Les bourgeoises (4)
Sur le chemin du retour, David et Guillaume n’ont pas hésité à doigter intensément la chatte de Jade. Cette fois-ci, la pute anale était à visage découvert. Le taxi, le même qu’à l’aller, était plus qu'heureux d’avoir cette divine salope dans sa Mercedes. Tant pis pour le cuir de sièges. La cyprine s’est, encore une fois, répandue abondamment. Jade, cette chienne sans limites, a hurlé pendant tout le trajet dans les rues de la capitale. Cuisses largement ouvertes, minou pleinement offert, la putain bourgeoise s’est donnée sans la moindre retenue.
En arrivant dans son bureau, l'excitation n'est pas retombée. Jade a toujours autant envie de bites au fond de sa gorge, de sa chatte et de son cul. C'est une putain insatiable. Elle éprouve un éternel besoin de cyprine et de foutre.
Sur sa table de travail, un nouveau carton patiente. La pute anale se retourne vers les deux complices.
- Qu'est-ce-que vous m'avez réservée ? Hein ?
Jade glisse une langue gourmande sur ses lèvres. La perspective de nouvelles aventures pleines de débauche la fait déjà mouiller. Elle relève sa jupe et s'installe sur le bureau. Ses doigts se dirigent vers sa corolle inondée. Le jus est abondant et coule jusque sur ses bas. Tête renversée en arrière, la pute anale enfonce son majeur dans son minou et commence à imprimer un lent mouvement de va-et-vient.
- Hmmmmmmm... J'aime ça... J'aime ce que vous me faites subir, mes salauds... Regardez ma chatte comme elle coule...
Les deux hommes s'approchent et s'accroupissent. Jade leur offre un magnifique gros plan sur son minou copieusement inondé.
- Allez-y ! Ne vous gênez pas ! Baisez-moi !
L'occasion est trop belle. David et Guillaume extirpent leurs queues. David choisit de se caler sur la moquette et la putain bourgeoise, dont l'anus est perpétuellement lubrifié, prend place sur sa bite. Puis Guillaume vient s'installer et pénètre sa chatte débordante de jus. Très vite, les deux complices imposent un tempo régulier et Jade ne tarde pas à hurler. La cadence est soutenue. Les deux amis mettent du cœur à l’ouvrage. La pute anale, au bord de la jouissance, mérite bien de se faire défoncer avec intensité. Ils accélèrent le rythme et déchargent leur foutre en même temps. Les deux complices ont craché une dose épaisse qui dégouline hors des trous de la pute anale, laquelle n’a pas manqué de faire gicler son jus sur la moquette.
Avant de se relever, la belle chienne passe une main avide sur son cul et sa chatte, goûte au sperme de ces tourmenteurs.
- Toujours aussi bon, messieurs. Hmmmmm… Alors, que cache ce nouveau carton ?
- Justement, on va devoir y aller. Toutes les instructions sont dedans.
Guillaume et David quittent le bureau, laissant la pute anale à ces interrogations. Jade s’empare d’une paire de ciseaux et ouvre le colis. Une enveloppe kraft non scellée apparaît. La putain bourgeoise en retire une feuille.
« Ma chère Jade, ma chère pute anale,
Il est temps pour moi de passer la main et de préparer la succession de l’entreprise. Pour reprendre les rênes, j’ai naturellement pensé à toi. Tu es un modèle de courage, d’opiniâtreté et de motivation. Aussi, avec le précieux concours de David et Guillaume, il te reste une dernière étape à passer. L’épreuve du taxi et celles du restaurant ont été pleinement conçues par tes deux fidèles assistants. Pour celle de cette après-midi, ils m’ont aussi suggéré un grand nombre d’idées qui conviendront très bien à ton caractère de chienne insatiable. Aussi, je te demande de te vêtir avec les vêtements fournis dans ce carton et de te rendre obligatoirement en métro aux anciens abattoirs de la Villette. Nous t’attendons pour 15 heures. Il va de soi que si tu réussis cette ultime étape, tu prendras la tête de la société. Guillaume et David en seront aussi récompensés. Je t’embrasse partout. Bruno. »
Dans le colis, Jade met la main sur un serre-taille violet, des bas Cervin Swing Time, des escarpins Elysée de la Maison Ernest, un trench coat, ainsi que sur un plug queue de cheval. Un coup d’œil à sa montre lui indique qu’elle ne doit pas perdre de temps. Elle retire ses mules, sa jupe fendue, ses bas souillés, son serre-taille rouge et noir. La voilà nue, à l’exception de ses chaînes de cheville qu’elle prend soin de conserver. Elle n’ignore pas que cela fait encore plus bander les mecs.
La putain bourgeoise enfile le serre-taille, les bas et les vertigineux escarpins. Il lui reste à insérer le plug. Son anus est encore bien ouvert, l’opération ne devrait pas poser de difficultés. Après quelques mouvements, le précieux bijou est bien en place. Elle s’empare du trench coat, le fait glisser sur elle et quitte son bureau en espérant que la queue de cheval ne dépasse pas.
Jade gagne rapidement la station de métro de Michel-Ange Molitor. En attendant la rame, elle devine les regards sur ses escarpins, sur ses bas qui commencent à plisser. Les quelques hommes présents ont bien compris ses intentions. Une salope qui veut et qui va se faire défoncer. La situation imposée l’émoustille. Sa cyprine se répand sur ses cuisses.
La pute anale se trouve une place à l’écart mais, à la station suivante, le wagon se remplit. Un mec, entre deux âges, vient s’installer à côté d’elle. Il ne perd pas de temps pour engager la conversation.
- Des bas couture, n'est-ce-pas ?
- Oui.
- Je peux ?
- Faites-vous plaisir.
L’homme avance une main vers le genou offert, joue avec les petits plis du nylon ultra-fin, apprécie le contact avec la maille délicate. Sa main remonte sur la cuisse, s’arrête un instant, le temps d’entendre le nylon crisser, avant de reprendre sa course lente. Les doigts remontent jusqu’en haut des bas, là où la peau se dévoile encore un peu plus. Imperceptiblement, Jade écarte les cuisses. Elle espère que l’homme ne va pas deviner ou voir qu’elle porte un plug. Son souffle se fait plus fort. La pute anale est bien consciente que l'homme ne va pas tarder à tomber sur sa mouille épaisse. La main continue sa progression. La putain bourgeoise continue d'écarter les cuisses.
- Vous mouillez, c'est évident.
- Oui. Hmmmmm... Ne vous arrêtez pas.
- Je descends au Trocadéro. Merci pour ce moment.
