Le partenaire de club
J'avais sympathisé avec un gars en club. Un beau mâle adepte du body building fier de son corps et de ses attributs attachés entre deux longues jambes musclées.
Un sexe hors norme tellement les yeux dans la foule mouillaient d envie quand il me battait le visage avec son conquistador...
Je prenais des frappes comme une batte de baseball et j'en redemandais..
Ma langue pulpeuse, dessinée outrageusement au rouge à lèvres engouffrait son membre comme une ventouse, comme la trayeuse à lait qui jonglait mes été d adolescente quand j'allais donner mon aide dans la ferme de mon oncle..
Il aspirait le lait avec une pompe à lait et remplissait allègrement le bidon à chaque vache....la vache !!!
Etais je assez productif en tant que jeune tapette pour remplir la marmite.....qu'à cela ne tienne, un soir libérée de mes contraintes de fermière je décidais de m'isoler dans un coin de paille fraiche et de me brancher la pompe sur ma bite en feu.
L'idée m excitait au plus haut point et j'en rêvais depuis si longtemps que le moment était venu de faire mes preuves de vache laitière.
J'avais à peine branché le mouvement de succion sur mon gland que déjà mes reins étaient secoués d envie, mon esprit vira de bord et je me laissais aller.
La bonne odeur de paille, le foin pas trop loin, le tempo régulier de la fellation mécanique me firent cracher un océan de sperme dans le récipient. Cependant , le niveau était encore trop bas et la machine continua à me tirer sur la verge pour me donner un second violent orgasme qui me jeta à terre....je restais 10 minutes dans un demi sommeil, gagné par la fatigue de deux orgasmes puissants consécutifs....lorsque je repris mes esprits je me précipitais sur le cable d alimentation pour arrêter cette douce torture.... Je venais de réaliser que mon emploi de donneur chez lactalait avait pris fin avant même de débuter.
Pour en revenir à mon partenaire, un bel étalon glabre aux courbes parfaites me faisait vibrer comme un réveil matin. J'avais décidé de le surveiller comme l'huile sur le feu et personne en club n avait le droit de s en approcher sans que mes griffes ne sortent.B
Un soir, il me parle d un couple de ses amis, informés qu'il fréquente une travestie, qui seraient très intéressés à faire ma connaissance. La femme particulièrement était curieuse de connaitre les raisons qui poussent un homme à jouer la femme. Elle se branle souvent sur l'idée de voir son mari entrain d enculer une créature androgyne devant elle et le voir prendre du plaisir, beaucoup de plaisir. Elle a avancé l'idée à mon partenaire qu'elle pourrait nous inviter tous les deux et, en compagnie d elle et son mari, virer la soirée repas en soirée coquine....sans prévenir son mari histoire de voir sa réaction et le laisser aller.
Je considère la proposition et je demande à mon ami de me laisser une soirée de réflexion. Il acquiesce.
La nuit de réflexion remua en moi plein d émotions différentes et troublantes. J'avais été "choisie" pour mon esthétisme (grande fierté) et pour mon côté salope qu'Yves mon partanaire avait du souligner.
Je tournais dans mon lit, pesant le pour (deux bites et une chatte pour moi) le contre (l'éventuelle adhésion facile du mari à ce plan qui pourrait chambouler la volonté de madame) et , au petit matin je sautais sur le téléphone pour appeler Yves et lui donner mon accord. Il était enchanté et excité à l'idée.
Deux jours plus tard, il me recontacte pour me dire que le repas "coquin" aura lieu le samedi suivant. Juste avant de rejoindre ses amis il souhaitait m'emmener dans des boutiques de lingerie fine afin de me couvrir de cadeaux que je porterais à la soirée. Souhait accordé bien entendu sans réflechir cette fois là.
Le samedi arrive et nous voilà à arpenter la rue piétonne pour faire les boutiques coquines. Dans toutes celles visitées, les vendeuses sont adorables. Elles me complimentent et me considèrent comme une femme à part entière sans émettre un sourire moqueur. Elles me guident pour les tailles et les choix et j opte sans complexe pour une belle guépière blanche parée de dentelles. J'achète, ou plutôt mon amant m achète des bas blancs assortis ainsi qu'un string de la même couleur.
J'ai hâte de voir mes hôtes manger du blanc de poulette sur mes fesses.
