Mon mari cocu pour la toute première fois
La toute première fois que j'ai trompé mon mari c'était il y a exactement 1 ans presque jour pour jour, avec le patron de mon mari...
Avant cette aventure, je n'avais jamais couché avec d'autres hommes même si je me découvrais des envies d'exhib.
Avec mon mari depuis quelques années, ce n'est plus aussi bien qu’avant…
Il y a encore quelques années, nous faisions l’amour assez régulièrement (au moins une fois par semaine), puis la fréquence à très vite baissée… Surtout après la naissance de notre troisième fille.
D’une fois par semaine, nous sommes passés à 1 fois tous les 15 jours… puis 1 fois par mois… à vraiment presque rien aujourd’hui.
Peut-être ne me voit-il plus comme la mère de ses enfants et non plus comme une jeune femme désirable et sexy.
Avec le temps je m’y suis (plus où moins) résignée… en m’offrant de temps à autre des petits plaisirs solitaires avec quelques sextoys achetés sur le net en toute discrétion.
Mais à 42 ans je ressentais le besoin de savoir si je pouvais toujours plaire à un homme, puisque avec mon mari je sentais que je ne le satisfaisais plus ou que je ne lui plaisais plus tout simplement.
J’avais beau m’acheter de nouvelles petites lingeries sexy et coquines c’est tout juste si je lui faisais de l’effet.
J’étais vexée !!!! Et il finissait par me mettre le doute sur ma beauté et ma séduction !
Je perdais confiance en moi !
Jusqu’au jour où lorsque nous recevions du monde à la maison, je m’habillais toujours assez sexy pour voir s’il allait réagir.
Du style petite robe assez moulante avec un décolleté plongeant…
A défaut de faire de l’effet à mon homme… je voulais voir les regards des hommes sur moi !
Et je me rendais compte que ça me plaisait de l’effet que je pouvais leur faire.
Je me sentais belle et sexy à leurs yeux et ça me redonnais de nouveau envie de plaire et de séduire.
Mais je ne passais toujours pas à l’acte avec d’autres hommes… je me contentais juste pour le moment du jeu de la séduction !
Je n’étais pas encore prête à tromper mon mari !!!!
Puis l’année dernière, nous avons été invités par le patron de mon mari (Bernard) au restaurant, pour fêter un contrat et sa promotion.
Nous étions quatre… lui et sa femme et nous deux !
Pour l’occasion je m’habillais assez classique car je ne voulais pas choquer, ni son patron et encore moins sa femme.
Mais malgré tout… le charme a opéré !!!
Discrètement, je voyais bien qu’il m’observait longuement et lorsque nos yeux se croisèrent, il me souriait tout naturellement.
J’étais quant à moi très gêné, non pas à cause de mon mari qui ne voyait rien du tout, mais à cause de sa femme qui elle s’en rendait compte…
A la fin du repas, Bernard me remis très galamment mon manteau sur moi et nous sommes rentrés chacun chez soi après avoir passé une excellente soirée.
Une fois couché, je ne pouvais m’empêcher de repenser à Bernard et cette nuit là, j’ai rêvé qu’il me faisait l’amour…
Le lendemain matin, je mets mon manteau et je pars au travail comme tous les matins…
Puis le midi avant d’aller déjeuner, je trouve un papier dans la poche de mon manteau… Je ne me rappelais pas y avoir laissé quoi que soit dans ma poche, alors j’ouvre le petit papier plié en quatre et je découvre stupéfaite un petit message de Bernard…
« Je suis tombé sous votre charme… j’aimerais beaucoup vous revoir… appelez moi… si non, oublié le petit mot et acceptée toutes mes excuses. »»
Il y avait à la suite du message son numéro de portable…
J’étais stupéfaite et je ne savais plus quoi penser… tout d’un coup mon cœur battait plus fort et plus vite.
Que devais-je faire ?
Finalement je décidais de lui envoyer un sms… je n’osais pas trop lui parler tout de suite.
« Bonjour, à ma grande surprise je viens de lire votre message. C’est vraiment très gentil et ça me touche beaucoup. J’aimerais moi aussi vous revoir. »
Mon sms est parti… je reprends le cours de mon déjeuner lorsque quelques minutes plus tard, je reçois un sms de Bernard.
« Merci… j’avais très peur que vous refusiez… Quand voulez vous que l’on se voit ? »
Je répondis du tac au tac au message de Bernard…
« La semaine prochaine, j’ai les enfants qui sont chez leurs grands parents pour les vacances… »
Je n’en revenais pas… j’étais en train de proposer un rencard au patron de mon mari !!!
« Ok… Je vous propose de se voir mercredi en début de soirée, ma femme part également en famille »
« C’est d’accord pour moi »
Voilà… je venais de prendre mon premier rencard avec un autre homme que mon mari…
Toute l’après midi j’étais ailleurs et je pensais qu’à ça… à ce jour où j’allais revoir Bernard en tête à tête.
Il fallait juste que je trouve maintenant une très bonne excuse pour cette soirée de mercredi soir…
J’allais inventer une soirée entre collègue de boulot pour le repas de Noël que l’on fait chaque année mais auquel je ne participe jamais…
Nous arrivons le jour J… nous avions pris rendez-vous dans un petit restaurant assez éloigné de nos lieux d’habitation pour éviter tout risques de rencontre avec des personnes connues.
