Les bourgeoises (2)

L'Institut International du Commerce se situe au cœur d'une forêt jurassienne, à l'abri des regards. C'est ici que Lou, Fanny, Jade et Laurie ont, bien avant de bosser pour la Boîte, ont terminé leurs études. Après l'obtention de leur bac, c'est dans ce cadre cossu que leurs parents les ont envoyées. Elles y ont notamment fait la rencontre de Sofia, qui y était instructrice avant, à son tour, d'intégrer la Boîte. On vient à l'Institut pour maîtriser les meilleurs techniques de commerce mais aussi pour y devenir une salope accomplie. Au domaine, les ballerines, les culottes de grand-mère et les pantalons sont strictement interdits pour les femmes. Les talons aiguilles d'un minimum de douze centimètres, les jupes au-dessus du genou et les bas couture sont obligatoires. Quand Sofia a pris son poste à l'Institut, elle était déjà en totale conformité avec ce premier article du règlement intérieur. Cette pute bourgeoise s'habille ainsi tous les jours et elle n'hésite pas à en rajouter avec un maquillage de chienne, un corset qui met largement en valeur sa lourde poitrine aux tétons perpétuellement dressés et une chaîne dorée qui souligne sa cheville. Aujourd'hui encore, elle a revêtu un tailleur gris avec une jupe fendue, une chemisier blanc dont elle n'a pas attaché les boutons du haut, des bas couture gris qui plissent aux genoux, deux épaisses chaînes de cheville et des escarpins noirs vernis aux talons de quinze centimètres. Elle a parfait sa tenue avec un maquillage charbonneux et n'a pas manqué de peindre ses ongles longs d'une teinte rouge sang.
À l'Institut, Sofia n'enseigne pas de matière commerciale. La direction de l'établissement lui a confié d'autres cours : la maîtrise absolue de la gorge profonde. Elle officie aussi sur des matières optionnelles comme comment porter sa chaîne de cheville en toutes circonstances. Bien que ça ne manque pas de chiennes à bites, les cours se font toujours en petit groupes.

La thématique du cours d'aujourd'hui ne change pas. Sofia aurait dû disposer de quatre élèves. Lou, Fanny et Laurie sont présentes. Jade, toujours un peu récalcitrante, est manquante. Viktor, le gardien et jardinier, est parti à sa recherche. Lou est une belle bourgeoise aux cheveux auburn, aux seins nerveux et à la croupe affirmée. Au moment où elle pénètre dans la salle, Sofia s'assure que la tenue de la jeune femme est conforme. Chemisier violet, jupe sombre fendue au-dessus du genou dévoilant le revers des bas couture noirs, escarpins pourpres vertigineux, chaîne de cheville. Sofia apprécie beaucoup l'ensemble et devine déjà que sa fente se remplit. Quel délice de sentir son jus de pute dégouliner le long de ses cuisses. Fanny est, elle aussi, une bourgeoise. Brune, elle a opté pour un tailleur pied-de-poule, des bas couture noirs et des escarpins noirs. Efficace et élégant. Enfin, Laurie est la plus jeune du groupe. Des courbes affirmées, mises en valeur dans une robe froufroutante qui s'arrête juste à la hauteur de ses bas couture gris. Elle s'est chaussée de mules rouges au talon de seize centimètres et dispose d'une chaînette pour chaque cheville. Sofia est subjuguée par le volume de ses seins qui menacent de sortir du décolleté.
- Bonjour. Prenez place. Jade n'est pas avec vous ?
- Non, madame. Elle est sûrement partie se faire enculer dans la forêt. Elle en a l'habitude, fait Laurie.
Les trois putains s'installent. Elles sortent d'un cours de macro-économie assuré par un vieux prof libidineux qui fait toujours exprès de faire tomber son stylo. À cette heure, il doit être en train se branler dans les toilettes du premier. Ce vieux beau, Sofia l'a déjà sucé et il s'est même permis de lui uriner dessus.
Le trio de salopes s'est installé face à Sofia, elle peut se permettre de les observer. La robe de Laurie est négligemment remontée sur sa chatte libre du moindre obstacle, et surtout, déjà humide. Fanny a croisé haut les cuisses, révélant une bonne part de cuisse au-delà du nylon qui plisse par endroits. De son côté, Lou a, elle aussi, remonté sa jupe.