Après 4 heures d emplettes nous sommes rentrés nous préparer.
Dans son costume taillé sur mesure, mon garde du corps resplendissait. On aurait cru Kevin Costner auprès de Whitney Houston. Je me lançais sans ses bras pour mieux le protéger des agressions féminines à venir et mon petit ensemble blanc, à découvert, eu tôt fait de déformer son pantalon de costume, une protubérance marquait le pli de son pantalon.
Ma main aux ongles rouges se saisi de l objet du désir et s 'aventura à une longue caresse qui redoubla la déformation....Je m'empressais de zipper la braguette pour sortir ce monstre de chair, cet obélisque dur et chaud comme un chardon ardent et ma bouche assura la climatisation de ce membre en surchauffe.
Appuyé au mur il se laissa faire en miaulant des râles de plaisir qui auraient pu servir de base au son d un film X.
JE mangeais ses couilles comme un plat de résistance alors que je testais la sienne.....juste avant de l'abandonner à son triste sort et de filer vers la salle de bains pour finir de me préparer.
Lorsque je revins, Yves avait remis de l'allure à son personnage tout en me gratifiant d un large sourire qui en disait tellement long sur ses futures intentions.
Sur le trajet il tenta de me rassurer sur la soirée alors que je n avais aucune inquietude, certainement moins encore que la maitresse des lieux.
Je sonnais à la porte de nos hôtes quelques minutes avant l heure souhaitée et j entendis des talons claquer sur le sol. La dame (Alyson après les présentations) s était empressée de venir nous accueillir. Elle poussa un whoua de surprise qui couvrit le mien pour les mêmes raisons. ALyson était une pure merveille. Une brune aux yeux bleus magnifique, un visage parfait....Et un sourire à faire tomber le célibataire le plus endurant.
Elle s empressa de me complimenter, de complimenter Yves pour ses goûts sûrs, pour son allure aussi.
Nicolas, le copain, Nicolas le mari était en retrait et contemplait la scène. Il n'avait pas prévu un repas avec à sa table une travestie troublante, il n avait rien du garde du corps athlétique de son ami mais son charme discret, son oeil coquin, et son sourire enjôleur promettaient une soirée des plus agréables.
Il se proposa pour me débarrasser de me petite laine et découvrit un peu gêné le décolleté que j avais tenté de mettre en avant dans les bonnets 95B de ma toute nouvelle camisole.
Il fixa l objet du délit un quart de seconde qui suffit à Alyson pour comprendre que son idée de rapprochement n'était pas saugrenu. Elle pris Yves par le bras et l'éloigna de son mari et de moi de façon volontaire pour ne pas laisser à son mari d'autre choix que de dialoguer avec moi.
Nicolas me félicita à son tour de mon allure tout en évitant de croiser mon regard, comme s il voulait chasser en lui, l'idée que je pouvais le troubler.
Il m invita à m asseoir dans le canapé et me proposa une boisson que j acceptais aussitôt.
Il revint avec deux breuvages n'ayant pas pu prendre la commande des deux autres perdus au fin fond du jardin...
Il me demanda mes activités, comment j en étais venue à me travestir, qu'elle était les sensations quand on imitait une femme dans les bras d un homme, etc etc...
Je répondis à toutes ses questions en ajoutant quelques réponses un peu perverses du style "c est tellement bon de sucer une bite et de transporter son partenaire dans un monde parallèle"
que pour rien au monde je ne voudrais redevenir un "mâle alpha". Je sentais que j avais piqué sa curiosité et j'enchérissais sur la sodomie qu'une travestie peut offrir à un homme quand le cul bien cambré deux couilles frappent deux autres et qu'un sexe durcit d excitation chez tous les deux....la faculté qu'on les travesties à sucer une bite avec un talent qui frise la perfection.
Il était assis sur le coin de son postérieur et se trémoussait comme un adolescent à qui on raconte ce qu'est le sexe.
J'en profitais pour poser une main sur sa cuisse tout en caressant ostensiblement son entre jambes.
Il fit un mouvement de recul en regardant vers le jardin. Il découvrit son épouse entrain d'embrasser Yves à pleine bouche, enlacée dans ses bras comme deux amants de longue date.