Il commença par me servir une coupe de Champagne, breuvage que j’affectionne particulièrement. J’en bus quelques gorgées, et je me détendis progressivement, libérée de la pression. Je pris plusieurs coupes encore avant de sortir du resto. J’étais déjà un peu pompette… mais je pense que j’avais besoin de ça pour me libérer complètement.
Soudain, mon téléphone portable sonna… c’était mon mari.
Je sors donc du bar, afin d’avoir un peu de calme pour lui parler.
- Tu ne dors pas encore mon chéri.
- Non, je regardais la télé mais je viens juste de me coucher. Tu rentres bientôt ?
- Non… en fait, je reste ici avec quelques collègues et clients, mon patron m’a donné ma journée de demain
- Et tu penses rentrer vers quelle heure ?
- Je ne sais pas trop, vers 4 ou 5 heures.
- Ok, bisous et à toute l’heure, je t’aime.
- Moi aussi, bisous.
Mon mari semblait un peu surpris, car je n’avais pas trop l’habitude de sortir soir le tard… surtout en semaine !
Il me dit tout juste de ne pas rentrer trop tard et de faire attention en rentrant cette nuit.
Je retournais alors dans le restaurant et retrouvais Bernard. Il m’attendait et me proposa de m’emmener dans une boite.
Comme j’avais très envie de danser je l’accompagnais sans hésiter.
Je le trouvais plutôt bon danseur. Puis vint une série de danse afro-cubaine, il ne me laissa pas le temps de quitter la piste et m’attrapa par une hanche et une main, et commença à me faire danser. Il me faisait littéralement virevolter sur la piste. Il me guidait d’une poigne puissante, je n’avais qu’à suivre, j’adorais ça, je me sentais si sûre avec lui, contrairement à mon mari qui est un piètre danseur et qui souvent me lâche et ne sait jamais me guider. Il me faisait tournoyer encore et encore, j’étais tellement bien. C’est la première fois que je dansais avec lui et aussi la première fois que l’on me faisait danser comme ça. C’était comme dans un rêve. Je sentais sa puissance contre moi. C’est vrai qu’il est plutôt bel homme, la cinquantaine, grand, sportif, cheveux noirs, yeux noirs, un visage carré, une peau soignée, des vêtements toujours très classe et surtout, malgré l’heure tardive et la chaleur, il sentait bon. Lorsque la série s’est arrêtée, pour laisser place à du R&B, je me suis collée à sa poitrine et je lui ai demandé de me serrer fort contre lui. Il l’a fait sans poser de question. Je me sentais toute petite dans ces bras puissants, un sentiment de vulnérabilité et sécurité à la fois. Il déposa un baiser sur mes cheveux. Sûrement l’effet de l’alcool, mais cette marque de tendresse me toucha beaucoup, je relevais mon visage vers le sien, il déposa un tendre et chaud baiser sur mes lèvres, et comme un automate, j’ouvris ma bouche qu’il posséda de sa langue dans une tendresse infinie. Je me sentis fondre dans ces bras. Notre tendre baiser se transforma en un baiser passionné, je sentais ses mains parcourir mon corps, mes hanches, mes fesses, j’écrasais ma poitrine contre son torse. Je me sentais entièrement à lui. Il se détacha de mes lèvres et me chuchota à l’oreille :
- Pourrions nous continuer dans un endroit plus discret ?
- Oui, bien sûr.
En fait, c’était comme si je me réveillais, je me rendais compte qu’il y avait du monde autour de nous, nous étions pendant quelques minutes complètement ailleurs. Je me rendais compte aussi que je venais tacitement d’accepter d’avoir une relation poussée avec le patron de mon mari, mais le plus grave, c’était que j’allais tromper mon mari. Il me tenait par la main, je le suivais tout en étant à mes pensées. Il me mit ma veste. Nous quittions le bar, pour se diriger vers sa voiture. Je lui dis alors :
- Dépose-moi chez moi, s’il te plait.
- Mais tu étais d’accord tout à l’heure.
- J’ai dis ça sans réfléchir.
Il me prit alors dans ces bras et là je sus pourquoi j’avais dis oui, de nouveau cette sensation de vulnérabilité face à lui et de sécurité face à l’extérieur. Je montais dans la voiture et l’on se dirigea vers chez lui. Aucun mot ne sortait de nos bouches, nous échangions des baisers à chaque feu. Arriver dans son grand appartement, à peine la porte fermée nous échangions un baiser passionné.
