Première double
Dès que j'entre dans la pièce, dans ma tenue de schoolgirl délurée, je les vois, et mon coeur se met à battre plus fort. Tout se ralentit autour de moi. Deux hommes m'attendent là, dans ce bureau que je connais si bien. Mon mec, et un inconnu. Râblés, nus, la quarantaine tous les deux, et... en érection! Fascinée par ce spectacle, je les vois s'approcher de moi, lentement. "Bonjour les garçons, ça va?"
Oui, ils vont bien, ils se collent à moi et c'est tout naturellement que mes doigts fins s'enroulent autour des deux verges dressées, commencent à faire coulisser la peau sur la chair raide et chaude, sur les couilles pleines.
Pendant ce temps, des mains -quatre mains!- s'affairent sur mon corps, remontent la jupe à carreaux, ouvrent mes fesses, des doigts -lesquels?- s'introduisent en moi: tu as vu, je t'avais dit qu'elle était chaude, c'est une vraie chatte, c'est bouillant là-dedans!
Allez, vas-y, mets-toi à genoux, suce mon copain devant moi ma chérie! Impossible de résister. Pourquoi résister, d'ailleurs? Depuis 15 jours nous planifions cette rencontre aux sommets (!), et là, elle est réelle, en train d'arriver. Sous les yeux de mon homme, que je branle, je m'agenouille devant J., son invité, et lui propose de faire plus ample connaissance: délicatement, j'introduis le gland chaud entre mes lèvres sombres, dans ma bouche, ma gorge, et lui, doucement aussi, entreprend de me pénétrer ainsi.
Mets-toi à l'oeuvre, Joana! Dans ma tête, c'est l'incendie: des mois, des années que je rêve d'une telle situation, et m'y voilà plongée dedans, à corps perdu! Le plaisir de sucer un sexe raide, habillée en fille, de bander dans mon string rouge, l'ivresse de sentir le désir de ces deux mâles pour moi, tout m'affole!
Mais lorsque je fonds sur le sexe de mon amant, assis sur l'éternel fauteuil rouge, alors que son, notre complice m'encule sous ses yeux, un long râle de plaisir m'échappe, bouche pleine. Embrochée, abandonnée, mon cul est ouvert à grands coups de bites, bien enserré entre de puissantes mains, pendant que ma bouche monte et descend sur la tige de mon homme. "Hmmmf 'est bhonnn", c'est tout ce que je peux bredouiller, dominée par ces hommes dont les membres me pénètrent, sans relàache.
Allez, viens, relève-toi, il faut que tu montes sur ma bite! Ahhh, comment, pourquoi dire non, là aussi? De toute façon, mon corps prend les décisions, je le laisse faire. A tes ordres, mon chou, me voilà: jambes plantées de chaque côté des tiennes, assise sur toi, et mon cul qui polit ton chibre, une belle ramonée. Et moi, impudique et décomplexée, de m'adresser au troisième larron: allez, viens, ne reste pas là, je vais te sucer!
Jamais je n'y avais pensé, mais il n'est pas facile de faire une fellation quand à l'autre bout de la ligne, on vous sodomise énergiquement! Ça secoue, ça ballotte, mais je fais au mieux, et personne ne se plaint! Mon homme me renverse sur lui, ma queue dabs sa main. L'autre vient à côté de nous, introduit sa trique raide dabs ma bouche, et sa langue dans celle de mon mec! Oh les vilains! Ça me surprend, mais après tout, qui suis-je pour juger,hein?
Ils continuent à s'embrasser alors que je suis repassée genoux au plancher. Et là: le rève. Masturber deux triques en même temps! Incroyable! Et puis: j'ose? Oui! Les introduire ensemble dans ma bouche! L'accord parfait! Eux deux qui se galuchent au dessus de moi, et moi qui, la bouche pleine, fais l'amour à leurs sexes. C'est chaud, long, ça entre, sort, s'échappe, le vertige est assuré.
Un vertige qui me conduit sur le rebord du petit lit où sur une grandd serviette-éponge, ils se mettent en devoir de m'enculer brutalemebt à tour de rôle. Je bande, je soupire, je crie, mais me fige lorsqu'il me demande: tu voudrais tenter une double, ma chérie?
Ohlala, mon coeur s'accélère a nouveau: oui, oui, bien sûr que j'en ai envie, mais j'ai peur aussi, peur d'avoir mal, peur de te, de me décevoir, peur de rien: oui, oui, mais dis-nous comment faire?
