Je me suis fait prendre de force par mon prof6

Chapiste 6
Après une journée bien remplie je me dirige vers la salle d'étude, j'ai la boule au ventre, a-t-il changé ? J'y vais lentement, je regarde mes pieds tout en marchant, je suis tellement nerveuse que j'ai peur de tomber... J'entre, et je le vois, toujours aussi gros et trapu ... Il est assis à griffonner des mots sur son cahier de prof,

Il me donne des exercices, je les fais, je lui pose quelque question, et d’un coup il me redemande comment j’allais depuis la dernière foi, je lui dis que vous m’aviez vi0ler Mr sinaz, il courra devant moi de toute allure, me demanda de s’agenouiller, je n’ai meme pas le temps de crier qu’il me banda la bouche avec un tissu, il me posa sur lui allonger prête à recevoir des claques j’imagine.

Je Senta pendant 15 minute des claques incommensurables venir frapper mon gros cul emmitoufler ce jour-là de mon cher jean bien serrer, de temps en temps il resta son nez dedans cela me procurer en moins un dégout monumental comment peut-on sentir la transpiration des autres ? je n’ai que 15 ans et cette idée me hanta.
Il m’insulta de tous les nom inimaginable, salope, sale chienne avec ton gros cul en jeans, sale pute tu vas voir ce que je vais te faire après toutes les chose casse couille que tu m’a faite endurer en tant que prof, je vais te salir, t’étouffer avec ma grosse bite sale petite sous merde ! tu n’as pas honte de dandiner ton gros cul comme ça depuis la rentrée ? dès les premier minutes ou je t’ai vu et surtout que j’ai posé les yeux sur ton gros cul j’ai su qu’il te fallait une grosse punition sale chienne que tu es. Tu vas subir toute la misère.
Tous ces mots m’ont mis en émoi et me glaça le sang, je transpirai tellement de peur, tout ça pour mes fesses dodues, tout ça à cause de mes origines marocaine, voilà je vais subir un vi0l à cause de mes formes de femme.

Il me retourna, me porta comme une brochette de viande me mit coller sur son bureau mes grosses fesses relever vers son nez et enfonça ça tête dans mon cul, je pleurai et lui cela l’excitait de savoir ma détresse à ce moment-là, plus je pleurer plus il me mit de grosse claque à mon cul qui devenait rouge intérieurement, il se frotta à moi de manière a****le, je senti son morceau gonfler à chaque frottage et d’un coup il me retourna me dit que si je crie il me tue.
Puis tous d’un coup Je sens son sexe bombé à travers son pantalon, il se met debout et moi à quatre pattes et me dit « ça fait longtemps que j’en avais envie », je lui fais glisser jusqu'à ses chevilles, son boxer va éclater. De mes deux mains hésitantes je lui baisse. Son manche se tient droit, face à moi, dur comme le bois perpendiculairement.

Je n'ai pas le temps de lui dire à quel point je la trouve énorme, ou à quel point je le trouve gros et laid que je sens une main décidée s'emparer de mes cheveux.

C'est lui, une main sur ses fesses, l'autre qui me tient fermement la tête par les cheveux, appelle ma bouche. Son gland enflé se trouve à l'entrée de ma bouche, il ne lui faut qu'un mot pour que je l'ouvre et exécute-les vas et viens. Son gland se trouve toujours à l'entrée, il me regarde de haut, ''suce sale petite chienne'' dit-il d'une voix très ferme.

J'ouvre peu à peu la bouche et il vient m'enfoncer son sexe entièrement sans me laisser le temps de reprendre mon souffle... Sa queue est bien dressée et ma bouche, il prend tout l'espace...

Je viens la gober puis relâcher puis se reperdre dans ma bouche encore et encore. Je ressens le plaisir de cet homme dans ma bouche... Je fais comme avec les glaces que je mange : je lèche en faisant des tours, j'aspire le bout, je prends tout en bouche en faisant des tours de langues...
La seule différence avec une glace c'est que sa queue gonflée d'excitation est chaude. Il lui faut que quelque minute pour qu'il soit pris de puissant spasme, avant de jouir il me susurre quelque mots ''ouvrée bien grand sale petite pute''.