Le bureau de Sofia ne cache rien de ses intentions. Si elle n'a pas encore remonté sa jupe, elle sait que sa cyprine coule abondamment, surtout depuis qu'elle sait de quoi ces trois-là sont capables. Il y a deux jours, elle a surpris Laurie, dans sa chambre, en train de se faire fister par deux étudiants. Le plaisir de la belle catin résonnait dans tout le couloir. Sofia n'ignore pas que Fanny s'est donnée à plusieurs reprises à Viktor, un géant black doté d'une bite énorme. En les observant depuis la fenêtre de son bureau, Sofia n'a pas manqué de se faire jouir. La queue du jardinier, l'enseignante la connaît bien. Elle en apprécie sa longueur, qui lui remplit bien la gorge, ainsi que son épaisseur, qui explose l'intégralité de ses parois anales. Quant à Lou, elle sait qu'elle ne rechigne pas à faire exprès de se faire punir pour tailler des pipes voraces au directeur. Celui-ci se nomme David et adore sodomiser Sofia, le soir après les cours.
Sur son bureau, Sofia a disposé des godes de différentes tailles. La bourgeoise a hâte de savoir comment les filles se débrouillent.
- Mesdames, le cours d'aujourd'hui est consacré au fait de bien baver pendant une gorge profonde. Plus vous saliverez, plus les hommes aimeront ça, plus leur bites vont grossir dans vos bouches. Fanny, c'est à toi.
D'une démarche ferme sur ses talons aiguilles, la bourgeoise brune s'approche et s'empare du premier gode. Un modèle de taille et d'épaisseur moyenne. Sofia se lève et se place à côté d'elle. Fanny écarte ses lèvres bien rouges et commence à enfoncer le chibre de plastique dans sa bouche. Elle fait quelques va-et-vient puis repose l'objet.
- C'est pas mal mais ça manque de conviction. Je vais te montrer.
Sofia saisit un gode d'un volume bien plus conséquent et, sans hésiter, se l'enfonce jusqu'à la garde. Elle le garde plusieurs secondes en bouche puis, à son tour, imprime un violent mouvement de va-et-vient. Sofia bave comme une chienne et sa salive vient s'écraser sur le parquet.
- Tu vois, c'est comme ça qu'il faut faire.
Sofia, dont les effluves de cyprine deviennent de plus en plus prégnants, saisit un gode un peu plus gros et le dirige vers la bouche offerte de Fanny. Elle le lui enfonce sans ménagement. La putain brune hoquète, manque de s'étouffer, tente de déglutir avant de cracher un énorme filet de bave en direction du sol.
- Très bien ! Continue comme ça ! La suivante sera Lou.
Alors que Fanny poursuit son effort, ne cessant de saliver, Lou s'avance vers le bureau de Sofia. L'enseignante lui tend le petit gode et Lou l'avale sans broncher. Il lui faut un calibre plus gros, quelque chose qui déforme ses lèvres de putain. Sa main se dirige vers un modèle bien épais. Elle en bave d'avance. D'un geste expert, elle s'enfonce l'énorme gode jusqu'à la garde. Sa salive se répand immédiatement sur son chemisier.
- C'est parfait, Lou ! Tu maîtrises. C'est au tour de Laurie.
Celle-ci, elle excite vraiment Sofia. La prof meurt d'envie de lui lécher ses gros seins, de lui bouffer les tétons et de s'abîmer dans sa chatte. Ces pensées suffisent à décupler le débit de son jus de pute. La chienne enseignante sait que sa cyprine dégouline à grands jets sur ses bas. Elle meurt d'envie de remonter sa jupe, de se caresser, voire de se fister.