L'homme se lève, gagne les portes tandis que le métro ralentit. Au moment de descendre sur le quai, il lui jette un dernier regard et lui sourit.
Jade rabat les pans de son trench coat. L'onde de plaisir est montée violemment. Il a suffi qu'un usager du métro touche ses bas couture, palpe ses cuisses pour que sa cyprine se fasse plus abondante. Elle est prête à se faire prendre par le premier inconnu.
Station Chaussée d’Antin. Jade quitte la rame. Depuis le départ de l’homme, sa chatte n’a pas cessé de couler. Elle espère pouvoir retrouver un autre coquin sur la ligne 7. Elle a hâte de revivre ça. Qu’on vienne se frotter contre ses bas, qu’on les fasse crisser. Qu’on joue avec le nylon, qu’on remonte jusqu’à son minou dégoulinant de cyprine. Ça serait un minimum.
La pute anale traverse des couloirs, grimpe des escaliers. Ses talons aiguilles claquent sur le béton. Leur bruit régulier et caractéristique, le balancement du cul de la putain bourgeoise font se retourner les hommes, les jeunes comme les vieux. D’un pas décidé, elle parvient jusqu’au quai de la ligne 7. Il n’y a plus qu’à attendre une nouvelle rame qui va pouvoir l’emmener jusqu’à la Villette. A nouveau, elle sent les regards sur ses escarpins, sur ses jambes. Elle devine les yeux qui s’accrochent à ses chaînes de cheville. Tout cela contribue à la faire mouiller encore un peu plus, tout comme la présence du plug à queue de cheval. Pour la putain bourgeoise, l’objet n’a rien d’incongru. Elle aime toujours avoir quelque chose au plus profond de son anus, que ce soit un plug comme celui-ci ou bien une multitude de bites.
Une nouvelle rame arrive enfin. Bondée, pas une place assise. Jade prend appui sur une barre. La pute anale est coincée entre deux hommes, au milieu d’odeurs diverses de parfums et de sueur. Alors que le métro s’ébranle, elle sent tout de suite deux mains qui viennent à la rencontre de ses hanches. Dans un réflexe naturel, Jade creuse les reins. Les mains se font plus précises, descendent le long du trench coat, triturent le plug. Un doigt s’insère dans sa rondelle. Jade ne cherche pas à se retourner. Elle s’est attendue à ça.
L’homme qui lui fait face vient de sortir sa queue en toute discrétion et entreprend de se branler contre ses bas. La putain bourgeoise se mord les lèvres pour ne pas gémir. Dans son dos, son tourmenteur vient de retirer son plug et Jade, tout en écartant les cuisses, se cambre encore peu plus pour faciliter le passage. Son jus, qui n’en demandait pas tant, se met à couler encore plus fort. Par des gestes réguliers, trois doigts, qui s’enfoncent toujours un peu plus, visitent sa zone anale. La pute anale peine à retenir ses gémissements. Dans la rame, d’autres visages se sont tournés vers elle mais Jade s’en moque. Elle est une salope, une putain bourgeoise, une pute anale, une chienne à foutre et assume totalement son statut.
Celui qui se branle sur ses bas ne va pas tarder à gicler son sperme. Elle voit son visage se contracter puis se relâcher subitement. Jade sent la semence chaude se répandre sur le nylon. Elle y porte une main et entreprend de lécher le foutre. Elle ferme les yeux et savoure le sperme.
Dans son dos, son tourmenteur poursuit son exploration. Ses doigts s’enfoncent toujours plus loin. Pourtant, Jade se redresse et commence à rabattre les pans de son trench. L’homme a compris et a tout juste le temps de remettre le plug à queue de cheval en place. Le petit jeu est terminé. Le métro arrive à la station Porte de la Villette.
La pute anale quitte la rame avec la chatte et le cul en feu. Elle ne songe qu’à se faire défoncer par tous les trous. Qu’on inonde sa bouche et sa gorge, qu’on remplisse sa chatte, qu’on bourre son cul. À allure vive, elle regagne la terre ferme. Les abattoirs
ne sont qu’à une grosse centaine de mètres de la bouche de métro.
Jade traverse l'avenue Corentin Cariou. Les abattoirs, ce vestige de l'ancien Paris, s'offrent à elle. Malgré son envie profonde de sexe, elle prend quelques instants pour observer l'impressionnante façade.
Un SMS vient d'arriver : « Ma chère Jade, il est 15 heures. Si tu es devant les abattoirs, je t'invite à pousser le grand portail vert. Ensuite, ce sera la seconde porte à gauche. Tu longeras un long couloir puis tu arriveras devant une porte rouge. Nous t'attendons. »
La pute anale ne tergiverse pas. Juchée sur ses talons de quatorze centimètres, elle se hâte. L'idée d'être ainsi attendue l'excite au plus haut point. Elle trouve le portail ouvert qu'elle pousse sans attendre. Jade pénètre dans une cour où il y a plusieurs quais de réception, bien évidemment déserts. Elle se dirige vers la deuxième porte, sur sa gauche. Il ne flotte plus d'odeur de viande depuis longtemps. Non, le seul parfum qu'elle sent, c'est celui de son jus de pute. Elle écarte rapidement les pans de son trench et constate que sa cyprine coule déjà sur ses bas.
La porte rouge est au bout du couloir. Ses talons de putain bourgeoise résonnent entre ces murs séculaires. Le souffle court d'avoir marché vite, elle pousse enfin cette porte pleine de mystères. Il s'agit d'une grande salle, de la taille d'un terrain de basket. Au fond, sous une lumière pâle, assis sur une sorte de trône, une personne que Jade connaît très bien la regarde avancer. Concentré sur le claquement de ses talons, il ne cherche pas à émettre de commentaire ou à souhaiter la bienvenue. C'est seulement quand elle parvient à leur hauteur que Bruno, le patron de la Boîte, prend la parole.
- Ma chère Jade, je savais que tu honorerais ce rendez-vous. De ce point de vue, c'est conforme à ce que tu représentes au sein de l'entreprise. De l'engagement, de la motivation mais aussi de la débauche et de la luxure. Je pense que tu es venue avec plein de promesses et d'envies en tête. Tu ne seras pas déçue. Tu pourras assouvir tes désirs et tu en auras d'autres à combler.
À ces mots, d'autres silhouettes surgissent de derrière un rideau. La pute anale reconnaît Sofia, Fanny, Laurie, David et Guillaume.
