Les aventures coquines des belle-soeurs 2

Les aventures coquines de Renée et Agathe 2 : Pensées saphiques et légumes.

Une quinzaine de jours ont passés depuis notre « rencontre » avec cette bande de violeurs. Mais peut-on réellement parler de viol ? Je ne trouvais pas de réponse à cette question que je me posais sans cesse. J’avais bien sur revu ma belle-sœur avec les fêtes de fin d’année, mais nous n’avions pas abordé le sujet qui nous touchait. Je n’avais pas trouvé le courage à tenter de rentrer en contact avec elle. Un mélange de honte et de peur m’envahissait dans nos regards qui s’échangeaient. Mais il y avait aussi un sentiment d’excitation. J’avais éprouvée un certain plaisir avec ces gros pénis noirs. Mais se sont bien les anullingus de Renée qui m’avaient clairement provoqués un voir plusieurs orgasmes. Et voilà qu’un jour, je reçois un SMS d’elle qui me propose de l’accompagner à la piscine. Renée allait régulièrement faire de la natation, en rapport à ses douleurs au dos. Elle me répondit que par la suite nous pourrions prendre un thé ensemble. Je me dis qu’elle voulait sans doute également revenir sur ce que nous avions vécu sans trop oser le dire, tout comme moi.
Renée me chercha donc un mardi matin. Elle s’était habillée très sexy, chose qui m’étonna pour aller se baigner. Une robe en laine blanche avec un col roulé certes, mais très courte. Elle était très moulante et dessinait bien le contour de ses gros seins et de ses cuisses dodues. Elle portait des escarpins en feutre noirs très élégants et sa veste longue en cuir noir. Je faisais tâche à ses cotés, moi qui n’avais fait aucun effort vestimentaire, en jean, gros pull, et chaussures d’hiver ! Un collant beige complétait l’ensemble, et je n’eu aucun problème à en voir la démarcation lorsqu’elle s’asseyait. Nous arrivâmes à cette piscine que je ne connaissais pas.
« -Ils ont également un sauna. Si ça t’intéresse nous pouvons y aller, c’est libre accès avec la piscine. » Me dit-elle.
« -Ah oui, super ! J’aime les saunas, ça ne me fera que du bien. »
Je suivais ma belle-sœur vers les vestiaires formatés en plusieurs allées. Elle prenait la direction du fond. Ses talons hauts claquaient sur le carrelage. J’avais du mal à la suivre, elle maitrisait décidément les escarpins à merveille. Ils lui embellissaient ses mollets décidément mieux dessinés que les miens. Arrivées devant une rangée de casiers, Renée posa son sac sur un banc situé au centre de ce couloir :
« - Voilà ! C’est ma place habituelle. Les casiers sont sécurisés, mais j’ai pris l’habitude de me munir d’un cadenas à code. On peu le partager, ils sont suffisamment spacieux. »
Sur ce Renée enleva sa veste, et s’assit afin de retirer ses escarpins.
« -Il n’y a pas de cabines ? On se change ici ? »
A peine ma question terminée, déboulait une femme entièrement nue, ses affaires de bain sous le bras. Elle se dirigea vers un casier nous faisant face, non sans nous saluer très poliment.
« -Tu as la réponse ! »Me dit-elle en riant.
« -Si tu veux te changer en cabine, il y en a tout devant. Fais comme tu veux. »
« - Eh bien changeons-nous ici. Je vais suivre le mouvement. » Lui répondis-je fièrement.
Je commençais donc à m’effeuiller avec la vue de cette dame inconnue au sexe totalement épilé. Renée avait retirée sa robe en laine ainsi que son collant. Elle se présentait dans une parure très osée en tulle violet brodé de blanc. La culotte laissait deviner un pubis également imberbe, et son soutien-gorge cachait difficilement ses tétons roses. Elle commença par retirer son petit slip. En effet, elle était totalement rasée, tout comme notre voisine de casier. En se baissant elle me présentait son anus également vierge de tout poil. Le fait de revoir son petit trou m’électrifia. Puis elle retira son soutien-gorge, libérant ainsi ses grosses mamelles bien fermes. J’en arrivais à la même action, mais mes dessous étaient moins sexy. Niveau épilation ce n’était pas mieux. Je m’étais contentée de raser ce qui dépasse. Une autre femme venait de la douche également sans poils au pubis, ce qui me mettait en gêne. Renée regardait sans cesse ma chatte. Elle avait enfilé son soutien-gorge de bain fuchsia, et s’apprêtait à se glisser dans son mini slip assorti. Elle était vraiment très belle dans son bikini. Je m’étais vêtu d’un maillot une pièce blanc sur le bas et noir à partir de la taille. Je ne l’avais encore jamais porté, erreur de ma part, mais il m’allait bien. Seul bémol, je n’avais pas assez joué du rasoir, et quelques poils se laissaient voir.
