La soeur de mon pote

Elle avait 17 ans tandis que je n 'en avais que 15 à peine.

Irène, ma voisine, la soeur de mon meilleur copain, était déjà chaude comme une star du X et tournait autour des garçons comme une abeille au dessus du pollen . Elle butinait sans doute déjà des glands cramoisis d'envie pour elle.

Avec son frère Serge nous l'avions surprise un soir entrain d'administrer une pipe magistrale à son petit copain de l'époque dans l'auto de ce dernier. Mains crispées sur le volant, bassin relevé, yeux révulsés il appréciait visiblement les caresses de la diablesse au point de la gratifier d'une grosse faciale lorsque nous les avions surpris.

Innocente et menteuse comme un arracheur de dents, elle sorti illico du véhicule le visage maculé de sperme tout en niant sans honte la fellation administrée. Des bulles se formaient devant sa bouche comme un chewing gum mâle à barre (qu'elle vient de sucer).

Son expérience m'intimidait, elle plus encore. Souvent elle me taquinait comme si elle cherchait à me draguer; Par timidité je rougissais et je me détournais des ses approches. Quel con, avec ces gros seins j'aurais eu de quoi me branler dedans, j'ai raté la branlette espagnole, tant pis !

Un jour, chez elle, la voilà qui sort une jupette d'écolière, des bas noirs et des chaussettes montantes avec des petits escarpins à sangles blancs.Je la regarde pendant que mademoiselle fait des essayages assez coquins devant moi. Elle observe du coin de l oeil mes réactions et découvre que je suis gagné par une érection de belle jeunesse......dure, longue et raide pointant vers le ciel comme si mon gland humait les effluves de ses chaleurs hormonales.
Mon slip n'est plus aussi neuf que je l aurais souhaité et les élastiques lavés et relavés ont perdu de leur maintien.

Là voilà qui se penche sur le lit, deux seins m'éblouissent lorsque mes yeux plongent sur son décolleté, tandis que sa main baladeuse palpe mes couilles et mesure l'ampleur des "dégats" qu'elle a occasionné. Sa main s'attarde plus que de raison sur mon entre jambes.

Je ferme les yeux pour apprécier l'auscultation de cette garce et ses lèvres éffleurent ma bouche au point de venir échanger sa langue avec la mienne comme un baptême de premières émotions sexuelles. L'effet boeuf m'entraine dans un semi évanouissement duquel j'émerge complètement amorphe. Mon érection est toujours conséquente voire amplifiée, une main ferme enserre l'engin, des lèvres charnues l'emprisonne. De sa chaleur buccale je reste prisonnier de longues minutes que je ne déteste pas.

Soudain Irène abandonne sa pipe, se recule sur la pointe des pieds et agite devant moi sa jupe qu'elle me propose de porter avec les bas et les escarpins posés sur le lit. "tu ferais une belle nana me dit elle !"
Elle dégrafe son soutif noir qu'elle me jette au visage. Je l'att**** et plonge les narines dans les bonnets 95D odorants. Ils sentent le lait mammaire, la transpiration enivrante de ses aisselles et j'hume le tout comme une rose fraiche qu'on vient de cueillir. Mon érection bat son plein. Je m empresse de l enfiler autour de ma poitrine pour me sentir "elle". Elle m'aide à le positionner en me montrant les attaches à l avant. Comme une vraie nana je fais le geste de placer mes seins confortablement dans les bonnets.