Je me retrouvais nue en moins de cinq minutes, je me mis à le déshabiller à mon tour. J’avais une envie folle de le sentir en moi. Je sentais mon sexe trempé d’excitation, moi qui suis toujours passive dans mes relations avec mon mari, là, j’avais envie de donner le meilleur de moi à cet homme qui me faisait face. Je retirais maintenant son pantalon, je massais la bosse par-dessus le joli boxer noir, je ne tiens pas plus longtemps et lui baissai son caleçon, je découvris enfin son sexe, il était tendu, je voyais le sang battre et faire bouger le pénis de Bernard. Il était bien plus gros que celui de mon mari, plus large et plus long, sans être non plus monstrueux. Le gland était déjà gras de son excitation. Moi qui rechignais toujours à la fellation, je n’avais qu’une seule envie, pouvoir mettre ce si beau sexe dans ma bouche. Je restais à genoux devant lui dans le salon et pris le sexe en bouche. Je le suçais alors lentement pour bien apprécier le goût, d’habitude cette odeur me répugne mais la j’étais heureuse de la sentir. Je le pompais de plus en plus vite, lui caressant les testicules, lui griffant les fesses, je sentais le liquide de son excitation couler dans ma bouche. Il me caressait les cheveux, poussait des grognements de plaisirs. Puis il retient ma tête et me dit :
- Arrête, je vais venir
A ses mots, au lieu de me retirer, je continuais de plus belle, je voulais sentir sa semence d’homme. Il mit alors ses mains derrière ma nuque et m’imprima sa cadence, il me baisait la bouche. Allant de plus en plus profond dans ma gorge, il m’étouffait presque, je serrais ses fesses avec mes ongles. Ma chatte ruisselait complètement. Puis dans un râle bestial il déchargea dans ma bouche, j’eus un haut le cœur mais je voulais qu’il éjacule tout dans ma bouche, je ne pouvais pas tout garder, du sperme s’échappa pour couler sur mon menton. Je me retirai et j’avalai et le regardant. Je me relevai branlant toujours son sexe qui avait perdu un peu de sa vigueur. Il me dit alors :
- Tu es vraiment merveilleuse. J’ai pris beaucoup de plaisirs dans ta bouche.
- C’est toi qui es merveilleux. C’est la première fois que j’avale, j’ai toujours refusé avec mon mari, mais avec toi, c’est différent.
Je sentis alors son sexe reprendre de la vigueur dans mes doigts, cette situation l’excitait beaucoup. J’étais très fière de mon petit effet. Il me coucha sur le dos dans le canapé, m‘écarta les jambes, et enfuis sa tête dans mon minou. Juste quelque coup de langue suffire à m’envoyer tutoyer les anges tellement j’étais excitée, il me suçait le clito, me pénétrait de sa langue et me doigtait. Puis il me lécha l’anus, se fut pour moi une drôle de sensation, personne ne m’avait léché cet endroit la. C’était vraiment très agréable et sa m’excitait encore plus de savoir que le patron de mon mari était un tel cochon, qu’il me pénétrait l’anus avec sa langue. J’eus encore un orgasme à ce moment la.
C’est ce moment qu’il choisit pour présenter son sexe devant mon minou. Il me caressa le clito avec son gros gland, puis doucement il glissa sa verge dans mon vagin. Lentement mais dans une seule poussée, la largeur de son sexe provoqua une immense sensation d’être enfin remplit complètement, puis son sexe atteignit une profondeur que personne n’avait atteinte avant lui. Se fut alors une explosion de mes sens, je ne pouvais que crier mon bonheur. Il commença à coulisser dans ma chatte, je n’en pouvais plus, j’avais peur de mourir tellement le plaisir était intense, jamais je n’ai jouis comme ça dans ma vie. Il me fit l’amour longtemps, j’enchaînais orgasmes sur orgasmes. Puis je sentis que ce geste était de plus en plus désordonné, je savais qu’il allait jouir, je me concentrais pour le sentir jouir en moi. Son sexe grossi encore une fois et je sentis le sperme jaillir en moi, tout au fond de mon sexe. Je l’attirais vers moi pour lui prendre la bouche, je voulais sentir sa langue me posséder dans ce moment magique. Nous sommes restés soudés quelques instants, je ne pus m’empêcher de laisser couler mes larmes, c’était trop d’émotion en une seule fois.
Surtout que je n’avais plus fait l’amour depuis 3 mois…
Puis je réalisais que dans l’excitation, il n’avait pas mit de préservatif alors que je ne prends pas la pilule à cause de problèmes hormonaux. Mais je pense que c’est aussi pour ça que j’ai pris autant de plaisir. Je lui fais part de cette remarque et lui dis :
- Tu as bien de la chance, mon mari ne me fait pas ce que tu peux me faire.
- Tu sais, ça fait longtemps que je n’ai pas jouis deux fois de suite.
- Mon mari n’a jamais jouis deux fois de suite et il est bien plus jeune que toi.
- J’aimerais que tu ne me parles plus de lui, à quelle heure tu dois rentrer ?
- Vers 4 ou 5 heures.
- Il n’est que 3h30, tu veux bien rester encore un peu.
- Bien sûr. Je suis à toi jusqu'à 5 heures.
- A moi ? Rien qu’à moi ?
- Oui.
- Regarde mon sexe, de te savoir à moi, il réagit encore
- Tu n’es qu’un vieux cochon !
- Et toi tu es ma reine.