- Avant de commencer ces petites festivités, je dois avant tout remercier Guillaume et David. Comme tu as pu le constater, ils ont su me donner de précieux conseils. Ils ont su faire preuve de suffisamment de perversité pour mériter leur place auprès de toi. Sofia, qui a été ma très dévouée secrétaire, occupera un poste similaire. Enfin, Fanny et Laurie seront tes nouvelles assistantes. Et maintenant, donnez libre cours à vos envies ! Approche, Jade ! Retire ton trench.
La putain bourgeoise s'exécute et enlève son pardessus. Elle apparaît dans sous beauté, avec un minimum de lingerie, serre-taille et bas couture plissés.
- Tourne-toi !
Avec une gestuelle maîtrisée, Bruno s'empare du plug queue de cheval, l'extrait du divin cul et le porte à la bouche de Jade.
- Lèche !
La belle catin ne se fait pas prier. Jade ouvre grand la bouche et commence à lécher le précieux bijou. Sa langue s’applique sur le métal chaud. Avec lenteur et avec délice, elle parcourt toute la surface du plug puis le gobe intégralement comme si c’était une queue. Mais ce n’est pas ce que Bruno regarde. Il observe les bas souillés de cyprine avant de porter ses yeux sur le minou de la pute anale et le jus qui en sort. Il tend une main vers la cyprine avant de la porter à sa bouche.
- Ton jus de pute est toujours aussi épais, toujours aussi bon. Ne t’arrête pas.
La belle chienne continue son ouvrage. Le plug entre et ressort entre ses lèvres. Sa mouille est abondante et coule sur ses bas. La putain bourgeoise ne peut retenir ses gémissements, surtout que les doigts de Bruno s’insinuent un peu plus profondément dans sa chatte inondée.
Tout juste à côté, Guillaume et David ont fait mettre Laurie, Sofia et Fanny à genoux. Toutes les trois arborent la même tenue. Une guêpière violette dont les bonnets peinent à contenir les fortes poitrines de ces putains, des bas couture noirs qui plissent déjà aux genoux et aux chevilles. Elles portent une chaînette à chaque cheville et des mules aux talons vertigineux. Les deux complices ont sorti leurs queues et s’apprêtent à ramoner les bouches de ces chiennes. Guillaume s’avance vers Sofia. Elle est déjà prête à se faire défoncer la gorge. Il pose sa main gauche à l’arrière du crâne de cette catin et sa main droite sous le menton. Elle va se faire baiser la bouche comme il se doit. Guillaume s’introduit d’une seule poussée et Sofia se retient pour ne pas vomir d’entrée. Il reste ainsi pendant une bonne vingtaine de secondes avant de se retirer. Sofia crache une salive particulièrement conséquente.
David, procède de même avec Fanny. La bave épaisse est allée se répandre sur ses gros seins. Marquant peu de répit, David renouvelle l’opération. Quant à Laurie, elle s’est avancée vers Bruno et entreprend de le pomper avec efficacité. Elle bave sur le pantalon de son boss. Mais lui en veut plus.
- Jade, ma chienne anale. Viens donc me pomper.
Laurie a compris qu’elle doit céder sa place. Elle rejoint Fanny afin de dévorer la queue de David. À son tour, Jade s’est mise à genoux et, sans attendre, gobe la bite offerte. Elle suce à un rythme intense. Sa salive se mélange à celle laissée par Laurie. Bruno se permet même de lui écraser la tête contre ses couilles. Bouffer de la bite, la gober, la mettre au fond de sa gorge, tout cela fait mouiller Jade encore plus. Sa cyprine se répand à grands traits sur le tapis spécialement installé pour l’occasion. La pute s'active toujours un peu plus sur la bite de son patron. Le traitement est si efficace qu'il est incapable de se retenir. Il libère une grosse charge dans la bouche de la putain. Jade, qui a horreur de gâcher, avale tout. Elle s'essuie les lèvres puis se remet debout.
La putain bourgeoise sait que ce n'est pas à elle de décider de la suite des opérations. En se relevant, elle a vu que, dans la salle, il y avait deux piloris se faisant face. Le plus petit oblige d'être à genoux, avec la tête de la fille à hauteur de bite. Le second, de dimensions plus grandes, oblige à prendre une position qui ouvre totalement l'anus. Jade comprend qu'elle ne pourra pas échapper à ces deux structures. Sa chatte en mouille d'avance.
Sofia continue de pomper Guillaume avec avidité tandis que David subit avec délice le même traitement de la part de Fanny et Laurie. Il y a de la bave et du jus de pute partout sur le sol. Sous le regard de Bruno et Jade, ces trois chiennes s’activent. C’est à celle qui sucera de la façon la plus intense. L'ancien boss et la nouvelle patronne s'en approchent. Jade pose sa main à l'arrière du crâne de Sofia et lui presse la tête contre le bas-ventre de Guillaume. En alternance, Bruno fait de même avec Laurie et Fanny. Face à cette fellation d'une redoutable efficacité, Guillaume et David ne tardent pas à jouir. La gorge de Sofia est copieusement arrosée tandis que David libère son foutre sur les visages de Fanny et Laurie. Pour autant, ce n'est pas fini. Les deux complices ont de la suite dans les idées, comme l'a souligné Bruno.
- Je vous remercie pour cette délicieuse mise en bouche, commente Bruno. C'était divin, comme d'habitude. Maintenant, nous allons passer à des choses un peu plus sérieuses. Je vous invite à m'accompagner au centre de cette salle.
Les quatre femmes et les trois hommes se dirigent vers les deux piloris. Les talons résonnent sur le béton. Bruno, David et Guillaume ont laissé Fanny, Jade, Laurie et Sofia passer devant. Ils admirent les quatre magnifiques croupes, la tension des jarretelles. Leurs yeux suivent la couture des bas, l'éclat doré des chaînes de cheville, la course des talons.
- Ma chère Jade, tu te doutes bien que le grand pilori t'es réservé. Une fois que tu y seras installée, tu ne pourras plus bouger. Ni ta tête, ni tes mains, ni ton cul, ni tes jambes. Tu seras intégralement offerte et soumise à l'appétit de ces hommes. Quant à Sofia, Laurie et Jade, je vous ai attribué le petit pilori. Il paraît que la position est idéale pour la gorge profonde. Jade, va prendre place !
La pute anale s'exécute. Elle en a trop envie. Guillaume et David l'aident à s'installer. Ainsi entravée, la putain bourgeoise ne peut empêcher son jus de couler encore plus. Cerise sur le gâteau, Bruno vient lui bander les yeux pendant que les deux complices assistent Fanny à se placer sur le petit pilori. Seules ses fesses sont libres de tous mouvements. Voilà les deux putains en position, sans savoir qui va leur baiser la bouche ou le cul.