Il faillit se lever mais ma main ferme qui s agrippait à ses couilles maintenant lui ôta toute envie de mouvement. Il s'effondra au fond du canapé et m'aida à défaire la ceinture de son pantalon. Il sorti un sexe surprenant, déjà volumineux et chaud. Ma bouche guidée par le GPS (Grosse pompeuse-suceuse) s'empressa de bouffer cette bête et lui donner tout le volume expressif que je pensais idéal pour le faire entrer en transe.
Détendu mais dur, affalé sur le canapé il ne se souciait plus où était Alyson et se laissait transporter dans les limbes du paradis.
JE tirais des râles de plaisir comme lorsque des musiciens font la balance avant le spectacle....
Chaude comme une bouilloire je me mis à chevaucher le visage de Nicolas tout en enserrant volontairement ses joues, ses tempes avec le nylon de mes bas blancs. Avec mes escarpins je frottais son sexe pour le maintenir en forme tandis qu'il me mangeait sans retenu le clito que je lui avais présenté.
Sortis de nulle part, Yves et Alyson surgirent dans la pièce et Alyson "engueula" Nicolas en lui reprochant de ne pas se gèner, qu'il n avait aucun savoir vivre à sauter la copine de son pote à quelques mètres de sa propre femme.....Mais puisque vous avez commencé dit elle: CONTINUEZ !!!!
J'en profitais pour enfoncer plus encore mon clito dans le fond de sa gorge tandis qu'ALyson vint m embrasser longuement en fourrant sa langue à la recherche de la mienne.....quelle belle femme me dis je !!!!
Yves se frottait à ses fesses et émettait des gémissements à me faire jalouser....Je lachais la langue d ALyson pour aller avaler la BITE d'Yves qui circulait entre deux cuisses de notre hotesse.
Ainsi privée de queue, j avais ma petite vengeance.....mais, par respect pour sa gentillesse, ma langue s aventura dans sa chatte avec l expertise d un gynécologue. Je montais sur ses lèvres, descendais, remuait la langue, vite, moins vite, lentement, très lentement avant d accélérer à nouveau dans l'idée de lui tirer quelques plaintes de plaisir.
Elle ondulait du bassin et je fis signe à Yves de la combler.
Il secoua Alyson avec son conquistador et elle s accrochait aux bras du canapé pour ne pas perdre un centimètre.
Excitée comme une vulgaire putain elle m'injuria en me traitant de salope, de dévergondée qui lui piquait son mari, de chienne à bites....Et invita son mari Nicolas à m'enculer comme une petite putain. Ce qu il fit sans perdre de temps comme si l'invitation était attendue depuis longtemps.
Sa bite me posséda facilement tellement Yves avait travaillé l'entrée au cours des mois écoulés....Et il m'encula profondément sous les yeux exorbités de son épouse spectatrice....
Je me trouvais soudain face à elle, un face à face où nous échangeâmes nos langues pendant que nous faisions échange de queues. Elle se faisait chevaucher par Yves et appréciait l étalon comme si elle venait d'obtenir la consécration de sa quête, comme un cadeau convoité.....!!!
N'avait elle pas imaginé cette soirée, ce scénario alambiqué aux fins de satisfaire ses envies plutôt qu'à connaitre celles de son époux ?
La coquine !!!!
J'entendis Yves pousser des cris de jouissance et je savais que son sperme abondant allait m abandonner.... Je plongeais la tête au niveau de la chatte d ALyson en ouvrant grand la bouche et la queue d Yves vint s'engouffrer dans mon garage à BITE pour décharger sa cascade de foutre au fond de ma gorge au moment même où Nicolas utilisait mon cul comme récipiendaire.
Mon bassin se fit tapisser généreusement au point que je cru que j'allais finir constipée. Il sorti sa bite de mon orifice et la crème onctueuse et blanchatre s'écoula lentement comme une vidange de moteur.... Madame avait quitté sa place pour accueillir la semence que son mari avait dégainé dans mon postérieur....tout en avalant l'intégralité du jus ainsi évacué elle ne cessait de se branler le clito frénétiquement...... Elle allait jouir et l'orgasme à venir sentait bon la tempête tropicale, la bourrasque violente, le tsunami dévastateur.....
Elle cria des obscénités, des injures puissantes, un râle hors norme, un râle unique et longgggggggggggg qui fracassa le crystal encore sur la table.
