Moment bandant pour décompresser
Il y a de ces journées qui ne tournent pas exactement comme on le désirerait et tel fut le cas mercredi passé. Contravention pour excès de vitesse le matin en me rendant au travail, rendez-vous chez le dentiste à onze heures qui m’annonce que j’aurai le grand plaisir d’avoir un traitement de canal et pour terminer le tout, un super dégât d’eau dans la salle de bain du bureau. Tout pour me rendre heureux quoi…
J’avais besoin de décompresser et ce n’était certes pas en me retrouvant seul chez moi que j’y parviendrais. Il n’y avait qu’un lieu où je trouverais ce dont il me fallait.
Dix-sept heures quinze… J’entre dans ce sauna de Montréal où je sais qu’en fin d’après-midi, des mecs supposément hétéro s’y retrouvent pour un gros fun noir avant de rentrer chez eux pour rejoindre leur famille. Je rejoins ma chambrette, me déshabille et saute sous la douche avant d’entreprendre ma quête de queues bien dures et qui sauront certes satisfaire cette envie folle de me faire labourer le cul.
Serviette autour des hanches, je déambule dans les corridors, quelque peu déçu des quelques mecs que je rencontre. N’étant pas un habitué des saunas, j’aurais cru y trouver des dizaines de mâles en chaleur mais non, seulement quelques spécimens qui ne parviennent même pas à me faire bander. Mais bon, sans doute est-il trop de bonne heure et que d’ici quelque temps le sauna se remplira pour satisfaire mon appétit. Je décide donc de retourner à ma chambrette et je m’étends sur la couchette, laissant ma porte entrouverte, me débarrassant de ma serviette avant de m’étendre sur le ventre. Quelques minutes de repos me feront le plus grand bien.
Je sais que quelques mecs s’arrêtent devant ma porte, sans doute pour me regarder le cul mais je ne réagis point, préférant attendre que le sauna se remplisse. Je ne suis nullement pressé par le temps et ce petit moment de repos me fera le plus grand bien. Je ferme donc les yeux, espérant même dormir quelques minutes lorsque je sens une main se glisser sur mes fesses. Demeurant inerte, je préfère ne pas voir qui se plaît à me caresser mais j’avoue que c’est plutôt agréable. J’écarte donc les cuisses et soulève quelque peu le bassin, juste assez pour inviter le mec à poursuivre ses caresses. Ses doigts tâtent ma rosette et je sais que son visage est tout prêt, sentant la chaleur de son souffle. C’est alors qu’il glisse sa langue, me léchant l’œil de bronze. C’est bon et j’en profite au max sans toutefois m’ouvrir les yeux. Je ne veux pas le voir, trouvant même excitant d’ignorer qui se tient là, humectant mon cul de sa salive chaude. L’excitation s’empare de tout mon corps, espérant qu’il prenne la décision de me cartonner le cul de sa queue dure mais non, il s’arrête et poursuit son chemin. Il me laisse en plan, le trou de balle humide.
Je me lève donc, bien décidé à trouver un popaul apte à me bourrer le pot bien à fond. Serviette autour des hanches, je marche dans les corridors, bien heureux de constater de nouveaux visages. Je descends l’escalier qui me mène au gloryhole. J’y trouve un vieillard suçant un jeune. Je passe mon chemin, lentement, très lentement, regardant les quelques mecs qui s’y trouvent. J’ouvre une porte et pénètre dans une case, laissant tomber ma serviette à mes pieds. Déjà, une queue se présente à moi et sans me faire prier, je la prends en bouche, la suçant tranquillement avant d’accélérer mes mouvements de va et vient. Maintenant qu’elle est bien dure, je me tourne et dirige la queue directement contre mon trou de lune, exerçant une pression pour que le mec comprenne bien que je veux me faire planter bien à fond mais il la retire. Sans doute un passif. Pas grave, il n’est pas le seul mec dans les lieux. Je reprends donc ma serviette, sachant où me rendre pour obtenir ce que je veux.
