Cyprine

J'aime tant la cyprine exquise de ces dames
Qui couchées sur leur lit, caressent avec fureur
Leur bouton des délices, humide par bonheur
Jusqu'à ce que leurs yeux s'illuminent de flammes !

Je voudrais pénétrer dans le creux de leurs âmes
Afin de m'embraser de leur tendre chaleur
M'abandonner aux joies sans limite, sans peur
Dans les désirs sans fin que ces anges proclament.

J'aime tant la cyprine épanchée de ces fleurs
Ouvertes dans la nuit, que j'en crie, que j'en meurs
De désir et toujours au matin ressuscite.

Si vous m'offrez un peu de l'intime boisson
Que verse votre vulve en fontaine explicite
Je vous écrirai nu les vers chauds du frisson.