Après avoir vissé nos bonnets de bain (beurk), nous nous rendîmes à la douche, ou une fois encore je n’ai aperçu que des femmes intégralement rasées, ou juste avec un petit « ticket de métro ». Une fois passée sous l’eau, le blanc de mon maillot prenait un aspect transparent. Ma touffe noire se voyait comme dans une culotte en tulle, ce qui fit rire Renée.
« -Quoi ? Oui je sais, on voit ma chatte à des mètres. Merde, il n’y a que moi qui sois poilue ici ? »
« -Calme-toi donc Agathe ! Il faut vivre en son époque. Mais tu fais ce que tu veux avec ta chatte. De toutes façons, on sera toutes nues ensuite au sauna» Me répondit-elle encore souriante.
« -Ah bon ? Nues, vraiment ? »
« -Oui, obligatoire. Mais n’ai pas peur, c’est le jour réservé aux dames. »
Nous allâmes donc nous baigner. Renée nageait remarquablement bien. Elle fit une bonne dizaine d’aller-retour du bassin. Après une demi-heure, elle nagea vers moi et me dit :
« - La natation, il n’y a rien de tel pour me remettre les idées en place. On va au sauna ? Pas de maillot… »
« -Vu l’effet de l’eau sur la partie blanche, ça ne doit pas changer beaucoup. » Lui dis-je, ce qui nous provoqua un petit rire simultané.
Je suivais Renée. Arrivées à l’endroit, elle s’approcha aux crochets fixés au mur et enleva son bikini pour le fixer à l’un d’eux. J’en fis de même. Elle m’invita à aller sous la douche avant de pénétrer dans une de deux salles de sauna. Il y avait pas mal de monde. Renée se dirigea rapidement vers l’autre pour immédiatement revenir.
« -Il y a pas mal de monde aujourd’hui, ça m’étonne. Je pensais que nous pourrions discuter tranquillement. Nous verrons bien. »
Nous nous installâmes donc dans la cabine de sauna au milieu d’une douzaine de femmes toutes nues. Renée me regarda longtemps dans les yeux avant de prendre la parole à voix très basse en me posant une main sur la cuisse :
-« Ca va depuis ? Tu n’as pas eu mal ? Tu y penses souvent ? »
-« Bin ça m’arrive de me réveiller dans la nuit, en cauchemardant. Mal ? Tu veux dire quoi ? »
-« Bin au niveau de euh… Tu vois… »
-« Euh quoi dois-je voir ? Je ne comprends pas… »
-« Ton anus, quoi d’autre ? » Dit-elle d’un ton énervé qui interpella certaines dames. Je ne sus pas quoi lui répondre. Un long silence suivi, puis je pris la parole histoire de meubler :
-« Je t’ai ramené tes dessous. »
-« Ah ! Oh il n’y a pas d’urgence. Tu peux d’ailleurs les garder s’ils te plaisent. C’est une mauvaise idée de ma part de nous être donné rendez-vous ici. Nous ne sommes pas tranquilles. Je t’aurai plutôt proposé de passer chez moi. Il faut tout de même que tu me montres des sites sur internet. »
Une fois encore je ne compris point le sens de la phrase à Renée.
-« Comment ? Quels sites ? »
-« Bin au sujet des B… de noirs. »
Sa réponse me laissa sans voix. Je m’attendais à une constatation de ce qui nous est arrivé, ou d’un sentiment de honte, de culpabilité. Non ! Madame me demande des adresses de sites pornographiques.