Jade devine une main sur son menton. Deux doigts viennent s'insinuer dans sa bouche, très profondément. Elle devine un gland, épais, mais elle ne reconnaît pas celui de ses collègues. Dans sa bouche, la bite, qu'elle masse de sa langue experte, gagne du terrain ainsi que du volume. La queue est bientôt aux portes de sa gorge. Le chibre gagne le passage sans la moindre résistance, s'enfonce avant de reculer sans se retirer. Cela fait maintenant près d'une minute que la bite est dans sa bouche. La putain bourgeoise peine à reprendre son souffle. En revanche, elle produit énormément de salive. Les va-et-vient se font réguliers, à un rythme soutenu. La succion de la pute anale se fait de plus en plus bruyante, d'autant plus qu'elle sent d'autres mains se poser sur ses fesses. On masse son cul. Des doigts s'aventurent sur sa rosette. Un doigt s'insinue dans son anus. Malgré l'épaisse queue dans sa bouche, Jade ne peut retenir un gémissement. Qu'il est bon de se faire fouiller ainsi, d'être livrée comme la dernière des traînées à toutes ces queues avides de débauche !
Elle devine aussi des coups de langue bien placés sur son cul. Aucune zone n’est épargnée. Les doigts s’insinuent toujours plus profondément en elle, comme la bite
qu’elle a dans la bouche. L’homme, un membre du personnel, ne lui laisse que très peu de répit dans sa gorge. Jade bave autant que sa chatte. Son jus de putain coule à grands traits sans discontinuer. Une marre épaisse s’est formée entre ses escarpins.
Maintenant, ce ne sont plus des doigts qui fouillent sa rondelle. C’est un poing entier. Des allers-retours menés avec intensité. La pute anale continue de gémir.
- Hmmmmmm…. Bourre-moi plus fort !
Les deux hommes qui s’occupent d’elle ne se font pas prier et augmentent leurs cadences respectives dans sa gorge et dans son cul. L’homme qui ramone sa bouche ne tarde pas à gicler une grosse dose de foutre. La putain bourgeoise a à peine le temps de tout avaler qu’une autre queue débarque dans sa bouche. C’est le même cérémonial qui reprend. Au niveau de sa divine croupe, on s’accroche à ses jarretelles pour mieux dévaster son cul. Une épaisse bite rentre d’une seule poussée. Entravée par le pilori, Jade se fait secouer. Elle adore ça, elle en redemande. Jade se sent chienne, pute anale, putain bourgeoise, garce à bites, salope à jus en permanence.
Du côté du petit pilori, Fanny se fait pilonner la gorge par une queue qu’elle ne connaît pas. Dans la foulée, deux autres structures ont été rapidement installées par David et Guillaume afin que Sofia et Laurie puissent connaître les mêmes joies. Depuis, ces trois chiennes bavent de concert, autant que Jade.
Sous les yeux avertis de Bruno, David et Guillaume, d’autres hommes apparaissent. Encore du personnel de l’entreprise. Les culs de Sofia, Laurie et Fanny sont profondément et immédiatement investis. Malgré les bites qui leur remplissent la bouche avec intensité, les quatre chiennes gémissent avec force. C'est un concert de hurlements, de cris témoignant d'un plaisir puissant. Ça bave, ça gicle. On ne se prive pas de malmener ces quatre salopes.
Leurs rondelles sont pénétrées, sans ménagement, sans le moindre répit, par une multitude de queues. Leurs bouches sont ramonées de la même façon. Les bites se succèdent et, à chaque fois, déversent d'importants flots de sperme. Harnachées sur leur pilori, quatre putains comblées de leurs espérances, les estomacs et les anus gavées de foutre chaud. Avant que ce soit leur tour, David, Bruno et Guillaume ont regardé tout ça avec un grand intérêt et beaucoup d'envie. Ils n'ont pas hésité à motiver les filles pour qu'elles pompent les queues offertes encore plus fort.
L'ensemble du personnel masculin de la Boîte est désormais passé. Les quatre salopes ont la bouche et le cul complètement dévastés. Elles savent que ce n'est pas fini. Bruno, David et Guillaume vont désormais s'occuper d'elles.
Guillaume est le premier à s'occuper de Sofia. Il commence par lui bourrer la gorge. Un rythme intense qu'applique aussi David avec Jade. Bruno, de son côté, a des envies de sodomie. Il investit d'abord le cul de Laurie. Sa rondelle a été tellement dilatée le passage d'une vingtaine de chibres qu'il y entre sans le moindre effort. Il la ramone ainsi pendant une bonne dizaine de minutes, des coups de boutoir qui font hurler cette chienne avant de lui vider sa semence.
La queue toujours ferme, il renouvelle l'opération avec Fanny, qu'il avait personnellement engagée. Tout en s'arcboutant au cul de sa collaboratrice, il peut voir que Guillaume n'y va pas de main morte avec la gorge de Sofia. Sa secrétaire, encore pour quelques heures, bave de façon particulièrement conséquente. Elle est à deux doigts de vomir. Bruno constate aussi que David agit de même avec Jade. Elle en redemande toujours plus. Il y a une grande mare de jus de pute sur le sol.
Après en avoir terminé avec Fanny, dont le cul déborde désormais de sperme, Bruno rejoint Jade dont l'anus est plus qu'extrêmement ouvert. Il peut y glisser sans la moindre difficulté avant d'introduire sa queue. C'est l'heure de la sodomie !
Après avoir, une fois de plus, craché un énorme paquet de salive, Sofia se retrouve avec l'anus totalement pris par la bite de Guillaume. Comme Jade, elle hurle qu'il faut la baiser comme une chienne, comme une catin, comme une pute. David, de son côté, s'offre les culs de Fanny et de Laurie. Il alterne avec régularité et intensité.
Intensité, c'est bien le mot qui convient. Sofia et Jade subissent de concert une sodomie particulièrement intense. Ces quatre putains se montrent expertes dans l'art de se faire enculer avec une sauvagerie toujours renouvelée. Les trois hommes sont à point. David détache Fanny et Laurie. Les deux chiennes se rapprochent, prêtes à recevoir leur dose de foutre sur le visage. David y répand une épaisse semence.
Entre deux hurlements, Jade et Sofia demandent à recevoir le même traitement. Guillaume et Bruno les libèrent avant de gicler leur sperme sur ces deux chiennes.
- Bienvenue à la nouvelle présidente ! fait Bruno.