Il est là et libre alors, je prends place sur le sling, les jambes bien écartées de sorte à offrir à qui le veut ma fleur de Sodome. Je suis si excité que je ne regarde même plus sur la qualité, préférant la quantité, laissant alors un mec potable mais sans plus s’approcher, me regardant en souriant, pas trop sûr de lui. Je dirige donc ma main vers mon cul, glissant mon index sur ma rosette pour lui signifier qu’il peut en profiter s’il le désire bien. Sans se faire prier, il se débarrasse de sa serviette et me planque son argument entre les fesses, exerçant une pression sur mon troufignon et lentement, il l’insère dans mon panier. Je sens sa queue glisser en moi et dieu que c’est bon mais ses mouvements n’accélérant point, je le regarde de sorte à ce qu’il comprenne que je suis en mesure d’en prendre davantage. Je veux qu’il me laboure à grands coups et non comme une mauviette mais il ne comprend pas, persistant dans sa lenteur.
Et je le vois, cette bête qui s’approche de nous. Il doit bien mesurer six pieds trois, de larges épaules, un torse musclé et poilu et des cuisses… Je lui souris, l’incitant à s’approcher encore plus. Sans vouloir l’insulter, je pousse lentement celui qui m’encule pour laisser place à ce mec qui accepte aussitôt de prendre la relève, me transperçant de son gros manche d’un seul coup avant d’y aller de mouvements forts et rapides. Je ne peux m’empêcher de laisser entendre ma respiration entrecoupée de petits cris, ce qui avise d’autres mecs d’une action qui les incite à nous rejoindre. En quelques minutes, la petite salle est pleine de gars qui me regardent me faire embrocher, leurs queues bien en main, se disant sans nul doute qu’ils pourraient, eux aussi, me défoncer le cul. La bête n’en pouvant plus se laisse aller, me remplissant de son foutre chaud et visqueux, laissant ainsi la place libre qui se trouve vite occupée par un autre, sans doute super excité de constater qu’il peut me fourrer à cru. En quelques minutes, je reçois la semence de neuf mecs, heureux de voir qu’il en reste encore quelques uns attendant leur tour pour m’enfoncer leurs cigares dans le bol rempli de crème. Certains en sucent d’autres mais personne ne fourre personne, préférant sans doute attendre que ma comète soit libre tandis que moi, de mon côté, je fixe un mec, ou plutôt sa virilité. Jamais encore je n’ai vu une queue aussi grosse et longue, ne sachant nullement si je pourrai la prendre au complet. Le mec se masturbe en me regardant droit dans les yeux, petit sourire en coin comme pour me dire que j’en prendrai pour mon compte.
Un, deux, trois et quatre types se plaisent à venir en moi avant que le gaillard place son énorme bite entre mes fesses, exerçant une petite pression contre ma rosette en me regardant toujours comme pour me dire qu’il est temps pour moi de voir le grand Canyon. Lentement, il pousse et sans misère, son déchire-cul entre bien à fond, se plaquant contre ma prostate. Je lui souris, heureux de lui faire voir que son gros concombre ne m’importune pas, loin de là. Tout ce que je veux, c’est qu’il me défonce et me défonce encore et il le comprend assez vite, accélérant ses mouvements de va et vient. Je ne peux cacher le plaisir qu’il me procure, respirant presque avec difficulté tant mon cocotier se voit enflammé et mes cris, que je ne peux retenir, attirent encore plus de mecs qui nous entourent, excités par mes réactions. L’un d’eux se penche et se met à me sucer avidement. Je n’en peux plus et je lui gicle mon écume dans la bouche tandis que je sens encore très bien le membre glissant en moi et j’entends bien le mec sur le point de me remplir. Encore quelques coups contre ma prostate et il vient d’un grand cri avant de se retirer, laissant sa place à un autre et un autre et un autre. Par chance, même après avoir joui, mon cul possède cette capacité d’en prendre encore alors, pourquoi refuser à d’autres ce qu’ont obtenu les autres?