-« Ah d’accord ! Oui, si ça t’intéresse. »
-« Tu sais quoi ? Demain après-midi je suis libre et seule chez moi. Viens prendre le café, nous serons tranquilles. Et puis, j’ai aussi tes bas à te rendre. »
-« Les bas, bof je ne les veux plus. Prends-les. »
-« Non, je te les rends. C’est bon pour demain ? »
-« Ca devrait aller, oui. »
Renée m’invita à sortir de la salle pour aller prendre une douche bien fraiche. Nos tétons dardaient sous l’effet de l’eau. Renée faisait gigoter ses seins d’une manière très sensuelle. L’un d’eux venait à se cogner aux miens. Elle s’en excusa, et je lui dis :
-« C’est pas grave. Tu as vraiment de la chance avec tes seins, ils sont beaux. »
-« Tu trouves ? Ah je préfère les tiens. Avec mes aréoles trop larges, c’est gênant quand sa dépasse. »
-« Oui, mais avec mes tétons tout noirs, c’est aussi chiant. »
-« Que veux-tu, on est mal foutues ! Viens, on va essayer l’autre salle. » Me dit-elle en riant.
Puis nous en finissions aux vestiaires après une dernière douche. J’avais à nouveau observé ma belle-sœur se malaxer les seins et cuisses de gel. Elle faisait cela avec tant de grâce. Elle se frottait l’entrejambe et la raie très longtemps. Elle me présentât encore son orifice en se lavant les jambes. En se changeant, je pus à nouveau profiter de sa croupe. Renée regarda son portable et me demanda si cela ne me gêne pas de laisser tomber notre thé. Je lui fis comprendre qu’il n’y a pas de soucis.
Elle me déposa chez moi. Elle s’avançait vers moi en posant une main sur ma jambe et me dit à l’oreille :
« -Demain nous serons seules pour discuter. On sera bien ensemble. On se dit 14 heures. »
Sur cette parole, Renée me fit une bise très tendre non loin de ma bouche. Ce baiser me troubla. J’en oubliais même de lui rendre sa lingerie. Arrivée chez moi, profitante d’être seule, je filais à la salle de bain. Il fallait que je fasse de l’ordre dans ma toison pubienne ! Je n’osais pas tout raser d’un trait, de peur que mon mari se pose des questions, mais je prenais de l’épaisseur à ses poils noirs. J’insistais également sur les bordures. On n’en était pas au « ticket de métro », mais on s’en rapprochait… Là où je me rasais complètement, au prix d’une gymnastique, c’est à la raie de mes fesses et au pourtour de mon anus. La sensation de douceur m’excitait, et je commençais à me toucher la rondelle en me mouillant les doigts. La nuit venue, j’eu du mal à dormir.
Je me rendais donc chez Renée le lendemain. J’avais fait l’effort de mettre une petite jupe noire avec un haut en satin beige qui ne cachait pas la dentelle de mon soutien-gorge. Je m’étais enfiler un ensemble mauve très sexy, le tout accompagné d’un collant en voile beige foncé. Des escarpins à talons en feutre noir me grandissaient, et je me trouvais belle.
Arrivée chez ma belle-sœur, je fus surprise de la trouver simplement vêtue d’un déshabillé en satin gris brodé de blanc.
-« Salut ! Oh, tu es resplendissante ! Cette jupe te va à merveille. » Me dit-elle en me prenant dans ses bras. Je la remerciais de ses compliments pendant qu’elle m’invitait à rentrer. Je lui tendis une boite de chocolat surmontée de ses dessous.
