Histoire de cathéter
Encore un jour d'été caniculaire. Tout est calme. Il fait chaud. Ça sent encore le café.
J'ai envie de ne rien faire.
Je préfère continuer à lire nu dans le flux du ventilateur et dans la pénombre du petit salon cette excitante Histoire de l'urine. Truffée de détails et d'anecdotes. Tu vas et viens dans notre chambre à faire je ne sais quoi. J'en suis au passage où l'auteur évoque la Mexitannie dont les habitants, dès leur plus jeune âge, prenaient un bol d'urine au réveil. Charmante tradition que nous pratiquons parfois à notre manière toi et moi (voir Vous aimez le café au lit ?) Et ce pays (son nom ?) où on pratiquait une espèce de baptême. Les garçons subissaient un rituel où on les arrosait de l'urine fraîche de leur tante et les filles de celle de leur oncle. Ils et elles passaient ainsi de l'enfance à la puberté. Voir la joie qui émanait de cette cérémonie était un vrai bonheur, paraît-il. Partout dans le monde il a existé des concours de jets d'urine. Le Pendantoustan était réputé pour ça. On venait de loin pour assister à ses compétitions. Il avait une particularité unique : le concours était mixte. Et, devinez, les femmes gagnaient tous les ans. Largement devant les hommes. On y a conservé la trace d'un record à plus de 5,45 m. Cette société était matriarcale. Coïncidence ?
Toi, tu ne lis pas beaucoup. Mais tu écoutes avec passion les récits que je te fais de mes lectures. Et, pisseuse que tu es, de celui-ci en particulier.
Tu entres. J'arrête ma lecture. Il fait chaud. C'est peut-être pour ça que tu es nue et en sueur. Mais non, je vois bien à ton attitude louche que tu est en approche, que tu couves quelque chose. Mine de rien. Tu as certainement encore trouvé une cochonnerie inédite. Mais tu te demandes si tu ne dépasses pas les bornes, si je vais accepter. Mais le désir que tu en as t'a décidé. Et puis je remarque, dans un rai de soleil des volets, un pâle éclat de lumière près de ta main. Tu essayes de cacher quelque chose. Faisons comme si de rien n'était. Tu viens encore une fois d'éveiller ma curiosité, mon désir. J'espère n'avoir pas eu la berlue. Frisson d'anticipation.
Alors tu t'approches en me demandant si je n'ai pas trop chaud, en me parlant du livre, en me félicitant, en me demandant une histoire. Je ne t'ai jamais vue aussi timide, empotée; au début peut-être. Tu t'assieds sur l'accoudoir de mon fauteuil et passe le bras sur le dossier. Je sens ton aisselle velue toute proche. Je te raconte le Pendantoustan. Ça t'émoustille me dis-tu. Je cherche à la voir, mais tu gardes une main cachée. Qu'est-ce que tu nous a encore inventé ?
Tu suggères qu'on pourrait adapter le rituel pendantoustanais. Adapter ? Tu veux faire un concours ? Non, ce n'est pas ça, mais plutôt définir une cible. Tu me prends par la bite et m'emmènes me poser par terre dos au mur face au fauteuil. À 2 mètres environ. Tu t'assoies au bord du fauteuil. Tu te renverses dedans en écartant les jambes. De tes deux mains (où est l'objet que tu tenais ?), tu ouvres ta chatte et tu laches tout. Je prends un jet de pisse puissant dans la tronche. Heureusement, j'avais ouvert la bouche et je bois. De la main, tu diriges ton jet partout sur mon corps, tu insistes sur la bite, je décalotte, et les couilles. Tu m'en donnes encore dans la bouche. Tu es admirable. Et tu pisses. Je baigne dans ton jus. Je m'en enduis partout. Je me lèche les doigts. Béat.
