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Un jour, Hervé ma prêté. Oui, prêté. A un de ses copains dont je ne savais rien, sauf qu'il habitait en lointaine banlieue. Comme j'étais au chômage, j'ai accepté d'y aller pendant une semaine. Il se nommait L. et n'avait pas sa langue dans sa poche ni sa queue dans son slip. C'était pas mal chez lui, le résultat d'une vie de travail. C'était grand mais vide. Il était veuf et ses enfants je ne sais où. Il avait un grand jardin et une piscine. Il était à la retraite depuis plusieurs années. On avait donc tout notre temps mais dès que je suis arrivé chez lui, il a commencé à me foutre à poil et… Citește mai mult

Plus tard, je suis allé chez Hervé et Janine. Ni l'un ni l'autre n'étaient là. C'est Elsa qui m'a ouvert. Elle m'a tout de suite dit qu'elle n'avait pas trop le temps de faire des saletés car elle bossait ses cours de mathématiques. Elle voulait bien que je reste pour prendre un café mais par pour baiser. J'étais d'accord parce que j'avais deviné que son vice ne pourrais pas être contenu et qu'il suffisait de peu pour la faire pencher dans l'action. On a été dans sa chambre, c'était la première fois que j'y pénétrais. Un gode sali et odorant trônait sur une étagère. "C'est celui que j'enfonce… Citește mai mult

Quelques temps plus tard, je suis retourné une troisième fois chez Hervé et Janine. Il était seul cette fois-ci. Il portait une tenue mauve et moi j'avais la rouge qu'on voit sur mes photos. On a pris le café tout en se branlant. Après un gros quart d'heure, il m'a dit de me mettre à mon aise. Je voyais pas comment je pouvais faire plus, la bite et les couilles à l'air... Il est sorti et est revenu très vite avec une jeune fille aux yeux bandés. Une blonde aux longs cheveux, aux petits seins et à la chatte touffue. Il lui a dit de se tenir droite et de ne pas bouger et est venu se rasseoir à c… Citește mai mult

La première fois avec Hervé et Janine avait été si bonne qu'on s'est vite revu, quelques jours plus tard. On avait tous des dessous noirs. Leur idée était de faire une petite séance encore plus vicieuse que la précédente. Hervé et moi, on s'est sucé devant Janine qui nous mettait ses doigts dans le cul en même temps. Ensuite, ils m'ont bandé les yeux et mis des menottes. J'étais à genoux, j'attendais la bouche ouverte. Hervé y a mis sa queue et a fait des mouvements pendant pas mal de temps. Je bavais et je bandais mais je pouvais pas me branler, les mains menottées dans le bas du dos. Janine… Citește mai mult

Quand je répondais à des annonces sur le net, le plus souvent les gens n'osaient pas ou trouvaient des excuses pour cesser le contact. Mais il m'est arrivé quand même de rencontrer quelques personnes. Un jour, je suis tombé sur un couple dont la femme aimait par-dessus tout enculer son homme et en enculer un autre en même temps. On s'est vu chez eux, dans un appartement où une petite chambre servait à leurs saloperies. On n'a pas parlé beaucoup. Hervé et Janine avaient apprécié que je porte des dessous. La première fois, on était tous en lingerie fine. Ils étaient physiquement quelconques. Her… Citește mai mult

"C'est une salope !" est la première indication que j'ai eu de quelques personnes concernant une collègue d'un de mes anciens boulots. Elle se nommait F. mais c'est vrai que Salope lui allait mieux. Elle ne se cachait pas d'avoir eu son poste de secrétaire particulière par le lit du patron, elle s'en cachait moins que lui qui l'évitait depuis un moment mais n'osait ni la déplacer, ni la renvoyer. Quand on arrive dans un boulot, on ne sait pas qui est qui et qui a fait quoi. Pour elle, je l'ai su dans la journée. Elle n'avait rien d'exceptionnel mais l'idée qu'elle se donnait facilement partici… Citește mai mult

En avançant en âge, on commence à oser des choses qui paraissaient au-dessus de nos forces et de nos possibilités. Mais l'audace est l'ombre de l'apprentissage du vice et un jour ou l'autre, on brise les barrières. Chacun peut se rendre compte de ça dans sa propre vie. Il y a quelques années, j'étais dans un train de nuit, en Suède. On était trois dans la cabine, une femme d'environ soixante ans qui remontait vers le Nord après une visite dans sa famille et un jeune qui rentrait chez lui parce que son bateau était bloqué afin qu'on répare ses avaries je crois. J'avais une des deux couchettes d… Citește mai mult