-« Oh coquine, tu veux encore me faire grossir ! Merci beaucoup. Mais garde les dessous, je te les laisse. »
-« Non Renée, ils doivent valoir leur prix. Je ne peux pas. »
-« J’en ai bien assez ! Viens, rentre. Tiens, moi je te rends tes bas. »
-« Si tu ne veux pas ta lingerie, je ne récupère pas mes bas. Et puis, la dernière et seule fois que je les ai mis… Tu vois… »
-« Je ne mets pas de bas sans jarretelles, que veux-tu que j’en fasse ? Tu devrais les remettre, ils te vont si bien. Allons, laissons cela de coté, nous verrons plus tard. »
Renée m’invita à la suivre au salon pour prendre un thé. Une fois assise, je remarquais une jarretelle blanche qui tenait un bas beige avec la fameuse couture. J’avais déjà distingué la forme sous le satin de son magnifique déshabillé. Renée reprit la parole :
-« Enfin nous pouvons parler tranquillement. Tu n’a rien dis à ton mari ? Moi non. »
-« Non, jamais je n’oserais. »
-« Agathe, on va tout se confier, OK ? Je commence. Il faut que je te dise que j’ai réellement pris du plaisir avec ces noirs. Ce n’est peut être pas bien, mais c’est ainsi, je n’en peux rien. » Me dit Renée la voix fébrile. Je lui répondis :
-« Je te mentirais si je te disais que cela ne m’a pas plut. Dans quel sens à tu pris du plaisir ? »
-« Ces sodomies à répétition m’on comblées de jouissance. J’ai eu mal sur les premières minutes, mais ensuite. Et je n’avais encore jamais pratiqué l’amour anal. Cà a été une révélation pour moi. Sentir leur semence me remplir le cul, la gorge… J’ai honte, mais j’ai aimé. Suis-je une salope ? »
-« Il ne faut pas dire ça Renée. Il est vrai, si on y réfléchit, que ces hommes n’ont pas été méchants envers nous. Tu n’as vraiment pas eu mal ? Je pense encore à celui qui avait l’air d’être le chef. J’ai vue son énorme queue te pénétrer, et j’ai prié qu’il ne me fasse pas de même.»
-« Non, je t’assure. Bon, il est clair qu’il n’aurait pas du me sodomiser en premier. Et toi, as-tu jouis ? »
-« J’ai quand même eu mal. Là ou j’ai eu un orgasme… Oh je ne peux pas le dire. »
-« Agathe ! Je t’ai tout dis. Sois honnête envers moi et fais-en de même… »
-« Eh bien… C’est lorsque tu as léché mon trou du cul ! Voilà, j’ai vraiment pris mon pied sur l’instant. Les bites des noirs m’ont aussi fait du bien, mais ta langue…»
Je me mis à verser quelques larmes quand Renée se leva pour venir s’asseoir à mes cotés. En se déplaçant, son déshabillé s’entrouvrit. Je pus voir qu’elle ne portait pas de culotte. Sa chatte était impeccablement rasée. Elle posa ses mains sur mes cuisses et me dit :
-« Tu n’as pas à avoir honte. J’ai aussi apprécié quand tu me l’a fais. Viens, on va dans ma chambre. Tu as des choses à me montrer sur l’ordinateur. On pourra un peu s’amuser. Histoire de se remonter le moral. »
Elle me prit par la main avant de passer devant moi en dandinant sensuellement. La couture de ses bas magnifiait encore plus ses mollets. A la chambre, son ordinateur portable était posé sur son lit. Renée m’invita à m’asseoir, et contourna le lit pour venir se coucher à coté de moi. L’action lui fit dévoiler ses jambes, et me permit de voir plusieurs jarretelles. Elle me dit :
-« Bien ! Montre-moi des sites ou l’on peut voir de grosses bites noires. Ou autres. »
-« Oui ! Tout d’abord, as-tu un bon antivirus ? Mmh, oui, c’est bon. »
Je me mis à pianoter et à lui montrer différents sites montrant des hommes nus, ainsi que celui de x hamster (pub !). Je lui dis :
-« x hamster est très bien. Il y a de tout, photos, vidéos, ou histoires. Par exemple, que veux-tu voir ? »
-« Mmh, une femme ou deux avec plusieurs hommes. Des blacks… »
-« Tu cherches dans gangbang ou interracial. On va essayer cette vidéo. »
Je lui trouvais un petit plan d’une blonde aux gros seins avec 4 noirs. Renée se rapprocha de l’écran l’air fort intéressée.
-« Wouah, bien ! Belle nana. Et les gars sont bien montés. C’est très chaud. »
-« Tu peux arrêter comme tu veux, et voir une autre vidéo. »
-« Tu peux trouver avec deux femmes et plusieurs noirs ? Comme c’était pour nous ? »
-« On doit pouvoir trouver. Ah voilà ! Deux filles, et six mecs. »
-« Oh c’est génial ! Je vais m’amuser avec cela. Wouah, les queues… »
Elle se montrait très intéressée par la vidéo qui était très chaude. En fait, je l’avais déjà repérée chez moi. A un moment les deux filles allaient se lécher l’anus. Renée venait de se coller à moi. Son déshabillé était entièrement ouvert. Elle était entièrement nue, juste vêtue de ses bas et de son porte-jarretelles. Ce dernier comptait six attaches, chose que je n’avais jamais vue. Sa jambe gainée de nylon venait se frotter à la mienne. Elle avait glissé sa main sous ma jupe, et me caressait les cuisses. Je ne disais rien. La vidéo en arrivait à l’ instant où une nana faisait un anulingus à sa copine. Renée dit :
-« Mmh, c’est chaud ! Elles s’amusent bien avec ses grosses bites. Maintenant entre elles. Un peu comme nous. Je suis toute chose. Tu n’a pas chaud ? Mets-toi à l’aise.