Elle voit cette pute de Laurie s'emparer d'un gode maousse et se le fourrer direct dans la bouche. Elle aussi bave abondamment. Le parquet commence à être constellé de gros crachats de salive. Sofia ne peut plus se retenir. Après avoir remonté sa jupe avec peine, tant celle-ci colle à ses formes, elle prend place sur le bureau et écarte les cuisses. Tout naturellement, ses mains prennent la direction de sa chatte de grosse truie à bites. Son jus y est abondant, épais et gras. Sofia fourrage dans sa moule, lèche sa cyprine. À même le sol, Fanny et Lou s'enfoncent alternativement leurs godes dans leurs différents orifices en gémissant comme des chiennes à queues. De son côté, Laurie s'approche de la chatte béante de son enseignante. Tout aussi assoiffée de stupre, elle y glisse deux doigts, puis quatre, puis la main entière sans le moindre effort. D'un mouvement vif et régulier, elle entreprend de ramoner l'abricot plein d'une cyprine bouillante.
- Plus fort ! Défonce-moi !
La porte de la salle étant ouverte, les gémissements des quatre putes bourgeoises s'immiscent dans le couloir, parviennent jusqu'au bureau de David. En proie à une vive excitation, le directeur ne peut s'empêcher d'aller voir ce qui se trame dans la salle de classe située à l'autre bout du bâtiment. Il parcourt le couloir centenaire. Les hurlements de ces quatre putains se font encore plus rageurs. Arrivé au bout du corridor, il prend place contre le chambranle et observe la scène. Sous l'étoffe de son pantalon, sa bite se fait rapidement douloureuse. Sur le bureau, cuisses offertes et bas plissés, Sofia ne cesse gicler violemment. Son jus de pute atterrit avec force sur le bois patiné et sur le visage de chienne dépravée de Laurie.
N'y tenant plus, David sort sa queue et commence à se branler. Sur le parquet, lui aussi inondé de cyprine, Lou et Fanny s'aperçoivent de son manège. Titubantes d'un plaisir qui n'est pas encore rassasié, elles s'approchent du chibre épais et ferme. Fanny prend les commandes et gobe la queue tendue. Elle bave fortement. Une salive qui atterrit sur le parquet et que Lou entreprend de lécher.
Sur le bureau, Sofia écarte encore plus les cuisses. Elle est soumise au poing dévastateur de Laurie qui s'enfonce profondément dans sa chatte.
- Vas-y ! Encore ma grosse salope !
David ne sait plus où donner de la tête. Dans son champ de vision, il a Fanny et Lou qui lui dévorent la bite. Une pipe tellement vorace, tellement baveuse, qu'il y aurait de quoi remplir un seau avec leur salive de pute bourgeoise. Mais il ne peut manquer le magnifique spectacle
offert par Laurie et Sofia. Ces deux chiennes sont désormais en train de se fister mutuellement. Le directeur de l'établissement est aux anges et il lui en faudrait à peine plus pour gicler sur le visage des deux garces qui s'activent sur sa queue comme si la suite de leurs études en dépendait.
- Doucement, doucement...
Il repousse gentiment les deux jeunes putains et s'approche du bureau. Il peut constater que non seulement, les corolles de Sofia et Laurie sont imbibés d'un jus de pute particulièrement épais mais aussi que leurs anus sont totalement dilatés. Il a aussi envie de leurs bouches de chienne dépravée. Sofia, en tant qu'enseignante, est la première à lui faire goûter sa langue et sa gorge. Il sait qu'il peut lui ramener le conduit buccal sans ménagement. Cette pute bourgeoise, à laquelle il n'a rien eu à apprendre quand elle est arrivée dans l'établissement, est sa salope la plus fidèle. Il ne se passe pas une journée sans que son chibre explore au moins l'un de ses orifices. Il connaît par cœur la profondeur impressionnante de sa gorge, la chaleur permanente qui émane de sa chatte, la souplesse légendaire de sa rondelle. Dès son entretien d'embauche à l'Institut International du Commerce, elle a su lui montrer ses talents. David s'en souvient comme si c'était hier. Pendant qu'elle poursuit l'aspiration intégrale de sa queue, il se remémore la façon dont elle était vêtue ce jour-là. Sofia portait une robe à crinoline qui ne cachait pas grand-chose du haut de ses bas couture. La robe était ornée d'un décolleté qui menait une faible résistance face à la lourde poitrine de la salope. Ses pieds étaient chaussés de mules au talon vertigineux. Il n'avait pas manqué de remarquer qu'elle avait parée sa cheville d'une épaisse chaîne de cheville dorée. En un éclair, il avait compris qu'il pourrait compter sur elle. Au cours de l'entretien, au milieu de questions anodines, elle avait tranquillement relevé sa robe et démontré qu'elle ne portait aucune culotte. Le message était passé. À la fin de la discussion, il s'était levé et avait, d'un geste totalement naturel, sorti sa bite face au visage diablement excité de Sofia. La suite n'avait été que salive épaisse, jus de pute abondant et gémissements à faire trembler les murs de l'institution centenaire. Depuis, toutes les élèves, toutes les enseignantes sont recrutées sur le même mode. Fanny, Lou et Laurie, et tant d'autres sont passées par le bureau de David. Il a pris un immense plaisir à se repaître de leurs charmes, à faire glisser sa queue tendue sur leurs bas couture plissés, à explorer et investir leurs orifices, à leur faire crier comme des catins en attente d'expériences encore plus interdites.