Le samedi d'après mon enculage de la Porte Dauphine, je suis retourné sur les lieux du crime délicieux. Je n'ai pas revu le type en question et je n'ai pas osé retourner devant son immeuble. Je ne me souvenais plus du tout du code et je ne voulais pas attendre des heures sans savoir sur quel pied danser. J'ai traîné dans les environs. Il y avait quelques gars mais va savoir qui est là pour draguer et qui se promène sans arrière-pensée. Je suis allé dans les toilettes publiques et on peut dire qu'elles étaient bien publiques cette fois-ci. En entrant, j'ai vu deux mecs collés l'un à l'autre au… Citește mai mult

Au retour de l'armée, j'ai trouvé un boulot chez un grossiste en gros. C'était chiant mais c'était pas loin de chez moi au moins. Fallait faire des paquets, fallait trouver des pièces dans les stocks, on devait choyer les clients quand ceux-ci nous engueulaient parce qu'ils n'avaient pas les choses en temps et en heure... On travaillait un samedi sur deux sans avantage particulier, on devait nettoyer les locaux à fond nous-mêmes et on avait intérêt à ne pas perdre les différentes clefs des différentes unités de stockage. Un samedi, on a rangé le matériel à trois plus tôt que prévu. On a décidé… Citește mai mult

Il paraît qu'à l'armée, à chacun son tour dans la section, on sert de fille aux autres camarades. Je n'ai jamais rien vu ou entendu de la sorte. Il n'y avait ni bordel, ni tournante, ni toilettes réservées au séances de cul dans ma caserne. On était souvent en manœuvre, en faction, au tir, au nettoyage, aux exercices, etc... Le peu de temps de libre qu'on avait, quand on était pas écroulé sur nos lits pour se reposer, était pour aller un peu en ville. Là, il y avait des distractions et même des nanas. Au début, je n'y pensais pas parce que N. m'occupait l'esprit. Mais la distance a peu à peu r… Citește mai mult

Quelques temps après mes 18 ans, j'ai fait la connaissance de N., une copine de la copine d'un copain, lors d'une soirée au restaurant pour fêter ma majorité. Au début, elle n'avait aucune importance, je ne l'avais jamais vu, je ne faisais pas attention à elle. Et elle non plus. Elle était venue parce que sa copine le lui avait dit. Quelques semaines plus tard, on se croise au Forum des Halles, c'est elle qui me reconnaît et m'aborde. Je ne l'avais pas vu, il y a des milliers de têtes qui bougent partout, si tu crois qu'on fait attention à tout.... N. me demande ce que je deviens, alors que pr… Citește mai mult

Juste avant mes 18 ans, je suis allé en Irlande trois semaines. Le voyage m'avait été offert parce que sinon, je n'aurais pas été plus loin que la côte normande. Mes parents, la famille et quelques amis s'étaient cotisés pour me payer le billet d'avion et de quoi rester vingt jours sur place, chichement mais pas dans le dénuement non plus. Arrivé à Dublin, je prenais directement un bus pour rallier Cork. Arrivé là-bas, je dégotais une pension après quelques difficultés pour me faire comprendre. Le prix allait mais c'était très simple, de quoi dormir et un lavabo. Pour la douche et les chiottes… Citește mai mult

Avec l'argent mis de côté, je suis parti en vacances dans les Landes. J'avais trouvé une chambre pas trop chère à quelques kilomètres des dunes. Sur le parking où nous déposait le minibus, il y avait un petit restaurant et une boutique de souvenirs. C'est là que j'ai rencontré un type qui vendait des boules de neige, des cartes postales, des bouées, des maillots de bain, etc... Je ne sais pas comment ça s'est fait mais on a sans doute senti qu'on voulait la même chose. Après la plage, je suis revenu juste quand il allait fermer. J'ai prétexté qu'il n'y avait plus de minibus pour lui demander s… Citește mai mult

