Mes Débuts (4 et fin)
J’avais honte, j’avais peur… je le suppliais à voix basse de me lâcher…
Mais il ne s’occupa pas de moi et répondit à l’intru en arabe m’empêchant toujours de bouger….
Dans quel pétrin j’étais !!!!!!
Un individu pénétra dans la chambre. J’ai fermé les yeux, j’étais tétanisé !!!!! j’imagine aujourd’hui que j’ai même dû serrer les fesses ce qui ne devait pas déplaire à Mohamed…
L’intrus a fait le tour du lit en échangeant dans sa langue natale avec celui qui avait le sexe toujours aussi dur logé au fond de mes entrailles. Il ne semblait pas du tout gêné par la situation.
Il s’adressa à moi : « t’inquiètes pas Jean, c’est Omar, mon meilleur ami. »
Ouiii… mais bon…. J’ai ouvert les yeux et j’ai vu un homme basané, plus petit que Mohamed, plus trapus, un peu bedonnant, avec un nez de boxeur. Il me regardait avec ses yeux noirs perçants. Il ne souriait pas et ne m’inspirait guère confiance… je n’aurais pas aimé le rencontrer la nuit dans une ruelle déserte !
Il s’adressa à moi avec un fort accent : « alors le Français, on aime se faire enculer par un arabe ?»
J’ai refermé les yeux comme si cela me permettait de m’enfuir…
Mohamed : « tu vas être gentille avec Omar n’est-ce pas ?... Il va se joindre à nous «
Hooo la galère ……
J’ai entendu du bruit et entre mes cils j’ai vu cette brute se déshabiller … il était gros, très poilu, moche…. Entre ses jambes sa bite épaisse pendait sur deux grosses couilles, le tout entouré de poils noirs frisés. Au repos elle était plus courte que celle qui me possédait sur le moment, mais bien plus grosse !
Les deux marocains ont eu un bref échange et Mohamed m’a dit tout en me tirant : « mets-toi sur moi ». Lui se retrouva sur le dos et moi assis sur sa bite bien enfoncée dans le cul !!!! Je faisais face à Omar qui monta sur le lit et me présenta sa queue à sucer... J’ai reculé le visage… Il m’a alors pris par l’arrière de la tête, sans douceur, pour avancer ma bouche vers son engin… il sentait un peu l’urine… « SUCE !» m’ordonna-t-il...
Pas très fier, docilement, j’ai ouvert la bouche. Il s’est empressé d’y glisser sa bite et a répété « SUCE ! ». Cet ordre était suivi de quelques mots en arable que je soupçonne je ne pas être très élogieux à mon égard.
J’ai pris sa queue en main et j’ai commencé à la sucer. Rapidement elle a pris de l’ampleur me remplissant complètement la bouche… lui aussi était circoncis.
« LECHE ! ». Je l’ai léchée sur toute sa longueur et j’en ai fait de même avec ses couilles. « Bien putain française, continue… ». Cette fois cela avait le mérite d’être clair, je savais comment il me considérait. Qu’elle différence d’attitude avec son coreligionnaire, à moins que ce dernier eût juste pour but de m’amadouer…. Mais bon, je n’avais ni le temps ni le loisir de me poser mille questions… j’étais un peu coincé et pour être tout à fait honnête avec vous…. Je commençais à retrouver l’excitation qui m’avait quittée depuis qu’il était apparu. Mettant du cœur à l’ouvrage, je gobais ses testicules, avant de reprendre son zob dans la bouche.
Mohamed, silencieux, a saisi mes hanches et a bougé autan que notre position le permettait. Le sentant remuer, j’ai de moi-même bougé mes fesses d’avant en arrière, massant ses testicules et caressant ainsi à son sexe bien au chaud dans mon cul.