Nous restons allongés environ 1 heure, silencieusement, à nous caresser, nous embrasser. Nous étions nus, parfois il m’essuyait le sperme qui s’échappait encore de mon sexe. Puis 4h30 approchant, il m’embrassa fougueusement, me disant que c’était le dernier avant de ma ramener chez moi. Mais ce baiser s’éternisa, ni lui ni moi n’avions envie de nous séparer. Il accentua la caresse sur mes seins qui se tendirent immédiatement, il les pinça, les fit rouler, je sentais de nouveau mon sexe appeler le désir. Je me laissais aller. Il descendit vers mes seins et les embrassa, mordillant les tétons, de sa main il les serrait comme pour en extraire du lait, de son autre main, déjà il me caressait le clito, il prenait de mes fluides sexuels à l’entrée de mon vagin pour enduire mon clito qu’il caressait divinement bien. Il m’a fallu peut de temps pour être de nouveau prête à l’accueillir. Son sexe était bien dur mais il me demanda de le sucer, ce que je fis de bonne grâce. Je repris son bâton de chaire en bouche et le suçais amoureusement, attentive à ses moindres gémissements, je coulissais le long de son sexe, remontant, lentement enduisant de beaucoup de salive pour qu’il sente mieux le mouvement de ma langue. Je le sortais de ma bouche, descendais pour gober ses gros testicules poilus, l’une après l’autre. Apres quelques minutes de ce traitement, il me guida vers sa chambre et il me mit en levrette sur le lit, il admira mes fesses et ma chatte qui lui était offerte. Il s’agenouilla et me lécha la chatte, puis de nouveau l’anus, quelle agréable sensation. Il me lécha longuement.
N’y tenant plus, je lui demandais de me prendre. J’explosais en mille morceaux de plaisirs lorsque je le sentis en moi, il accéléra progressivement, ses mains me serraient fermement les hanches, il me bourrait complément, je n’étais qu’un amas de chaires et de plaisirs, j’étais à lui j’étais sa chose. Je sentis qu’il me mettait un doigt dans l’anus ce qui décupla ma jouissance, voyant ma réaction, il m’en mit un deuxième, il allait et venait dans mon cul au rythme de son sexe. J’eus un orgasme terrible. Son sexe sorti alors de ma chatte et ses doigts de mon cul, je me sentis vide et frustrée. Son gland se posa sur mon anus, je compris et le regardant, je lui dis :
- Non pas par la, tu es trop gros et puis je ne veux pas, je n’ai jamais voulu.
- Mais si, tu verras, tu aimeras ça.
- Non, je te dis.
- Si je ne te sodomise pas, je ne pourrais pas jouir.
- Je te sucerai.
- Trop tard !
Il m’écrasa de tout son poids la tête sur le lit, et me pénétra l’anus.
- AAARGGG non pas ça, ça fait trop mal
Il poussa toute sa longueur :
- Salaud, AAAAAAAARRRGG !
Je hurlais ma douleur, mais lui, me maintenait fermement. Il stoppa sa progression puis fit quelque aller retour, la douleur était réelle mais c’est surtout mon ego qui en prenait un coup. Je me détendis, puisque je ne pouvais rien faire d’autre, je sentis qu’il crachait sur mon anus et il me reprit mais cette fois si, à fond. Il me prit la main et me la portait sur ma chatte, il voulait que je me caresse le clito, il prit mon autre main et mit fit toucher son sexe qui faisait des aller retour dans mon cul. Se fut comme un déclic, je me suis sentie possédée comme jamais, j’étais devenu sa chose, j’étais sa femme, je lui appartenais. Je me caressais alors la chatte. Je prenais de plus en plus de plaisirs dans cette douleur. Il m’enculait de plus en plus vite. Il me limait tellement que je ne pouvais plus me caresser la chatte, j’étais comme une poupée de chiffons, il grognait comme une bête, je jouis intensément, et eu un orgasme très puissant mais tellement différent que lorsqu’il était dans ma chatte. Il se retira de mon cul et me pénétra la chatte me remplit encore de son foutre bien que je lui ais interdit de le faire, mais ça me fit énormément jouir encore cette fois. Il s’écroula à côté de moi, je me levais dans ses bras en le remerciant pour tout ce plaisir.
Il était déjà 6h lorsque nous émergions de notre torpeur. Je veux prendre une douche, mais il me dit qu’il préfère que je rentre comme ça et que je me couche au côté de mon mari avec mes orifices souillés de son sperme, j’accepte pour la forme en pensant que je me laverai avant de me coucher. Il me déposa devant chez moi. Je rentre à pas de loup, j’entre dans la chambre pour prendre ma chemise de nuit, j’entends mon mari grommeler que je rentre bien tard. Je me déshabille et me couche à ses cotés. Je sentais encore le sperme de son patron couler de mon sexe… tout comme je sentais cette odeur si particulière lorsque l’on fait l’amour… Est-ce que mon mari pouvait la sentir ? je n’en sais rien, mais je sais qu’à ce moment j’aurais aimé qu’il puisse la sentir à son tour, comme pour lui dire : tu vois, tu ne me baise plus… alors je me fais baiser ailleurs, et j’ai aimé ça !!!
C’était la toute première fois que je trompais mon mari… et j’ai adoré ça !
Après quelques remords au début et de culpabilisation, j’ai recommencé avec Bernard plusieurs fois et dans des endroits très différents.
Maintenant, je ne peux plus m’en passer et j’ai besoin de me faire baiser par d’autres hommes que mon mari. Et croyez moi, les remords et la culpabilité… je n’en ai plus du tout !