Elle repris ses esprits après un long moment qui paru une éternité tellement les deux hommes et moi même étions suspendus autour d elle afin de la voir ressuciter.
Un sexe hors norme tellement les yeux dans la foule mouillaient d envie quand il me battait le visage avec son conquistador...
Je prenais des frappes comme une batte de baseball et j'en redemandais..
Ma langue pulpeuse, dessinée outrageusement au rouge à lèvres engouffrait son membre comme une ventouse, comme la trayeuse à lait qui jonglait mes été d adolescente quand j'allais donner mon aide dans la ferme de mon oncle..
Il aspirait le lait avec une pompe à lait et remplissait allègrement le bidon à chaque vache....la vache !!!
Etais je assez productif en tant que jeune tapette pour remplir la marmite.....qu'à cela ne tienne, un soir libérée de mes contraintes de fermière je décidais de m'isoler dans un coin de paille fraiche et de me brancher la pompe sur ma bite en feu.
L'idée m excitait au plus haut point et j'en rêvais depuis si longtemps que le moment était venu de faire mes preuves de vache laitière.
J'avais à peine branché le mouvement de succion sur mon gland que déjà mes reins étaient secoués d envie, mon esprit vira de bord et je me laissais aller.
La bonne odeur de paille, le foin pas trop loin, le tempo régulier de la fellation mécanique me firent cracher un océan de sperme dans le récipient. Cependant , le niveau était encore trop bas et la machine continua à me tirer sur la verge pour me donner un second violent orgasme qui me jeta à terre....je restais 10 minutes dans un demi sommeil, gagné par la fatigue de deux orgasmes puissants consécutifs....lorsque je repris mes esprits je me précipitais sur le cable d alimentation pour arrêter cette douce torture.... Je venais de réaliser que mon emploi de donneur chez lactalait avait pris fin avant même de débuter.
Pour en revenir à mon partenaire, un bel étalon glabre aux courbes parfaites me faisait vibrer comme un réveil matin. J'avais décidé de le surveiller comme l'huile sur le feu et personne en club n avait le droit de s en approcher sans que mes griffes ne sortent.B
Un soir, il me parle d un couple de ses amis, informés qu'il fréquente une travestie, qui seraient très intéressés à faire ma connaissance. La femme particulièrement était curieuse de connaitre les raisons qui poussent un homme à jouer la femme. Elle se branle souvent sur l'idée de voir son mari entrain d enculer une créature androgyne devant elle et le voir prendre du plaisir, beaucoup de plaisir. Elle a avancé l'idée à mon partenaire qu'elle pourrait nous inviter tous les deux et, en compagnie d elle et son mari, virer la soirée repas en soirée coquine....sans prévenir son mari histoire de voir sa réaction et le laisser aller.
Je considère la proposition et je demande à mon ami de me laisser une soirée de réflexion. Il acquiesce.
La nuit de réflexion remua en moi plein d émotions différentes et troublantes. J'avais été "choisie" pour mon esthétisme (grande fierté) et pour mon côté salope qu'Yves mon partanaire avait du souligner.
Je tournais dans mon lit, pesant le pour (deux bites et une chatte pour moi) le contre (l'éventuelle adhésion facile du mari à ce plan qui pourrait chambouler la volonté de madame) et , au petit matin je sautais sur le téléphone pour appeler Yves et lui donner mon accord. Il était enchanté et excité à l'idée.
Deux jours plus tard, il me recontacte pour me dire que le repas "coquin" aura lieu le samedi suivant. Juste avant de rejoindre ses amis il souhaitait m'emmener dans des boutiques de lingerie fine afin de me couvrir de cadeaux que je porterais à la soirée. Souhait accordé bien entendu sans réflechir cette fois là.
Le samedi arrive et nous voilà à arpenter la rue piétonne pour faire les boutiques coquines. Dans toutes celles visitées, les vendeuses sont adorables. Elles me complimentent et me considèrent comme une femme à part entière sans émettre un sourire moqueur. Elles me guident pour les tailles et les choix et j opte sans complexe pour une belle guépière blanche parée de dentelles. J'achète, ou plutôt mon amant m achète des bas blancs assortis ainsi qu'un string de la même couleur.
J'ai hâte de voir mes hôtes manger du blanc de poulette sur mes fesses.
Après 4 heures d emplettes nous sommes rentrés nous préparer.