Je n’oubliais pas Omar tétant le mieux possible son chibre. Mais il était si volumineux maintenant que j’avais beaucoup de mal à le garder en bouche. Il m’a bloqué la tête, saisi par les oreilles, et commencé à posséder ma cavité buccale avec une certaine brutalité. J’essayais bien de me reculer, mais il me maintenait fortement. Il enfonçait sa bite au plus profond dans ma gorge. J’avais les larmes aux yeux et envie de vomir. Lui s’en foutait, allait et venait, prenant son plaisir. Heureusement, il n’avait pas dû avoir de relation depuis un certain temps. Il grogna, colla ma bouche contre son pubis, le nez dans les poils, la queue au fond de ma gorge dans laquelle il éjacula directement un flot de sperme au gout plus fort que celui d’Omar ! Il me lâcha enfin, me permettant de reculer, de tousser, je croyais que j’allais mourir étouffé !!!! des larmes coulaient sur mes joues.
Il me représenta son engin : « NETTOYE ! ». Ce que j’ai fait avec ma langue du mieux que j’ai pu en avalant les restes de sa jouissance.
Cette opération terminée, mon enculeur se rappela à moi par une tape sur la fesse et en me disant : « Chérie, baise-toi sur mon zob ».
Je me suis tourné en pivotant sur mon (ou son) axe afin d’être face à lui. J’ai mis mes mains sur son torse et j’ai commencé à bouger mon bassin… Lui-même donnait des coups de queue. Oh que c’était bon…. J’étais excité, je ressentais du plaisir, beaucoup de plaisir. Bizarrement je ne bandais pas mais du liquide s’écoulait de ma verge sur son ventre. Mohamed accéléra le rythme de plus en plus en me donnant de petites claques sur mes fesses. Il était très résistant. Il me fit me relever pour me mettre en levrette. Il m’a saisi aussitôt par les hanches et m’a pénétré bien à fond. A chaque pénétration son ventre claquait sur mes fesses. Il lui arrivait de ressortir complètement pour aussitôt réinvestir mon intestin. C’était brutal mais jouissif !
Omar en profita pour me redonner sa queue à biberonner… ce que je fis sans protester. Je ne savais plus qui j’étais ni ou je me trouvais !!! Sa bite qui était en semi érection se redressa très rapidement. Autant que faire se peut vu le diamètre, je la suçais comme si ma vie en dépendait pendant que Mohamed me labourait l’annus. Il me tenait très fort, de plus en plus fort, pas de caresses, de baisers ou mots doux comme la première fois. Il était lancé dans une cavalcade qui s’acheva dans un fort grognement, son ventre bien collé contre mon cul. J’ai senti son pénis gonfler avant de m’envoyer plusieurs giclées dans mon conduit. Nous étions tous les deux en sueur. Je tremblais. J’ai lâché la queue d’Omar pour pouvoir appuyer ma tête sur le lit et reposer mes bras. Je n’en pouvais plus.
Après un laps de temps que je ne peux estimer, Mohamed a sorti son engin doucement et s’est reculé… J’allais m’écrouler quand sans que je puisse faire quoi que ce soit, Omar m’a à son tour saisi sans délicatesse par les hanches et a pris la suite de son acolyte. Même si ce dernier m’avait bien rodé, cette nouvelle pénétration n’a pas été une mince affaire ! je voulais m’échapper mais mon nouvel amant m’a donné quelques fortes claques sur mon arrière train m’intimant l’ordre de rester tranquille. Il a pris sa grosse tige en main, l’a présentée devant mon petit trou et a forcé l’entrée pour me pénétrer directement à fond. J’ai crié. Cela ne lui a fait ni chaud ni froid. Ou plutôt cela a dû augmenter son désir car il m’a pénétré avec vigueur, claquant toujours mes fesses qui devenaient à leur tour très sensibles……
Ayant déjà jouit dans ma bouche, il était plus résistant. Parfois il accélérait, tandis qu’à d’autres moments il ralentissait, sortait même de mon anus, laissant un grand vide à l’intérieur. Il ne restait pas longtemps à l’extérieur, très vite il reprenait possession de mon corps. Entre autres gentillesses il m’a dit : « alors le Français, tu es content ? tu l’as ta bite arabe dans le cul ». Plus souvent il prononçait des mots arabes que je ne comprenais pas mais qui n’étaient surement pas des douceurs….