Par Julie, le 15 Décembre 2011
Avant cette aventure, je n'avais jamais couché avec d'autres hommes même si je me découvrais des envies d'exhib.
Avec mon mari depuis quelques années, ce n'est plus aussi bien qu’avant…
Il y a encore quelques années, nous faisions l’amour assez régulièrement (au moins une fois par semaine), puis la fréquence à très vite baissée… Surtout après la naissance de notre troisième fille.
D’une fois par semaine, nous sommes passés à 1 fois tous les 15 jours… puis 1 fois par mois… à vraiment presque rien aujourd’hui.
Peut-être ne me voit-il plus comme la mère de ses enfants et non plus comme une jeune femme désirable et sexy.
Avec le temps je m’y suis (plus où moins) résignée… en m’offrant de temps à autre des petits plaisirs solitaires avec quelques sextoys achetés sur le net en toute discrétion.
Mais à 42 ans je ressentais le besoin de savoir si je pouvais toujours plaire à un homme, puisque avec mon mari je sentais que je ne le satisfaisais plus ou que je ne lui plaisais plus tout simplement.
J’avais beau m’acheter de nouvelles petites lingeries sexy et coquines c’est tout juste si je lui faisais de l’effet.
J’étais vexée !!!! Et il finissait par me mettre le doute sur ma beauté et ma séduction !
Je perdais confiance en moi !
Jusqu’au jour où lorsque nous recevions du monde à la maison, je m’habillais toujours assez sexy pour voir s’il allait réagir.
Du style petite robe assez moulante avec un décolleté plongeant…
A défaut de faire de l’effet à mon homme… je voulais voir les regards des hommes sur moi !
Et je me rendais compte que ça me plaisait de l’effet que je pouvais leur faire.
Je me sentais belle et sexy à leurs yeux et ça me redonnais de nouveau envie de plaire et de séduire.
Mais je ne passais toujours pas à l’acte avec d’autres hommes… je me contentais juste pour le moment du jeu de la séduction !
Je n’étais pas encore prête à tromper mon mari !!!!
Puis l’année dernière, nous avons été invités par le patron de mon mari (Bernard) au restaurant, pour fêter un contrat et sa promotion.
Nous étions quatre… lui et sa femme et nous deux !
Pour l’occasion je m’habillais assez classique car je ne voulais pas choquer, ni son patron et encore moins sa femme.
Mais malgré tout… le charme a opéré !!!
Discrètement, je voyais bien qu’il m’observait longuement et lorsque nos yeux se croisèrent, il me souriait tout naturellement.
J’étais quant à moi très gêné, non pas à cause de mon mari qui ne voyait rien du tout, mais à cause de sa femme qui elle s’en rendait compte…
A la fin du repas, Bernard me remis très galamment mon manteau sur moi et nous sommes rentrés chacun chez soi après avoir passé une excellente soirée.
Une fois couché, je ne pouvais m’empêcher de repenser à Bernard et cette nuit là, j’ai rêvé qu’il me faisait l’amour…
Le lendemain matin, je mets mon manteau et je pars au travail comme tous les matins…
Puis le midi avant d’aller déjeuner, je trouve un papier dans la poche de mon manteau… Je ne me rappelais pas y avoir laissé quoi que soit dans ma poche, alors j’ouvre le petit papier plié en quatre et je découvre stupéfaite un petit message de Bernard…
« Je suis tombé sous votre charme… j’aimerais beaucoup vous revoir… appelez moi… si non, oublié le petit mot et acceptée toutes mes excuses. »»
Il y avait à la suite du message son numéro de portable…
J’étais stupéfaite et je ne savais plus quoi penser… tout d’un coup mon cœur battait plus fort et plus vite.
Que devais-je faire ?
Finalement je décidais de lui envoyer un sms… je n’osais pas trop lui parler tout de suite.
« Bonjour, à ma grande surprise je viens de lire votre message. C’est vraiment très gentil et ça me touche beaucoup. J’aimerais moi aussi vous revoir. »
Mon sms est parti… je reprends le cours de mon déjeuner lorsque quelques minutes plus tard, je reçois un sms de Bernard.
« Merci… j’avais très peur que vous refusiez… Quand voulez vous que l’on se voit ? »
Je répondis du tac au tac au message de Bernard…
« La semaine prochaine, j’ai les enfants qui sont chez leurs grands parents pour les vacances… »
Je n’en revenais pas… j’étais en train de proposer un rencard au patron de mon mari !!!
« Ok… Je vous propose de se voir mercredi en début de soirée, ma femme part également en famille »
« C’est d’accord pour moi »
Voilà… je venais de prendre mon premier rencard avec un autre homme que mon mari…
Toute l’après midi j’étais ailleurs et je pensais qu’à ça… à ce jour où j’allais revoir Bernard en tête à tête.
Il fallait juste que je trouve maintenant une très bonne excuse pour cette soirée de mercredi soir…
J’allais inventer une soirée entre collègue de boulot pour le repas de Noël que l’on fait chaque année mais auquel je ne participe jamais…
Nous arrivons le jour J… nous avions pris rendez-vous dans un petit restaurant assez éloigné de nos lieux d’habitation pour éviter tout risques de rencontre avec des personnes connues.
