien-gorge, tout comme mes bas quand je croisais les jambes. Je m’étais un peu habillée en mode salope, mais je me trouvais belle. Juste avant que Titi vienne, j’enfilais de vieilles mules blanches avec un petit talon.
Chose promise, mon Titi se pointait en toute discrétion, venant toquer à la porte fenêtre. Le temps maussade l’avait aidé à se pointer en douce. En lui ouvrant, je l’embrassais sur les joues. Il posa une main sur ma hanche, puis se recula en me prenant une main. Il me regarda de la tête aux pieds et me félicita sur ma tenue, me trouvant très sexy. Je le remerciais et l’invita à prendre place dans le canapé. Je lui proposais un apéritif et me rendit en cuisine afin de le préparé tout en faisant claquer mes petits talons. Je pus vérifier à l’aide d’un miroir, que sont regard était scotché sur moi. Il faut dire que j’en rajoutais en roulant des fesses. Je m’installais à ses cotés, puis le servis. Cette action lui permit de bien voir mon décolleté. Enfin, je croisais les cuisses, ce qui de suite fit apparaitre la lisière en dentelle de mes bas :
« -Voilà enfin que la vérité tombe, madame porte des bas ! Laisse-moi te dire que c’est merveilleux, j’adore les femmes qui mettent des bas. Il y des jarretelles avec ? »
« -Toujours aussi curieux, je vois. Non, pas de jarretelles. Mais tu aimes quand même ? »
« -Oh oui ! J’étais toujours persuadé que tu en portais. Ca t’arrive souvent ? »
« -Oui assez (là je lui mentais), de temps en temps… Aujourd’hui j’avais envie… Un peu pour toi. »
« -Eh bien me voilà touché si tu as fais cela pour moi. Ca te fait des jambes de rêve. Ah je suis aux anges. »
« - A ce point là ? Je savais que tu aimais, j’ai donc fais l’effort. »
« -Et ton homme ? Il t’a acheté des dessous depuis Nouvel An ? »
« -Tu parles ! Il n’ose donc pas ! Moi j’y suis allé hier. Je me suis trouvé une jolie parure chez Darjeeling. C’est aussi là bas que tu achètes pour ta femme ? »
« -Oui, entre autres. Mmh, tu t’es offert quelque chose ? Intéressant. »
« -Tu aimerais voir ? Je le porte déjà cet ensemble. Je pourrais avoir ton avis, toi le spécialiste de la lingerie. »
« -Oh oui j’adorerais, je peux deviner le soutien-gorge. Je suis sur que tu as choisis quelque chose de très joli. »
L’atmosphère se réchauffait, et j’invitais Titi à me suivre à l’étage. En montant l’escalier derrière moi, il pouvait déjà se rincer l’œil sous ma jupe. J’en rajoutais en faisant rouler mes cuisses dodues. Je l’emmenais dans ma chambre. Arrivés au pied du lit, Titi me prit par la taille et m’embrassa fougueusement. Il commença à me malaxer les seins, il m’avait l’air très excité. Je le repoussais pour enlever doucement mon chemisier et me présenter mon nouveau soutien-gorge. J’enlevais immédiatement ma petite jupe afin qu’il voit ma culotte :
« -Marie Pascale, c’est tout simplement… Je t’imaginais ainsi, tu es belle. Et cet ensemble, il te va à ravir. Bien sexy. »
« -Merci. Je n’arrive toujours pas à comprendre ce qui t’attire envers une grosse comme moi. »
« -Arrête de dire ce mot ! Tu me plais vraiment. »
Titi s’avança à nouveau vers moi pour m’embrasser, chose qu’il faisait d’ailleurs très bien. Il me pelotait les seins et les dégageait du soutien-gorge afin de me lécher mes tétons. Ce contact avec un homme me mettait dans un état de bienêtre. Une de ses mains descendait pour rentrer dans ma culotte. Soudain, il se bloqua :
« -Tu te rases ? »
« -Euh oui, tout le temps. Tu n’aimes pas ? »
« -Tu plaisantes ? J’adore les minous bien rasés. Oh Marie Pascale, c’est un rêve qui se réalise. »
« -Que veux-tu dire ? Moi ? »
« -Oui ! Ca fait des années que je fantasme sur toi, que je me masturbe en pensant à toi. La chatte rasée, les bas, les dessous… C’est trop beau. »
On pouvait considérer cela comme une déclaration d’amour ! Titi dégrafa habilement mon soutien-gorge et enleva ma culotte. Il ne me restait plus que mes bas comme habillage. Il me poussa délicatement vers le lit afin que je m’y couche. Il m’écarta les cuisses en douceur tout en me caressant les jambes. Il approcha sa tête à mon entrejambe pour commencer à me lécher la vulve. Il s’aida de ses doigts pour écarter mes lèvres. Sa langue titilla mon gros clitoris cinq bonnes minutes. Je ne tardais pas à jouir. Puis il se leva pour enlever son pantalon et son joli boxer pour me présenter son pénis : quel magnifique engin ! Long, un gland violet bien décalotté regardant un peu vers le bas, un grosse veine très excitante sur le dessus, et une grosse paire de couilles bien épilées. Je m’empressais pour le prendre en mains :