J’étais humilié, martyrisé et, bizarrement, je commençais à ressentir de nouveau de l’excitation, du plaisir même. Je pense qu’il s’en est rendu compte. Il a accéléré le rythme et la vigueur de ses pénétrations. J’avais toujours la tête contre le lit, le cul bien relevé, les jambes écartées. J’ai glissé ma main sous moi pour me saisir de mon sexe. Je me suis rendu compte que je bandais ! je me suis branlé et très rapidement j’ai éjaculé en criant. Omar m’a suivi en inondant mon intestin de son sperme et en me serrant très fort contre lui. Il a ressorti sa queue en me redonnant une bonne tape sur le cul. J’ai aussitôt senti des quantités de liquide sortir et couler le long de mes cuisses.
Je me suis écroulé sur le lit, j’étais épuisé. Mais Omar, insensible, m’a relevé la tête et m’a obligé à nettoyer sa queue poisseuse qui n’avait ni le gout d’un bonbon à la menthe, ni l’odeur de la rose !!! je me suis bien gardé de protester et je l’ai fait malgré quelques hauts le cœur !
Il a échangé quelques paroles en marocain avec son ami avant de partir sans même m’adresser la parole.
Mohamed, plus affectueux, est venu s’allonger avec moi et ma serré dans ses bras, m’a câliné en m’appelant sa Chérie…. Nous nous sommes embrassés et un peu caressés. Puis la réalité m’a rattrapé. « Quelle heure est-il ? ». « 23 heures ». L’heure de prendre le chemin du retour et de se quitter car mon bateau appareillait le lendemain matin.
Nous nous sommes langoureusement embrassés avant de quitter chez lui. Il m’a ramené en voiture et nous nous sommes quittés sur un simple aurevoir, sachant que l’on ne se reverrait jamais. Ainsi va la vie de marin.
Mais il ne s’occupa pas de moi et répondit à l’intru en arabe m’empêchant toujours de bouger….
Dans quel pétrin j’étais !!!!!!
Un individu pénétra dans la chambre. J’ai fermé les yeux, j’étais tétanisé !!!!! j’imagine aujourd’hui que j’ai même dû serrer les fesses ce qui ne devait pas déplaire à Mohamed…
L’intrus a fait le tour du lit en échangeant dans sa langue natale avec celui qui avait le sexe toujours aussi dur logé au fond de mes entrailles. Il ne semblait pas du tout gêné par la situation.
Il s’adressa à moi : « t’inquiètes pas Jean, c’est Omar, mon meilleur ami. »
Ouiii… mais bon…. J’ai ouvert les yeux et j’ai vu un homme basané, plus petit que Mohamed, plus trapus, un peu bedonnant, avec un nez de boxeur. Il me regardait avec ses yeux noirs perçants. Il ne souriait pas et ne m’inspirait guère confiance… je n’aurais pas aimé le rencontrer la nuit dans une ruelle déserte !
Il s’adressa à moi avec un fort accent : « alors le Français, on aime se faire enculer par un arabe ?»
J’ai refermé les yeux comme si cela me permettait de m’enfuir…
Mohamed : « tu vas être gentille avec Omar n’est-ce pas ?... Il va se joindre à nous «
Hooo la galère ……
J’ai entendu du bruit et entre mes cils j’ai vu cette brute se déshabiller … il était gros, très poilu, moche…. Entre ses jambes sa bite épaisse pendait sur deux grosses couilles, le tout entouré de poils noirs frisés. Au repos elle était plus courte que celle qui me possédait sur le moment, mais bien plus grosse !
