En mode salope

L'homme et la femme que nous observons maintenant sont ce que nous pourrions décrire comme un couple uni. De taille moyenne, il a la quarantaine passée. Elle est une belle femme à la chevelure châtain et peut encore avouer son âge qui ne dépasse pas de beaucoup les trente printemps. Vous les aurez reconnus, il s'agit bien évidemment de Jean et Sophie. Cette aventure leur est arrivée alors qu'ils passaient un week-end en amoureux, pour fêter leur anniversaire de mariage. Dans une ville méconnue, ils avaient décidés de commencer leur soirée par un petit restaurant. Jean avait demandé à Sophie de s'habiller très sexy pour l'occasion. Elle avait donc passé une petite robe courte et légère boutonnée de haut en bas sur le devant, de beaux sous-vêtements qui mettaient en valeur son ravissant 90C, et des talons hauts qui galbaient à merveille ses jambes.
Assis dans le restaurant où ils ont pris soin de réserver une petite table à l'écart, Sophie et Jean commandent tous deux une margarita en guise d'apéritif. Se tenant par la main, ils trinquent à leur amour en souriant et se renouvellent leurs vœux. D'humeur badine et profitant d'une nappe tombante, Jean se laisse aller à caresser doucement la jambe de Sophie en remontant avec la sienne. Elle sourit et goûte ce frôlement sensuel qui la fait frissonner. Ils profitent de la douceur de cette soirée d'été et commandent un deuxième verre. Tout en buvant, leur conversation dérive tout naturellement sur leur sujet de prédilection... le sexe et ses charmes... et Sophie n'est pas en reste.
- Mmm... tu m'as l'air en forme ma chérie... serais-tu d'humeur coquine ce soir ?
- Mmm... peut-être... mmm... oui, je pense, répond Sophie avec un sourire qui en dit long.
- Ah aaah... et si on jouait à un petit jeu ?
- Mmm... quel genre de jeu ?, enchaîne Sophie qui a pourtant sa petite idée.
- Un petit jeu... sexy... mais surtout coquin...
- Mmm... intéressant... pourquoi pas... ça pourrait être excitant...
- C'est un pourquoi pas qui veut dire oui ?
- Tu sais très bien que mes « pourquoi pas » veulent dire oui...
- Oooh... et tu serais prête à accepter tous les jeux ?
- Mmm..., fait Sophie avec un air faussement interrogateur, je suis d'humeur coquine ce soir... très coquine... et je suis prête à satisfaire tous tes désirs...
- D'accord... alors... tu dois exécuter tous les défis que je te lance... et pour être équitable, tu as carte blanche...
- J'ai un BAT ?, rétorque Sophie avec un grand sourire.
- Ah ah !
Jean propose alors à Sophie de commencer par ôter le premier bouton de sa robe, afin de mettre en valeur son joli décolleté. Sophie s'exécute immédiatement en souriant.Lorsque le serveur passe pour prendre la commande, il peut apercevoir la dentelle du soutien-gorge et ses yeux se posent naturellement sur sa poitrine. Réjouie, Sophie en profite pour lui poser une question sur le menu et s'amuse du trouble qu'elle crée. Il bafouille légèrement et part rapidement chercher la réponse en cuisine. Jean demande alors à Sophie d'enlever un second bouton avant son retour. Elle le regarde, toute rouge, mais s'exécute sans un mot. Elle veut montrer à son homme qu'elle peut aller plus loin qu'il ne le pense, qu'elle est très joueuse, et quand il s'agit d'un cap ou pas cap... A son retour, le serveur peut ainsi admirer une partie du soutien-gorge de Sophie et la naissance de ses seins... ce qu'il ne se prive pas de faire. Sophie est ravie de l'effet qu'elle produit, et, autour d'un bon repas et d'un bon vin, leur conversation continue sur le sexe, les envies, les troubles créés, les attirances et les tentations, la nouveauté...
Au moment du dessert, Sophie annonce qu'elle a un peu trop bu et qu'elle doit se rendre aux toilettes. L'imagination débordante, Jean saute sur l'occasion et lui demande qu'elle fasse d'elle une jolie photo en sous-vêtements.
- Si tu vas aux toilettes ma chérie... j'aimerais que tu enlèves ta robe... et que tu me fasses un joli selfie.
- D'accord mon chéri... comme tu voudras...
Et Sophie se lève pour se diriger vers les sanitaires. Elle se prend au jeu et veut surprendre son homme. Il sait que c'est une coquine, mais elle veut l'étonner... lui donner plus...
Après quelques minutes, Sophie revient et s’assoit lentement avec un large sourire. Et alors que Jean l'interroge, elle lui tend son téléphone.
- et ça, c'est un petit plus...ajoute Sophie qui dépose son string roulé en boule sur la table, entre leurs verres.
D'abord abasourdi et muet d'étonnement, Jean se reprend vite.
- ça m'excite que tu reviennes comme ça, la chatte à l'air...
- ben c'est fait exprès... j'aime te surprendre...
- ok... alors ton string, il reste là, sur la table...
Sophie rougit et tente de refuser en prétextant que le serveur va voir sa petite culotte lorsqu'il apportera les desserts, mais Jean lui répond que ce dernier ne verra qu'une petite boule de tissu. Lorsque le garçon revient, il aperçoit et identifie aussitôt le string posé sur la table. Il regarde Sophie avec un large sourire, prend la commande et repart. Sophie est écarlate.
- t'as vu ! Il a bien vu ce que c'était !
- C'est pas grave ma chérie...
- ben quand même...
- tu n'as qu'à retirer un bouton de plus à ta robe, comme ça, il verra que tu as gardé ton soutien-gorge...
Et sous les yeux ébahis de Jean qui avait lancé sa dernière phrase en plaisantant, Sophie ôte tout doucement, comme par défi, un troisième bouton qui laisse franchement voir son sous-vêtement.
Lorsque le serveur revient, il reste dans un premier temps bouche bée. Il ne peut détacher son regard de la poitrine de Sophie, qui est devenue bien rouge.
- t'es vraiment coquine ce soir ma chérie... je ne pensais pas que tu irais aussi loin...
- tu m'as bien dit que j'avais carte blanche ce soir mon amour, répond Sophie avec un sourire qui en dit long. Attend ! tu n'as encore rien vu...
- ah bon ?, ajoute Jean non sans malice. Ça veut dire que tu serais capable de dire au serveur que tu vas aux toilettes remettre ton string... et qu'il peut venir regarder ?
Prise au jeu, Sophie se lève avec un regard plein de malice et se dirige vers les sanitaires. Elle passe à côté du serveur, lui glisse quelques mots, puis disparaît. Jean n'en revient pas de l'audace de sa femme, et il est toujours sous le coup de l'étonnement quand il voit le garçon s'éclipser à son tour.
Quelques interminables minutes se passent, et Jean commence à être inquiet. Certes, il a provoqué son épouse... certes, ils ne font que s'amuser et c'est lui qui a initié le jeu... certes, ils ont bu un peu plus que de raison... certes, il ne doute pas d'elle ni de son amour... mais il ne peut s'empêcher d'être mal à l'aise.
Lorsqu'il la voit réapparaître quelques instants plus tard, les yeux pétillants, le regard coquin, il n'est qu'à demi rassuré, d'autant qu'elle se rassoit sans dire un mot.
- …
- oui mon chéri ?, dit Sophie avec son air de fausse ingénue.
- tu...
- oui, j'ai remis ma culotte... c'est bien ce que tu voulais ?, enchaîne Sophie sur un petit air espiègle.
- Ben raconte...
- raconter quoi ?
- Ce qui s'est passé !, ajoute un Jean fiévreux.
- J'ai fait ce que tu m'as demandé...
- Sophie !
Sophie ne peut s'empêcher de sourire, ravie de pouvoir faire tourner en bourrique son mari et d'aiguiser un peu sa jalousie. Elle lui prend la main et se penche vers lui, puis, sur le ton de la confidence :
- quand je suis passée à côté du serveur, je lui ai dit ce que tu m'avais proposé et je suis partie aux toilettes. J'y suis rentrée et j'ai laissé légèrement entrouvert. Quelques instants plus tard, j'ai entendu du bruit puis ma porte qui s'ouvrait. Le serveur était devant moi et me regardait..
- et ?
- Je l'ai regardé dans les yeux et j'ai défais un à un tous les boutons de ma robe pour lui montrer mes seins... mon ventre... et je me suis tournée pour finir de me déboutonner... j'étais assez mal à l'aise, je te l'accorde... et je me suis à nouveau tournée vers lui, tout doucement, pour qu'il puisse admirer ma petite chatte toute lisse... et je lui ai tendu mon string...
- …
- il s'est agenouillé devant moi... il avait ses yeux au niveau de ma chatte... j'ai rougi un peu car ma chatte était déjà un peu ouverte...
- t'étais excitée ?