Je ne peux pas lui répondre car j'ai la bouche pleine, il a à présent ses deux mains sur ma tête et fait de puissant va et viens avec. Ses yeux se lève au ciel et je sens de grandes giclés de ''liquide chaud du plaisir'' m’envahir la bouche. Je n’aime vraiment pas le goût, j'avale sans réfléchir... Il se retire doucement de ma bouche...

Il m'attache fermement les deux poignets à l'aide des tissus rouge accrochés sur le pied du bureau... Il sert fort sans me faire mal, je ne peux plus bouger, je suis coincée... emprisonnée... Il fait quelque pas et m'ordonne de fermer les yeux, je m’exécute sans rechigner.

Je ne vois donc plus rien, Il lève d'un coup mes deux jambes en l'air, les tiens d'une main par mes chevilles, me regarde un instant, m’enlève mon jeans serrer il a du mal, je me dit oui il n’y arrivera pas, mais malheureusement il réussit, une odeur et une chaleur se dégage de moi, le jeans avait tous retenu et il Senta l’entre jambe de mon jeans pendant des minutes, se masturba avec et me disait «tu n’es vraiment qu’une grosse chienne d’adolescente, tu ne comprends pas que tous les hommes te regarde dans la rue ou meme le directeur m’a parler de toi et on a rigoler en se disant que tu n’étais qu’une bouche a bite et que cela lui donner aussi des envie de te pénétrer, tous les homme quand il te vois veulent te claquer ton sombre et gros cul de petite trainer, tu es une ado cela nous excite, tu as un gros cul, tu mets en plus de cela un jeans bleu bien serrer pour te montrer mais tu cherchez quoi a part des emmerde sale pute, tu es mon élèves et je bander à chaque cours, je me branler sur toi le soir en pensant un ton cul bien rond, maintenant je vais te donner de bonne leçon, je vais te donner ce que tu mérites après toute ta provocation, tu vas souffrir à partir de maintenant » mes fesses sont à sa disposition, il enroula mon jeans celui dont tous ce qui m’arrive est à cause de lui autour de ma gorge et serra un peu, je senti cette odeur de transpiration qui émaner de mon jeans.
Il vient me mettre une fessé assez grosse allant jusqu'à me faire une légère marque rouge sur mon gros cul blanc, puis une deuxième, il lève la main pour en mettre une troisième, je ferme les yeux, mais vient à la place malaxer mes fesses et mettre un doigt dans ma petite chatte serrée. Il ressort son doigt, et le met cette fois ci dans ma bouche.

Il écarte mes jambes, mes bras toujours attachés, je ne peux rien faire, il est le seul à me maîtriser. Il écarte encore un peu plus, Il commence ses allés venu dans ma fente trempée, je sentais ces gros coups de rein pendant des minutes cela me sembler des heures Il me voit regarder mes seins et vient aspirer violemment un de mes mamelon, il le mordille, fait des tours avec sa langue qui parait froide sur ma peau brûlante, tire doucement sur mon téton du bout des dents.
Il me donne les derniers coups de reins, me pénétrer par derrière pendant au moins 10min. Mes larmes coulaient le long de mon visage mais il s’en foutait car tout ce qu’il voulait c’était me salir. Il se dresse face à moi, une main sur sa queue dressée et commence à se masturber en fermant les yeux...

Quelle torture, je suffoque, je le supplie d’arrêter :'' s'il vous plait, arrêter.''. Au lieu de ça, de grande gicler blanchâtres viennent s'étaler sur mes seins. Je me remue de tous les sens.


Il se rhabille et sort. Je suis étendue là sur le bureau attaché et entièrement nue, couverte de sperme. Il ferme la porte à clef, la lumière éteinte, plus un bruit.
Quand il a fini, il m’a jeté par terre en me menaçant que si je le disais à quelqu’un, il ferait tout pour me faire passer pour une folle et que personne ne me croirait car je n’ai pas de preuves.
En ce moment j’ai 16ans et je n’ai toujours rien dis par peur d’être prise pour une folle, car c’est vrai que je n’ai aucune preuve…