Mon corps a parlé, encore. Et c'est avec souplesse et douceur qu'il se pose sur celui de mon mec. on se regarde, gênés, amusés, face à face, alors que je l'enjambe- attention les talons!- et m'emmanche sur sa tige toujours dure. Un poids énorme, soudain: le 3e homme me monte dessus, a genoux sur le lit. Mon petit cul devient le point focal de la scène. Il s'ouvre, s'ouvre, en grand... une chose dure et chaude pointe en moi, s'insinue, s'insère...attends, attends, ne me fais pas mal, ohhhh, ohhhhh, c'est bonnn, vous êtes des champions les garçons! Non, c'est toi, la championne, ricanent-ils, leurs tiges plantérs l'une contre l'autre en moi!
Mais lorsque mon homme reprend la manoeuvre, en vrai militaire, l'opération réussit tout à fait. Cette fois, je chevauche l'invité. Au bord du lit, baisée, je lui tends mon petit cul. Debout derrière nous, lentement, il me prend, et fait entrer tout la longueur de son sexe dans ma chatte, qui serre, serre ces deux tiges gonflées de désir. Ils me pénètrent, me baisent, et je ne faus que geindre et soupirer, au bord de l'orgasme, coincée entre mes deux amants, mon anus qui les lie, les enserre, et nous unit tous les trois. Chacun a droit a un petit bisou coquin lorsque je le monte: bravissimo ragazzi!
Oui, bien sûr, après un tel cataclysme, je peux encore vous sucer. Et je m'y abandonne. A tour de rôle,au bord du lit, vous me démontez le cul, grand ouvert, d'où s'écoule sans cesse le lubrifiant. Mais plus rien ne compte que le final. J'ai à peine osé en rêver. Mais voilà: voilà deux verges brûlantes, droites, chaudes, qui se pressent contre la peau de mon visage, qui se tendant sous vos doigts, et qui éjaculent de grands jets blancs, une averse, un déluge de sperme qui me donne le vertige. Ça coule, ça dévale sur mes cheveux, mes lèvres, mon cou, mes seins... on ne vit qu'une fois, non?
La chambre est un chantier: lubrifiant, sperme, capote, parfum de sexe sauvage...non, non, et moi alors? On ne range pas encore! Amusé l'autre me regarde enfiler une capote à mon homme, lui présenter mon cul, et me faire mettre à la hussarde, contre le canapé, où sous ses yeux je décharge en soupirant, la tige plantée en moi jusqu'à la garde... merci, merci mon grand pour cet épisode inoubliable!
Oui, ils vont bien, ils se collent à moi et c'est tout naturellement que mes doigts fins s'enroulent autour des deux verges dressées, commencent à faire coulisser la peau sur la chair raide et chaude, sur les couilles pleines.
Pendant ce temps, des mains -quatre mains!- s'affairent sur mon corps, remontent la jupe à carreaux, ouvrent mes fesses, des doigts -lesquels?- s'introduisent en moi: tu as vu, je t'avais dit qu'elle était chaude, c'est une vraie chatte, c'est bouillant là-dedans!
Allez, vas-y, mets-toi à genoux, suce mon copain devant moi ma chérie! Impossible de résister. Pourquoi résister, d'ailleurs? Depuis 15 jours nous planifions cette rencontre aux sommets (!), et là, elle est réelle, en train d'arriver. Sous les yeux de mon homme, que je branle, je m'agenouille devant J., son invité, et lui propose de faire plus ample connaissance: délicatement, j'introduis le gland chaud entre mes lèvres sombres, dans ma bouche, ma gorge, et lui, doucement aussi, entreprend de me pénétrer ainsi.
Mets-toi à l'oeuvre, Joana! Dans ma tête, c'est l'incendie: des mois, des années que je rêve d'une telle situation, et m'y voilà plongée dedans, à corps perdu! Le plaisir de sucer un sexe raide, habillée en fille, de bander dans mon string rouge, l'ivresse de sentir le désir de ces deux mâles pour moi, tout m'affole!
Mais lorsque je fonds sur le sexe de mon amant, assis sur l'éternel fauteuil rouge, alors que son, notre complice m'encule sous ses yeux, un long râle de plaisir m'échappe, bouche pleine. Embrochée, abandonnée, mon cul est ouvert à grands coups de bites, bien enserré entre de puissantes mains, pendant que ma bouche monte et descend sur la tige de mon homme. "Hmmmf 'est bhonnn", c'est tout ce que je peux bredouiller, dominée par ces hommes dont les membres me pénètrent, sans relàache.