Elle me jette ensuite un bas nylon qu'elle vient également de quitter. Il sent le parfum intime de ses jambes, ses pieds qui viennent de s'évader d'un escarpins blanc à hauts talons. L'odeur de cuir mêlé au nylon m'enivrent. Je n en peux plus. J'ai mal au sexe surtout lorsqu'elle me fait enrouler le nylon du haut vers le bas pour poser mon petit pied dont elle a vernis les ongles en rouge et je dois remonter le bas sur ma jambe en déroulant......ce que je fais fémininement bien jusqu'à att****r les jarretières du porte jarretelle noir qu'elle m'a prêté.....et accrocher le bas pour qu'il ne redescende pas....deux jarretières, l'une, puis l autre....bas tendus....que je caresse, que j'ajuste, que j admire sur moi, sur mes jambes, mes cuisses de femme. J'enfile ensuite les socquettes blanches de collégienne qui finalisent la tenue de jeune pucelle et je me sens une autre lorsque perchée sur les escarpins vertigineux j'ondule mes fesses pour faire des vagues à la jupe. Le slip montre ses formes, inséré dans mon sillon anal, il ressemble à un timbre poste posé sur mon corps et n'attends qu'un tampon aux bites orateurs. J'évolue dans la pièce en féminisant mes gestes, ma voix, en exagérant, en jouant la folle.

Irène se prend au jeu et décide de me maquiller, de coiffer mes longs cheveux dont elle fait 2 couettes qui me font ressembler à Sylvie Vartan au temps des yé yé. Je pourrais chanter comme elle : "c est le temps des coquins, le temps des avants durs" . Je suis entrée dans ma seconde peau et me démène à être celle que j'aurais aimé être lorsque je trébuche sur mes talons et me vautre sur le lit. Me voilà près d'elle, près d'Irène qui se penche pour me détailler. Son regard intense croise le mien qui doit l être tout autant. Nos émotions d'adolescents prennent place entre nous. Mon érection perpétuelle éveille mon ventre, sa main. Nous avons faim d'amour, de sexe, de caresses mutuelles. Je relève la tête vers ses lèvres, les frôles, tend un bout de langue à la rencontre de la sienne, elle accepte cet échange et nos lèvres s'affrontent dans un baiser langoureux de deux gouines. Son rouge flirte avec le mien, nos bouches déformées s'aiment, se frottent entre elles.
Nous échangeons un long baiser qui n'est pas de cinéma. Il survient comme l'aboutissement de notre amitié qui se modifiait depuis quelques temps. Elle me caressa comme une fille en recherche de douceur. Elle m'avoua au creux de l'oreille que depuis quelques temps elle avait une attirance pour moi, pour les vraies filles aussi et qu'elle n'avait pas trouvé d'autre moyen de réaliser son fantasme qu'en me travestissant.
Elle trouvait l expérience fabuleuse, moi aussi je dois l'avouer et mon érection ne pouvait pas me contredire.
Nous étions enlacés depuis un bon moment me semble-t-il lorsque Serge frappa à la porte et entra dans la chambre de sa soeur. Surpris de nous voir enlacés, Irène inventa une excuse alambiquée pour expliquer les raisons de ma tenue et de notre rapprochement affectif.
Serge s'assit à côté de moi et me trouva toute jolie en fille. Une main se posa sur ma jambe droite, caressant fermement le genou, caressant de haut en bas comme un amateur de bas expérimenté. Il flattait mon mollet et mon pied dans son bel escarpin. Ses gestes délicieux eurent comme effet de l'exciter à son tour et il ne se gèna pas pour le dire à sa soeur.
"Irène, il n y a pas que toi qui a le droit de faire des révélations et des découvertes sexuelles d'adolescente. Ma libido m'attire vers l ambiguité de ta copine. Crois tu que je pourrais lui plaire ?"
Ni une ni deux il se pencha vers moi et m'embrassa dans le cou comme un amoureux transit, je me laissais faire Pendant que nos langues se parlaient en tête à tête ma main gauche avait glissé vers la chatte d'Irène afin de la maintenir en excitation. Elle mouillait comme une folle et ma main inondée regagna mes lèvres qui léchèrent cette excellente cuvée de jouvance
Mon envie se pencha sur ce sujet et je me retrouvais entre ses cuisses à manger goulument sa moule. Ma langue s'enfonca au plus loin qu'elle pu dans cette grotte inconnue. Mon rouge luisait de mouille et je me régalais penchée sur mon travail comme un artisan devant son pétrin.
Ses seins lourds dans les mains je pétrissais les tétons proéminents d'Irène qui se pâmait de plaisir sur ses draps immaculés.
Serge, excité comme une puce, ne s'encombra pas de préjugé. Sa queue entre les mains il la frotta sur mes fesses exposées aux attaques pendant quelques secondes avant de mettre une noix de salive sur mon trou pour s'y enfoncer plus confortablement. On aurait dit un expert de la chose et mes reins furent envahis prudemment mais inexorablement au rythme de l'ambiance sexuelle que sa soeur et moi lui imprimions. Qu'est ce qui l excitait ? Voir sa soeur prendre son pied ? Se plonger dans le cul de son pote habillé en écolière ? le tout ?

