Nos vacances au ski

Nous sommes partis en vacances de ski avec deux couples de copains. Hier, notre dernière soirée fut particulièrement arrosée, jusqu'à ce que Josie s'écroule au pied des escaliers qui mènent aux chambres, dans l'impossibilité de rejoindre la sienne. Elle était allongée sur le dos, les jambes écartées laissant entrevoir son intimité et le fait qu'elle ne portait pas de culotte. J'aurais pu la rendre plus pudique en tirant sur la fine étoffe de sa robe, mais la voir si désirable, si vulnérable m'excitait. C'est alors que Clément, qui était allé satisfaire un besoin naturel, me proposa son aide, il fixait Josie, ou plutôt son entrecuisse, les joues écarlates, mon coeur s'est alors mis à palpiter d'excitation. Prenant Josie sous les bras, je ne lui laissait que l'alternative de l'empoigner par les jambes, Clément lui pris les chevilles, la robe de ma chérie glissait le long de ses cuisses et mon aide ne pouvait plus rien rater de l'intimité de ma belle. Une fois les escaliers montés, le seuil de la chambre franchi, nous la posons sur le lit, je lui demande de m'aider à la coucher, je dégrafe lentement les boutons de sa robe en commençant par le haut, ses globes blancs apparaissent, puis le nombril, et enfin sa petite toison. Clem n'a pas lâché Josie, comme pétrifié il reste planté au pied du lit entre ses jambes, lui maintenant les cuisses écartées. Je lui demande "elle te plaît ?" et sans attendre sa réponse je m'allonge perpendiculairement à Josie et me mets à l'embrasser, elle gémit, voyant qu'elle réagit à mes baisers je lui caresse les seins, ses pointes durcissent, ses aréoles ont la chair de poule. Je vois que Clément n'attends qu'un signe pour quitter la pièce ou dégrafer son pantalon devenu trop étroit pour contenir une formidable érection ! "vas-y, fais-nous plaisir..."
il abandonne délicatement les jambes de Josie sur le lit bien écartées , puis se débarrasse promptement de son pantalon.... Je suis estomaqué, je n'avais jamais vu une queue aussi longue, aussi raide, il lui la rentre sans effort, notre belle partenaire à un soubresaut et se cambre, les longs va-et-vient de mon pote m'ont excité et à mon tour je quitte mes vêtements. Josie ne semble pas consciente et pourtant elle réagit, je lui glisse ma queue entre les lèvres et... surpris... je la sens me sucer, sans ouvrir les yeux, elle ondule son corps au rythme des coups de hanches de son partenaire, elle me suce, me lêche comme jamais, je jouis dans sa bouche en même temps que Clem, qui dans un râle, décharge sa semence au plus profond de notre trioliste. Il se rhabille sans un mot et nous laisse allongés nus sur le lit, jetant un dernier coup d'oeil à sa beauté d'un soir avant de rejoindre le reste du groupe. Peut-être n'a-t-il pas remarqué les filets blanchâtres coulants autant entre ses lèvres du haut qu'entre celles du bas... Je l'embrasse alors avec plus de vigueur, puis, descendant ma bouche le long de son corps, lui lêche goulûment son sexe béant, m'abreuvant d'un doux nectar, mélange de sa cyprine et du sperme de mon cocufieur.
Que la nuit fût douce et reposante. Le lendemain, aucun des trois comparses n'a osé évoquer cet instant magique, nos regards cherchant même à s'éviter, comme pour préserver la possibilité d'une nouvelle aventure.