Le visage plein de foutre, Jade se relève et rejoint le grand fauteuil sur lequel était assis Bruno en début de séance. Elle s'y installe en écartant bien les cuisses.
- J'accepte la charge qui m'est confiée.
De par son poste, elle sait qu'elle va encore vivre de nombreuses aventures...
En arrivant dans son bureau, l'excitation n'est pas retombée. Jade a toujours autant envie de bites au fond de sa gorge, de sa chatte et de son cul. C'est une putain insatiable. Elle éprouve un éternel besoin de cyprine et de foutre.
Sur sa table de travail, un nouveau carton patiente. La pute anale se retourne vers les deux complices.
- Qu'est-ce-que vous m'avez réservée ? Hein ?
Jade glisse une langue gourmande sur ses lèvres. La perspective de nouvelles aventures pleines de débauche la fait déjà mouiller. Elle relève sa jupe et s'installe sur le bureau. Ses doigts se dirigent vers sa corolle inondée. Le jus est abondant et coule jusque sur ses bas. Tête renversée en arrière, la pute anale enfonce son majeur dans son minou et commence à imprimer un lent mouvement de va-et-vient.
- Hmmmmmmm... J'aime ça... J'aime ce que vous me faites subir, mes salauds... Regardez ma chatte comme elle coule...
Les deux hommes s'approchent et s'accroupissent. Jade leur offre un magnifique gros plan sur son minou copieusement inondé.
- Allez-y ! Ne vous gênez pas ! Baisez-moi !
L'occasion est trop belle. David et Guillaume extirpent leurs queues. David choisit de se caler sur la moquette et la putain bourgeoise, dont l'anus est perpétuellement lubrifié, prend place sur sa bite. Puis Guillaume vient s'installer et pénètre sa chatte débordante de jus. Très vite, les deux complices imposent un tempo régulier et Jade ne tarde pas à hurler. La cadence est soutenue. Les deux amis mettent du cœur à l’ouvrage. La pute anale, au bord de la jouissance, mérite bien de se faire défoncer avec intensité. Ils accélèrent le rythme et déchargent leur foutre en même temps. Les deux complices ont craché une dose épaisse qui dégouline hors des trous de la pute anale, laquelle n’a pas manqué de faire gicler son jus sur la moquette.
Avant de se relever, la belle chienne passe une main avide sur son cul et sa chatte, goûte au sperme de ces tourmenteurs.
- Toujours aussi bon, messieurs. Hmmmmm… Alors, que cache ce nouveau carton ?
- Justement, on va devoir y aller. Toutes les instructions sont dedans.
Guillaume et David quittent le bureau, laissant la pute anale à ces interrogations. Jade s’empare d’une paire de ciseaux et ouvre le colis. Une enveloppe kraft non scellée apparaît. La putain bourgeoise en retire une feuille.
« Ma chère Jade, ma chère pute anale,
Il est temps pour moi de passer la main et de préparer la succession de l’entreprise. Pour reprendre les rênes, j’ai naturellement pensé à toi. Tu es un modèle de courage, d’opiniâtreté et de motivation. Aussi, avec le précieux concours de David et Guillaume, il te reste une dernière étape à passer. L’épreuve du taxi et celles du restaurant ont été pleinement conçues par tes deux fidèles assistants. Pour celle de cette après-midi, ils m’ont aussi suggéré un grand nombre d’idées qui conviendront très bien à ton caractère de chienne insatiable. Aussi, je te demande de te vêtir avec les vêtements fournis dans ce carton et de te rendre obligatoirement en métro aux anciens abattoirs de la Villette. Nous t’attendons pour 15 heures. Il va de soi que si tu réussis cette ultime étape, tu prendras la tête de la société. Guillaume et David en seront aussi récompensés. Je t’embrasse partout. Bruno. »
Dans le colis, Jade met la main sur un serre-taille violet, des bas Cervin Swing Time, des escarpins Elysée de la Maison Ernest, un trench coat, ainsi que sur un plug queue de cheval. Un coup d’œil à sa montre lui indique qu’elle ne doit pas perdre de temps. Elle retire ses mules, sa jupe fendue, ses bas souillés, son serre-taille rouge et noir. La voilà nue, à l’exception de ses chaînes de cheville qu’elle prend soin de conserver. Elle n’ignore pas que cela fait encore plus bander les mecs.
La putain bourgeoise enfile le serre-taille, les bas et les vertigineux escarpins. Il lui reste à insérer le plug. Son anus est encore bien ouvert, l’opération ne devrait pas poser de difficultés. Après quelques mouvements, le précieux bijou est bien en place. Elle s’empare du trench coat, le fait glisser sur elle et quitte son bureau en espérant que la queue de cheval ne dépasse pas.
Jade gagne rapidement la station de métro de Michel-Ange Molitor. En attendant la rame, elle devine les regards sur ses escarpins, sur ses bas qui commencent à plisser. Les quelques hommes présents ont bien compris ses intentions. Une salope qui veut et qui va se faire défoncer. La situation imposée l’émoustille. Sa cyprine se répand sur ses cuisses.
La pute anale se trouve une place à l’écart mais, à la station suivante, le wagon se remplit. Un mec, entre deux âges, vient s’installer à côté d’elle. Il ne perd pas de temps pour engager la conversation.
- Des bas couture, n'est-ce-pas ?
- Oui.
- Je peux ?
- Faites-vous plaisir.
L’homme avance une main vers le genou offert, joue avec les petits plis du nylon ultra-fin, apprécie le contact avec la maille délicate. Sa main remonte sur la cuisse, s’arrête un instant, le temps d’entendre le nylon crisser, avant de reprendre sa course lente. Les doigts remontent jusqu’en haut des bas, là où la peau se dévoile encore un peu plus. Imperceptiblement, Jade écarte les cuisses. Elle espère que l’homme ne va pas deviner ou voir qu’elle porte un plug. Son souffle se fait plus fort. La pute anale est bien consciente que l'homme ne va pas tarder à tomber sur sa mouille épaisse. La main continue sa progression. La putain bourgeoise continue d'écarter les cuisses.
- Vous mouillez, c'est évident.
- Oui. Hmmmmm... Ne vous arrêtez pas.
- Je descends au Trocadéro. Merci pour ce moment.
L'homme se lève, gagne les portes tandis que le métro ralentit. Au moment de descendre sur le quai, il lui jette un dernier regard et lui sourit.
Jade rabat les pans de son trench coat. L'onde de plaisir est montée violemment. Il a suffi qu'un usager du métro touche ses bas couture, palpe ses cuisses pour que sa cyprine se fasse plus abondante. Elle est prête à se faire prendre par le premier inconnu.