Dans son costume taillé sur mesure, mon garde du corps resplendissait. On aurait cru Kevin Costner auprès de Whitney Houston. Je me lançais sans ses bras pour mieux le protéger des agressions féminines à venir et mon petit ensemble blanc, à découvert, eu tôt fait de déformer son pantalon de costume, une protubérance marquait le pli de son pantalon.
Ma main aux ongles rouges se saisi de l objet du désir et s 'aventura à une longue caresse qui redoubla la déformation....Je m'empressais de zipper la braguette pour sortir ce monstre de chair, cet obélisque dur et chaud comme un chardon ardent et ma bouche assura la climatisation de ce membre en surchauffe.
Appuyé au mur il se laissa faire en miaulant des râles de plaisir qui auraient pu servir de base au son d un film X.
JE mangeais ses couilles comme un plat de résistance alors que je testais la sienne.....juste avant de l'abandonner à son triste sort et de filer vers la salle de bains pour finir de me préparer.
Lorsque je revins, Yves avait remis de l'allure à son personnage tout en me gratifiant d un large sourire qui en disait tellement long sur ses futures intentions.
Sur le trajet il tenta de me rassurer sur la soirée alors que je n avais aucune inquietude, certainement moins encore que la maitresse des lieux.
Je sonnais à la porte de nos hôtes quelques minutes avant l heure souhaitée et j entendis des talons claquer sur le sol. La dame (Alyson après les présentations) s était empressée de venir nous accueillir. Elle poussa un whoua de surprise qui couvrit le mien pour les mêmes raisons. ALyson était une pure merveille. Une brune aux yeux bleus magnifique, un visage parfait....Et un sourire à faire tomber le célibataire le plus endurant.
Elle s empressa de me complimenter, de complimenter Yves pour ses goûts sûrs, pour son allure aussi.
Nicolas, le copain, Nicolas le mari était en retrait et contemplait la scène. Il n'avait pas prévu un repas avec à sa table une travestie troublante, il n avait rien du garde du corps athlétique de son ami mais son charme discret, son oeil coquin, et son sourire enjôleur promettaient une soirée des plus agréables.
Il se proposa pour me débarrasser de me petite laine et découvrit un peu gêné le décolleté que j avais tenté de mettre en avant dans les bonnets 95B de ma toute nouvelle camisole.
Il fixa l objet du délit un quart de seconde qui suffit à Alyson pour comprendre que son idée de rapprochement n'était pas saugrenu. Elle pris Yves par le bras et l'éloigna de son mari et de moi de façon volontaire pour ne pas laisser à son mari d'autre choix que de dialoguer avec moi.
Nicolas me félicita à son tour de mon allure tout en évitant de croiser mon regard, comme s il voulait chasser en lui, l'idée que je pouvais le troubler.
Il m invita à m asseoir dans le canapé et me proposa une boisson que j acceptais aussitôt.
Il revint avec deux breuvages n'ayant pas pu prendre la commande des deux autres perdus au fin fond du jardin...
Il me demanda mes activités, comment j en étais venue à me travestir, qu'elle était les sensations quand on imitait une femme dans les bras d un homme, etc etc...
Je répondis à toutes ses questions en ajoutant quelques réponses un peu perverses du style "c est tellement bon de sucer une bite et de transporter son partenaire dans un monde parallèle"
que pour rien au monde je ne voudrais redevenir un "mâle alpha". Je sentais que j avais piqué sa curiosité et j'enchérissais sur la sodomie qu'une travestie peut offrir à un homme quand le cul bien cambré deux couilles frappent deux autres et qu'un sexe durcit d excitation chez tous les deux....la faculté qu'on les travesties à sucer une bite avec un talent qui frise la perfection.
Il était assis sur le coin de son postérieur et se trémoussait comme un adolescent à qui on raconte ce qu'est le sexe.
J'en profitais pour poser une main sur sa cuisse tout en caressant ostensiblement son entre jambes.
Il fit un mouvement de recul en regardant vers le jardin. Il découvrit son épouse entrain d'embrasser Yves à pleine bouche, enlacée dans ses bras comme deux amants de longue date.