Il commença par me servir une coupe de Champagne, breuvage que j’affectionne particulièrement. J’en bus quelques gorgées, et je me détendis progressivement, libérée de la pression. Je pris plusieurs coupes encore avant de sortir du resto. J’étais déjà un peu pompette… mais je pense que j’avais besoin de ça pour me libérer complètement.
Soudain, mon téléphone portable sonna… c’était mon mari.
Je sors donc du bar, afin d’avoir un peu de calme pour lui parler.
- Tu ne dors pas encore mon chéri.
- Non, je regardais la télé mais je viens juste de me coucher. Tu rentres bientôt ?
- Non… en fait, je reste ici avec quelques collègues et clients, mon patron m’a donné ma journée de demain
- Et tu penses rentrer vers quelle heure ?
- Je ne sais pas trop, vers 4 ou 5 heures.
- Ok, bisous et à toute l’heure, je t’aime.
- Moi aussi, bisous.
Mon mari semblait un peu surpris, car je n’avais pas trop l’habitude de sortir soir le tard… surtout en semaine !
Il me dit tout juste de ne pas rentrer trop tard et de faire attention en rentrant cette nuit.
Je retournais alors dans le restaurant et retrouvais Bernard. Il m’attendait et me proposa de m’emmener dans une boite.
Comme j’avais très envie de danser je l’accompagnais sans hésiter.
Je le trouvais plutôt bon danseur. Puis vint une série de danse afro-cubaine, il ne me laissa pas le temps de quitter la piste et m’attrapa par une hanche et une main, et commença à me faire danser. Il me faisait littéralement virevolter sur la piste. Il me guidait d’une poigne puissante, je n’avais qu’à suivre, j’adorais ça, je me sentais si sûre avec lui, contrairement à mon mari qui est un piètre danseur et qui souvent me lâche et ne sait jamais me guider. Il me faisait tournoyer encore et encore, j’étais tellement bien. C’est la première fois que je dansais avec lui et aussi la première fois que l’on me faisait danser comme ça. C’était comme dans un rêve. Je sentais sa puissance contre moi. C’est vrai qu’il est plutôt bel homme, la cinquantaine, grand, sportif, cheveux noirs, yeux noirs, un visage carré, une peau soignée, des vêtements toujours très classe et surtout, malgré l’heure tardive et la chaleur, il sentait bon. Lorsque la série s’est arrêtée, pour laisser place à du R&B, je me suis collée à sa poitrine et je lui ai demandé de me serrer fort contre lui. Il l’a fait sans poser de question. Je me sentais toute petite dans ces bras puissants, un sentiment de vulnérabilité et sécurité à la fois. Il déposa un baiser sur mes cheveux. Sûrement l’effet de l’alcool, mais cette marque de tendresse me toucha beaucoup, je relevais mon visage vers le sien, il déposa un tendre et chaud baiser sur mes lèvres, et comme un automate, j’ouvris ma bouche qu’il posséda de sa langue dans une tendresse infinie. Je me sentis fondre dans ces bras. Notre tendre baiser se transforma en un baiser passionné, je sentais ses mains parcourir mon corps, mes hanches, mes fesses, j’écrasais ma poitrine contre son torse. Je me sentais entièrement à lui. Il se détacha de mes lèvres et me chuchota à l’oreille :
- Pourrions nous continuer dans un endroit plus discret ?
- Oui, bien sûr.
En fait, c’était comme si je me réveillais, je me rendais compte qu’il y avait du monde autour de nous, nous étions pendant quelques minutes complètement ailleurs. Je me rendais compte aussi que je venais tacitement d’accepter d’avoir une relation poussée avec le patron de mon mari, mais le plus grave, c’était que j’allais tromper mon mari. Il me tenait par la main, je le suivais tout en étant à mes pensées. Il me mit ma veste. Nous quittions le bar, pour se diriger vers sa voiture. Je lui dis alors :
- Dépose-moi chez moi, s’il te plait.
- Mais tu étais d’accord tout à l’heure.
- J’ai dis ça sans réfléchir.
Il me prit alors dans ces bras et là je sus pourquoi j’avais dis oui, de nouveau cette sensation de vulnérabilité face à lui et de sécurité face à l’extérieur. Je montais dans la voiture et l’on se dirigea vers chez lui. Aucun mot ne sortait de nos bouches, nous échangions des baisers à chaque feu. Arriver dans son grand appartement, à peine la porte fermée nous échangions un baiser passionné.