Station Chaussée d’Antin. Jade quitte la rame. Depuis le départ de l’homme, sa chatte n’a pas cessé de couler. Elle espère pouvoir retrouver un autre coquin sur la ligne 7. Elle a hâte de revivre ça. Qu’on vienne se frotter contre ses bas, qu’on les fasse crisser. Qu’on joue avec le nylon, qu’on remonte jusqu’à son minou dégoulinant de cyprine. Ça serait un minimum.
La pute anale traverse des couloirs, grimpe des escaliers. Ses talons aiguilles claquent sur le béton. Leur bruit régulier et caractéristique, le balancement du cul de la putain bourgeoise font se retourner les hommes, les jeunes comme les vieux. D’un pas décidé, elle parvient jusqu’au quai de la ligne 7. Il n’y a plus qu’à attendre une nouvelle rame qui va pouvoir l’emmener jusqu’à la Villette. A nouveau, elle sent les regards sur ses escarpins, sur ses jambes. Elle devine les yeux qui s’accrochent à ses chaînes de cheville. Tout cela contribue à la faire mouiller encore un peu plus, tout comme la présence du plug à queue de cheval. Pour la putain bourgeoise, l’objet n’a rien d’incongru. Elle aime toujours avoir quelque chose au plus profond de son anus, que ce soit un plug comme celui-ci ou bien une multitude de bites.
Une nouvelle rame arrive enfin. Bondée, pas une place assise. Jade prend appui sur une barre. La pute anale est coincée entre deux hommes, au milieu d’odeurs diverses de parfums et de sueur. Alors que le métro s’ébranle, elle sent tout de suite deux mains qui viennent à la rencontre de ses hanches. Dans un réflexe naturel, Jade creuse les reins. Les mains se font plus précises, descendent le long du trench coat, triturent le plug. Un doigt s’insère dans sa rondelle. Jade ne cherche pas à se retourner. Elle s’est attendue à ça.
L’homme qui lui fait face vient de sortir sa queue en toute discrétion et entreprend de se branler contre ses bas. La putain bourgeoise se mord les lèvres pour ne pas gémir. Dans son dos, son tourmenteur vient de retirer son plug et Jade, tout en écartant les cuisses, se cambre encore peu plus pour faciliter le passage. Son jus, qui n’en demandait pas tant, se met à couler encore plus fort. Par des gestes réguliers, trois doigts, qui s’enfoncent toujours un peu plus, visitent sa zone anale. La pute anale peine à retenir ses gémissements. Dans la rame, d’autres visages se sont tournés vers elle mais Jade s’en moque. Elle est une salope, une putain bourgeoise, une pute anale, une chienne à foutre et assume totalement son statut.
Celui qui se branle sur ses bas ne va pas tarder à gicler son sperme. Elle voit son visage se contracter puis se relâcher subitement. Jade sent la semence chaude se répandre sur le nylon. Elle y porte une main et entreprend de lécher le foutre. Elle ferme les yeux et savoure le sperme.
Dans son dos, son tourmenteur poursuit son exploration. Ses doigts s’enfoncent toujours plus loin. Pourtant, Jade se redresse et commence à rabattre les pans de son trench. L’homme a compris et a tout juste le temps de remettre le plug à queue de cheval en place. Le petit jeu est terminé. Le métro arrive à la station Porte de la Villette.
La pute anale quitte la rame avec la chatte et le cul en feu. Elle ne songe qu’à se faire défoncer par tous les trous. Qu’on inonde sa bouche et sa gorge, qu’on remplisse sa chatte, qu’on bourre son cul. À allure vive, elle regagne la terre ferme. Les abattoirs
ne sont qu’à une grosse centaine de mètres de la bouche de métro.
Jade traverse l'avenue Corentin Cariou. Les abattoirs, ce vestige de l'ancien Paris, s'offrent à elle. Malgré son envie profonde de sexe, elle prend quelques instants pour observer l'impressionnante façade.
Un SMS vient d'arriver : « Ma chère Jade, il est 15 heures. Si tu es devant les abattoirs, je t'invite à pousser le grand portail vert. Ensuite, ce sera la seconde porte à gauche. Tu longeras un long couloir puis tu arriveras devant une porte rouge. Nous t'attendons. »
La pute anale ne tergiverse pas. Juchée sur ses talons de quatorze centimètres, elle se hâte. L'idée d'être ainsi attendue l'excite au plus haut point. Elle trouve le portail ouvert qu'elle pousse sans attendre. Jade pénètre dans une cour où il y a plusieurs quais de réception, bien évidemment déserts. Elle se dirige vers la deuxième porte, sur sa gauche. Il ne flotte plus d'odeur de viande depuis longtemps. Non, le seul parfum qu'elle sent, c'est celui de son jus de pute. Elle écarte rapidement les pans de son trench et constate que sa cyprine coule déjà sur ses bas.
La porte rouge est au bout du couloir. Ses talons de putain bourgeoise résonnent entre ces murs séculaires. Le souffle court d'avoir marché vite, elle pousse enfin cette porte pleine de mystères. Il s'agit d'une grande salle, de la taille d'un terrain de basket. Au fond, sous une lumière pâle, assis sur une sorte de trône, une personne que Jade connaît très bien la regarde avancer. Concentré sur le claquement de ses talons, il ne cherche pas à émettre de commentaire ou à souhaiter la bienvenue. C'est seulement quand elle parvient à leur hauteur que Bruno, le patron de la Boîte, prend la parole.
- Ma chère Jade, je savais que tu honorerais ce rendez-vous. De ce point de vue, c'est conforme à ce que tu représentes au sein de l'entreprise. De l'engagement, de la motivation mais aussi de la débauche et de la luxure. Je pense que tu es venue avec plein de promesses et d'envies en tête. Tu ne seras pas déçue. Tu pourras assouvir tes désirs et tu en auras d'autres à combler.
À ces mots, d'autres silhouettes surgissent de derrière un rideau. La pute anale reconnaît Sofia, Fanny, Laurie, David et Guillaume.
- Avant de commencer ces petites festivités, je dois avant tout remercier Guillaume et David. Comme tu as pu le constater, ils ont su me donner de précieux conseils. Ils ont su faire preuve de suffisamment de perversité pour mériter leur place auprès de toi. Sofia, qui a été ma très dévouée secrétaire, occupera un poste similaire. Enfin, Fanny et Laurie seront tes nouvelles assistantes. Et maintenant, donnez libre cours à vos envies ! Approche, Jade ! Retire ton trench.
