Le sexe et moi : une grande histoire d’amour !
Chez moi, travestissement et sexe vont de pair : je dois être en petite femelle pour me faire baiser. Et quand je dis femelle : c’est habillée, pérruquée et maquillée. Et intégralement épilée, ça va de soi.
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Je compense mes formes par ma féminité et mes tenues sexy et j’adore allumer les mecs !
J’ai un côté exhib prononcé : j’adore me monter dans des sex shop, des cruising ou des cinés porno en petite salope, avec une mini jupe ras le cul pour exprimer mon désir. J’aime aussi être filmée pendant l’acte : ça me transcende, me motive et ça me rend encore plus salope !
J’ai essayé beaucoup de choses en 25 ans de travestissement : blancs, blacks, beurs, avec des femmes, avec des travs, en groupe, domination/soumission, sodo, pipe, avec capote , sans capote, ejac en bouche, ejac interne, fessées… et dans pas mal de lieux : dans une maison, dans des sex shops, sur un parking, dans une forêt, sur le sable, dans des maisons abandonnées, dans des entreprises, dans des sous sols ou des greniers, dans un escalier, dans une fourgonnette ou un camping-car, dans des salles de sport.
Et ça commence toujours de manière identique : une douche avec gel douche parfum féminin, maquillage, je m’habille, je mets mes bas en haut de mes cuisses, ma perruque et enfin, je me parfume. J’aime me sentir femme avant un plan cul : toute ma personnalité se transforme, ma voix incluse.
J’aime sentir des mains passer sous ma jupe et sous ma culotte (lorsque j’en mets une…) me caresser et pétrir le haut de mes cuisses, mon clito, ma rondelle. J’adore sentir une langue et des doigts s’attarder sur mon petit orifice étroit, le dilater doucement… j’aime être désirée !
Puis vient le moment que j’adore le plus : lorsque le pénis se fraye un passage dans mon petit trou, que ça coulisse de plus en plus. Puis vient l’assaut : qu’il soit en lents va et vient, en rythme plus soutenu ou à grands coups de bite bien secs, le plaisir est intense ! Rien n’est plus jouissif pour moi que de me faire enculer passionnément et intensément ! Je pourrais passer des heures dans la position de la chienne à me prendre des queues à la chaine ! Je suis dans un état second.
Parfois la situation m’échappe : comme ce gang bang improvisé dans le sous sol d’un sex shop, ou cette queue très épaisse qui m’a élargi l’anus pour toute la journée, ou encore ce black, membré comme dans les films de cul, dans les chiottes de l’Atlas à Pigalle, qui m’a prise bien profondément. Je crie d’abord car tu les sens bien, ces queues au départ. Mais hors de question pour moi de crier stop ! J’ai allumé ces mecs en exhibant mon cul comme une petite pute, je les ai provoqué, cherché… ce qui m’arrive ensuite est logique. Et puis, c’est tellement bon ! Pourquoi arrêter ???
Vient le moment de l’offrande blanche et visqueuse. J’aime lorsqu‘elle est abondante. Lorsque ces giclées crémeuses me badigeonnent le visage ou les fesses, quand ce n’est pas le fond de mon cul ou de ma gorge. Je lèche délicatement avec ma langue ce qui reste. Je n’en rate pas une goutte !
Ce que je raconte n’est pas nouveau et interpelle certainement nombre de mes consœurs. Mais c’est bon de l’écrire et le faire partager. Ca m’a d’ailleurs tellement excité de le raconter que je suis allé me taquiner le clito et l’anus pendant que j’écrivais. J’aime bien aussi m’exciter devant les vidéos de quelques copines. Mais ce sera une autre histoire…
Bisous partout
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Je compense mes formes par ma féminité et mes tenues sexy et j’adore allumer les mecs !
J’ai un côté exhib prononcé : j’adore me monter dans des sex shop, des cruising ou des cinés porno en petite salope, avec une mini jupe ras le cul pour exprimer mon désir. J’aime aussi être filmée pendant l’acte : ça me transcende, me motive et ça me rend encore plus salope !
J’ai essayé beaucoup de choses en 25 ans de travestissement : blancs, blacks, beurs, avec des femmes, avec des travs, en groupe, domination/soumission, sodo, pipe, avec capote , sans capote, ejac en bouche, ejac interne, fessées… et dans pas mal de lieux : dans une maison, dans des sex shops, sur un parking, dans une forêt, sur le sable, dans des maisons abandonnées, dans des entreprises, dans des sous sols ou des greniers, dans un escalier, dans une fourgonnette ou un camping-car, dans des salles de sport.
Et ça commence toujours de manière identique : une douche avec gel douche parfum féminin, maquillage, je m’habille, je mets mes bas en haut de mes cuisses, ma perruque et enfin, je me parfume. J’aime me sentir femme avant un plan cul : toute ma personnalité se transforme, ma voix incluse.
J’aime sentir des mains passer sous ma jupe et sous ma culotte (lorsque j’en mets une…) me caresser et pétrir le haut de mes cuisses, mon clito, ma rondelle. J’adore sentir une langue et des doigts s’attarder sur mon petit orifice étroit, le dilater doucement… j’aime être désirée !
Puis vient le moment que j’adore le plus : lorsque le pénis se fraye un passage dans mon petit trou, que ça coulisse de plus en plus. Puis vient l’assaut : qu’il soit en lents va et vient, en rythme plus soutenu ou à grands coups de bite bien secs, le plaisir est intense ! Rien n’est plus jouissif pour moi que de me faire enculer passionnément et intensément ! Je pourrais passer des heures dans la position de la chienne à me prendre des queues à la chaine ! Je suis dans un état second.
Parfois la situation m’échappe : comme ce gang bang improvisé dans le sous sol d’un sex shop, ou cette queue très épaisse qui m’a élargi l’anus pour toute la journée, ou encore ce black, membré comme dans les films de cul, dans les chiottes de l’Atlas à Pigalle, qui m’a prise bien profondément. Je crie d’abord car tu les sens bien, ces queues au départ. Mais hors de question pour moi de crier stop ! J’ai allumé ces mecs en exhibant mon cul comme une petite pute, je les ai provoqué, cherché… ce qui m’arrive ensuite est logique. Et puis, c’est tellement bon ! Pourquoi arrêter ???
Vient le moment de l’offrande blanche et visqueuse. J’aime lorsqu‘elle est abondante. Lorsque ces giclées crémeuses me badigeonnent le visage ou les fesses, quand ce n’est pas le fond de mon cul ou de ma gorge. Je lèche délicatement avec ma langue ce qui reste. Je n’en rate pas une goutte !
Ce que je raconte n’est pas nouveau et interpelle certainement nombre de mes consœurs. Mais c’est bon de l’écrire et le faire partager. Ca m’a d’ailleurs tellement excité de le raconter que je suis allé me taquiner le clito et l’anus pendant que j’écrivais. J’aime bien aussi m’exciter devant les vidéos de quelques copines. Mais ce sera une autre histoire…
Bisous partout
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4 jaar geleden