- Ben oui ! Tu m'as chauffé toute la soirée! Qu'est-ce que tu crois ! J'ai levé une jambe, puis l'autre pour qu'il me l'enfile... il l'a remonté jusqu'en haut... puis il m'a fait un bisou sur ma chatte à travers mon string...
- …
- tu t'y attendais pas, hein !, ajoute Sophie avec son sourire de coquine qui fait faire des folies. Je me suis ensuite retournée en soulevant ma robe... pour qu'il puisse bien ajuster la ficelle de ma culotte... et c'est ce qu'il a fait... tout doucement... et il m'a fait un bisou sur chacune de mes fesses... sur mon petit cul... et je me suis retournée face à lui... et j'ai commencé... à boutonner ma robe... sauf les trois derniers... et il m'a fait un bisou sur les seins... et...
- et ?, ajoute Jean qui est malgré lui très excité par le récit de Sophie.
- Et ? Je suis sortie pour te rejoindre... ça te plaît ?, finit Sophie avec son petit air ingénu.
- Et rien d'autre ?
- Ben non, pourquoi ? T'aurais voulu autre chose ?
- T'es vraiment une belle salope...
- oui... et t'aime ça... je te l'ai dit, je suis en mode coquine ce soir... très très coquine... en mode salope...
- et j'adore ça...
Et c'est sur ces mots qu'ils quittent le restaurant pour se diriger vers leur hôtel qui se trouvait à quelques pas de là. Heureusement, car leur démarche mal assurée traduit bien l'état d'ébriété dans lequel ils se trouvent tous deux.
Comme il est encore tôt, ils décident d'aller se baigner un peu dans la piscine et de profiter des installations de détente du spa. Nantis de leurs maillots, ils descendent vers le complexe de sport qui est quasi désert. Une seule personne est présente, à faire de l'exercice en maillot de bain.
Ils entrent dans le vestiaire et laissent la porte volontairement entrouverte, afin que Sophie s'exhibe un peu. Elle retire lentement sa robe, laissant découvrir ses jolis dessous. L'homme est immédiatement attiré par ce qu'il voit et se tourne légèrement pour observer le plus discrètement possible. Le sourire aux lèvres, Sophie se tourne et lui présente son beau petit cul, puis ôte son soutien-gorge. Elle se cambre et fait glisser lentement son petit string le long de ses jambes tendues. Elle enfile enfin un maillot minimaliste de couleur blanche.
Lorsqu'ils sortent du vestiaire, l'homme s'est installé dans le sauna. Sophie se tourne alors vers Jean et dit :
- tu veux que je me comporte comment ?
- Je crois que tu es en mode salope depuis le début de soirée... tu n'as qu'à continuer...
- d'accord mon chéri... si ça te fait plaisir... je vais te chauffer à blanc...
- mmm...
- je vais aller prendre une petite douche... l'eau... sur le blanc... et après... je vais au sauna...
Prenant des poses langoureuses, Sophie passe sous l'eau et son maillot ne cache plus vraiment grand chose de son anatomie. Lorsqu'elle ressort, elle vient embrasser à pleine bouche son mari, puis se dirige vers le sauna. Jean la laisse passer devant lui et la suit, son regard attardé sur les deux petites fesses qui l'attirent comme un aimant.
En pénétrant dans l'espace de sudation, ils remarquent que l'homme est assis. Sophie se place sur la banquette, en face de lui, les jambes allongées et croisées devant elle, et Jean s'installe juste au dessus.
L'homme remarque alors que le maillot est transparent et ne peut détacher son regard de la belle poitrine aux tétons qui commencent à saillir. Une légère bosse commence même à orner son maillot.
Après quelques minutes, Sophie tourne la tête dans la direction de Jean, avec un regard qui en dit long sur ses intentions. Elle a son regard de salope joueuse, de salope qui veut aller plus loin. Et comme Jean lui sourit, elle décroise ses jambes pour ensuite les plier en les maintenant légèrement écartées. Ce geste, qu'elle feint d'être innocent, a pour effet de plaquer son maillot sur sa petite chatte bien épilée.
L'homme baisse alors doucement les yeux et profite du spectacle qui lui est offert. Il bande plus fort en observant les lèvres biens gonflées et toutes lisses. Jean bande tout autant de cette situation qu'il trouve vraiment excitante.
Sophie pousse un petit soupir et l'homme sort précipitamment pour aller prendre une douche.
- Je crois bien qu'il était à deux doigts de gicler, dit Sophie en se mettant à rire doucement.
Et elle tâte alors la queue de son homme, à travers le maillot.
- je vois que ça te fait aussi de l'effet...
Elle glisse sa main sous le tissu pour venir branler la bite tendue.
- comme ça, il ne sera pas seul à être à l'étroit dans son maillot.
Sophie redevient sage au moment où l'homme entre à nouveau dans le sauna. Et c'est le moment qu'ils choisissent pour sortir et se diriger vers le jacuzzi.
Le jacuzzi est grand et chaud. Sophie et Jean s'asseyent l'un contre l'autre, et elle commence aussitôt à chauffer son homme en venant palper sa bite. Il l'écarte d'une main, mais elle recommence immédiatement ses caresses et il se laisse aller au plaisir et empaume un sein.
- tu retires ton haut ?
- ok... de toute façon, il ne cache rien... et on a qu'à enlever le bas, tant qu'on y est...
Cachés par le bouillonnement du jacuzzi, Sophie et Jean mettent leurs maillots sur le bord... et reprennent leurs caresses.
Soudain, ils entendent l'homme sortir du sauna, et ce dernier voit immédiatement les maillots qui traînent sur le bord. Sans complexe, il s'installe dans le jacuzzi, face à notre couple.
Jean et Sophie continuent discrètement à se caresser sous l'eau, à se susurrer des mots tendres et cochons. La situation les excite énormément. Mais brusquement, les bulles s'arrêtent. Le bouillonnement cesse immédiatement, laissant apparaître la jolie poitrine de Sophie. Elle se met à rougir instantanément et cesse les caresses sur la queue de Jean. L'homme fixe le sein qu'il a sous les yeux, l'autre étant toujours couvert par la main de Jean, qui la retire par pudeur. Après quelques longues secondes, Sophie se lève, sortant son corps à moitié de l'eau, enclenche la mise en marche du jacuzzi, et se rassied à côté de son mari.
L'homme n'a pas quitté des yeux les courbes de la belle... mais avec les bulles qui jaillissent à nouveau, Sophie et Jean ne peuvent voir s'il bande ou non.
Il essaie d'engager la conversation, mais le bruit des bulles rendant la discussion malaisée, il se rapproche de Sophie pour finir par s'asseoir tout à côté.
Jean ne voit rien, mais il imagine bien que cet homme a très certainement collé sa cuisse contre celle de sa femme. D'autant que Sophie est d'humeur très coquine ce soir et qu'elle a repris ses caresses sur sa bite pendant que lui met sa main sur sa cuisse pour la faire remonter tout doucement.
Ils engagent de nouveau la conversation, excités par la situation, par l'alcool bu au restaurant, et par leurs jeux préliminaires. Jean pose ses mains sur le corps de Sophie et ses doigts arrivent rapidement sur son petit clitoris. Elle se laisse aller et, tandis qu'elle parle à l'homme, elle écarte largement ses jambes, plaçant l'une d'elle sur les cuisses de son mari. Sa main ne reste pas inactive puisqu'elle continue ses va-et-vient sur la queue bandée de son époux.
Les mouvements sont lents pour ne pas trop attirer l'attention sur cette activité sous-marine.
Soudain, les bulles s'arrêtent à nouveau... et l'eau s'éclaircit... révélant aux yeux ce qui était caché :
L'homme constate que Sophie branle son mari ; Jean voit que l'homme pelote gentiment un sein de sa femme tandis qu'elle a posé sa main très haut sur sa cuisse, à la limite de son maillot.
Après un premier moment de gêne, Sophie ne se dégonfle pas et continue sa masturbation.
L'homme descend alors tout doucement sa main le long du ventre de Sophie pour venir se poser sur le haut de son pubis. Le léger renflement que font les lèvres semble l'attirer, et aucune objection ne se faisant entendre, il fait glisser ses doigts vers le fruit défendu.
Plus un mot n'est échangé et la situation est terriblement érotique.
Sophie se lève alors brusquement, avant qu'il n'ait pu atteindre la fourche de ses cuisses... réenclenche les bulles... se rassoit... et recommence ses caresses.
Jean profite de la belle branlette que lui offre sa femme et imagine ce qu'elle est en train de faire à l'autre homme... et ce que l'autre ose lui faire... ça l'excite même si un sentiment de jalousie n'est pas loin.
Devinant certainement ce que ressent son homme, Sophie se penche vers lui et lui susurre à l'oreille :
- ça devient chaud mon chéri... très très chaud... ta p'tite salope est bien chaude... et je vais au hammam...
- prend ton temps pour sortir... je t'aime...
- je t'aime aussi...