Tête renversée en arrière, Sofia dévore sa queue avec une avidité jamais rassasiée. Sa salive épaisse s'est répandue sur son visage, ravageant son maquillage de chienne à foutre. David lui maintient la pression et la laisse rarement respirer. Quant à Laurie, elle a coincé la tête entre les cuisses de sa prof et entreprend de lui bouffer alternativement la chatte et l'anus. Sofia continue de gicler avec v******e. Sa cyprine, dont beaucoup d'hommes se sont délectés, coule sans discontinuer sur le bureau. Un torrent en furie. Une crue que rien ne pourra altérer.
À même le parquet, Fanny et Lou continuent de se bouffer la chatte, l'anus, les tétons. Toutes les deux ont libéré une quantité impressionnante de jus de putain. Totalement concentrées sur leur plaisir dévastateur, elles ignorent que Guillaume, le chef des surveillants, s'amène dans le couloir. Lui, il aime s'occuper des filles le soir. Tous les jours, à dix-sept heures, il relève les carnets de notes. Celles qui ont le moins bien travailler sont ensuite priées de venir à son bureau situé à l'entrée du bâtiment. Là, dans le but d'appliquer une sanction appropriée, il les fait mettre à genoux et leur impose des gorges profondes extrêmement baveuses. La semaine dernière, Sofia, qui passait par là, a été contrainte de changer son chemisier, tellement celui-ci était imbibé de sa propre salive.
Pour l'heure, Guillaume est accompagné de Leslie. Cette bourgeoise souhaite y inscrire sa fille, Chloé. Le chef des surveillants lui fait la visite de l'Institut. Cette Leslie, il sent bien que c'est une putain comme il les adore. Tailleur Gérard Darel bleu, bas couture gris, escarpins Louboutin aux pieds. Une vraie bourgeoise qui aime la bite. En montant à l'étage afin de visiter les chambres de l'internat, il n'a pu s'empêcher, dans le vieil escalier, de la laisser passer devant lui dans l'unique but de mater sa croupe et de deviner les jarretelles à travers le tissu luxueux de la jupe.
Ils se dirigent désormais vers la salle de classe au bout du couloir. Les talons de Leslie résonnent sur le parquet séculaire mais ne parviennent pas à couvrir les gémissements des quatre putains.
La bourgeoise écarquille de grands yeux mais elle n'est pas choquée. Bien au contraire, elle savoure pleinement la situation. Elle ouvre les pans de sa veste de tailleur, laisse apparaître sa guêpière et commence à se palper les seins. Ses tétons durcissent rapidement. Complètement hypnotisée, le visage plein de salive et de jus de pute, Lou vient ramper jusqu'à ses pieds. Elle se frotte contre ses bas, remonte sa jupe. Comme les autres, Leslie ne porte pas de culotte. Pendant ce temps, Fanny s'est attaquée à la queue de Guillaume. Le surveillant bande ferme et, d'une poussée, vient plaquer le visage de la jeune bourgeoise contre son ventre. Il lui maintient ainsi la tête pendant une vingtaine de secondes avant de lui laisser un court répit pour respirer et surtout, baver sur le parquet. Il ne lui faut pas longtemps pour faire reprendre cette mécanique à l'élève qui en redemande. Comme les autres, elle multiplie les bruits de succion.