Une fois dans ma voiture, en direction de chez nous, je me plais à compter combien de mecs ont enfoncé leurs queues dans mon pont-arrière et je me surprends à en arriver à vingt-sept. Wow… Il avait longtemps que je n’avais pas autant décompressé.
J’avais besoin de décompresser et ce n’était certes pas en me retrouvant seul chez moi que j’y parviendrais. Il n’y avait qu’un lieu où je trouverais ce dont il me fallait.
Dix-sept heures quinze… J’entre dans ce sauna de Montréal où je sais qu’en fin d’après-midi, des mecs supposément hétéro s’y retrouvent pour un gros fun noir avant de rentrer chez eux pour rejoindre leur famille. Je rejoins ma chambrette, me déshabille et saute sous la douche avant d’entreprendre ma quête de queues bien dures et qui sauront certes satisfaire cette envie folle de me faire labourer le cul.
Serviette autour des hanches, je déambule dans les corridors, quelque peu déçu des quelques mecs que je rencontre. N’étant pas un habitué des saunas, j’aurais cru y trouver des dizaines de mâles en chaleur mais non, seulement quelques spécimens qui ne parviennent même pas à me faire bander. Mais bon, sans doute est-il trop de bonne heure et que d’ici quelque temps le sauna se remplira pour satisfaire mon appétit. Je décide donc de retourner à ma chambrette et je m’étends sur la couchette, laissant ma porte entrouverte, me débarrassant de ma serviette avant de m’étendre sur le ventre. Quelques minutes de repos me feront le plus grand bien.
Je sais que quelques mecs s’arrêtent devant ma porte, sans doute pour me regarder le cul mais je ne réagis point, préférant attendre que le sauna se remplisse. Je ne suis nullement pressé par le temps et ce petit moment de repos me fera le plus grand bien. Je ferme donc les yeux, espérant même dormir quelques minutes lorsque je sens une main se glisser sur mes fesses. Demeurant inerte, je préfère ne pas voir qui se plaît à me caresser mais j’avoue que c’est plutôt agréable. J’écarte donc les cuisses et soulève quelque peu le bassin, juste assez pour inviter le mec à poursuivre ses caresses. Ses doigts tâtent ma rosette et je sais que son visage est tout prêt, sentant la chaleur de son souffle. C’est alors qu’il glisse sa langue, me léchant l’œil de bronze. C’est bon et j’en profite au max sans toutefois m’ouvrir les yeux. Je ne veux pas le voir, trouvant même excitant d’ignorer qui se tient là, humectant mon cul de sa salive chaude. L’excitation s’empare de tout mon corps, espérant qu’il prenne la décision de me cartonner le cul de sa queue dure mais non, il s’arrête et poursuit son chemin. Il me laisse en plan, le trou de balle humide.
Je me lève donc, bien décidé à trouver un popaul apte à me bourrer le pot bien à fond. Serviette autour des hanches, je marche dans les corridors, bien heureux de constater de nouveaux visages. Je descends l’escalier qui me mène au gloryhole. J’y trouve un vieillard suçant un jeune. Je passe mon chemin, lentement, très lentement, regardant les quelques mecs qui s’y trouvent. J’ouvre une porte et pénètre dans une case, laissant tomber ma serviette à mes pieds. Déjà, une queue se présente à moi et sans me faire prier, je la prends en bouche, la suçant tranquillement avant d’accélérer mes mouvements de va et vient. Maintenant qu’elle est bien dure, je me tourne et dirige la queue directement contre mon trou de lune, exerçant une pression pour que le mec comprenne bien que je veux me faire planter bien à fond mais il la retire. Sans doute un passif. Pas grave, il n’est pas le seul mec dans les lieux. Je reprends donc ma serviette, sachant où me rendre pour obtenir ce que je veux.