Tu vois tout de suite mon contentement, ton visage s'éclaire. Tu sais que c'est déjà à moitié gagné, que j'aurais du mal à te refuser ce que tu rêves de faire. Tu viens me rejoindre par terre, tu t'asseois dans la flaque de pisse à côté de moi. Tu prends mon visage et tu me regardes droit dans les yeux. Je vois ton désir, ta supplication, tes hésitations et ta détermination. Je suis ému. Ma queue frémit. Ça sent la pisse merveilleusement. Je prends un de tes seins et t'entraîne jusqu'à pouvoir le tremper dans la flaque. Je le porte alors à ma bouche et le nettoie avec ma langue.
Mais, bien décidée à ne pas te laisser distraire, tu reprends mon visage entre tes mains et cette fois, les yeux dans les yeux, tu parles.
« J'ai rencontré Nelly, tu sais, ma copine infirmière. » Si je sais, avec des nichons et un cul pareils, comment l'oublier ? « Elle est cochonne tu sais. Elle aime tester des choses nouvelles. Elle m'a parlé d'un truc qu'elle fait à son mec… » Je vois de la crainte et de l'espoir dans tes yeux. J'ai le choix, alors : « Qu'est-ce que tu caches ? » Tu es surprise, j'ai l'impression que tu vas rougir. Mince, ça te remue rudement. Tu te lèves, la pisse dégoutte de ton cul, et tu te diriges vers le fauteuil. Tu te penches, tes nichons pendent. Tu prends quelque chose qui n'a pas l'air simple à ramasser et tu reviens vers moi.
Tu élèves la main et un tuyau en plastique en tombe. Quoi ? Tant d'embarras pour un vulgaire bout de plastique! « C'est Nelly qui me l'a donné. » Je sens que je fais fausse route. « C'est un cathéter. » Ça y est, j'y suis, un peu de nouveauté dans nos jeux humides. Mais tu viens de vider ta vessie sur moi, c'est sans intérêt. Tiens, je commence à bander. Y'a pas de quoi. Tu vois le questionnement dans mes yeux. « C'est pour toi mon amour. » Touché. Ton aveu, aussi simple et tardif, achève de me faire bander. « Alors, tu es d'accord ? Tu veux bien ? »
Mais, mon amour, tout suite. Viens, viens. N'attends plus. Fais-nous plaisir. Pourquoi ne l'as-tu pas simplement mis en œuvre ? J'aurais été comblé de cette initiative.
Alors tu viens te rasseoir. Tu me regardes encore dans les yeux, reconnaissante et excitée. Tu dois lire dans les miens la curiosité, l'intérêt, l'attente, l'envie. Tu prends ma queue de tes longs doigts. Tu finis de la décalotter. Tu saisis le gland à la base et sur le côté et tu approches ce tuyau que je vois mieux maintenant. Il est légèrement vert, transparent. Il fait un peu plus d'1 m. L'extrémité touche le trou. Tu pousses. Ça résiste. Tu écartes le trou. Tu insistes. Ça rentre difficilement. Mais le trou s'est ouvert pour accepter le passage de cet intrus. C'est désagréable. Mais tu continues; ça rentre. Ah, un peu plus profondément ça deviens agréable. Tu rencontres une résistance. Tu pousses. Le cathéter est dans ma vessie. Et je bande.
Tu amènes l'autre bout du tuyau à ta bouche. Et tu tètes, tu pompes, tu aspires doucement pour faire monter la pisse dans le cathéter, pour amorcer la pompe. Et on voit le liquide progresser dans le tube, et à ton visage satisfait, on sait que, ça y est, ça coule dans ta bouche. Tu l'ouvres pour me montrer. Un petit jet continu sort du tuyau. Ta bouche ouverte se remplit lentement. Ta langue baigne. J'ai une belle couleur dorée aujourd'hui. Un peu de pisse déborde et coule au coin de ta bouche. Tu avales.
Tu sors le tuyau de ta bouche, tu le promènes sur ton visage, sur tes seins, ton nombril, dans ta chatte. Puis tu le fais sur moi, et tu mets le cathéter dans ma bouche. Je bois ma pisse directement. Tu rayonnes, soulagée, épanouie. Je suis heureux du plaisir que tu prends. Je suis heureux du plaisir que tu me donnes. Mais tu as éveillé ma curiosité et ton petit bout de plastique me donne une idée.