Du côté de Sofia et Laurie, on s'active avec férocité sur la queue de David. Le directeur, qui s'engage à bien faire saliver les deux putains vautrées sur le bureau, est aux anges. C'est à celle qui bavera le plus, le plus bruyamment possible. D'insatiables chiennes en rut !

Autour du bureau, on n'hésite pas à changer de position. Leslie, à genoux, fait ainsi la connaissance du chibre de David et se le partage avec Lou tandis que Laurie et Sofia ne cessent de s'enfoncer la bite de Guillaume le plus loin possible dans leurs gorges de chiennes dépravées. Quant à Fanny, elle navigue entre les bites et les chattes, distribuant des coups de langue toujours bien placés, recevant salive et cyprine.
Pendant ce temps, Jade fait enfin son apparition dans le bâtiment. Viktor l'a retrouvée à la cave où elle était en train de se faire défoncer par deux professeurs. Il lui a mis la main dessus au moment où elle subissait une double anale. Avant de la ramener, le gardien a préféré participer au groupe et a gratifié Jade de conséquentes doses de foutre au fond de sa gorge de putain bourgeoise. Arpentant désormais le couloir principal, avec Viktor à sa suite, elle est vêtue d'une robe courte mettant en valeur ses jambes gainées de bas couture noirs accrochés à un porte-jarretelles qui a été sévèrement malmené. D'ailleurs, la robe est tellement courte et soumise au moindre caprice du vent que Jade n'a pas besoin de beaucoup se pencher pour qu'on puisse voir qu'elle ne porte pas de culotte. Les plus avertis pourront même constater qu'il y a encore des traces de sperme à son entrejambe ainsi que sur son visage. Son maquillage épais n'a pas résisté à l'avalanche de semence. Ses pieds sont chaussés d'escarpins aux talons démesurés de seize centimètres. Chacune de ses chevilles est parée d'une chaînette dorée. Comme les autres élèves féminines, Jade est constamment attirée par le vice. Le stupre est son moteur et elle ne perd pas une occasion de se faire défoncer, profondément enculer, de se faire recouvrir le visage de foutre chaud et épais. Elle se hâte même pour rejoindre la classe où les hurlements des cinq putains ne cessent de s'amplifier. Sur le pas de la porte, Jade n'attend pas qu'on lui dise d'entrer, surtout qu'elle sent le renflement de l'épaisse bite de Viktor contre sa croupe.
Sans attendre, Fanny se dirige vers elle et lui lèche ce qu'il reste de foutre sur son visage puis au niveau de sa chatte. Jade se laisse faire et mouille aussitôt. Des sécrétions épaisses qui, déjà, coulent le long de ses cuisses. Les deux putains s'installent à même le parquet pour être plus à l'aise. Jade se place sur le dos et écarte ses cuisses tandis que Fanny plonge vers sa chatte inondée de jus de putain. Viktor en profite pour sortir sa grosse queue et se branler au-dessus des deux putains. Du reste, dès qu'elles constatent qu'il est bien ferme, elles se mettent à genoux et entreprennent d'enfourner le chibre conséquent dans leurs bouches baveuses, sans manquer de malaxer ces couilles lourdes et pleines. Elles salivent, ces deux catins et s'échangent leurs jus buccaux par-dessus le gland de Viktor.
Ailleurs, dans la salle de classe, Sofia et Laurie se sont mises à quatre pattes, bas plissés sur le parquet. Guillaume les encule à tour de rôle. Une sodomie qui les font mouiller encore plus. Leurs jus inondent le parquet. Les deux garces gémissent de concert, suppliant d'être ramonées encore plus fort. Lou et Leslie ont trouvé place contre le bureau. Le cul bien tendu, elles aussi se font sodomiser avec vigueur par David. Elles hurlent leur plaisir d'être prises comme des chiennes. Leur cyprine se fait toujours plus abondante et vient couler sur leurs bas.
Du côté de Fanny et Jade, le jus de pute n'est pas en reste. Il se fait conséquent, dévale le long du nylon avant de finir sa course sur le sol. Viktor sait bien que ces deux putes sont assoiffées. Il n'hésite pas à les étouffer avec sa queue au fond de leur gorge. À chaque fois, elles sont à deux doigts de vomir mais elles en redemandent. Et, de concert, elles pompent l'immense braquemart plus
violemment et plus bruyamment. Leur salive abondante vient se mêler à la mare de cyprine.