Allez, viens, relève-toi, il faut que tu montes sur ma bite! Ahhh, comment, pourquoi dire non, là aussi? De toute façon, mon corps prend les décisions, je le laisse faire. A tes ordres, mon chou, me voilà: jambes plantées de chaque côté des tiennes, assise sur toi, et mon cul qui polit ton chibre, une belle ramonée. Et moi, impudique et décomplexée, de m'adresser au troisième larron: allez, viens, ne reste pas là, je vais te sucer!
Jamais je n'y avais pensé, mais il n'est pas facile de faire une fellation quand à l'autre bout de la ligne, on vous sodomise énergiquement! Ça secoue, ça ballotte, mais je fais au mieux, et personne ne se plaint! Mon homme me renverse sur lui, ma queue dabs sa main. L'autre vient à côté de nous, introduit sa trique raide dabs ma bouche, et sa langue dans celle de mon mec! Oh les vilains! Ça me surprend, mais après tout, qui suis-je pour juger,hein?
Ils continuent à s'embrasser alors que je suis repassée genoux au plancher. Et là: le rève. Masturber deux triques en même temps! Incroyable! Et puis: j'ose? Oui! Les introduire ensemble dans ma bouche! L'accord parfait! Eux deux qui se galuchent au dessus de moi, et moi qui, la bouche pleine, fais l'amour à leurs sexes. C'est chaud, long, ça entre, sort, s'échappe, le vertige est assuré.
Un vertige qui me conduit sur le rebord du petit lit où sur une grandd serviette-éponge, ils se mettent en devoir de m'enculer brutalemebt à tour de rôle. Je bande, je soupire, je crie, mais me fige lorsqu'il me demande: tu voudrais tenter une double, ma chérie?
Ohlala, mon coeur s'accélère a nouveau: oui, oui, bien sûr que j'en ai envie, mais j'ai peur aussi, peur d'avoir mal, peur de te, de me décevoir, peur de rien: oui, oui, mais dis-nous comment faire?
Mon corps a parlé, encore. Et c'est avec souplesse et douceur qu'il se pose sur celui de mon mec. on se regarde, gênés, amusés, face à face, alors que je l'enjambe- attention les talons!- et m'emmanche sur sa tige toujours dure. Un poids énorme, soudain: le 3e homme me monte dessus, a genoux sur le lit. Mon petit cul devient le point focal de la scène. Il s'ouvre, s'ouvre, en grand... une chose dure et chaude pointe en moi, s'insinue, s'insère...attends, attends, ne me fais pas mal, ohhhh, ohhhhh, c'est bonnn, vous êtes des champions les garçons! Non, c'est toi, la championne, ricanent-ils, leurs tiges plantérs l'une contre l'autre en moi!
Mais lorsque mon homme reprend la manoeuvre, en vrai militaire, l'opération réussit tout à fait. Cette fois, je chevauche l'invité. Au bord du lit, baisée, je lui tends mon petit cul. Debout derrière nous, lentement, il me prend, et fait entrer tout la longueur de son sexe dans ma chatte, qui serre, serre ces deux tiges gonflées de désir. Ils me pénètrent, me baisent, et je ne faus que geindre et soupirer, au bord de l'orgasme, coincée entre mes deux amants, mon anus qui les lie, les enserre, et nous unit tous les trois. Chacun a droit a un petit bisou coquin lorsque je le monte: bravissimo ragazzi!
Oui, bien sûr, après un tel cataclysme, je peux encore vous sucer. Et je m'y abandonne. A tour de rôle,au bord du lit, vous me démontez le cul, grand ouvert, d'où s'écoule sans cesse le lubrifiant. Mais plus rien ne compte que le final. J'ai à peine osé en rêver. Mais voilà: voilà deux verges brûlantes, droites, chaudes, qui se pressent contre la peau de mon visage, qui se tendant sous vos doigts, et qui éjaculent de grands jets blancs, une averse, un déluge de sperme qui me donne le vertige. Ça coule, ça dévale sur mes cheveux, mes lèvres, mon cou, mes seins... on ne vit qu'une fois, non?
La chambre est un chantier: lubrifiant, sperme, capote, parfum de sexe sauvage...non, non, et moi alors? On ne range pas encore! Amusé l'autre me regarde enfiler une capote à mon homme, lui présenter mon cul, et me faire mettre à la hussarde, contre le canapé, où sous ses yeux je décharge en soupirant, la tige plantée en moi jusqu'à la garde... merci, merci mon grand pour cet épisode inoubliable!
Pre 7 meseca/meseci