Alors, je me place entre tes jambes à plat ventre dans la flaque. Elles ne sont pas assez écartées. Je les repousse, ta chatte s'entrouvre. Que j'aime voir tes lèvres se décoller, s'écarter petit à petit et pendre. Je les saisis et tire. Ça s'ouvre. Je relâche. Ça se referme. Je tire, je relâche… Elle me parle. Elle me dit des choses amusantes. Je souris. Et je bande, dur, à l'idée de ce que je vais faire. « Ouvre ta chatte. » Tes mains glissent sur ton ventre, sur ton pubis poilu, entre tes jambes velues. Tu te caresses en me regardant dans les yeux, provocante. « Ouvre ta chatte! » Tu souris. Et tu te caresses. Ton clito réclame ton attention. Ta chatte est toujours mouillée. Tu te caresses. Tu m'énerves.
Tu l'ouvres enfin. Bien large, dans toutes ses splendeurs. Et ton trou qui pisse, ton méat, est lui aussi ouvert, comme impatient. Ça va me simplifier la tache. Le cathéter ne coule plus. Je le prends de tes mains et je l'approche de ton petit trou. Il est à l'entrée. Ma queue me fait mal de désir. Je pousse, trop rudement à mon goût. Ça rentre. Je sens rapidement la petite résistance, pas longtemps. Ça y est, le cathéter est dans ta vessie. Nous sommes reliés. Allons-nous pouvoir partager les urines ? Faut-il pousser ? Je préfère laisser faire pour voir si la pisse, d'elle-même, viendra dans le tuyau. Mais je sais que quand j'aurai de l'urine à nouveau, j'essaierai de la faire passer dans ta vessie. Et l'inverse sera vrai aussi. Je m'assieds face à toi, le tuyau entre nous. J'ai une folle envie de jouir. Attendons. Observons.
Tu n'a jamais su m'expliquer ta gêne.
Et j'ai découvert une nouvelle sorte de mystère en toi.
J'ai envie de ne rien faire.
Je préfère continuer à lire nu dans le flux du ventilateur et dans la pénombre du petit salon cette excitante Histoire de l'urine. Truffée de détails et d'anecdotes. Tu vas et viens dans notre chambre à faire je ne sais quoi. J'en suis au passage où l'auteur évoque la Mexitannie dont les habitants, dès leur plus jeune âge, prenaient un bol d'urine au réveil. Charmante tradition que nous pratiquons parfois à notre manière toi et moi (voir Vous aimez le café au lit ?) Et ce pays (son nom ?) où on pratiquait une espèce de baptême. Les garçons subissaient un rituel où on les arrosait de l'urine fraîche de leur tante et les filles de celle de leur oncle. Ils et elles passaient ainsi de l'enfance à la puberté. Voir la joie qui émanait de cette cérémonie était un vrai bonheur, paraît-il. Partout dans le monde il a existé des concours de jets d'urine. Le Pendantoustan était réputé pour ça. On venait de loin pour assister à ses compétitions. Il avait une particularité unique : le concours était mixte. Et, devinez, les femmes gagnaient tous les ans. Largement devant les hommes. On y a conservé la trace d'un record à plus de 5,45 m. Cette société était matriarcale. Coïncidence ?
Toi, tu ne lis pas beaucoup. Mais tu écoutes avec passion les récits que je te fais de mes lectures. Et, pisseuse que tu es, de celui-ci en particulier.
Tu entres. J'arrête ma lecture. Il fait chaud. C'est peut-être pour ça que tu es nue et en sueur. Mais non, je vois bien à ton attitude louche que tu est en approche, que tu couves quelque chose. Mine de rien. Tu as certainement encore trouvé une cochonnerie inédite. Mais tu te demandes si tu ne dépasses pas les bornes, si je vais accepter. Mais le désir que tu en as t'a décidé. Et puis je remarque, dans un rai de soleil des volets, un pâle éclat de lumière près de ta main. Tu essayes de cacher quelque chose. Faisons comme si de rien n'était. Tu viens encore une fois d'éveiller ma curiosité, mon désir. J'espère n'avoir pas eu la berlue. Frisson d'anticipation.