Sophie se lève alors en souriant et sort lentement. Lorsqu'elle se baisse pour ramasser les maillots, elle offre une vue imprenable sur son petit cul et sur son sexe bien ouvert. La lumière est certes tamisée, mais si Jean a pu tout voir, l'homme n'en a pas perdu une miette non plus.
Sophie range les maillots dans les poches des peignoirs, puis repasse avec un sourire pour Jean avant d'aller prendre une douche pour se rafraîchir.
Alors que la porte du hammam vient à peine de se refermer, l'homme se lève, sourit, fait un geste de la tête et sort du jacuzzi. Lorsqu'il émerge de l'eau, Jean découvre qu'une belle barre déforme son slip de bain, puis il l'entend aller sous la douche. Avant qu'il n'ait pu faire quoi que ce soit, la porte du hammam s'ouvre et se referme.
Jean sent un trouble monter en lui. Un homme en pleine érection vient d'entrer à l'endroit même où Sophie se détend, seule. Elle est chaude comme la braise et depuis le début de la soirée, ils repoussent toujours plus loin leurs limites. Que faire ? Doit-il y aller, au risque de passer pour l'amoureux jaloux ou ne pas les rejoindre, au risque de passer pour l'amoureux qui s'en moque ?
Finalement, Jean décide de rejoindre Sophie.
En pénétrant dans la pièce, une buée épaisse l'empêche de voir immédiatement sa belle. Il fait un pas et marche sur un morceau d'étoffe. Son cœur se met à battre violemment lorsqu'il reconnaît le slip de bain que portait l'homme quelques instants plus tôt. Il cherche rapidement des yeux sa belle, remarque sa silhouette allongée, seule, et vient s'agenouiller auprès d'elle. Il passe ses mains sur ses seins et lui demande si elle se sent bien. Elle répond qu'elle est au mieux, et Jean approche alors ses lèvres de son oreille pour lui raconter dans un murmure l'état dans lequel se trouvait l'homme lorsqu'il a quitté le jacuzzi. Sophie se met à glousser et répond :
- oui, j'ai vu... quand il est entré...
- ça aurait pu être moi...
- oui... ça aurait pu... vous avez à peu près la même allure... mais j'ai noté une différence..., lâche Sophie en gloussant à nouveau.
Un peu vexé mais amusé, rassuré aussi par le fait que l'homme ne se soit pas trouvé à côté de Sophie, Jean répond :
- une différence... importante ?
- Ben quand même, oui !, fit elle en se moquant gentiment.
- Salope...
- t'aime ça...
Jean et Sophie s'embrassent alors d'un long et tendre baiser. Et tandis que leurs lèvres se cherchent et se repoussent, que leurs langues virevoltent l'une autour de l'autre, Jean ne peut s'empêcher de doigter sa belle. Et alors que Sophie commence à gémir sérieusement dans sa bouche, il s'écarte et lui dit qu'il retourne au jacuzzi, la chaleur étant trop étouffante. Sophie lui répond qu'elle reste encore un peu et qu'elle le rejoint très vite. Jean la quitte sur un clin d’œil en lui disant de prendre son temps.
Jean regagne le jacuzzi, la queue tendue vers l'avant, le gland outrageusement gonflé. Sans montre, dans un endroit dédié à la paresse, les minutes lui paressent des heures et lorsqu'il entend la porte du hammam s'ouvrir, il est incapable de dire combien de temps s'est écoulé. Il voit la silhouette de l'homme passer et l'entend allumer la douche. Le suivant de près, Sophie rejoint Jean dans le jacuzzi.
Sophie se love contre Jean, met sa main sur sa queue et est étonnée de la sentir encore aussi grosse.
- t'es encore excité mon amour ? C'est bête... t'aurais du rester...
- pourquoi ma chérie ?
Sophie se serre encore un peu plus contre son homme et se met à le branler tout doucement.
- ben...
- raconte, lâche Jean qui sent une boule se former dans son estomac.
- J'ai voulu me rafraîchir un peu avec le tuyau d'eau... mais je n'ai pas trouvé tout de suite le robinet... alors il s'est levé et est venu m'aider à chercher. Il est passé devant moi et avec la lumière qui venait de la porte, j'ai... j'ai vu sa queue... il bandait...
- et ?, fait Jean fébrilement.
- ben... ça aurait pu être gênant, mais je me suis dit qu'il n'y avait pas de risque... tu étais à côté...
Jean détecte néanmoins un certain trouble chez sa femme.
- il m'a proposé de m'arroser... et j'ai accepté... j'ai senti le jet d'eau froide parcourir mes épaules, mes reins, mes fesses, mes jambes...
- il en a profité pour bien te mater...
- oui, je pense... et il s'est approché de moi pour arroser le devant de mon corps... j'allais me retourner mais... j'ai senti... le bout de sa queue appuyer sur mon dos...
- putain... Sophie...
- je sais... j'ai fait celle qui ne remarquais pas... il n'appuyait pas franchement mais... en déplaçant son bras pour m'arroser... je pense qu'il en profitait pour me caresser le dos avec sa queue... je me suis retournée pour le remercier et là... sa queue a appuyé contre mon ventre... il a vu que je baissais les yeux pour regarder...
- et..., fit Jean qui appréhende la suite du récit.
Sophie continue de branler son homme et lui murmure :
- Elle était bien grosse... bien dure... et il s'est excusé de son état... j'étais gênée mais je lui ai dit que ce n'était pas grave...
- t'as dit ça !
- Ben oui... et je l'ai remercié pour m'avoir arrosé. J'ai voulu sortir... et je l'ai senti à nouveau dans mon dos... j'ai poussé la porte et il a passé son bras devant moi... pour m'aider... et j'ai senti qu'il appuyait sa queue... sur mes fesses...
- et ça t'a plu ?
- Je ne sais pas ce qui m'a pris...
Jean est rassuré et constate que Sophie est gênée, certes, mais qu'elle est aussi très excitée. La moiteur des lieux, la nudité des corps, les préliminaires, l'alcool et les défis coquins y ont sûrement contribué.
Après avoir entendu l'homme regagner le hammam, Sophie et Jean quitte le jacuzzi et s'installent sur la petite plage de marbre. Elle se place entre ses jambes et laisse retomber sa tête en arrière, sur son épaule. Elle sent sa queue bandée, bien calée entre ses fesses. Il l'embrasse dans le cou, empaume un sein et fait glisser son autre main vers sa petite chatte rasée.
Jean fait à nouveau monter le désir chez Sophie qui se met à geindre doucement. Il en profite et lui glisse à l'oreille :
- tu veux y retourner ?
- Je sais pas... si j'y vais... il va croire que j'ai envie... ça t'exciterait que j'y retourne ?
- T'es pas cap..., lance Jean sans réfléchir.
Ce nouveau défi lui fait l'effet d'une décharge électrique. Elle se redresse, se retourne, et fait son plus beau sourire. Elle se penche sur la queue tendue, l'embrasse tendrement, se lève et se dirige vers le hammam.
Jean est bouche bée. Les mots ont dépassé sa pensée et Sophie s'est prise au jeu. La porte du hammam se referme et Jean reste prisonnier de son défi. Il a confiance, mais il sait aussi que Sophie a bu plus que de raison et l'alcool...
Tout à ses réflexions, Jean constate que la situation l'excite et que son érection est toujours aussi forte. Là encore, les minutes lui paraissent des heures et lorsqu'il se décide à se lever, la porte du hammam s'ouvre.
L'homme sort, gagne le vestiaire et enfile son peignoir. Mais Sophie ne sort pas. Inquiet, Jean se lève précipitamment, ouvre la porte du hammam et appelle. Une voix rassurante lui répond immédiatement, à travers la buée épaisse. Il entre, s'approche de sa belle qu'il trouve alanguie, debout contre le mur.
- tout va bien ma chérie ?
- Fais moi l'amour...
Sans réfléchir, Jean la retourne, la penche légèrement en la tenant aux hanches et la pénètre avec force. Il sent son sexe gonfler dans la petite chatte qui est prise de vibrations annonciatrices d'un puissant orgasme. Sophie est plus excitée que jamais. Elle ne se gêne plus pour laisser aller la voix de son plaisir et ses cris raisonnent sur les murs du hammam. Jean la pénètre encore plus vite, plus loin et au moment où il la sent perdre tout contrôle, les spasmes de son orgasme appellent le sien. L'étreinte a été brève, rapide, et elle a assouvi quelque peu le feu et le démon du sexe qui couvent encore dans leurs ventres.
Sans un mot, ils restent enlacés quelques instants puis prennent une douche pour se rafraîchir.

Revenus dans leur chambre, ils s'allongent nus sur le lit, l'un en face de l'autre, et se regardent tendrement dans les yeux. C'est Jean qui, le premier, rompt le silence :
- j'ai adoré quand on a fait l'amour... je t'ai sentie super excitée...
- je l'étais... je le suis toujours... et j'avais très très envie que tu me prennes...