Je me retrouvais nue en moins de cinq minutes, je me mis à le déshabiller à mon tour. J’avais une envie folle de le sentir en moi. Je sentais mon sexe trempé d’excitation, moi qui suis toujours passive dans mes relations avec mon mari, là, j’avais envie de donner le meilleur de moi à cet homme qui me faisait face. Je retirais maintenant son pantalon, je massais la bosse par-dessus le joli boxer noir, je ne tiens pas plus longtemps et lui baissai son caleçon, je découvris enfin son sexe, il était tendu, je voyais le sang battre et faire bouger le pénis de Bernard. Il était bien plus gros que celui de mon mari, plus large et plus long, sans être non plus monstrueux. Le gland était déjà gras de son excitation. Moi qui rechignais toujours à la fellation, je n’avais qu’une seule envie, pouvoir mettre ce si beau sexe dans ma bouche. Je restais à genoux devant lui dans le salon et pris le sexe en bouche. Je le suçais alors lentement pour bien apprécier le goût, d’habitude cette odeur me répugne mais la j’étais heureuse de la sentir. Je le pompais de plus en plus vite, lui caressant les testicules, lui griffant les fesses, je sentais le liquide de son excitation couler dans ma bouche. Il me caressait les cheveux, poussait des grognements de plaisirs. Puis il retient ma tête et me dit :
- Arrête, je vais venir
A ses mots, au lieu de me retirer, je continuais de plus belle, je voulais sentir sa semence d’homme. Il mit alors ses mains derrière ma nuque et m’imprima sa cadence, il me baisait la bouche. Allant de plus en plus profond dans ma gorge, il m’étouffait presque, je serrais ses fesses avec mes ongles. Ma chatte ruisselait complètement. Puis dans un râle bestial il déchargea dans ma bouche, j’eus un haut le cœur mais je voulais qu’il éjacule tout dans ma bouche, je ne pouvais pas tout garder, du sperme s’échappa pour couler sur mon menton. Je me retirai et j’avalai et le regardant. Je me relevai branlant toujours son sexe qui avait perdu un peu de sa vigueur. Il me dit alors :
- Tu es vraiment merveilleuse. J’ai pris beaucoup de plaisirs dans ta bouche.
- C’est toi qui es merveilleux. C’est la première fois que j’avale, j’ai toujours refusé avec mon mari, mais avec toi, c’est différent.
Je sentis alors son sexe reprendre de la vigueur dans mes doigts, cette situation l’excitait beaucoup. J’étais très fière de mon petit effet. Il me coucha sur le dos dans le canapé, m‘écarta les jambes, et enfuis sa tête dans mon minou. Juste quelque coup de langue suffire à m’envoyer tutoyer les anges tellement j’étais excitée, il me suçait le clito, me pénétrait de sa langue et me doigtait. Puis il me lécha l’anus, se fut pour moi une drôle de sensation, personne ne m’avait léché cet endroit la. C’était vraiment très agréable et sa m’excitait encore plus de savoir que le patron de mon mari était un tel cochon, qu’il me pénétrait l’anus avec sa langue. J’eus encore un orgasme à ce moment la.
C’est ce moment qu’il choisit pour présenter son sexe devant mon minou. Il me caressa le clito avec son gros gland, puis doucement il glissa sa verge dans mon vagin. Lentement mais dans une seule poussée, la largeur de son sexe provoqua une immense sensation d’être enfin remplit complètement, puis son sexe atteignit une profondeur que personne n’avait atteinte avant lui. Se fut alors une explosion de mes sens, je ne pouvais que crier mon bonheur. Il commença à coulisser dans ma chatte, je n’en pouvais plus, j’avais peur de mourir tellement le plaisir était intense, jamais je n’ai jouis comme ça dans ma vie. Il me fit l’amour longtemps, j’enchaînais orgasmes sur orgasmes. Puis je sentis que ce geste était de plus en plus désordonné, je savais qu’il allait jouir, je me concentrais pour le sentir jouir en moi. Son sexe grossi encore une fois et je sentis le sperme jaillir en moi, tout au fond de mon sexe. Je l’attirais vers moi pour lui prendre la bouche, je voulais sentir sa langue me posséder dans ce moment magique. Nous sommes restés soudés quelques instants, je ne pus m’empêcher de laisser couler mes larmes, c’était trop d’émotion en une seule fois.
Surtout que je n’avais plus fait l’amour depuis 3 mois…
Puis je réalisais que dans l’excitation, il n’avait pas mit de préservatif alors que je ne prends pas la pilule à cause de problèmes hormonaux. Mais je pense que c’est aussi pour ça que j’ai pris autant de plaisir. Je lui fais part de cette remarque et lui dis :
- Tu as bien de la chance, mon mari ne me fait pas ce que tu peux me faire.
- Tu sais, ça fait longtemps que je n’ai pas jouis deux fois de suite.
- Mon mari n’a jamais jouis deux fois de suite et il est bien plus jeune que toi.
- J’aimerais que tu ne me parles plus de lui, à quelle heure tu dois rentrer ?
- Vers 4 ou 5 heures.
- Il n’est que 3h30, tu veux bien rester encore un peu.
- Bien sûr. Je suis à toi jusqu'à 5 heures.
- A moi ? Rien qu’à moi ?
- Oui.
- Regarde mon sexe, de te savoir à moi, il réagit encore
- Tu n’es qu’un vieux cochon !
- Et toi tu es ma reine.