-« Tu veux que je me déshabille ? »
-« Oui. On sera mieux. »
Elle m’aida à enlever mon pull. Je me présentais devant elle avec mon soutien-gorge très coquin en satin et tulle brodé mauve qui ne cachait rien de mes tétons. Renée s’exclama :
-« J’adore ton soutien-gorge ! Il est super beau et sexy. Tu me laisse l’essayer ?
-« Oui. Et il est très confortable. »
Je le dégrafais donc pour qu’elle le mette. Elle regarda la taille et l’enfila en un éclair. Renée s’assit pour mieux se voir dans la glace. Il lui allait aussi bien qu’à moi. Elle se regardait encore tout en se caressant les seins et dit :
-« Il me va à ravir. Bonnet E ? Je mettais plutôt du D, mais j’ai un peu grossie. Il est très agréable. Tu me diras ou tu l’as acheté. »
-« J’ai le string assorti. »
-« Mmh, ici ? Montre-moi cela. »
Renée vint me retirer ma jupe. Elle se mit également à enlever mon collant. Elle restait fixée devant mon bas-ventre, les mains posées sur mes cuisses :
-« Très joli, en effet. Mais je ne suis pas très string. »
-« C’est le moment d’essayer. Tiens, je te le donne. »
Elle l’enfila illico. Le string lui faisait une ligne de rêve avec son pubis entièrement rasé. Puis elle dit :
-« Mmh, très agréable finalement. Je devrais peut être m’y mettre au string. Bon, on parle lingerie, mais notre vidéo défile… »
-« Pas de problème. Tu peux revenir comme tu veux. »
Renée enleva mes dessous pour venir se blottir près de moi, le tout en faisant ballotter ses gros seins. J’avais remis la scène du léchage de cul :
-« Tu m’avais dis que tu as jouis quand je te l’ai fait ? »
-« Oui, c’était bon. »
-« Je peux te le refaire si tu veux. Mais toi à genoux. »
J’exécutais l’ordre de Renée pour lui tendre ma croupe. Elle poussa un cri admiratif :
-« Tu t’es rasé le trou du cul ! Super ! Car l’autre foi, j’en ai bouffé de tes poils. Tu avais une idée derrière la tête, coquine. Hier à la piscine, c’était encore bien poilu. »
-« Et tu as réussis à voir cela ? »
-La vue de ton cul, ça me rends toute folle, et je crois que tu as aussi bien maté le mien. »
Sur cette parole, Renée posa sa langue dans mon anus. Elle commença à me lécher tout en mettant deux doigts dans mon vagin. La sensation de plaisir fut rapide. La garce jouait bien de sa langue. Elle crachait, bavait dans mon orifice pour bien l’humidifier. Elle y pénétra un doigt, puis deux pour me le dilater. Renée me dit :
-« C’est aussi un plaisir de te lécher la rondelle. Mais je te propose d’aller, comment dire, plus profondément… »
-« Que veux-tu dire ? »
-« Un moment, ne bouge pas. »
Renée se baissa sous son lit pour ramasser deux concombres. L’un était très épais, les deux étaient recouverts d’un préservatif. Je lui demandais :
-« C’est quoi ça ? Tu ne vas tout de même pas… »
-« Ce sont mes jouets, en attendant mieux. »
-« Quoi, tu t’enfiles des concombres ?
-« Que crois-tu que j’ai fais en t’attendant ? Tu vas voir, c’est très agréable. A défaut d’une bite de noir, ça fait très bien l’affaire. Il fallait juste y penser.»