Alors tu t'approches en me demandant si je n'ai pas trop chaud, en me parlant du livre, en me félicitant, en me demandant une histoire. Je ne t'ai jamais vue aussi timide, empotée; au début peut-être. Tu t'assieds sur l'accoudoir de mon fauteuil et passe le bras sur le dossier. Je sens ton aisselle velue toute proche. Je te raconte le Pendantoustan. Ça t'émoustille me dis-tu. Je cherche à la voir, mais tu gardes une main cachée. Qu'est-ce que tu nous a encore inventé ?
Tu suggères qu'on pourrait adapter le rituel pendantoustanais. Adapter ? Tu veux faire un concours ? Non, ce n'est pas ça, mais plutôt définir une cible. Tu me prends par la bite et m'emmènes me poser par terre dos au mur face au fauteuil. À 2 mètres environ. Tu t'assoies au bord du fauteuil. Tu te renverses dedans en écartant les jambes. De tes deux mains (où est l'objet que tu tenais ?), tu ouvres ta chatte et tu laches tout. Je prends un jet de pisse puissant dans la tronche. Heureusement, j'avais ouvert la bouche et je bois. De la main, tu diriges ton jet partout sur mon corps, tu insistes sur la bite, je décalotte, et les couilles. Tu m'en donnes encore dans la bouche. Tu es admirable. Et tu pisses. Je baigne dans ton jus. Je m'en enduis partout. Je me lèche les doigts. Béat.
Tu vois tout de suite mon contentement, ton visage s'éclaire. Tu sais que c'est déjà à moitié gagné, que j'aurais du mal à te refuser ce que tu rêves de faire. Tu viens me rejoindre par terre, tu t'asseois dans la flaque de pisse à côté de moi. Tu prends mon visage et tu me regardes droit dans les yeux. Je vois ton désir, ta supplication, tes hésitations et ta détermination. Je suis ému. Ma queue frémit. Ça sent la pisse merveilleusement. Je prends un de tes seins et t'entraîne jusqu'à pouvoir le tremper dans la flaque. Je le porte alors à ma bouche et le nettoie avec ma langue.
Mais, bien décidée à ne pas te laisser distraire, tu reprends mon visage entre tes mains et cette fois, les yeux dans les yeux, tu parles.
« J'ai rencontré Nelly, tu sais, ma copine infirmière. » Si je sais, avec des nichons et un cul pareils, comment l'oublier ? « Elle est cochonne tu sais. Elle aime tester des choses nouvelles. Elle m'a parlé d'un truc qu'elle fait à son mec… » Je vois de la crainte et de l'espoir dans tes yeux. J'ai le choix, alors : « Qu'est-ce que tu caches ? » Tu es surprise, j'ai l'impression que tu vas rougir. Mince, ça te remue rudement. Tu te lèves, la pisse dégoutte de ton cul, et tu te diriges vers le fauteuil. Tu te penches, tes nichons pendent. Tu prends quelque chose qui n'a pas l'air simple à ramasser et tu reviens vers moi.
Tu élèves la main et un tuyau en plastique en tombe. Quoi ? Tant d'embarras pour un vulgaire bout de plastique! « C'est Nelly qui me l'a donné. » Je sens que je fais fausse route. « C'est un cathéter. » Ça y est, j'y suis, un peu de nouveauté dans nos jeux humides. Mais tu viens de vider ta vessie sur moi, c'est sans intérêt. Tiens, je commence à bander. Y'a pas de quoi. Tu vois le questionnement dans mes yeux. « C'est pour toi mon amour. » Touché. Ton aveu, aussi simple et tardif, achève de me faire bander. « Alors, tu es d'accord ? Tu veux bien ? »
Mais, mon amour, tout suite. Viens, viens. N'attends plus. Fais-nous plaisir. Pourquoi ne l'as-tu pas simplement mis en œuvre ? J'aurais été comblé de cette initiative.
