Ma première sodomie

Ma première sodomie

Nous sommes en 1990, 5 ans après mes premières découvertes sexuelles, femme et homme (cf : voir les récits précédents). J’ai trouvé du taf à Paris. Les 2 premières années (avec le service militaire entre les 2), j’ai vécu dans un foyer de la boite où j’ai eu de nombreuses aventures féminines, et mon expérience gay d’il y a 5 ans me parait bien loin.

Ceci étant dit, je n’arrive pas à me fixer avec une fille. J’ai une personnalité un peu misanthrope d’où un caractère pas facile quand on vit avec moi au quotidien. J’ai eu des liaisons, mais qui n’ont jamais tenu bien longtemps. Et puis… j’ai sexuellement ce plaisir de la nouveauté, de la découverte et de l’originalité qui accentue ce côté solitaire : je suis précis dès le début avec mes partenaires en expliquant que c’est surtout le côté cul qui m’intéresse. Certaines jouent le jeu, d’autres s’amourachent de moi. Dans ce dernier cas, ça finit souvent en eau de boudin. J’en souffre parfois mais je me tiens à ma logique de vie. Je suis célibataire et je ne rends de compte à personne.

L’autre avantage de tourner avec plusieurs filles, c’est que j’apprends un tas de pratiques sexuelles : sodomie, facial, soumission, fessées etc… il y a quand même de sacrées cochonnes et Paris est vraiment le paradis pour la pratique du sexe à haute intensité.

J’en retiendrais beaucoup de choses par la suite, lorsque je virerais au travestissement. Car, dans mes rêves et mes fantasmes, il y a toujours en moi cet étrange désir de ressentir ce qu’elles ressentent lorsque je les baise. Ce côté féminin qui sommeille en moi. C’est en avril 1990 que je vais découvrir ma seconde expérience homosexuelle. Et pour moi le début progressif de ma phase de transformation.

Didier est un pote de boulot, sympa et marrant. On fait pas mal de sorties avec d’autres collègues (Paris est magique !) : concerts, matches de foot, restos etc…
On fait aussi des parties de cartes les uns chez les autres (on a un budget limité quand même...), jusqu’assez tard dans la nuit. Et on retourne taffer avec parfois à peine 2h de sommeil. C’était le bon temps : on était jeunes, insouciants et en bonne santé.
Il est sympa, Didier, mais parfois, il a des blagues bizarres sur le sexe, l’homosexualité etc… souvent en dessous de la ceinture en tous cas. Homophobe ? Bi refoulé (il drague des filles aussi…) ? A l’époque, on ne sait pas trop.

Un samedi soir d’avril, on passe une soirée, tous les deux, dans un bar pas loin de chez moi où on regarde un match de foot. Puis, on rentre chez moi, dans ma petite chambre de bonne du 15eme arrondissement. On va dire un peu éméchés. On taille encore un peu la bavette puis, je déploie mon clic-clac, et on s’endort tous les deux l’un à côté de l’autre.

C’est étrange, les rêves, quand même : en effet, mon songe cette nuit là me porte vers un rapport sexuel où je me fais prendre par un mec. Es-ce l’excitation qui me pousse à ouvrir un œil, mais lorsque je le fais, je sens les mains de Didier m’étreindre et me peloter :
- Qu’es-ce que tu fais ? Je demande.
- Hmm ! Sylvie ! Répond-il.
- Hé ! Calmos ! Je ne m’appelle pas Sylvie ! (Sylvie est une collègue pour qui Didier a eu le coup de foudre, sans oser lui dire, car elle était déjà maquée)
- J’ai envie de toi, de ton cul ! Il est beau ton cul ! Répond-il, avec une excitation incroyable.
Je pense qu’il rêve mais ce n’est pas le cas : il est bien éveillé. De plus, il a le sexe à l’air. Je le sens car il est collé à moi. Il bande comme un taureau et il n’a pas un petit calibre !
J’ignore pourquoi : je ne me débats pas. Ses étreintes son passionnées et, je dois l’avouer, j’aime ça ! Je ne dis plus rien et je le laisse continuer. C’est super agréable d’être peloté, désiré comme ça.

Didier me baisse mon slip, puis me l’ôte. Il a enlevé les draps, puis il commence à me peloter les fesses, les embrasser… puis, enfin, il commence à me lécher l’anus… délicatement… sensuellement ! Je ne me débats pas : j’adore ce qu’il me fait ! Une sensation de bien-être, de désir : d’être à la place d’une femme… d’être une femme !

Mon anus est humide, bien dilaté. Et puis, je sens son pénis me pénétrer, très lentement. Je ressens un plaisir extrême, une jouissance intérieure et extérieure, car je bande fort moi aussi. C’est bon ce qu’il me fait ! Je commence à gémir de plaisir, avec une voix plutôt féminine. Ca l’excite ! Il accélère la cadence ! Il me baise et il me baise bien ! On fait un peu de bruit dans nos gémissements et nos ébats : j’espère que les voisins dorment bien. Dans un gémissement final, il jouit au fond de moi. Quand il retire sa bite, du sperme chaud me coule un peu sur le haut des cuisses. Que ce fut bon !

Par contre, il s’installe assez vite un silence entre nous par la suite… un malaise !
Les vapeurs d’alcool s’estompent et on se rend compte qu’on a baisé ensemble et d’un, que l’on a baisé sans capote, et de deux. Les ravages du SIDA sont énormes à l’époque, et les photos de presse avec l’image de mecs, atteints par cette saloperie, qui se décomposent vivants, reviennent dans nos têtes et nous font prendre conscience… de notre inconscience justement !
On se rassure quand même car lui et moi, on a toujours mis des capotes dans nos rapports antérieurs (on ira faire un test quand même).

Rassurés tous deux, sans se mettre en ménage, on va continuer nos rapports sexuels plusieurs années, sans pour autant, s’abstenir sur d’autres plans. On ira dans des cruisings gays. Et c’est Didier qui le premier, me fera porter des dim-up et des porte-jarretelles, ce qui l’excitera au plus haut point, et laissera dans ma mémoire des séances de baise mémorables.

En 1995, Didier est muté et quitte Paris. On ne se verra plus.

C’est surtout chez moi, que cette rencontre a changé beaucoup de choses : mes rapports avec les filles se raréfient. Avec d’autres mecs, c’est compliqué. Sexuellement, je commence à sérieusement m’interroger sur mon orientation, et je me pose de mauvaises questions (et, bien évidemment, j’ai de mauvaises réponses !). Je ne trouve pas les bonnes personnes pour m’expliquer. Et je sombre doucement en dépression.

La suite au prochain épisode…





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Gepubliceerd door roxytrav22600
5 jaar geleden
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la première fois c'était un garçon androgyne on avait tous les 20 ans 
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groslopenlingerie
La première sodomie est toujours un souvenir inoubliable.surtout quand c'est bien fait.
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sisterM
Belle chronique d'une jeunesse insouciante qui découvre les plaisirs dans la capitale, et qui se découvre sexuellement...
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TRAVESTIvierge
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culabite
Superbe histoire, j'ai adore 
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ropaul45
très excitant  !
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angie222
Salut voisin, belle histoire et belle photo
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siouxy
Beau témoignage
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agreable à lire :heart:
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YBreizh3556
Mmmmm belle histoire...
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laurent5929
délicieusement bandant !! encore stp
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