Maintenant fermement mes fesses entre ses deux mains il imprima un va et vient qui dura quelques minutes, mon anus chauffant à blanc en musque avec ses râles;, les miens ensuite, J'avais le cul en feu et j avais hâte qu'il se lâche dans mes reins à une époque où le sida n'existait pas. Je voulais être sa femelle avec le sentiment qu'il ne me harcèlerait pas sur ce sujet à chaque retrouvailles.
Irène l'encourageait en criant : "Saute la bien cette salope, putain donne lui le compte à cette conasse, elle ne mérite que ça !!" et lui de s'acharner plus encore jusqu'à gémir comme un supplicié qui sent son sperme le quitter et qui tente de le retenir.....ahhhhh oh merdeeeeeeeeeee que c est bon......Putain de cul ! Je viennnnnnnnnnnnnnnnnnsss oooh ouiiiii !!! Il s enfonça entièrement dans mon cul et ses bourses se vidèrent par soubressauts dedans. Lorsqu'il se retira, des rictus de mon anus libérèrent du sperme en abondance qui coula sur mes cuisses encore offertes, mon anus béant regorgeant de foutre frais.

Serge en profita pour réintroduire sa bite dans mon cul, tout coulissait agréablement et en sandwich entre lui et Irène je crois que j'avais la meilleure place.......
Publicado por candice470
há 3 anos
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HowieFeltersnatch69
What kind of sandwich ?. I'm kidding. I enjoyed every word of it and Ty for sharing it with us. 
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viviana73
viviana73 há 2 anos
Wowwwwwwwwwwwwwwwwwwwwwwwwwww
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nylejac
nylejac há 2 anos
super recit  qui fait bander dans mon collant
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kahecate
kahecate há 3 anos
Joli récit, merci
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candice470
candice470 Produtora há 3 anos
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fabienne63
fabienne63 há 3 anos
a candice470 : comment peut-il en être autrement ?
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candice470
candice470 Produtora há 3 anos
a fabienne63 : d autres en effet apprécient
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fabienne63
fabienne63 há 3 anos
a candice470 : je suis surement la première mais pas la dernière a parcourir tes supers récits 
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candice470
candice470 Produtora há 3 anos
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candice470
candice470 Produtora há 3 anos
a fabienne63 : merci de l avoir lu déjà
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candice470
candice470 Produtora há 3 anos
a groslopenlingerie : merci d avoir lu
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groslopenlingerie
Quelle récit fabuleux.j'en ai mouillée ma culotte,de désir et d'envies.merci Candice
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fabienne63
fabienne63 há 3 anos
Un très excitant récit qui me replonge dans des souvenirs lointains, mon clito et ma chatte mouillent de plaisir a chacune de mes lectures signer Candice ,gros gros bisous 
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biconfined2000 há 3 anos
tres excitant belle plume
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candice470
candice470 Produtora há 3 anos
a noseasexandsun : merci beaucoup
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noseasexandsun há 3 anos
Très bien rédigé, avec passion, ce qui rend les choses d'autant plus excitantes, merci pour ce beau récit ! :smile:
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cauet6080
cauet6080 há 3 anos
Quel beau récit merci 
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candice470
candice470 Produtora há 3 anos
a ferois69 : ah quand même
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ferois69
ferois69 há 3 anos
J'ai adoré venir ta première expérience
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