- c'est le mec qui t'a mise dans cet état ?, demande Jean en souriant.
- C'est un peu toute la soirée... mais c'est vrai que ça m'a beaucoup excité...
Jean n'ose aller plus loin. Un petit silence s'installe avant que Sophie ne dise en souriant de manière espiègle :
- t'aimerais savoir ce qui s'est passé, hein ?
- Ben...
- ça a l'air de t'exciter en tout cas... tu bandes à nouveau...
- c'est toi... chérie... allez, raconte...
Sophie entoure la queue de son mari de sa main, tandis que l'autre caresse légèrement les couilles gonflées. Elle entame un léger va-et-vient.
- quand je suis rentrée... il était près de l'entrée, debout... il m'a dit qu'il pensait que je ne reviendrais pas... je lui ai demandé pourquoi et il m'a répondu qu'il pensait m'avoir dérangée... j'ai dit que non... que j'avais juste été un peu gênée... il m'a demandé si j'avais été gênée de le sentir si près de moi... j'ai dit que non, pas vraiment... il a alors chuchoté qu'il aurait pu venir plus près encore... j'ai été surprise et je l'ai interrogé sur ce qu'il entendait par là... il est passé derrière moi et est venu se coller contre mon dos... j'ai senti toute la grosseur de sa bite contre mes reins... il m'a demandé si comme ça, j'aurais été gênée... j'ai répondu oui, un peu plus... il a alors placé une main sur mon ventre, et l'autre sur mon sein et il m'a demandé et comme ça... j'étais très troublée, mais ses gestes étaient si doux... j'ai avoué oui, un peu plus, mais ça va... il a alors fait glisser sa main vers ma chatte, et son index s'est posé sur le haut de mon clito... c'était si... je l'ai laissé faire... et sentir sa bite si grosse dans mon dos... j'étais super excitée...
- et...
- il s'est assis sur la banquette... et il m'a invitée à venir sur ses genoux... j'ai compris qu'il voulait me pénétrer... mais j'ai refusé...
- tu avais l'air pourtant super excitée...
- oui, très... il m'a dit de ne pas m'inquiéter... il m'a prise par les hanches... m'a fait asseoir à la base de sa queue... il pensait peut-être que comme ça... je voudrais le sentir en moi...
- et tu en avais envie...
- j'en avais très envie... mais tu n'étais pas là... et pourtant... j'ai résisté mais...
- mais...
- chaque mouvement qu'il imprimait était d'un érotisme insoutenable... il a gardé ses mains sur mes hanches... et il m'a fait aller d'avant en arrière... je glissais sur sa queue... il a senti que j'étais trempée... que j'étais super chaude... je me suis laissée aller... et chaque fois que j'avançais, je sentais son gland frotter mon clito... putain j'avais envie...
- et...
- putain ça t'excite aussi mon amour... ta queue est bien grosse là...
- et donc...
- j'étais toute proche de jouir... il a du le sentir car... à chaque fois que son gland arrivait sur mes petites lèvres... il tentait de me pénétrer... je m'y opposais mais... c'était super excitant et j'avais très envie... puis il me refaisait glisser vers l'arrière... en me tenant toujours par les hanches... et il me pressait de plus en plus fort... je branlais sa queue avec ma chatte... ma p'tite chatte épousait les formes de sa grosse bite... et il me faisait aller... et venir... et à chaque fois, je sentais son gland forcer toujours un peu plus pour rentrer... j'essayais de me déplacer un peu pour le sentir sur mon clito... et là...
- oui ma chérie...
- il a accéléré le mouvement... et j'ai joui... j'ai eu un super orgasme... très très violent... il l'a senti et en a profité... il m'a planté sa queue dans ma chatte...
- …
- quand il m'a pénétrée... j'ai été surprise... je me suis sentie remplie... et ça m'a déclenché un nouvel orgasme... et je suis restée empalée sur sa queue... quand j'ai réalisé... je me suis levée pour me dégager...
- tu ne voulais pas continuer...
- si... j'en avais envie... mais j'étais allée trop loin... surtout qu'il m'a regardée avec un air implorant... alors je me suis sauvée car...
- putain c'est chaud...
- tu m'en veux mon amour ?
- Non, bien sur que non... et c'est aussi ma faute... je t'avais mise au défi...
- oui... et ça a l'air de t'exciter... t'aurais voulu que je me fasse sauter ?
- Je sais pas... tout ça, notre jeu..., dit Jean en faisant un baiser sur le front de sa belle.
- Oui... tu me rassures...
- t'étais inquiète ?, lance Jean en souriant
- ben... tu te souviens, je suis en mode salope ce soir, rétorque Sophie avec un sourire des plus aguicheurs, et tu m'as donné carte blanche...
- Et la soirée n'est pas finie...
- on va se prendre un dernier verre ?, propose Sophie
- tu ne t'occupes pas de ma queue ?
- Tout à l'heure mon chéri, tout à l'heure... ne soit pas impatient... et tu sais que j'ai encore très très envie de me faire mettre..., ajoute Sophie avec un sourire coquin, ma chatte a encore besoin... et j'ai la bouche et le cul en feu...
Sophie et Jean s'habillent rapidement et descendent la vingtaine d'étages qui les sépare du bar de l'hôtel. Sophie a remis sa belle petite robe et ses sous-vêtements assortis. Elle ne peut s'empêcher de chauffer son homme dans l'ascenseur, qui a l'avantage ou l'inconvénient d'être très lent...
Parvenu dans le salon du bar, ils prennent place tous deux dans une alcôve en forme de U, et commandent deux nouvelles margaritas.
Ils discutent tous les deux, enfoncés dans le moelleux canapé de velours rouge, quand un serveur approche pour leur offrir deux coupes de champagne. Devant leur étonnement, il leur indique que ces verres sont offerts par un monsieur se trouvant au bar. Sophie et Jean regardent et reconnaissent immédiatement l'homme du spa. Il les salue de la main, et Jean lui répond pour le remercier.
- tu veux l'inviter à nous rejoindre ?, demande Jean
- c'est un défi mon chéri ?, répond Sophie avec son sourire coquin
- tu sauras te tenir ?, questionne Jean avec un sourire complice et engageant
- je suis en mode salope... tu le sais, dit Sophie en regardant amoureusement son homme et elle fait un petit signe de la main pour inviter l'homme à les rejoindre.
Jean et Sophie se sourient et se prennent par la main lorsque l'homme arrive à leur hauteur. Les présentations sont rapidement faites, et Patrick s'assied à côté de Sophie.
Après avoir parlé de tout et de rien, la conversation dérive naturellement sur le sexe, même si aucune allusion n'est faite quant à ce qui s'est passé peu de temps auparavant. Patrick évoque malgré tout que Sophie est une très belle femme et que Jean a bien de la chance...
Les coupes de champagne s’enchaînent, les corps s'échauffent à nouveau, et Sophie en dit plus qu'il n'en faudrait, dévoilant entre autre le petit jeu de la soirée. Et c'est tout naturellement qu'au détour de mots coquins, Patrick demande à Sophie d'écarter ses jolies jambes.
D'abord médusé, Jean veut intervenir mais Patrick lui fait un signe. Jean s'aperçoit que Sophie arbore un joli sourire des plus coquins et qu'elle a largement écarté ses jambes, faisant remonter sa petite robe très haut.
Avant qu'il n'ait pu dire un mot, Patrick déclare :
- je crois que Sophie souhaite continuer le jeu... je vous invite à venir boire une coupe dans ma chambre... si vous le désirez...
Croyant déceler dans le regard l'un de l'autre un nouveau défi, ils acceptent. Jean se dirige vers le bar pour régler leurs premières consommations, mais lorsqu'il se retourne après avoir payé, Sophie et Patrick ont disparu. Il se précipite vers les ascenseurs, la boule au ventre, mais sans les trouver.
Jean envoie immédiatement un SMS pour savoir où ils se trouvent.
SMS G : « où êtes-vous »
SMS L : « dans l'ascenseur »
SMS G : « quelle chambre »
Jean n'est pas très rassuré. C'est alors qu'il reçoit une photo où il peut voir la main de Sophie sur le bouton du 22e étage... et dans sa main, Sophie tient son string... Une très forte anxiété s'empare de Jean, et c'est fébrilement qu'il envoie à nouveau son SMS.
SMS G : « quelle chambre ??? »
SMS L : « Monte au 22, tu vas trouver ♥‿♥ »
L'ascenseur tarde à s'ouvrir, et quand il peut enfin s'engouffrer derrière les portes, il appuie précipitamment sur le bouton 22. L'attente lui a paru interminable... et la montée est encore plus lente. Lorsque les portes s'ouvrent à nouveau, Jean se précipite dans le couloir. Il ne s'interroge pas longtemps sur la direction à prendre, puisqu'il découvre sur le sol, dans le couloir de droite, la petite robe de Sophie. Il ramasse le fin vêtement, plein d'appréhension.