La putain bourgeoise s'exécute et enlève son pardessus. Elle apparaît dans sous beauté, avec un minimum de lingerie, serre-taille et bas couture plissés.
- Tourne-toi !
Avec une gestuelle maîtrisée, Bruno s'empare du plug queue de cheval, l'extrait du divin cul et le porte à la bouche de Jade.
- Lèche !
La belle catin ne se fait pas prier. Jade ouvre grand la bouche et commence à lécher le précieux bijou. Sa langue s’applique sur le métal chaud. Avec lenteur et avec délice, elle parcourt toute la surface du plug puis le gobe intégralement comme si c’était une queue. Mais ce n’est pas ce que Bruno regarde. Il observe les bas souillés de cyprine avant de porter ses yeux sur le minou de la pute anale et le jus qui en sort. Il tend une main vers la cyprine avant de la porter à sa bouche.
- Ton jus de pute est toujours aussi épais, toujours aussi bon. Ne t’arrête pas.
La belle chienne continue son ouvrage. Le plug entre et ressort entre ses lèvres. Sa mouille est abondante et coule sur ses bas. La putain bourgeoise ne peut retenir ses gémissements, surtout que les doigts de Bruno s’insinuent un peu plus profondément dans sa chatte inondée.
Tout juste à côté, Guillaume et David ont fait mettre Laurie, Sofia et Fanny à genoux. Toutes les trois arborent la même tenue. Une guêpière violette dont les bonnets peinent à contenir les fortes poitrines de ces putains, des bas couture noirs qui plissent déjà aux genoux et aux chevilles. Elles portent une chaînette à chaque cheville et des mules aux talons vertigineux. Les deux complices ont sorti leurs queues et s’apprêtent à ramoner les bouches de ces chiennes. Guillaume s’avance vers Sofia. Elle est déjà prête à se faire défoncer la gorge. Il pose sa main gauche à l’arrière du crâne de cette catin et sa main droite sous le menton. Elle va se faire baiser la bouche comme il se doit. Guillaume s’introduit d’une seule poussée et Sofia se retient pour ne pas vomir d’entrée. Il reste ainsi pendant une bonne vingtaine de secondes avant de se retirer. Sofia crache une salive particulièrement conséquente.
David, procède de même avec Fanny. La bave épaisse est allée se répandre sur ses gros seins. Marquant peu de répit, David renouvelle l’opération. Quant à Laurie, elle s’est avancée vers Bruno et entreprend de le pomper avec efficacité. Elle bave sur le pantalon de son boss. Mais lui en veut plus.
- Jade, ma chienne anale. Viens donc me pomper.
Laurie a compris qu’elle doit céder sa place. Elle rejoint Fanny afin de dévorer la queue de David. À son tour, Jade s’est mise à genoux et, sans attendre, gobe la bite offerte. Elle suce à un rythme intense. Sa salive se mélange à celle laissée par Laurie. Bruno se permet même de lui écraser la tête contre ses couilles. Bouffer de la bite, la gober, la mettre au fond de sa gorge, tout cela fait mouiller Jade encore plus. Sa cyprine se répand à grands traits sur le tapis spécialement installé pour l’occasion. La pute s'active toujours un peu plus sur la bite de son patron. Le traitement est si efficace qu'il est incapable de se retenir. Il libère une grosse charge dans la bouche de la putain. Jade, qui a horreur de gâcher, avale tout. Elle s'essuie les lèvres puis se remet debout.
La putain bourgeoise sait que ce n'est pas à elle de décider de la suite des opérations. En se relevant, elle a vu que, dans la salle, il y avait deux piloris se faisant face. Le plus petit oblige d'être à genoux, avec la tête de la fille à hauteur de bite. Le second, de dimensions plus grandes, oblige à prendre une position qui ouvre totalement l'anus. Jade comprend qu'elle ne pourra pas échapper à ces deux structures. Sa chatte en mouille d'avance.
Sofia continue de pomper Guillaume avec avidité tandis que David subit avec délice le même traitement de la part de Fanny et Laurie. Il y a de la bave et du jus de pute partout sur le sol. Sous le regard de Bruno et Jade, ces trois chiennes s’activent. C’est à celle qui sucera de la façon la plus intense. L'ancien boss et la nouvelle patronne s'en approchent. Jade pose sa main à l'arrière du crâne de Sofia et lui presse la tête contre le bas-ventre de Guillaume. En alternance, Bruno fait de même avec Laurie et Fanny. Face à cette fellation d'une redoutable efficacité, Guillaume et David ne tardent pas à jouir. La gorge de Sofia est copieusement arrosée tandis que David libère son foutre sur les visages de Fanny et Laurie. Pour autant, ce n'est pas fini. Les deux complices ont de la suite dans les idées, comme l'a souligné Bruno.
- Je vous remercie pour cette délicieuse mise en bouche, commente Bruno. C'était divin, comme d'habitude. Maintenant, nous allons passer à des choses un peu plus sérieuses. Je vous invite à m'accompagner au centre de cette salle.
Les quatre femmes et les trois hommes se dirigent vers les deux piloris. Les talons résonnent sur le béton. Bruno, David et Guillaume ont laissé Fanny, Jade, Laurie et Sofia passer devant. Ils admirent les quatre magnifiques croupes, la tension des jarretelles. Leurs yeux suivent la couture des bas, l'éclat doré des chaînes de cheville, la course des talons.
- Ma chère Jade, tu te doutes bien que le grand pilori t'es réservé. Une fois que tu y seras installée, tu ne pourras plus bouger. Ni ta tête, ni tes mains, ni ton cul, ni tes jambes. Tu seras intégralement offerte et soumise à l'appétit de ces hommes. Quant à Sofia, Laurie et Jade, je vous ai attribué le petit pilori. Il paraît que la position est idéale pour la gorge profonde. Jade, va prendre place !
La pute anale s'exécute. Elle en a trop envie. Guillaume et David l'aident à s'installer. Ainsi entravée, la putain bourgeoise ne peut empêcher son jus de couler encore plus. Cerise sur le gâteau, Bruno vient lui bander les yeux pendant que les deux complices assistent Fanny à se placer sur le petit pilori. Seules ses fesses sont libres de tous mouvements. Voilà les deux putains en position, sans savoir qui va leur baiser la bouche ou le cul.