Dans un de mes boulots, on allait à tour de rôle porter des colis à un dépôt spécial près de Versailles. On prenait notre temps, on n'avait personne sur le dos et on était payés. Un jour, au retour de ce travail, je me suis arrêté dans un bistrot pour boire un coup et aller pisser. Dans les chiottes, il y avait des annonces de mecs qui en cherchaient d'autres pour faire des saloperies en tout genre. J'ai noté quelques numéros et j'ai appelé depuis une cabine en sortant du bar. Après plusieurs appels pour rien, je suis tombé sur un gars qui devait avoir la cinquantaine et qui voulait sucer un m… Citește mai mult

Jusqu'à mes 18 ans, je ne bossais pas régulièrement. Ici ou là, parfois. Des boulots de merde payés de la crotte. Des gens qu'on voyait dix jours dans la vie et qu'on ne reverrait jamais. C'est comme ça qu'un jour j'ai connu une autre fille, V. qui me trouva assez à son goût pour qu'on couche ensemble. C'est avec elle que j'ai étendu mon savoir. Pourtant, même si elle ne me l'a jamais dit, ma queue n'était pas de taille. Elle s'enfonçait un gros gode pendant qu'elle me suçait et me le faisait lécher ensuite. J'étais ravi de lécher son trou du cul et elle d'avoir ma langue dedans. J'ai pu l'enc… Citește mai mult

Pendant que j'étais chez mon oncle et ma tante, j'ai reçu la nouvelle qu'il fallait que je fasse mes trois jours. Je suis retourné sur Paris pour pas rater la date. Les trois jours durent en fait un jour et demi. On nous groupe pour nous dire des choses qu'on oublie dans l'heure qui suit, on nous montre du matériel, on voit des médecins qui essaient de repérer les débiles et les fous mais qui ont l'air de s'en foutre un peu, on bouffe des plats tièdes et on s'entasse dans un cinéma voir un film comique ou policier. Ensuite, pour la nuit, on est enfermés dans des chambres pour dix ou douze. Des… Citește mai mult

Après la séparation d'avec ma copine, celle des taches, j'avais pas le moral et j'étais allé voir mon oncle et ma tante pour me changer les idées. Ils vivaient dans la grande banlieue de Toulouse depuis quelques temps. Ils étaient contents de me voir parce que j'avais pouvoir aider un peu pour dégager leur terrain de tout un tas de saletés accumulées par le vendeur qui n'avait pas fait le boulot ou alors vendait moins cher en laissant le bordel, je l'ai jamais su, c'était pas mes affaires. Il y avait entre autres six ou sept voitures cabossées et hors d'usage, des vélos cassés, des cyclomoteur… Citește mai mult

A 17 ans, j'avais une copine avec qui on se faisait plaisir mais sans aller jusqu'au bout car on avait la trouille, elle d'être enceinte, moi, d'être père trop tôt. On se suçait la langue, on se tripotait, elle me branlait mais n'osait pas me sucer. Je la léchai devant et derrière pourtant, c'est là qu'on voit que l'égalité réclamée par ces demoiselles n'est jamais appliquée strictement quand ça leur chante. Je jouissais parfois dans sa main, ça l'intriguait en la dégoûtant. Un jour, on était dans la cour d'usine abandonnée, et là, ça a été plus loin que prévu, on a baisé pour de bon. On se dé… Citește mai mult

Quelques jours après avoir été dans mon premier sex-shop, je suis allé dans un autre. Je savais maintenant un peu mieux à quoi m'en tenir. Le patron était une patronne. Elle devait avoir tout vu et tout entendu car elle jetait juste un regard aux nouveaux entrants sans essayer de savoir ce qu'ils voulaient ou s'il ne faisaient qu'un tour. Quant à ceux qui sortaient, elle vérifiait seulement s'ils ne piquaient pas quelque chose. c'était un grand sex-shop tout en longueur avec un étage beaucoup plus petit où étaient plusieurs cabines et un rayon d'habits allant du SM à ce qu'on trouve au Prisuni… Citește mai mult

Une semaine après mes 17 ans, je me promenais le soir dans les rues de Paris. A un moment, j'ai vu un sex-shop. J'avais souvent voulu entrer dedans mais je n'osais jamais. Cette fois, comme j'avais un peu de barbe au menton et qu'il faisait presque nuit, et malgré le coeur qui battait, j'écartais le tenture et j'entrais. Il y avait des godes, des poupées, des perruques, des K7, des livres et des tas de trucs qui servent à dieu sait quoi. Il y avait quelques hommes dans les rayons mais personne ne faisait attention à personne. Le patron, je savais pas où il était mais pas à sa caisse. Des escal… Citește mai mult