Malgré lui, il s'imagine le pire et arpente rapidement le couloir à la recherche d'un nouvel indice. Après avoir tourné un angle, il remarque un soutien-gorge sur la poignée d'une porte... celle-ci est entrouverte et Jean entre précipitamment... pour retrouver Sophie et Patrick assis dans un canapé, une coupe de champagne à la main.
- nous t'attendions, lance Patrick à la vue de Jean
Il lui tend une coupe et ils trinquent ensemble. Sophie, qui déclare qu'elle est définitivement bourrée, est ravie de l'effet qu'elle produit, nue, vautrée sur le moelleux canapé de cuir. Elle regarde son homme avec son sourire coquin. Elle est complètement désinhibée et se délecte de la concupiscence qu'elle lit dans le regard des deux hommes.
Jean finit par dire :
- vous m'avez fait peur... j'ai cru vous avoir perdu...
- c'est pour ça qu'on t'a laissé des indices, répond Patrick avec un petit sourire, sinon, tu nous chercherais toujours... et nous serions peut-être en train de...
- rhooo, fait Sophie en rougissant et en donnant une petite tape sur la cuisse de Patrick à la commissure de l'aine.
- Elle n'aurait peut-être pas accepté, ajoute Jean en souriant également
- qui sait, enchaîne Patrick en plaçant sa main très haut sur la cuisse de Sophie, elle est très joueuse la petite Sophie...
- rhooo, fait encore Sophie en baissant les yeux sur la main, et en s'allongeant un peu plus dans le canapé en écartant un peu les jambes.
Jean ne dit rien, sourit toujours, et embrasse sa femme. Mais il s'écarte rapidement et lui lance un regard plein de questions. Malgré l'alcool, l'haleine de Sophie lui semble différente. Elle rougit brusquement, referme ses cuisses et baisse la tête.
- mon chéri...
- Désolé Jean, la coupe Patrick, Sophie m'a sucé dans l'ascenseur et j'étais tellement excité que je n'ai pas pu me retenir.
Jean est abasourdi ; il ne dit rien, tentant de réaliser ce qu'il vient d'entendre. Sa petite femme vient de sucer un autre que lui... et elle a tout avalé. Constatant son désarroi, Sophie l'enlace tendrement puis se lève, enfile sa robe et propose de rentrer.
Le retour à la chambre se fait sans un mot. Là, Sophie laisse tomber sa robe à ses pieds, et se dirige nue vers Jean. Elle l'enlace... il pose ses mains sur ses hanches pour la bloquer.
- putain Sophie...
- j'étais excitée, bourrée... j'étais déconnectée... dans le jeu... je ne cherche pas d'excuse... tu m'avais lancé un nouveau défi...
- Sophie...
- lorsqu'il m'a donné l'idée de la photo dans l'ascenseur, j'étais toute excitée... et je l'ai fait innocemment... c'est quand je me suis retournée pour lui montrer l'image que j'ai vu qu'il avait sa bite à la main... bien dure, bien grosse... je n'ai pas réagi... il m'a dit que c'était moi qui le mettait dans cet état... que je l'avais plus que chauffé dans le hammam... que je devais finir... que t'étais d'accord puisque tu nous avais laissé partir... et quand il a appuyé sur mon épaule... je me suis mise à genoux... il a dirigé sa queue vers ma bouche... elle était grosse... très grosse... j'ai ouvert les lèvres... il s'est enfoncé en moi... il m'a prise par la nuque et m'a baisé la bouche... je me suis mise à mouiller aussitôt... j'en avais envie... ça n'a pas duré longtemps... il a jouit... une grosse quantité... et j'ai tout avalé...
Sophie pose sa main sur la queue de son homme et constate son état.
- ça te fait bander que je suce un autre que toi ?, demande Sophie avec une petite voix
- Sophie...
- parce que j'ai très envie de queue... si je n'avais pas pensé à toi... il m'aurait sautée dans le couloir...
- je vais t'en donner de la queue...
- ouiii... j'ai envie... je suis en mode salope et j'ai très très envie de queue... j'ai envie de me faire baiser toute la nuit...
Et sortant la queue de Jean de sa prison de toile, elle se jette dessus. Jean est très excité et sa bite est bien gonflée. Sophie le suce comme une petite salope en manque. Ses caresses buccales sont un vrai délice.
- t'essaies de te faire pardonner salope...
- mmm... non... j'ai envie de queue... j'aime ça... mmm... t'aime ça... mmm...et je t'aime...
- putain c'est trop bon... tu vas me faire gicler...
Sophie ralentit et change alors de tactique. Elle veut offrir à son homme une pipe de rêve. Sa langue pointe et vient délicatement lécher le bout humide. Elle recueille quelques sécrétions, ce pré-sperme qu'elle adore, avant de parcourir de bas en haut la queue bien dure de son mari. Puis, le sentant impatient et surexcité, elle change de méthode. Sa fine main droite entame un va-et-vient sur le membre gonflé à son paroxysme et elle ouvre à nouveau la bouche pour entreprendre une fellation digne des meilleures vidéos du web. Sentant qu'il va venir, elle resserre l’emprise de ses lèvres autour du gland turgescent, aspire en creusant les joues, et lève vers Jean ses beaux yeux, l'invitant à se laisser aller. Sophie augmente progressivement sa cadence, enfonçant le plus possible la queue bien dure dans sa bouche. Sa langue virevolte sur le gland et ses mains pressent amoureusement les couilles gonflées. S'en est trop pour Jean qui ne peut se retenir et éjacule dans la bouche de sa bien aimée. Elle le retient par les fesses pour qu'il déverse toute sa semence au fond de sa gorge. Puis, toujours à genoux, elle se recule, lève son doux visage vers son homme. Elle ouvre sa bouche pour qu'il puisse voir son sperme sur sa langue, lui lance son regard de coquine, et déglutit pour tout avaler.
Jean la relève et ils s'embrassent tendrement. Les lèvres toujours soudées, elle lui enlève sa chemise tandis qu'il se défait tant bien que mal de son pantalon et de son caleçon. Et c'est nus tous les deux qu'ils s'écroulent sur le lit.
Leurs caresses reprennent et Sophie ronronne de bonheur. Elle écarte ses jambes et se laisse aller aux frôlements des lèvres et des doigts de Jean sur sa chair. Sa chatte est bien ouverte et coule abondamment.
La bouche de Jean vient parcourir son corps, le couvrant de baisers et légères succions. Puis il atteint le mamelon érigé pour le sucer, le mordiller délicatement. Pendant ce temps, sa main gauche descend pour rapidement trouver un chemin vers la chatte baveuse de Sophie. Sans s'attarder sur le clitoris gonflé qui réclame son dû de caresses, il va enfouir un premier puis un deuxième doigt dans l’antre humide et accueillant. Les soupirs de Sophie valident sa manœuvre, et elle écarte résolument les jambes, plie les genoux pour faciliter l’action des doigts dans sa chatte. Un pouce connaisseur vient maintenant titiller son clitoris, ce qui lui déclenche un long feulement.
Elle halète puis se cambre. Les mouvements de ses hanches viennent à la rencontre des doigts fureteurs, accroissant la montée du désir. Le nouvel orgasme qui la gagne fait trembler ses jambes. Elle saisit la tête de Jean, la détachant de son téton tendu, pour le regarder droit dans les yeux, qu'il puisse constater l'effet qu'il lui fait.
- t'aurais aimé qu'il te baise, chuchote Jean qui contemple les yeux révulsés de plaisirs de sa belle.
Surprise, mais tout à sa jouissance proche, Sophie répond en couinant :
- mmm... j'avais très envie de queue...
- ça veut dire oui, ça...
- mmm... oui... j'aurais bien aimé... avec toi... c'était si excitant...
- tu veux l'appeler, c'est ça...
- oh putain tes doigts... mmm... tu serais pas... jaloux ?
- Mais ça te ferait plaisir...
- oh putain... j'ai super envie de baiser... continue comme ça... j'ai envie de me faire sauter... de me sentir comme une grosse salope...
- t'es une grosse salope...
Loin de la vexer, ces quelques mots l'excitèrent au plus haut point et déclenchèrent un orgasme fabuleux. Sophie jouit longuement... bruyamment...
- t'en veux encore ?, demande Jean en souriant
- tu m'as salement excitée là... fait de moi tout ce que tu veux...
- tu veux de la bite, c'est ça...
- ouiii... de la bonne queue bien dure... comme la tienne... prend moi...
- tu veux la sienne aussi...
- oh putain... ça pourrait être bon...
- appelle le...
Sophie se redresse un peu, légèrement étonnée. Est-ce un nouveau défi ? De son côté, Jean la regarde et la teste. Il ne doute pas de son amour, et doit bien s'avouer que la situation l'excite aussi.
Lentement, sans quitter son mari du regard, Sophie prend le téléphone et appelle la réception pour être mise en relation avec la chambre de Patrick. Les yeux pleins de défis, tout en regardant Jean, elle lance :
- si tu veux me sauter, c'est maintenant, chambre 2030.