Il faillit se lever mais ma main ferme qui s agrippait à ses couilles maintenant lui ôta toute envie de mouvement. Il s'effondra au fond du canapé et m'aida à défaire la ceinture de son pantalon. Il sorti un sexe surprenant, déjà volumineux et chaud. Ma bouche guidée par le GPS (Grosse pompeuse-suceuse) s'empressa de bouffer cette bête et lui donner tout le volume expressif que je pensais idéal pour le faire entrer en transe.
Détendu mais dur, affalé sur le canapé il ne se souciait plus où était Alyson et se laissait transporter dans les limbes du paradis.
JE tirais des râles de plaisir comme lorsque des musiciens font la balance avant le spectacle....
Chaude comme une bouilloire je me mis à chevaucher le visage de Nicolas tout en enserrant volontairement ses joues, ses tempes avec le nylon de mes bas blancs. Avec mes escarpins je frottais son sexe pour le maintenir en forme tandis qu'il me mangeait sans retenu le clito que je lui avais présenté.
Sortis de nulle part, Yves et Alyson surgirent dans la pièce et Alyson "engueula" Nicolas en lui reprochant de ne pas se gèner, qu'il n avait aucun savoir vivre à sauter la copine de son pote à quelques mètres de sa propre femme.....Mais puisque vous avez commencé dit elle: CONTINUEZ !!!!
J'en profitais pour enfoncer plus encore mon clito dans le fond de sa gorge tandis qu'ALyson vint m embrasser longuement en fourrant sa langue à la recherche de la mienne.....quelle belle femme me dis je !!!!
Yves se frottait à ses fesses et émettait des gémissements à me faire jalouser....Je lachais la langue d ALyson pour aller avaler la BITE d'Yves qui circulait entre deux cuisses de notre hotesse.
Ainsi privée de queue, j avais ma petite vengeance.....mais, par respect pour sa gentillesse, ma langue s aventura dans sa chatte avec l expertise d un gynécologue. Je montais sur ses lèvres, descendais, remuait la langue, vite, moins vite, lentement, très lentement avant d accélérer à nouveau dans l'idée de lui tirer quelques plaintes de plaisir.
Elle ondulait du bassin et je fis signe à Yves de la combler.
Il secoua Alyson avec son conquistador et elle s accrochait aux bras du canapé pour ne pas perdre un centimètre.
Excitée comme une vulgaire putain elle m'injuria en me traitant de salope, de dévergondée qui lui piquait son mari, de chienne à bites....Et invita son mari Nicolas à m'enculer comme une petite putain. Ce qu il fit sans perdre de temps comme si l'invitation était attendue depuis longtemps.
Sa bite me posséda facilement tellement Yves avait travaillé l'entrée au cours des mois écoulés....Et il m'encula profondément sous les yeux exorbités de son épouse spectatrice....
Je me trouvais soudain face à elle, un face à face où nous échangeâmes nos langues pendant que nous faisions échange de queues. Elle se faisait chevaucher par Yves et appréciait l étalon comme si elle venait d'obtenir la consécration de sa quête, comme un cadeau convoité.....!!!
N'avait elle pas imaginé cette soirée, ce scénario alambiqué aux fins de satisfaire ses envies plutôt qu'à connaitre celles de son époux ?
La coquine !!!!
J'entendis Yves pousser des cris de jouissance et je savais que son sperme abondant allait m abandonner.... Je plongeais la tête au niveau de la chatte d ALyson en ouvrant grand la bouche et la queue d Yves vint s'engouffrer dans mon garage à BITE pour décharger sa cascade de foutre au fond de ma gorge au moment même où Nicolas utilisait mon cul comme récipiendaire.
Mon bassin se fit tapisser généreusement au point que je cru que j'allais finir constipée. Il sorti sa bite de mon orifice et la crème onctueuse et blanchatre s'écoula lentement comme une vidange de moteur.... Madame avait quitté sa place pour accueillir la semence que son mari avait dégainé dans mon postérieur....tout en avalant l'intégralité du jus ainsi évacué elle ne cessait de se branler le clito frénétiquement...... Elle allait jouir et l'orgasme à venir sentait bon la tempête tropicale, la bourrasque violente, le tsunami dévastateur.....
Elle cria des obscénités, des injures puissantes, un râle hors norme, un râle unique et longgggggggggggg qui fracassa le crystal encore sur la table.
Elle repris ses esprits après un long moment qui paru une éternité tellement les deux hommes et moi même étions suspendus autour d elle afin de la voir ressuciter.
1 year ago