Jade devine une main sur son menton. Deux doigts viennent s'insinuer dans sa bouche, très profondément. Elle devine un gland, épais, mais elle ne reconnaît pas celui de ses collègues. Dans sa bouche, la bite, qu'elle masse de sa langue experte, gagne du terrain ainsi que du volume. La queue est bientôt aux portes de sa gorge. Le chibre gagne le passage sans la moindre résistance, s'enfonce avant de reculer sans se retirer. Cela fait maintenant près d'une minute que la bite est dans sa bouche. La putain bourgeoise peine à reprendre son souffle. En revanche, elle produit énormément de salive. Les va-et-vient se font réguliers, à un rythme soutenu. La succion de la pute anale se fait de plus en plus bruyante, d'autant plus qu'elle sent d'autres mains se poser sur ses fesses. On masse son cul. Des doigts s'aventurent sur sa rosette. Un doigt s'insinue dans son anus. Malgré l'épaisse queue dans sa bouche, Jade ne peut retenir un gémissement. Qu'il est bon de se faire fouiller ainsi, d'être livrée comme la dernière des traînées à toutes ces queues avides de débauche !
Elle devine aussi des coups de langue bien placés sur son cul. Aucune zone n’est épargnée. Les doigts s’insinuent toujours plus profondément en elle, comme la bite
qu’elle a dans la bouche. L’homme, un membre du personnel, ne lui laisse que très peu de répit dans sa gorge. Jade bave autant que sa chatte. Son jus de putain coule à grands traits sans discontinuer. Une marre épaisse s’est formée entre ses escarpins.
Maintenant, ce ne sont plus des doigts qui fouillent sa rondelle. C’est un poing entier. Des allers-retours menés avec intensité. La pute anale continue de gémir.
- Hmmmmmm…. Bourre-moi plus fort !
Les deux hommes qui s’occupent d’elle ne se font pas prier et augmentent leurs cadences respectives dans sa gorge et dans son cul. L’homme qui ramone sa bouche ne tarde pas à gicler une grosse dose de foutre. La putain bourgeoise a à peine le temps de tout avaler qu’une autre queue débarque dans sa bouche. C’est le même cérémonial qui reprend. Au niveau de sa divine croupe, on s’accroche à ses jarretelles pour mieux dévaster son cul. Une épaisse bite rentre d’une seule poussée. Entravée par le pilori, Jade se fait secouer. Elle adore ça, elle en redemande. Jade se sent chienne, pute anale, putain bourgeoise, garce à bites, salope à jus en permanence.
Du côté du petit pilori, Fanny se fait pilonner la gorge par une queue qu’elle ne connaît pas. Dans la foulée, deux autres structures ont été rapidement installées par David et Guillaume afin que Sofia et Laurie puissent connaître les mêmes joies. Depuis, ces trois chiennes bavent de concert, autant que Jade.
Sous les yeux avertis de Bruno, David et Guillaume, d’autres hommes apparaissent. Encore du personnel de l’entreprise. Les culs de Sofia, Laurie et Fanny sont profondément et immédiatement investis. Malgré les bites qui leur remplissent la bouche avec intensité, les quatre chiennes gémissent avec force. C'est un concert de hurlements, de cris témoignant d'un plaisir puissant. Ça bave, ça gicle. On ne se prive pas de malmener ces quatre salopes.
Leurs rondelles sont pénétrées, sans ménagement, sans le moindre répit, par une multitude de queues. Leurs bouches sont ramonées de la même façon. Les bites se succèdent et, à chaque fois, déversent d'importants flots de sperme. Harnachées sur leur pilori, quatre putains comblées de leurs espérances, les estomacs et les anus gavées de foutre chaud. Avant que ce soit leur tour, David, Bruno et Guillaume ont regardé tout ça avec un grand intérêt et beaucoup d'envie. Ils n'ont pas hésité à motiver les filles pour qu'elles pompent les queues offertes encore plus fort.
L'ensemble du personnel masculin de la Boîte est désormais passé. Les quatre salopes ont la bouche et le cul complètement dévastés. Elles savent que ce n'est pas fini. Bruno, David et Guillaume vont désormais s'occuper d'elles.
Guillaume est le premier à s'occuper de Sofia. Il commence par lui bourrer la gorge. Un rythme intense qu'applique aussi David avec Jade. Bruno, de son côté, a des envies de sodomie. Il investit d'abord le cul de Laurie. Sa rondelle a été tellement dilatée le passage d'une vingtaine de chibres qu'il y entre sans le moindre effort. Il la ramone ainsi pendant une bonne dizaine de minutes, des coups de boutoir qui font hurler cette chienne avant de lui vider sa semence.
La queue toujours ferme, il renouvelle l'opération avec Fanny, qu'il avait personnellement engagée. Tout en s'arcboutant au cul de sa collaboratrice, il peut voir que Guillaume n'y va pas de main morte avec la gorge de Sofia. Sa secrétaire, encore pour quelques heures, bave de façon particulièrement conséquente. Elle est à deux doigts de vomir. Bruno constate aussi que David agit de même avec Jade. Elle en redemande toujours plus. Il y a une grande mare de jus de pute sur le sol.
Après en avoir terminé avec Fanny, dont le cul déborde désormais de sperme, Bruno rejoint Jade dont l'anus est plus qu'extrêmement ouvert. Il peut y glisser sans la moindre difficulté avant d'introduire sa queue. C'est l'heure de la sodomie !
Après avoir, une fois de plus, craché un énorme paquet de salive, Sofia se retrouve avec l'anus totalement pris par la bite de Guillaume. Comme Jade, elle hurle qu'il faut la baiser comme une chienne, comme une catin, comme une pute. David, de son côté, s'offre les culs de Fanny et de Laurie. Il alterne avec régularité et intensité.
Intensité, c'est bien le mot qui convient. Sofia et Jade subissent de concert une sodomie particulièrement intense. Ces quatre putains se montrent expertes dans l'art de se faire enculer avec une sauvagerie toujours renouvelée. Les trois hommes sont à point. David détache Fanny et Laurie. Les deux chiennes se rapprochent, prêtes à recevoir leur dose de foutre sur le visage. David y répand une épaisse semence.
Entre deux hurlements, Jade et Sofia demandent à recevoir le même traitement. Guillaume et Bruno les libèrent avant de gicler leur sperme sur ces deux chiennes.
- Bienvenue à la nouvelle présidente ! fait Bruno.
Le visage plein de foutre, Jade se relève et rejoint le grand fauteuil sur lequel était assis Bruno en début de séance. Elle s'y installe en écartant bien les cuisses.
- J'accepte la charge qui m'est confiée.
De par son poste, elle sait qu'elle va encore vivre de nombreuses aventures...
3 ani în urmă