« -Wouah, joli ! Et bien rasé, j’aime aussi. Eh bien, c’est bien dur ! »
« -C’est toi qui la mets dans cet état. Moi, dès que je vois des bas… »
« -Ah c’est mes bas qui te font cet effet ! Mmh ! Et ces couilles, elles m’ont l’air bien remplies de bon sperme. »
« -Oh oui ! Tu aimes sucer, tu aimes le sperme ? »
« - J’adore le sperme ! C’est ce que je préfère. Je vais te sucer. »
Je me mis à genoux devant lui au pied du lit, et emmena sa belle queue vers ma bouche en le tenant par les bourses. J’ouvrais la bouche pour l’introduire, et commençais à le sucer frénétiquement. Je malaxais ces couilles d’une main, et pelotais ses fesses de l’autre. Je bavais énormément sur son manche, et je le recouvrais également de mon rouge à lèvres. Cela faisait trop longtemps que je n’avais plus pompé une bonne queue. Titi poussait des râles de plaisir :
« -Oh Pascale, c’est trop bon ! On ne m’a jamais sucé ainsi. Tu m’as l’air de t’y connaitre en pipe. Petite gourmande. »
« Glp… Elle est trop bonne ta bite. Elle est devenue encore plus dure. »
Je m’appliquais à l’avaler plus profondément, mais je ne pouvais pas l’engloutir entièrement. Sa queue était très longue.
« -Mmh, regardez-moi cette cochonne ! Tu vas me la manger. Oh c’est bon ! »
« -J’arrive pas plus, trop longue, glp… »
« -Oh putain Pascale, calme-toi, je vais jouir si tu continues ainsi. »
« -C’est ce que je veux, laisse-moi faire mon choux ! Je veux ton jus. »
Je sentais les testicules à mon nouvel amant qui bougeaient. Il n’allait pas tarder à se vider.
« -Je vais jouir, ouvre bien la bouche. » Me dit-il en prenant son pénis en main. Je lui obéissais et il se masturba en tapant son gland sur mes lèvres. Soudain Titi éjacula férocement. Les premières giclées allaient directement dans ma gorge. Même si j’adorais cela, je reculais surprise par l’abondance de son sperme. Il m’en mit plein le visage, heureusement que je porte des lunettes ! Il remit son pénis dans ma bouche pour finir de se vider. Quand son éjaculation ce calma, je me remis à le sucer. Avec ma langue je lapais les dernières gouttes de sperme qui sortaient de son gland. Je me remis à le pomper énergiquement. Il faut dire que son érection n’avait que très peu baisser. Il me dit :
« -Wouah, c’est fou ce que je viens de vivre ! Alors toi tu aimes la bite, c’est clair. »
« -Mmh, si j’ai relâché un moment, c’est parce que ton éjaculation m’a effrayée. Mais j’ai tout de suite repris. Faut dire que tu en as lâché beaucoup. »
« -Excuse-moi, mais tu m’as trop excité. Viens lève-toi, on ne va pas en rester là. »
Titi me leva pour m’embrasser, malgré ma bouche couverte de son jus. Ca ne le gênait pas, vu comme il jouait de sa langue. Puis il se coucha sur mon lit, et me proposa de me mettre sur lui en position de 69. Je lui obéissais, et me remis à le sucer. Sa douce queue laissait encore échapper quelques gouttes de sperme. Lui se mit à jouer des doigts avec ma vulve. Il me lécha aussi l’anus. Il me semble que jamais encore mon mari ne m’avait fait cela, ni aucun homme d’ailleurs. Il me dilatait la rondelle à l’aide de sa langue et la sensation était vraiment agréable. Enfin il commença à me mettre un doigt dans le rectum, puis deux. Je ne me doutais pas qu’il préparait le terrain… Je poussais des petits râles de plaisir, quand il me dit :
« -Couche-toi, je vais te faire l’amour, ta chatte est toute mouillée. »
« -j’ai très envie, mais le temps tourne. Il faudra faire vite. »
Titi venait s’agenouiller devant mes jambes écartées. Il introduit son pénis et se mit à me limer avec douceur en me levant les cuisses. Il accéléra la cadence. Je le sentais bien en moi, il me pénétrait bien en profondeur. Ses couilles venaient se cogner contre mes lèvres en feu. Je ne pouvais m’empêcher de pousser des cris de jouissance :
« -Alors, tu aimes ? »
« -Oh oui ! Je te sens bien, vas-y. Mmh, Défonce-moi bien mon choux. »
« -T’es une petite cochonne toi ! Et tu es super bonne, mmh … »
« -Oui je suis ta truie, vas-y ! J’aime quand tu rentre fort, baise moi… »
« -Attends, tu vas te tourner. En levrette, je vais encore te défoncer mieux. »
Je m’exécutais et Titi repris de suite son pilonnage. Cette foi, ces grosses boules venaient me claquer le cul. Ses deux mains sur mes fesses, il commença à me mettre le pouce dans mon anus. Je jouissais encore plus fort qu’avant. Après cinq bonnes minutes, il se retira et me dit :
« -Mmh, j’ai bien envie d’essayer un truc. »
« -Quoi donc ? N’arrête pas, continue. »
« -Laisse-moi faire, on va essayer de rentrer par ici. »
Sa phrase finie, Titi venait écraser son gland sur mon oignon afin de me sodomiser.