Et elle raccroche.
Cette fois, les dés sont définitivement lancés, et ils ne peuvent plus reculer. Une certaine appréhension s'installe, et Sophie se blottit dans les bras de Jean. Elle lui avoue son appréhension, sa peur, et tout son amour. Il la rassure comme il peut, l'embrassant tendrement dans les cheveux, caressant le bas de son dos, quand deux coups à la porte retentissent.
Jean se lève, ouvre la porte et laisse entrer Patrick. En pénétrant dans la chambre, son regard s'attache aussitôt sur Sophie. Allongée sur le grand lit, adossée aux oreillers, les jambes repliées, elle se caresse la chatte langoureusement.
Patrick n'en revient pas. Il pose le seau à champagne et la bouteille qu'il contient, a tôt fait de se déshabiller, mais alors qu'il allait retirer son caleçon, Sophie l'arrête d'un mot. Ce disant, elle se lève et se dirige vers les deux hommes. Ses yeux alternent entre la queue tendue de son mari et la bite déjà dure et voyante de Patrick. Parvenue à leur niveau, elle pose délibérément sa main sur la bosse du caleçon de leur invité puis commence à la caresser doucement. Patrick ne proteste pas et se laisse faire, écartant même un peu les jambes pour faciliter l’accès.
Sophie tourne son visage vers Jean, qui s'empare de sa bouche immédiatement. Elle est là, debout, sa langue dans la bouche de son mari, quasiment sur la pointe des pieds, pendant que Patrick commence à frotter sa main sur sa chatte qu'il découvre ruisselante. Il sourit et la traite de cochonne. Puis, il baisse son caleçon, révélant une belle queue bien raide.
Sophie hésite un peu et s'agenouille pour se mettre à hauteur des deux bites qui l'entourent. Elle les contemple, puis cherche une approbation dans le regard de Jean. Ne voyant aucune opposition, elle se saisit alors des deux mains de cette queue qui la tente. Elle soupèse les deux couilles lourdes et gonflées avant d'entamer un lent va-et-vient sur la bite de Patrick. Elle accélère le rythme, décalottant bien le gros gland de son invité qui se met à suinter légèrement.
- doucement Sophie... doucement... je n'ai pas envie que tu me vides trop vite..., dit Patrick avec un sourire radieux.
- Et si j'ai envie de te voir jaillir..., susurre Sophie avec son regard de garce.
- Tout à l'heure... tout à l'heure... promis... je vais tout te balancer... mais suce moi maintenant...
Sophie regarde à nouveau Jean et, sans détacher de lui son regard, elle sort une langue mutine qui vient caresser le bout du gland de Patrick. Puis, sans plus attendre, avec un sourire de satisfaction, elle enfourne cette bite bien raide entre ses lèvres pour commencer une magnifique fellation.
- oh putain Sophie !!! tu sais y faire !!! t'es une sacré suceuse...
Sophie sourit sous le compliment et ré-enfourne voracement la queue qui semble encore avoir gonflée. Jean se branle à côté et la regarde faire avec un plaisir évident. Elle suçote le gland, caresse les deux grosses couilles et regarde Patrick avec son air de chienne en manque. Il lui met sa main sur le dessus de la tête pour la repousser un peu. Le gland s'échappe des lèvres avec un plop sonore.
- tu as déjà sucé deux bites en même temps ?, demande Patrick.
- Non, répond Sophie avec un petit sourire gêné mais malicieux.
- Alors qu'est-ce que tu attends, ajoute Jean, fais toi plaisir mon amour...
Sophie avale à nouveau le gland imposant de Patrick. Sa langue tourne dans sa bouche pour bien le lustrer. Dans le même temps, elle empoigne la queue tendue de son homme et entame un mouvement de branle. Son pouce caresse le gland aimé et constatant qu'il coule un peu, elle vient recueillir le précieux nectar du bout de la langue. Elle apprécie le goût de la bite de Jean et la pompe au maximum.
Sophie est aux anges et profite de l'instant. Elle masturbe et suce les deux hommes à tour de rôle. Elle les regarde avec envie et émet des grognements de satisfaction.
Jean a déjà joui deux fois ce qui lui permet de profiter au mieux de la bouche experte. Mais Patrick n'est pas dans le même cas.
- oh putain Sophie... arrête... je vais juter là...
- mmm... c'est vrai ?.. tu peux juter... surtout si tu as des réserves...
- vraiment ?.. tu veux bien ?..
Sans lâcher le pieu de chair qu'elle a dans la main, et quittant brièvement celui qu'elle a dans la bouche, Sophie ajoute en gémissant :
- vas-y si tu as de la réserve...
- oh putain... Sophie...
Sophie reprend sa fellation. Elle se fait encore plus salope, et gémit de désir en quittant la queue de son homme pour venir emboucher celle de Patrick. Ce dernier ferme les yeux, et son bassin est pris d'un léger mouvement. Il baise la bouche de Sophie alors que celle-ci astique de ses lèvres sa queue bien raide. Il s'immobilise soudain et éjacule à longs traits dans la bouche divine. Le plus naturellement du monde, Sophie le boit jusqu'à la dernière goutte et lui nettoie la queue en gémissant de plaisir. Elle ne laisse cet objet du désir que lorsqu'il a bien ramolli.
Elle essuie avec le doigt le trop plein de sperme qui a coulé hors de sa bouche et le lèche avec une lenteur calculée. Elle se sent salope et entend bien le montrer. Elle est fière de ce qu'elle vient d'accomplir, heureuse que son mari la laisse faire. Elle att**** Jean par les couilles pour guider sa queue vers sa bouche, mais il lui fait signe de se relever. Un peu de sperme luit sur sa lèvre inférieure, ce qui donne à Sophie un air très...
Elle se relève, en faisant une petite mou de déception, mais Jean lui montre Patrick du doigt. En effet, la queue de leur invité pointe à nouveau vers le haut, signe de son évident intérêt pour Sophie.
- je crois que Patrick a encore envie de toi ma chérie... et je crois qu'il a envie de décharger ailleurs que dans ta bouche...
- mmm... ça tombe bien... j'ai très envie de me faire sauter... très très envie de prendre des coups de queue..., fait Sophie avec une voix langoureuse.
- J'ai eu qu'un avant goût de ta petite chatte tout à l'heure... je compte bien en profiter maintenant, ajoute Patrick.
Sophie se dirige vers le canapé, en caressant au passage les deux queues qui sont tendues vers elle. Elle s'agenouille sur le large siège et pose son buste sur le dossier. Patrick se précipite pour lui lécher la fente par derrière.
- pas besoin de lubrifiant... elle est trempée... elle semble prête à accueillir une autre bite que la tienne...
Ce disant, il se redresse et Jean prend sa place. Sophie suinte de cyprine. Jean bois à ses lèvres dégoulinantes et agace de temps à autre son petit bouton. Sa langue parcourt les moindres recoins de son intimité et ces quelques coups de langue appuyés font gémir Sophie qui ferme les yeux de plaisir. Quatre mains voyagent langoureusement sur ses fesses, ses seins, son dos et une langue fouille son intimité. Sophie est aux anges.
Jean s'écarte un peu et ses doigts prennent le relais de sa langue.
- j'ai envie de te la mettre mon amour... très envie...
Sans rien répondre, Sophie se cambre un peu plus. Elle attend la saillie et ses gémissements se font explicites. Elle a très envie de sa bite et cherche une pénétration qui tarde à venir.
Jean se penche vers Patrick et lui fait comprendre par signes qu'il aimerait qu'il la baise, sans qu'elle sache que c'est lui.
Patrick ne dit rien, mais sa queue tressaute en guise d'acceptation. Il articule sans bruit le mot « capote », mais Jean lui fait signe que non. Il sait que Sophie aime être prise au naturel, qu'elle aime jouir d'une bonne queue sans protection, être inondée, pleine de sperme.
Bien dans l'axe de sa chatte détrempée, Patrick la pénètre sans effort par derrière. Il fait entrer son gland tout doucement et après quelques légers va-et-vient pour prendre ses marques et profiter de l'étroitesse de la petite chatte, il commence à la limer plus profondément en la pénétrant jusqu'aux couilles. Sophie qui ronronnait hurle lorsque la grosse bite investit totalement sa chatte.
Jean continue ses caresses sur les seins et les fesses de Sophie. S'il se laissait aller, il irait bien faire goûter sa queue dans la belle fente juteuse de sa salope de femme, mais il a envie qu'elle profite de la bite qui la pilonne. Car Patrick y va maintenant de bon cœur, et ses coups de reins sont puissants. Les fesses de Sophie vibrent à chaque assaut et des cris de plaisir s'échappent de sa bouche à chaque fois que la grosse bite cogne son utérus.
Jean regarde la bite qui baise sa femme, la petite chatte trempée qui dégouline, et écoute les cris d'amour. Puis, il contourne le canapé et présente sa queue bien raide à la gourmande qui se laisse joyeusement entreprendre par une autre bite que la sienne.