Alors tu viens te rasseoir. Tu me regardes encore dans les yeux, reconnaissante et excitée. Tu dois lire dans les miens la curiosité, l'intérêt, l'attente, l'envie. Tu prends ma queue de tes longs doigts. Tu finis de la décalotter. Tu saisis le gland à la base et sur le côté et tu approches ce tuyau que je vois mieux maintenant. Il est légèrement vert, transparent. Il fait un peu plus d'1 m. L'extrémité touche le trou. Tu pousses. Ça résiste. Tu écartes le trou. Tu insistes. Ça rentre difficilement. Mais le trou s'est ouvert pour accepter le passage de cet intrus. C'est désagréable. Mais tu continues; ça rentre. Ah, un peu plus profondément ça deviens agréable. Tu rencontres une résistance. Tu pousses. Le cathéter est dans ma vessie. Et je bande.
Tu amènes l'autre bout du tuyau à ta bouche. Et tu tètes, tu pompes, tu aspires doucement pour faire monter la pisse dans le cathéter, pour amorcer la pompe. Et on voit le liquide progresser dans le tube, et à ton visage satisfait, on sait que, ça y est, ça coule dans ta bouche. Tu l'ouvres pour me montrer. Un petit jet continu sort du tuyau. Ta bouche ouverte se remplit lentement. Ta langue baigne. J'ai une belle couleur dorée aujourd'hui. Un peu de pisse déborde et coule au coin de ta bouche. Tu avales.
Tu sors le tuyau de ta bouche, tu le promènes sur ton visage, sur tes seins, ton nombril, dans ta chatte. Puis tu le fais sur moi, et tu mets le cathéter dans ma bouche. Je bois ma pisse directement. Tu rayonnes, soulagée, épanouie. Je suis heureux du plaisir que tu prends. Je suis heureux du plaisir que tu me donnes. Mais tu as éveillé ma curiosité et ton petit bout de plastique me donne une idée.
Alors, je me place entre tes jambes à plat ventre dans la flaque. Elles ne sont pas assez écartées. Je les repousse, ta chatte s'entrouvre. Que j'aime voir tes lèvres se décoller, s'écarter petit à petit et pendre. Je les saisis et tire. Ça s'ouvre. Je relâche. Ça se referme. Je tire, je relâche… Elle me parle. Elle me dit des choses amusantes. Je souris. Et je bande, dur, à l'idée de ce que je vais faire. « Ouvre ta chatte. » Tes mains glissent sur ton ventre, sur ton pubis poilu, entre tes jambes velues. Tu te caresses en me regardant dans les yeux, provocante. « Ouvre ta chatte! » Tu souris. Et tu te caresses. Ton clito réclame ton attention. Ta chatte est toujours mouillée. Tu te caresses. Tu m'énerves.
Tu l'ouvres enfin. Bien large, dans toutes ses splendeurs. Et ton trou qui pisse, ton méat, est lui aussi ouvert, comme impatient. Ça va me simplifier la tache. Le cathéter ne coule plus. Je le prends de tes mains et je l'approche de ton petit trou. Il est à l'entrée. Ma queue me fait mal de désir. Je pousse, trop rudement à mon goût. Ça rentre. Je sens rapidement la petite résistance, pas longtemps. Ça y est, le cathéter est dans ta vessie. Nous sommes reliés. Allons-nous pouvoir partager les urines ? Faut-il pousser ? Je préfère laisser faire pour voir si la pisse, d'elle-même, viendra dans le tuyau. Mais je sais que quand j'aurai de l'urine à nouveau, j'essaierai de la faire passer dans ta vessie. Et l'inverse sera vrai aussi. Je m'assieds face à toi, le tuyau entre nous. J'ai une folle envie de jouir. Attendons. Observons.
Tu n'a jamais su m'expliquer ta gêne.
Et j'ai découvert une nouvelle sorte de mystère en toi.
2 år sedan