-« J’avais déjà vu cela dans des vidéos.Tu ne veux pas commencer toi d’abord ? »
-« Mmh, si tu veux. Mais c’est toi qui me sodomise avec. Et tu peux également me lécher. »
Renée me présenta sa belle croupe charnue, vierge de tout poil. En effet, son anus paraissait bien dilaté. Je posais ma langue dans son rectum puis je la léchais sauvagement. L’odeur de sa raie me ramena à cette nuit avec les noirs. Elle dégageait un parfum qui me mettait en transe. Renée se mit vite à trembloter des jambes, synonyme que je lui faisais du bien. Elle me donna le plus gros concombre et me dit :
-« Tiens, encule-moi ma belle ! »
-« Avec çà ? Il est énorme ! Jamais il ne rentrera. »
-« Essaie, tu vas voir. As-tu déjà oublié la bite de leur chef de bande ? »
Il est vrai que ce légume devait être un petit peu moins gros. Je présentais donc le concombre avec sa capote devant l’orifice de Renée. Elle me demanda de lui cracher dessus avant de le pénétrer. Je m’exécutais et enfonça l’objet en question dans le rectum à ma belle-sœur. Je fus impressionnée par la facilité avec laquelle il lui rentrait dans les entrailles. Je commençais quelques va et viens. Renée se mit à jouir et me dit :
-« Mmh, c’est bon Agathe. Plus profond, n’est pas peur. »
-« Encore plus ? Je ne vois déjà plus le préservatif. »
-« Vas y, n’est crainte. Enfonce, c’est trop bon. Attends, je vais me coucher sous toi et tu continues à me sodomiser. Moi je vais m’occuper de ta rondelle. »
Nous prenions ainsi place, et je repris mes coups de concombre dans le rectum de Renée. Elle, la tête surélevée par un cousin, se remit à me lécher l’anus tout en me doigtant le clitoris. Nous commencions à jouir ensemble. Puis Renée me rentra à nouveau ses doigts dans mon cul. Je jouissais de plus en plus fort. Renée me dit :
-« C’est bon, hein ? On sait s’amuser ma belle. Je vais maintenant m’occuper de ton trou du cul, il est bien ouvert. Remets-toi à quatre pattes. »
J’obéissais spontanément à ma belle-sœur. J’avais bien compris que j’allais me faire empaler à mon tour. Renée s’approcha de mon cul avec le légume. Je lui dis :
-« Ne crois-tu pas que c’est un peu gros pour moi ? Je ne suis pas aussi douée que toi. »
-« Je prends le fin, n’aie pas peur. Là, avec un peu de gel. »
Et voilà que ma belle-sœur me pénètre avec le concombre de manière très douce. Je ne prends pas de plaisir sur le début, mais je n’ai pas mal du tout. Elle me dit :
-« Mmh, ça rentre pas mal ! Je t’ai bien préparée. Cà va ? »
-« Oui. Tu rentre profond ? »
-« Oh dix bons centimètres, il faut y aller doucement. Tu n’as pas mal ? »
-« Non, tu peu continuer. Je le sens bien passer. »
-« Je vois que tu aimes petite truie. Ca te rappelle les noirs ? »
-« Oui tout de même. Mmh, ça devient bon. »
Renée me pilonnait toujours plus rapidement. La sensation devenait très agréable. Puis elle s’interrompu pour me pénétrer plus profond. Je lui demandais d’arrêter. Elle s’exécuta et je lui dis :
-« Là, j’ai un peu mal. Je crois que je ne suis pas encore prête. »
-« D’accord, je comprends. Et puis là, tu commence à te… Mais c’est normal. »
-« Comment ? Que veux-tu dire ? »
-« Bin tu as un peu chié sur le concombre. Pas beaucoup. »
-« Oh je suis désolée ! Je… »
-« Tu n’as pas à te sentir gênée, c’est normal. Ca ne t’était déjà pas arrivé avec les noirs, et c’est bien. Je t’expliquerais pour un lavement, c’est ce que je fais. »
Renée me proposa d’aller me laver. Je me retrouvais dans sa salle de bain ou nous avions finis notre périple de Noël…
Publicerad av envoile555
3 år sedan
Kommentarer
3
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envoile555
envoile555 Publicerad av 3 år sedan
merci! il y aura une suite... Quand j'ai du temps! J'aime écrire des récits...
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envoile555
envoile555 Publicerad av 3 år sedan
till thejack03 : merci! j'y travaille, il y en aura une. Mais pas tout de suite...
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thejack03
thejack03 3 år sedan
On attend la suite avec impatience :wink: 
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