- oh putain salaud..., fait Sophie en gémissant. J'ai mis... aaaah... du temps à réaliser... aaaah... que c'était... ooooh... sa queue... elle est grosse putain... aaaah... je croyais... ooooh putaiiiin... que tu me sautais...
- t'aurais voulu la mienne...
- j'aime bien... mmm... celle là... il me baise bien... ooooh... sa queue me rempliiiie...
Et Jean pose sa bite sur les lèvres de Sophie qui ouvre la bouche. Elle réalise un de ses rêves... être prise par deux queues à la fois.
Jean se laisse sucer par cette experte en pipe tandis que Patrick est en train de sévèrement la bourrer. Devant ce spectacle d'une femme prise par deux hommes, Jean sent ses couilles se contracter. C'est pour lui un signal, et, plaçant sa main sur la nuque de sa femme, il se met à lui baiser la bouche. Patrick lui met une grande claque sur les fesses, et tous les deux, ils accélèrent la cadence et démontent littéralement Sophie des deux côtés. On entend à peine les gémissements de plaisir de Sophie qui sont étouffés par la queue de Jean. Mais elle a l'air de prendre son pied et ses mains serrent de plus en plus fort le dossier.
Sophie pousse un petit gémissement étranglé, signe que sa jouissance est en train de monter en elle. Soudain, diverses vagues orgasmiques la terrassent et elle se laisse aller, de façon complètement indécente, à ces queues qui la baisent.
- je vais jouir, lance Jean
Toute à sa jouissance, Sophie parvient à extraire la queue gonflée de sa bouche :
- sur moi !!! sur moi !!!, arrive-t-elle à articuler
- oh putain trop taaaard !!!, crie Patrick.
Et disant cela, il sort rapidement sa queue de la chatte de Sophie et la place entre ses fesses. Ses jets de foutre sont puissants et chaque décharge de sperme est ressentie par Sophie qui pousse des petits cris de contentement. Les jets s'écrasent sur son dos en longues traînées. Jean éjacule dans la foulée, longuement, abondamment, sur le visage et la langue de sa petite femme adorée. Sous ce double assaut de sperme, elle gémit à nouveau de plaisir et de satisfaction.
Puis, reprenant peu à peu ses esprits, Sophie se lève rapidement et file vers la salle de bain pour se nettoyer. Elle lance aux deux hommes qu'il n'y aura pas long d'attente... et qu'elle saura se faire pardonner.
Jean et Patrick s'affalent tous deux dans le canapé, et par le jeu des miroirs, ils contemplent Sophie sous la douche. Voir cette belle femme sous l'eau qui ruisselle les excite à nouveau, et lorsqu'elle sort de la salle de bain, Sophie découvre deux belles bites bien tendue.
- eh ben ! Ça ne vous a pas suffit ? Vous en voulez encore ?, fait Sophie avec un grand sourire.
- Parce que tu n'en as pas envie peut-être..., lui répond Jean avec un air malicieux
- si..., dit Sophie dans un souffle en s'asseyant entre les deux hommes. Je suis en mode salope ce soir...
En s'enfonçant dans le canapé, elle écarte largement ses jambes et se saisit des deux queues bien dures qui l'entourent. Elle les branle lentement, les regardant tour à tour en se mordillant la lèvre inférieure, puis embrasse Jean à pleine bouche. Puis elle se tourne vers Patrick et lui demande d'aller s'allonger sur le lit. Elle revient sur les lèvres de son homme, l'embrasse en le branlant tendrement, et le regarde droit dans les yeux.
- je t'aime mon amour..., lui lance-t-elle avant de se lever.
Elle se dirige alors d'un pas calculé vers le grand lit, offrant ses fesses à la vue de l'un tandis que l'autre se repaît de sa belle poitrine. Elle se retourne, fait un clin d’œil à Jean et se met à quatre pattes. C'est dans cette position qu'elle avance vers le lit, comme une féline en quête de queue.
Lorsqu'elle monte sur le lit, elle avance entre les jambes de Patrick. Elle se positionne sur ses avants bras, les fesses bien relevées, et lèches les couilles qui sont devant elle. Sa langue s'attarde sur les deux boules gonflées, puis, elle remonte lentement sur la tige tendue et vient embrasser du bout des lèvres le gland qui a doublé de volume. La queue de Patrick est vraiment grosse, ce qui ravit Sophie. Elle continue cependant son ascension, embrassant tour à tour le ventre, puis la poitrine de son invité. Lorsqu'elle sent la queue entrer en contact avec sa chatte bien mouillée, elle se l'introduit d'une main experte.
Jean est au spectacle, et cette scène l'excite au plus haut point. Voir la chatte de Sophie s'empaler au ralenti sur cette bite bien bandée est pour lui un spectacle magnifique. Quand il voit le cul de sa femme s'agiter et la queue de Patrick avalée par sa chatte, il se lève pour participer. Il monte debout sur le lit et caresse le visage de Sophie avant de lui donner son index et son majeur à sucer. Puis c'est sa queue qu'il présente aux lèvres aimées et revoilà Sophie avec deux sexes en elle.
Les mouvements de bassin de Sophie sont lents. Elle profite au maximum du gros bâton de chair qui est en elle, qui lui remplit la chatte. Ce rythme lui permet de savourer la queue de son homme, et elle se délecte de son gland, le léchouillant, le suçant, l'aspirant.
- oh putaiiiin... c'est trop boooon..., fait Sophie en gémissant de plaisir.
- Va falloir passer aux choses sérieuses mon amour..., lui répond alors Jean.
Et tandis que Patrick continue de profiter de la petite chatte qui pompe sa queue, Jean se place derrière eux et écarte les fesses de sa femme. Il pointe sa langue et caresse son petit trou, ce qui fait gémir Sophie de contentement. Elle se penche sur Patrick pour bien relever ses fesses et se faire bouffer le cul. Lorsqu'il constate qu'elle est suffisamment dilatée, que son cul est bien ouvert, Jean présente son gland et pousse doucement.
Il sait que Sophie n'a jamais été prise par deux bites en même temps, et il veut qu'elle jouisse au maximum de toutes ces nouvelles sensations.
Sous la poussée, Sophie a cessé de respirer. Bouche ouverte, tête relevée, elle savoure la queue de son homme qui l'encule. Lorsqu'elle le sent arriver en butée, elle pousse un long gémissement de satisfaction.
- ooooh putaiiiin... c'est trop boooon... putain mon amouuuur... c'est trop boooon...
Cette longue plainte est le signal pour Jean et Patrick qui commencent à limer Sophie à tour de rôle. Les deux queues jouent le rôle de piston. L'une s'enfonce tandis que l'autre ressort et vice versa. Sophie se sent remplie, écartelée sur ces deux bites. Jean la prend aux hanches pour la pénétrer plus profondément tandis que Patrick saisit ses seins pour les presser. Sophie ne se maîtrise plus et crie de plus en plus fort, hurlant qu'elle aime se faire défoncer, que les deux hommes sont des salauds, que leurs queues sont bonnes...
Une boule de bonheur enfle dans son ventre, grossit, irradie. Les parois de sa petite chatte se contracte violemment tandis que son cul est agité de spasmes incontrôlés. La jouissance est proche et lorsqu'elle éclate, Sophie reste sans voix. Tout son corps est pris de tremblement, elle suffoque de plaisir, et deux larmes coulent de ses beaux yeux.
Lui laissant le temps de savourer et de se remettre, Jean et Patrick ont cessé tout mouvement. Sophie leur fait comprendre qu'elle ne peut plus continuer, et elle se met à genoux, assise sur ses talons. Elle regarde les deux hommes et leur murmure :
- je veux vous voir jouir... je veux du sperme... sur moi...
Jean et Patrick se mettent debout, à sa hauteur, et se branle en la regardant. Sophie se presse les seins, ouvre la bouche et tire la langue, gémit, fait ce qu'elle peut pour faire gicler les deux queues.
Jean est le premier à craquer. Un long jet de sperme fuse et vient s'écraser entre les seins de Sophie. Alors qu'une deuxième giclée prend la direction de son cou, la queue de Patrick jaillit à son tour et son foutre s'abat sur la langue tirée. Le sperme gicle des deux bites pour le plus grand bonheur de Sophie qui accueille chaque décharge d'un petit gloussement de contentement. Elle étale la semence sur ses seins et se lèche les lèvres en regardant Jean. Puis, sans quitter son regard, elle saisit délicatement la queue de Patrick pour la nettoyer de sa langue experte. Ses yeux ne quittent pas ceux de son homme et elle vient prendre sa queue dans sa bouche pour y effacer toute trace suspecte.