- Vous êtes deux sacrés putains, fait Viktor entre deux soupirs d'aise. Je n'en ai pas fini avec toi, grosse chienne, ajoute-t-il à l'adresse de Jade. Mets-toi à quatre pattes et tends ton cul.
La putain obtempère, trop heureuse de ce qui va suivre. Viktor ne l'a encore jamais sodomisé. Le visage dans l'épais mélange de bave et de jus de chienne, elle se positionne, la croupe tendue au maximum. Son anus est déjà dilaté et sa chatte ne cesse de couler. Avant de l'enculer, Viktor a envie de s'amuser. Il se penche vers elle afin de murmurer à son oreille :
- On t'a déjà fisté ?
- Juste la chatte.
- Alors, je vais commencer par là.
Un immense sourire s'est installé sur le visage du black. Il glisse d'abord deux doigts dans la corolle trempée, constate rapidement qu'il y a largement la place d'en mettre plus. Il y ajoute le reste puis le poing entier en imprimant un mouvement régulier. À côté de lui, Fanny, les yeux écarquillés, le regarde faire en se caressant fortement. Son jus gicle en jets puissants. Quant à Jade, elle gémit de plus en plus fort. Elle adore être dominée, malmenée.
- Tu en veux plus, hein ?
- Ouiiii !! Encore !!
Viktor retire sa main avec douceur et insère trois doigts dans la rondelle de Jade. Il y pénètre sans la moindre résistance. La belle bourgeoise tortille un peu de cul, creuse encore plus les reins. Le black comprend qu'elle en veut plus, qu'elle n'est pas prête d'être rassasiée. À force de va-et-vient, c'est le poing entier qui rentre dans l'anus de Jade. Le mouvement régulier fait gémir encore plus la catin. Elle hurle désormais, elle ne se retient plus. Sa cyprine est en crue et explose sur le parquet.
Dans la salle de classe, les autres se sont un peu calmés. On prend un immense plaisir à observer Jade en train de subir les assauts du poing de Viktor. Fanny profite de cet intermède pour se placer à côté de Jade, exactement de la même façon.
- Qu'on m'encule ! crie-t-elle.
Délaissant les anus de Leslie et Lou, David ne se fait pas prier. Sa queue, particulièrement lubrifiée entre sans forcer dans la rondelle de Fanny. Juste à côté d'elle, Jade ne cesse de creuser les reins. Son anus s'offre intégralement au regard. On pourrait y glisser un rosebud sans la moindre difficulté. Viktor s'est emparé de ses hanches et, centimètre par centimètre, pénètre dans le bouillant conduit. La putain hurle encore un peu plus, non pas de douleur mais d'un plaisir totalement ravageur. La bite de Viktor explore la totalité de sa cavité secrète et déjà, prend une bonne allure de croisière. Le black s'enfonce jusqu'aux couilles.
Sur le bureau, on n'est pas en reste. À coups de langue experte, Leslie et Laurie se disputent la queue de Guillaume tandis que Sofia et Lou bouffent le cul de ces deux chiennes. S'il n'y avait que le son, on entendrait que des gémissements, des hurlements, d'impressionnants bruits de succion. À l'image, cela donne deux putains, le visage dans leur propre salive, le nez dans leur jus, en train de se faire profondément ramoner et quatre chiennes qui se partagent une bite pleine de bave.
Pourtant, Guillaume a, ce moment précis, souhaite aller plus loin. Il repousse gentiment les putains qui assaillent sa bite et vient se placer de façon à se retrouver sous Jade. Lui aussi a envie du cul de cette pute bourgeoise. Viktor lui fait un peu de place au fond de l'anus totalement ouvert et profondément accueillant avant de reprendre sa sarabande. Guillaume se cale sur son rythme et les deux hommes ramonent cette chienne avec un hédonisme total. Jade hurle encore plus fort. Baisée ainsi, elle est soûlée de bonheur. Ses cris doivent probablement se répercuter au-delà du bâtiment. À ce rythme, les autres professeurs ne devraient pas tarder à rappliquer. Une chose est sûre : c'est que sa chatte est devenue un fleuve en furie. On pourrait ramasser à la cuillère tout le jus qui en sort avec une force non contenue.