Nous restons allongés environ 1 heure, silencieusement, à nous caresser, nous embrasser. Nous étions nus, parfois il m’essuyait le sperme qui s’échappait encore de mon sexe. Puis 4h30 approchant, il m’embrassa fougueusement, me disant que c’était le dernier avant de ma ramener chez moi. Mais ce baiser s’éternisa, ni lui ni moi n’avions envie de nous séparer. Il accentua la caresse sur mes seins qui se tendirent immédiatement, il les pinça, les fit rouler, je sentais de nouveau mon sexe appeler le désir. Je me laissais aller. Il descendit vers mes seins et les embrassa, mordillant les tétons, de sa main il les serrait comme pour en extraire du lait, de son autre main, déjà il me caressait le clito, il prenait de mes fluides sexuels à l’entrée de mon vagin pour enduire mon clito qu’il caressait divinement bien. Il m’a fallu peut de temps pour être de nouveau prête à l’accueillir. Son sexe était bien dur mais il me demanda de le sucer, ce que je fis de bonne grâce. Je repris son bâton de chaire en bouche et le suçais amoureusement, attentive à ses moindres gémissements, je coulissais le long de son sexe, remontant, lentement enduisant de beaucoup de salive pour qu’il sente mieux le mouvement de ma langue. Je le sortais de ma bouche, descendais pour gober ses gros testicules poilus, l’une après l’autre. Apres quelques minutes de ce traitement, il me guida vers sa chambre et il me mit en levrette sur le lit, il admira mes fesses et ma chatte qui lui était offerte. Il s’agenouilla et me lécha la chatte, puis de nouveau l’anus, quelle agréable sensation. Il me lécha longuement.
N’y tenant plus, je lui demandais de me prendre. J’explosais en mille morceaux de plaisirs lorsque je le sentis en moi, il accéléra progressivement, ses mains me serraient fermement les hanches, il me bourrait complément, je n’étais qu’un amas de chaires et de plaisirs, j’étais à lui j’étais sa chose. Je sentis qu’il me mettait un doigt dans l’anus ce qui décupla ma jouissance, voyant ma réaction, il m’en mit un deuxième, il allait et venait dans mon cul au rythme de son sexe. J’eus un orgasme terrible. Son sexe sorti alors de ma chatte et ses doigts de mon cul, je me sentis vide et frustrée. Son gland se posa sur mon anus, je compris et le regardant, je lui dis :
- Non pas par la, tu es trop gros et puis je ne veux pas, je n’ai jamais voulu.
- Mais si, tu verras, tu aimeras ça.
- Non, je te dis.
- Si je ne te sodomise pas, je ne pourrais pas jouir.
- Je te sucerai.
- Trop tard !
Il m’écrasa de tout son poids la tête sur le lit, et me pénétra l’anus.
- AAARGGG non pas ça, ça fait trop mal
Il poussa toute sa longueur :
- Salaud, AAAAAAAARRRGG !
Je hurlais ma douleur, mais lui, me maintenait fermement. Il stoppa sa progression puis fit quelque aller retour, la douleur était réelle mais c’est surtout mon ego qui en prenait un coup. Je me détendis, puisque je ne pouvais rien faire d’autre, je sentis qu’il crachait sur mon anus et il me reprit mais cette fois si, à fond. Il me prit la main et me la portait sur ma chatte, il voulait que je me caresse le clito, il prit mon autre main et mit fit toucher son sexe qui faisait des aller retour dans mon cul. Se fut comme un déclic, je me suis sentie possédée comme jamais, j’étais devenu sa chose, j’étais sa femme, je lui appartenais. Je me caressais alors la chatte. Je prenais de plus en plus de plaisirs dans cette douleur. Il m’enculait de plus en plus vite. Il me limait tellement que je ne pouvais plus me caresser la chatte, j’étais comme une poupée de chiffons, il grognait comme une bête, je jouis intensément, et eu un orgasme très puissant mais tellement différent que lorsqu’il était dans ma chatte. Il se retira de mon cul et me pénétra la chatte me remplit encore de son foutre bien que je lui ais interdit de le faire, mais ça me fit énormément jouir encore cette fois. Il s’écroula à côté de moi, je me levais dans ses bras en le remerciant pour tout ce plaisir.
Il était déjà 6h lorsque nous émergions de notre torpeur. Je veux prendre une douche, mais il me dit qu’il préfère que je rentre comme ça et que je me couche au côté de mon mari avec mes orifices souillés de son sperme, j’accepte pour la forme en pensant que je me laverai avant de me coucher. Il me déposa devant chez moi. Je rentre à pas de loup, j’entre dans la chambre pour prendre ma chemise de nuit, j’entends mon mari grommeler que je rentre bien tard. Je me déshabille et me couche à ses cotés. Je sentais encore le sperme de son patron couler de mon sexe… tout comme je sentais cette odeur si particulière lorsque l’on fait l’amour… Est-ce que mon mari pouvait la sentir ? je n’en sais rien, mais je sais qu’à ce moment j’aurais aimé qu’il puisse la sentir à son tour, comme pour lui dire : tu vois, tu ne me baise plus… alors je me fais baiser ailleurs, et j’ai aimé ça !!!
C’était la toute première fois que je trompais mon mari… et j’ai adoré ça !
Après quelques remords au début et de culpabilisation, j’ai recommencé avec Bernard plusieurs fois et dans des endroits très différents.
Maintenant, je ne peux plus m’en passer et j’ai besoin de me faire baiser par d’autres hommes que mon mari. Et croyez moi, les remords et la culpabilité… je n’en ai plus du tout !
Par Julie, le 15 Décembre 2011
12 jaar geleden
Au plaisir de vous lire