Les deux marocains ont eu un bref échange et Mohamed m’a dit tout en me tirant : « mets-toi sur moi ». Lui se retrouva sur le dos et moi assis sur sa bite bien enfoncée dans le cul !!!! Je faisais face à Omar qui monta sur le lit et me présenta sa queue à sucer... J’ai reculé le visage… Il m’a alors pris par l’arrière de la tête, sans douceur, pour avancer ma bouche vers son engin… il sentait un peu l’urine… « SUCE !» m’ordonna-t-il...
Pas très fier, docilement, j’ai ouvert la bouche. Il s’est empressé d’y glisser sa bite et a répété « SUCE ! ». Cet ordre était suivi de quelques mots en arable que je soupçonne je ne pas être très élogieux à mon égard.
J’ai pris sa queue en main et j’ai commencé à la sucer. Rapidement elle a pris de l’ampleur me remplissant complètement la bouche… lui aussi était circoncis.
« LECHE ! ». Je l’ai léchée sur toute sa longueur et j’en ai fait de même avec ses couilles. « Bien putain française, continue… ». Cette fois cela avait le mérite d’être clair, je savais comment il me considérait. Qu’elle différence d’attitude avec son coreligionnaire, à moins que ce dernier eût juste pour but de m’amadouer…. Mais bon, je n’avais ni le temps ni le loisir de me poser mille questions… j’étais un peu coincé et pour être tout à fait honnête avec vous…. Je commençais à retrouver l’excitation qui m’avait quittée depuis qu’il était apparu. Mettant du cœur à l’ouvrage, je gobais ses testicules, avant de reprendre son zob dans la bouche.
Mohamed, silencieux, a saisi mes hanches et a bougé autan que notre position le permettait. Le sentant remuer, j’ai de moi-même bougé mes fesses d’avant en arrière, massant ses testicules et caressant ainsi à son sexe bien au chaud dans mon cul.
Je n’oubliais pas Omar tétant le mieux possible son chibre. Mais il était si volumineux maintenant que j’avais beaucoup de mal à le garder en bouche. Il m’a bloqué la tête, saisi par les oreilles, et commencé à posséder ma cavité buccale avec une certaine brutalité. J’essayais bien de me reculer, mais il me maintenait fortement. Il enfonçait sa bite au plus profond dans ma gorge. J’avais les larmes aux yeux et envie de vomir. Lui s’en foutait, allait et venait, prenant son plaisir. Heureusement, il n’avait pas dû avoir de relation depuis un certain temps. Il grogna, colla ma bouche contre son pubis, le nez dans les poils, la queue au fond de ma gorge dans laquelle il éjacula directement un flot de sperme au gout plus fort que celui d’Omar ! Il me lâcha enfin, me permettant de reculer, de tousser, je croyais que j’allais mourir étouffé !!!! des larmes coulaient sur mes joues.
Il me représenta son engin : « NETTOYE ! ». Ce que j’ai fait avec ma langue du mieux que j’ai pu en avalant les restes de sa jouissance.
Cette opération terminée, mon enculeur se rappela à moi par une tape sur la fesse et en me disant : « Chérie, baise-toi sur mon zob ».
Je me suis tourné en pivotant sur mon (ou son) axe afin d’être face à lui. J’ai mis mes mains sur son torse et j’ai commencé à bouger mon bassin… Lui-même donnait des coups de queue. Oh que c’était bon…. J’étais excité, je ressentais du plaisir, beaucoup de plaisir. Bizarrement je ne bandais pas mais du liquide s’écoulait de ma verge sur son ventre. Mohamed accéléra le rythme de plus en plus en me donnant de petites claques sur mes fesses. Il était très résistant. Il me fit me relever pour me mettre en levrette. Il m’a saisi aussitôt par les hanches et m’a pénétré bien à fond. A chaque pénétration son ventre claquait sur mes fesses. Il lui arrivait de ressortir complètement pour aussitôt réinvestir mon intestin. C’était brutal mais jouissif !