« -Oh, tu crois que ça va aller ? Je… J’ai pas l’habitude. »
« -J’y vais tout doucement, n’ai pas peur. Ca fait un moment que je te tripote le petit trou. Eh mais ça rentre super bien. »
En effet, je sentais son dard me rentrer dans le rectum. Titi se débrouillait très bien, je ne sentais aucune gêne ou douleur. Par plusieurs fois, il ressortait pour me remettre son engin dans le vagin, et réattaquait de sitôt mon anus avec plus d’énergie. La sensation était géniale. Titi ma claquait les fesses et me dit :
« - Oh le pied, t’es trop bonne du cul. On dirait que tu aimes… »
« -Ah c’est bon. Ah, on la sent bien passer, mmh, continue. »
« -Elle aime ça la cochonne ! Mmh, je crois que j’ai affaire à une spécialiste. Toi tu t’es déjà fais enculer. »
« -Non, jamais. Juste avec mes godes, c’est la première foi qu’un mec m’encule. »
« -Tu as des godes ? La cochonne ! Super ! On peu voir ? »
« -Pas maintenant chéri, on a pas le temps. Continue à me bourrer le cul… »
« -OK, mais une autre fois, hein ? Une double avec un gode…»
« -Promis ! Mmh, c’est bon ! Ah tu me défonce bien là… »
« -Tu veux voir comme je te démoli le trou de balle ? Attend voir. »
Titi sortit de mon cul pour prendre son portable et me photographia la croupe :
« -Regarde dans quel état je te mets ton cul, cochonne. »
La photo était très explicite. Il m’avait ouvert le rectum tout grand, et sans douleur. Mes sodomies avec mon petit gode y étaient sans doute pour beaucoup. Titi se remit à m’enculer férocement, et j’atteignis à nouveau l’orgasme :
« -Oh Titi, c’est trop bon ! Ah tu m’encules bien là, je jouis. Tu me remplis bien. »
« -Ah t’es trop bonne ! C’est le pied dans ton cul ! Oh je vais bientôt jouir, je vais te remplir le cul de sperme ! Tu veux ? »
« -Mmh, non ! Finis-toi dans ma bouche comme avant, viens. »
« -Sérieux ? OK ! Aller, couche-toi. Ah toi tu aimes le sperme. »
J’obéissais et Titi approcha sa bite de mon visage pour se branler. Il poussa un cri, et voilà que son liquide blanc aspergea mon visage. J’ouvris grand la bouche pour accueillir son gland ruisselant de jus. Je finissais en le suçant pour récupérer la dernière goutte. Le fait que sa queue avait bourré mon trou du cul ne me dégoutait point du tout. Le gout de son sperme prenait le dessus. Je me levais du lit tout comme mon amant qui me prit par la main, et je lui dis :
« -Je suis désolée mon choux, mais il faut que tu partes. On a passé beaucoup de temps ensemble. Mon fils risque de débarquer, tu comprends. »
« -OK. Mais on remet cela ? Je veux te voir jouer avec tes godes. »
« -Oui, c’est promis. Aller, habille-toi. J’aimerais bien encore te garder, mais… »
« -Pas de problème. Laisse-moi te dire que j’ai adoré du début à la fin. Tu es magnifique. »
« -Et toi donc ? Ta queue est trop bonne. Oui on va se revoir, on se fixera rendez-vous par SMS. Le vendredi, tu peux me contacter sans problème. Le mercredi après-midi aussi. »
Je raccompagnais mon bel amant en l’embrassant sur la joue, et m’empressais de ranger ma chambre. Je me rendis à la salle de bain et me vis dans le miroir le visage couvert de sperme. Quelle cochonne, me dis-je intérieurement…
เผยแพร่โดย envoile555
3 ปี ที่ผ่านมาแล้ว
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Naughtynev69
Naughtynev69 1 ปี ที่ผ่านมาแล้ว
Yummy
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jodyejoy
jodyejoy 3 ปี ที่ผ่านมาแล้ว
ถึง envoile555 : ok, de toute façon je te suis donc je verrais
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envoile555
envoile555 ผู้เผยแพร่ 3 ปี ที่ผ่านมาแล้ว
ถึง jodyejoy : merci! je suis content que tu apprécies! Dès que j'aurais le temps, il y aura une suite..
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jodyejoy
jodyejoy 3 ปี ที่ผ่านมาแล้ว
génial, du début à la fin !
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Mecgeneve 3 ปี ที่ผ่านมาแล้ว
J ai adoré! Superbement raconté.
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