Il est là et libre alors, je prends place sur le sling, les jambes bien écartées de sorte à offrir à qui le veut ma fleur de Sodome. Je suis si excité que je ne regarde même plus sur la qualité, préférant la quantité, laissant alors un mec potable mais sans plus s’approcher, me regardant en souriant, pas trop sûr de lui. Je dirige donc ma main vers mon cul, glissant mon index sur ma rosette pour lui signifier qu’il peut en profiter s’il le désire bien. Sans se faire prier, il se débarrasse de sa serviette et me planque son argument entre les fesses, exerçant une pression sur mon troufignon et lentement, il l’insère dans mon panier. Je sens sa queue glisser en moi et dieu que c’est bon mais ses mouvements n’accélérant point, je le regarde de sorte à ce qu’il comprenne que je suis en mesure d’en prendre davantage. Je veux qu’il me laboure à grands coups et non comme une mauviette mais il ne comprend pas, persistant dans sa lenteur.
Et je le vois, cette bête qui s’approche de nous. Il doit bien mesurer six pieds trois, de larges épaules, un torse musclé et poilu et des cuisses… Je lui souris, l’incitant à s’approcher encore plus. Sans vouloir l’insulter, je pousse lentement celui qui m’encule pour laisser place à ce mec qui accepte aussitôt de prendre la relève, me transperçant de son gros manche d’un seul coup avant d’y aller de mouvements forts et rapides. Je ne peux m’empêcher de laisser entendre ma respiration entrecoupée de petits cris, ce qui avise d’autres mecs d’une action qui les incite à nous rejoindre. En quelques minutes, la petite salle est pleine de gars qui me regardent me faire embrocher, leurs queues bien en main, se disant sans nul doute qu’ils pourraient, eux aussi, me défoncer le cul. La bête n’en pouvant plus se laisse aller, me remplissant de son foutre chaud et visqueux, laissant ainsi la place libre qui se trouve vite occupée par un autre, sans doute super excité de constater qu’il peut me fourrer à cru. En quelques minutes, je reçois la semence de neuf mecs, heureux de voir qu’il en reste encore quelques uns attendant leur tour pour m’enfoncer leurs cigares dans le bol rempli de crème. Certains en sucent d’autres mais personne ne fourre personne, préférant sans doute attendre que ma comète soit libre tandis que moi, de mon côté, je fixe un mec, ou plutôt sa virilité. Jamais encore je n’ai vu une queue aussi grosse et longue, ne sachant nullement si je pourrai la prendre au complet. Le mec se masturbe en me regardant droit dans les yeux, petit sourire en coin comme pour me dire que j’en prendrai pour mon compte.
Un, deux, trois et quatre types se plaisent à venir en moi avant que le gaillard place son énorme bite entre mes fesses, exerçant une petite pression contre ma rosette en me regardant toujours comme pour me dire qu’il est temps pour moi de voir le grand Canyon. Lentement, il pousse et sans misère, son déchire-cul entre bien à fond, se plaquant contre ma prostate. Je lui souris, heureux de lui faire voir que son gros concombre ne m’importune pas, loin de là. Tout ce que je veux, c’est qu’il me défonce et me défonce encore et il le comprend assez vite, accélérant ses mouvements de va et vient. Je ne peux cacher le plaisir qu’il me procure, respirant presque avec difficulté tant mon cocotier se voit enflammé et mes cris, que je ne peux retenir, attirent encore plus de mecs qui nous entourent, excités par mes réactions. L’un d’eux se penche et se met à me sucer avidement. Je n’en peux plus et je lui gicle mon écume dans la bouche tandis que je sens encore très bien le membre glissant en moi et j’entends bien le mec sur le point de me remplir. Encore quelques coups contre ma prostate et il vient d’un grand cri avant de se retirer, laissant sa place à un autre et un autre et un autre. Par chance, même après avoir joui, mon cul possède cette capacité d’en prendre encore alors, pourquoi refuser à d’autres ce qu’ont obtenu les autres?
Une fois dans ma voiture, en direction de chez nous, je me plais à compter combien de mecs ont enfoncé leurs queues dans mon pont-arrière et je me surprends à en arriver à vingt-sept. Wow… Il avait longtemps que je n’avais pas autant décompressé.
2 years ago