Omar en profita pour me redonner sa queue à biberonner… ce que je fis sans protester. Je ne savais plus qui j’étais ni ou je me trouvais !!! Sa bite qui était en semi érection se redressa très rapidement. Autant que faire se peut vu le diamètre, je la suçais comme si ma vie en dépendait pendant que Mohamed me labourait l’annus. Il me tenait très fort, de plus en plus fort, pas de caresses, de baisers ou mots doux comme la première fois. Il était lancé dans une cavalcade qui s’acheva dans un fort grognement, son ventre bien collé contre mon cul. J’ai senti son pénis gonfler avant de m’envoyer plusieurs giclées dans mon conduit. Nous étions tous les deux en sueur. Je tremblais. J’ai lâché la queue d’Omar pour pouvoir appuyer ma tête sur le lit et reposer mes bras. Je n’en pouvais plus.
Après un laps de temps que je ne peux estimer, Mohamed a sorti son engin doucement et s’est reculé… J’allais m’écrouler quand sans que je puisse faire quoi que ce soit, Omar m’a à son tour saisi sans délicatesse par les hanches et a pris la suite de son acolyte. Même si ce dernier m’avait bien rodé, cette nouvelle pénétration n’a pas été une mince affaire ! je voulais m’échapper mais mon nouvel amant m’a donné quelques fortes claques sur mon arrière train m’intimant l’ordre de rester tranquille. Il a pris sa grosse tige en main, l’a présentée devant mon petit trou et a forcé l’entrée pour me pénétrer directement à fond. J’ai crié. Cela ne lui a fait ni chaud ni froid. Ou plutôt cela a dû augmenter son désir car il m’a pénétré avec vigueur, claquant toujours mes fesses qui devenaient à leur tour très sensibles……
Ayant déjà jouit dans ma bouche, il était plus résistant. Parfois il accélérait, tandis qu’à d’autres moments il ralentissait, sortait même de mon anus, laissant un grand vide à l’intérieur. Il ne restait pas longtemps à l’extérieur, très vite il reprenait possession de mon corps. Entre autres gentillesses il m’a dit : « alors le Français, tu es content ? tu l’as ta bite arabe dans le cul ». Plus souvent il prononçait des mots arabes que je ne comprenais pas mais qui n’étaient surement pas des douceurs….
J’étais humilié, martyrisé et, bizarrement, je commençais à ressentir de nouveau de l’excitation, du plaisir même. Je pense qu’il s’en est rendu compte. Il a accéléré le rythme et la vigueur de ses pénétrations. J’avais toujours la tête contre le lit, le cul bien relevé, les jambes écartées. J’ai glissé ma main sous moi pour me saisir de mon sexe. Je me suis rendu compte que je bandais ! je me suis branlé et très rapidement j’ai éjaculé en criant. Omar m’a suivi en inondant mon intestin de son sperme et en me serrant très fort contre lui. Il a ressorti sa queue en me redonnant une bonne tape sur le cul. J’ai aussitôt senti des quantités de liquide sortir et couler le long de mes cuisses.
Je me suis écroulé sur le lit, j’étais épuisé. Mais Omar, insensible, m’a relevé la tête et m’a obligé à nettoyer sa queue poisseuse qui n’avait ni le gout d’un bonbon à la menthe, ni l’odeur de la rose !!! je me suis bien gardé de protester et je l’ai fait malgré quelques hauts le cœur !
Il a échangé quelques paroles en marocain avec son ami avant de partir sans même m’adresser la parole.
Mohamed, plus affectueux, est venu s’allonger avec moi et ma serré dans ses bras, m’a câliné en m’appelant sa Chérie…. Nous nous sommes embrassés et un peu caressés. Puis la réalité m’a rattrapé. « Quelle heure est-il ? ». « 23 heures ». L’heure de prendre le chemin du retour et de se quitter car mon bateau appareillait le lendemain matin.
Nous nous sommes langoureusement embrassés avant de quitter chez lui. Il m’a ramené en voiture et nous nous sommes quittés sur un simple aurevoir, sachant que l’on ne se reverrait jamais. Ainsi va la vie de marin.
4 years ago
J'ai adoré cette histoire, merci pour cette lecture c'est très excitant