Cela semble être le moment idéal pour que Bruno, le professeur d'économie et, accessoirement expert en sodomie, fasse son entrée. Ni une, ni deux, il pousse le bureau contre le mur puis prend Sofia par l'épaule pour l'inciter à se mettre dans la même position que Fanny et Jade. Cul tendu, reins creusés. Trois putains sont ainsi alignées. Bruno s'agrippe aux hanches de Sofia, à son porte-jarretelles qui peine à retenir ses bas couture et introduit sa queue dans son fondement. Il sait que la préparation n'est pas nécessaire. L'anus et la chatte de l'enseignante sont perpétuellement humides. Sofia ne tarde pas à augmenter ses gémissements. Bruno lui impose une cadence soutenue et régulière.
De leur côté, Viktor et Guillaume continuent de malmener la rondelle de Jade. Une double anale qui mène la bourgeoise vers un plaisir paroxystique.
- Allez mes salauds ! Plus fort ! Défoncez-moi !!
Les deux hommes, galvanisés par les compliments de la belle catin redoublent d'efforts. David continue de s'occuper du cul de Fanny mais il a aussi envie de satisfaire Lou, Leslie et Laurie. D'un geste du bras, il les invite à prendre place à côté des autres chiennes. Il va ainsi pouvoir les enculer à tour de rôle. À l'exception de Jade, les cinq autres salopes ont toutes pris la même position. Bas plissés aux genoux et aux chevilles, croupe tendue à l'extrême, anus offert. Quittant Fanny presque à regret, David choisit de s'affairer sur le cul de Leslie. Ignorant que celle-ci est juste venue inscrire sa fille, il s'introduit sans ménagement dans son anneau déjà dilaté. Il devine que celle-ci est une habituée de la sodomie. Puis il poursuit son œuvre avec les culs de Lou et de Laurie. Là aussi, sa queue rentre sans le moindre effort. Ce sont des salopes bien éduquées, déjà sous l'emprise du stupre. À chaque fois, elles développent une quantité impressionnante de jus de chienne.
Doublement enculée, Jade en émet une dose encore plus conséquente. Sa chatte n'est jamais tarie et son jus de putain se déverse à grands traits. Sa croupe bringuebalée en tous sens, ses bas couture extrêmement plissés, la belle putain ne contient plus son bonheur. Ses hurlements sont sans limites. Sa jouissance est profonde, tapageuse. Une sensation exacerbée car elle sait qu'elle va bientôt recevoir plusieurs doses de foutre. À cette seule pensée, sa chatte s'inonde encore plus.
Juste à côté du trio formé par Jade et ses tourmenteurs, Fanny, Lou, Laurie, Leslie et Sofia se sont mises en demi-cercle, à genoux. Face à elles, Bruno et David se branlent avec fermeté. Ces chiennes ont hâte d'avoir leurs visages inondés de sperme. Elles ont compris que les hommes étaient à point.
Et c'est Fanny qui, la première, reçoit la semence tant réclamée. Le foutre chaud de David atterrit sur son visage extatique. Elle est suivie par Sofia qui répartit le sperme épais sur son visage et sa poitrine. Puis, à leur tour, Laurie, Lou et Leslie se voient aspergées de foutre. Les cinq putains n'en perdent pas une goutte.
Vient enfin le tour de Jade. Les deux hommes se retirent de son anus extrêmement dilaté. La belle pute bourgeoise se met à genoux, bouche grande ouverte, langue sortie. Le foutre de Viktor et celui de Guillaume viennent s'abattre violemment sur son visage. Jade frotte les épaisses trainées. Elle s'en badigeonne les seins, la chatte et le cul avant de nettoyer les deux bites. Jade est promise à une très grande carrière de chienne à foutre.
Publicat de devintaylor
3 ani în urmă
Comentarii
2
Te rog să te sau să te pentru a posta comentarii.
devintaylor
la encage57 : Merci pour tous ces commentaires !!!
Răspuns Arată comentariul original Ascunde
encage57
Orgie anale, j’adore.
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