Repus de sexe, ils prennent place à nouveau sur le canapé et se désaltèrent d'une nouvelle coupe de champagne. Lorsque la bouteille est finie, Patrick se rhabille pour prendre congé. Il demande à Jean s'il peut embrasser Sophie une dernière fois. Devant son accord, Sophie se lève et Patrick l'embrasse langoureusement. Sa main passe sur la petite chatte et son majeur taquine le clitoris. A la surprise de Jean, Sophie écrase un peu son bassin sur la main et profite de la caresse. Le baiser se rompt et Patrick laisse nos deux amoureux.
Jean et Sophie s'enlacent et s'embrassent tendrement. Puis, regardant son homme avec un beau sourire de femme comblée, elle se précipite sous la douche. Jean la suit, mais l'étroitesse des lieux ne lui permet pas de la rejoindre. Il l'admire se savonner et son sexe commence a prendre à nouveau un peu de vigueur.
Sophie sort de la douche et laisse sa place, non sans donner une petite tape amicale sur la queue à moitié gonflée.
- t'a été une belle salope ce soir mon amour...
- mmm... tu crois ?, répond Sophie avec un air faussement ingénu
- je pense... toi, quand tu es en mode salope..., ajoute Jean en souriant
- et..., fait Sophie en se mordillant un doigt
- j'ai bien aimé...
- je peux être encore plus salope tu sais...
- mmm... ça semble difficile quand même...
- tu te souviens... un soir... le jeu des questions..., dit Sophie avec un petit sourire coquin.
Jean réalise soudain ce à quoi Sophie fait allusion. Et avant qu'il ait pu esquisser le moindre geste, Sophie sort de la pièce en riant et en disant :
- une vrai salope mon amour... une vrai salope...
Jean se souvient de cette soirée et de cette question : « que ferais-tu pour te sentir vraiment salope ? » La réponse de Sophie avait fusé, sur le ton de la plaisanterie : « te tromper avec un autre mec ». Jean ne sait quoi penser. Sophie plaisante-t-elle ? Le fait-elle marcher ?
Lorsqu'il met la main sur la clenche de la porte que Sophie a pris le soin de fermer, il constate qu'il ne peut la manœuvrer. Elle l'a enfermé et à sûrement bloqué la poignée avec une chaise. Il frappe à la porte et il entend Sophie lui dire :
- attend mon amour... écoute... imagine... une vrai salope...
Jean comprend qu'il ne peut rien et attend, l'oreille collée à la porte.
Il entend bien quelques mouvements, quelques gémissements légers et quelques bruits de succion, mais rien qui ne l'alerte vraiment. Il imagine que Sophie le fait marcher quand soudain un petit cri de plaisir retentit.
C'est Sophie qui, à genoux au dessus de Patrick, s'est saisie de sa queue pour la guider vers sa fente détrempée. Elle s'empale sur une bite au diamètre supérieur à la moyenne, se pénétrant longuement et lentement. Elle s'enfonce profondément sur ce pieu, puis, elle le fait ressortir à moitié pour mieux replonger dessus. Elle se baise sur cette grosse queue dans une débauche de petits cris et de longs râles de plaisir.
En appui sur son torse, les seins tendus vers Patrick, la tête en arrière, elle ondule des fesses, plantant sa chatte dégoulinante sur ce pieu qui entre et qui sort. D'abord lents, ses mouvements de bassin deviennent frénétiques. Sophie est totalement déchaînée. Sa voix monte dans les aigus à chaque coup de reins coordonné, jusqu’au moment où, dans un râle elle jouit en criant et en s'affaissant sur son partenaire. Son corps devient subitement immobile, totalement planté sur la bite agitée de légers soubresauts.
Jean a reconnu ce cri. Une boule s'est formée au creux de son estomac, mais, aussi bizarre que cela puisse paraître, ce feulement l'excite. Il met sa main sur sa queue et constate qu'il bande fortement. Alors, se laissant guider par les bruits de baise, il se masturbe.
Patrick a fait pivoter Sophie et se trouve maintenant au dessus d'elle. Il l’embrasse à pleine bouche tout en se glissant entre ses cuisses, qui naturellement s’écartent pour laisser le passage. Comme mû par un instinct primaire, le bas-ventre se lance vers l'avant, entamant une nouvelle pénétration. Un nouveau long râle de plaisir répond à cette intromission. Sans qu’il ne cesse de l’embrasser, Patrick distille de longs et puissants coups de reins et s’enfonce chaque fois un peu plus fort, un peu plus loin dans l’intimité de Sophie. Elle accompagne chacun de ses mouvements de gémissements et l’encourage de la voix
- oh putain vas-y... encore... encore... ouiiii... prends bien ma chatte... elle est à toi... défonces ma chatte avec ta grosse queue...
- t'en veux encore salope... tu voulais une nouvelle queue pour ton garage à bites...
- oui, ouiiii... ta grosse queue pour mon garage à bites...
Excité au plus haut point par cette petite salope qui se donne sans retenue, il se redresse, relève et écarte les jambes de Sophie afin d'accentuer encore la longueur de sa pénétration. Sophie fixe sa queue qui entre et qui sort de sa chatte déformée par son épaisseur, et elle se laisse étourdir par les bruits et le glissement sans fin.
De l'autre côté de la porte, Jean fantasme sur cette scène surréaliste.
Sans aucune pudeur, Sophie écarte ses cuisses et accompagne les mouvements, ses mains crispées aux fesses musclées, comme si elle souhaitait sentir encore mieux les coups de queue qu'elle prend. Le déhanché de Patrick et sa grosse queue qui la pourfend font monter en elle des sensations très fortes.
Il accélère son mouvement de façon de plus en plus perceptible et on entend maintenant les claquements des deux peaux. Son pubis claque celui de Sophie à chaque poussée, ses lourdes couilles viennent taper son petit cul. Elle en a le souffle coupé et ses ses gémissements sont devenus des petits cris étouffés, entrecoupés de « oui… encore » à peine perceptibles.
Cela dure encore quelques minutes avant que Sophie ne jouisse fortement et que Patrick se fiche dans un long râle au plus profond de sa chatte pour éjaculer sa cargaison de foutre.
Lorsqu'il entend une long « ouiiii » d'extase, Jean reste sans réaction.
Après quelques minutes de silence, la porte de la salle de bain s'ouvre. Sophie fait face à Jean. D'abord penaude, elle relève son visage encore rosi et déformé par l'intense dose de plaisir qu'elle vient de ressentir. Elle sourit tendrement et se jette dans les bras de son mari.
- tu m'en veux ?, demande-t-elle d'une toute petite voix.
Jean ne dit rien mais prend son visage à deux mains et le relève vers lui. Ils se regardent tous les deux, intensément. Jean lit un amour profond derrière les yeux embués de Sophie.
- je suis une salope maintenant... une vrai salope... ta salope... je t'aime.
Sophie prend Jean par la main et l’entraîne vers le grand lit...
Publicerad av HagenRagnard
3 år sedan
Kommentarer
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Hummmm très excitant.  
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till aerosm : On fait avec ce qu'on a sous la main... 😉
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aerosm
elle aurait mériter 3 bites dans la chatte, le cul et la bouche en même temps ...
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till aerosm : Moi aussi 😉
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aerosm
trop beau, trop bon ... j'adore Sophie !
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ccandau
dommage que vous ne publiez plus d'histoires très excitante, je le regrette espère que l'on pourra à nouveau etre amis 
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Excitant...
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till kiwinz27 : merci
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kiwinz27
quelle beau texte qui si en s'en doutait la belle Sophie une une belle gourmande de sexe et d epalasir
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Patcal3340
beau récit émoustillant  par cette situation coquine très appréciée , merci
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PlaisirX69
Savoureux...
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till chaudumanche : N'est-ce pas ?
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chaudumanche
Quelle salope cette sophie
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frpoiutre
Très beau billet, bien excitant. Merci
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bistony
Merci très belle journée de sexe, vicieuse et cochonne à souhait
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caso29
till HagenRagnard : En forme de billet, pour le moment ils m'en ont supprimé aucun depuis que je les ai republiés
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till caso29 : Si le site ne les supprime pas...
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caso29
Quelle récit super excitant, cela faisait longtemps que j'en avais pas lu d'aussi bon et bien écrit, j'espère en lire d'autres de vous
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till hotsession13 : merci
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waw! magnifique!
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till PlaisirX69 : Pareil pour moi, j'ai perdu plein de choses...
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PlaisirX69
Quel récit ! Magnifique. J'en avais mais, l'administration du site a eu la géniale idée, des supprimer...
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luciendu69
Un véritable bonheur... quelle belle écriture et quelle coquine. Merci
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ccandau
till HagenRagnard : oui c'est maintenant si difficile de retrouver les histoires que comme toujours j'apprécie espère que vous me réaccepterais comme ami merci
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till ccandau : Merci
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ccandau
superbe enfin je retrouve vos histoires qui étaient très excitantes et bandantes je revois Jean et Sophie et suis comblé merci pour ce bon moment de plaisir
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till HagenRagnard : j'espère que vous aimerez mes histoires
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till nudemum : Merci
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belle histoire bandante
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