Le deuxième homme.
Il était là, caché dans la chambre du fond, tu n'en savais rien, nous avions lui et moi bien préparé notre "coup", reste à savoir si tout fonctionnerait ! ?
Bruno était grand, mince, musclé, pas vilain physiquement, la trentaine, célibataire et assoiffé de nouvelles expériences. Je l'avais rencontré quelques mois plus tôt sur internet et le "courant" était passé assez vite entre nous deux,je lui avait fait part de mon envie de te voir prendre du plaisir avec un autre que moi; un autre homme; d'autres mains; d'autres lèvres; une autre verge.
Un fantasme que nous évoquions à de nombreuses reprises et dont je te parlais presque toujours lorsque nous faisions l'amour, ça avait pour but de nous exciter et je savais qu'en parlant d'un deuxième homme lors de nos ébats, c'était la garantie d'une jouissance mutuelle.
Mais hélas, ce qui n'était que du domaine du fantasme pour toi, était devenu une envie, un désir, une obsession chez moi et je n'obtenais mon orgasme qu'en t'imaginant offrir ton si joli corps à un autre mâle avide de ton sexe, tes seins, et de ton adorable petit cul...
La description que j'avais faite de toi à Bruno était fidèle à la réalité, je n'avais pas embelli les choses, bien qu'étant fou amoureux de tout ton être et de tout ton corps.
Ce dernier n'avais d'ailleurs pas été déçu lorsque après quelques semaines d'échanges via le net et que vint notre première rencontre, je lui montrais des photos de ma Princesse adorée.
Il avait "flashé" de suite, une jolie petite brune au regard de braise et au visage d'ange, toute menue, toute fragile, avec cette taille mince qui laisse deviner des jolies fesses rebondies, cette poitrine modeste mais ferme et soutenue, un corps d'adolescente qu'aucune grossesse n'avait abîmée,
un corps qu'on pourrait croire être celui d'une jeune Japonaise mais qui était Belle et Bien ton corps, celui que j'aime chérir, celui que je vénère.
Il était prévu, qu'il attende patiemment derrière la porte entrebaîllée notre venue dans les draps et qu'après les préliminaires, au moment le plus fort de ton excitation, je donne le "feu vert" en lâchant :
- " Il est là, il te mate "
Ce soir là, rien ne s'est passé comme prévu, tu avais envie que je m'occupe de toi mais sans me rendre la "pareille", tu t'es allongée sur le ventre, en slip et soutien-gorge, en plaquant bien ton pubis contre le matelas, tu avais un magazine entre les mains, ton petit cul était offert à ma vue sous le coton de ta culotte, tu semblais me dire :
- " Aller, tu sais ce que tu as à faire "
J'ai commencé par dégrafer ton sous-tif afin de dégager ton dos, puis j'ai saisi cette huile de massage coco/ananas que nous apprécions particulièrement car en plus de sentir très bon, elle ne graisse pas trop le corps (ni les draps) et a la particularité d'être comestible, la radio jouait des morceaux de musique classique, la température de la pièce et de notre peau était au dessus des " normales saisonnières ", tout cela annonçait un bon moment à venir !
En posant mes mains sur ta nuque puis en te massant le cuir chevelu, je t'entendais pousser des petits cris étouffés qui m'encourageaient à poursuivre mon exploration un peu plus loin encore, je ne tardais pas à laissé glisser mes doigts le long de tes épaules pour ensuite gagner ton dos,ton bassin et tes hanches.
Toi tu dressais bien ton p'tit cul, histoire de m'en mettre plein la vue et de m'exciter un peu plus, comme si la bosse que j'avais dans le slip ne t'avais pas échappée, l'air de rien, comme ça, tes jolies fesses exposées sous mon nez, innocemment, tu te laissais faire : destination un petit massage sympa et plus si bonne volonté !
Alors là ma chérie, tu allais être servie, peut être même un massage à quatre mains si les dieux de l'amour l'ont décidé !
Tu lâchais ta revue dont je suis sûr, tu n'avais pas lu une seule ligne puis tu plongeais ton visage entre les deux oreillers, ce qui était bien utile pour la suite de mon plan "diabolique".
Je poussais alors la porte avec mon pied afin que notre ami ne perde pas une miette du spectacle très très privé qui n'allait pas tardé à être donné en avant première au nez et à la barbe de deux mâles surexcités !
Bruno compris le changement de programme et je vis son visage surgir de la pièce sombre, ses yeux écarquillés, sa bouche entrouverte semblait vouloir me dire :
- "là maintenant, je peux ?"
- "Surtout pas, pas encore, c'est trop tôt, tu vas tout faire rater"
Lui répondis- je dans notre langage de sourd muet, il ne fallait surtout pas te brusquer, te "cabrer", t'imposer quoi que ce soit. Au contraire, il fallait que tu ai l'impression de gérer la situation, tout en nous donnant l'impression que tu l'a subissait, histoire de te dédouaner, de te déculpabiliser pour les heures qui suivraient la "chose".
Je commençais par poser mes lèvres sur tes hanches, puis de baiser en baiser, je gagnais du terrain, je me dirigeais vers ton cul, sortais ma langue puis la faisait glisser en toi, dans ta petite raie qui fait office de frontière entre tes fesses, je "t'explorais" et tu aimais ça !
Notre ami aussi avait l'air d'apprécier et afin qu'il n'en "perde pas une miette", je faisais en sorte de bien t'écarter et je me décalais légèrement pour qu'il puisse bien admirer ton anus.
Ma langue faisait des petits cercles autour de ton trou bien serré dans le but de l'ouvrir, je le titillais, le lubrifiais, l'aspirais tel une abeille butinant les pistils d'une fleur, moi aussi en quelque sorte, je faisais mon travail avec application tel un bon ouvrier, je "préparais le terrain" pour mon ami voyeur.
Bruno était grand, mince, musclé, pas vilain physiquement, la trentaine, célibataire et assoiffé de nouvelles expériences. Je l'avais rencontré quelques mois plus tôt sur internet et le "courant" était passé assez vite entre nous deux,je lui avait fait part de mon envie de te voir prendre du plaisir avec un autre que moi; un autre homme; d'autres mains; d'autres lèvres; une autre verge.
Un fantasme que nous évoquions à de nombreuses reprises et dont je te parlais presque toujours lorsque nous faisions l'amour, ça avait pour but de nous exciter et je savais qu'en parlant d'un deuxième homme lors de nos ébats, c'était la garantie d'une jouissance mutuelle.
Mais hélas, ce qui n'était que du domaine du fantasme pour toi, était devenu une envie, un désir, une obsession chez moi et je n'obtenais mon orgasme qu'en t'imaginant offrir ton si joli corps à un autre mâle avide de ton sexe, tes seins, et de ton adorable petit cul...
La description que j'avais faite de toi à Bruno était fidèle à la réalité, je n'avais pas embelli les choses, bien qu'étant fou amoureux de tout ton être et de tout ton corps.
Ce dernier n'avais d'ailleurs pas été déçu lorsque après quelques semaines d'échanges via le net et que vint notre première rencontre, je lui montrais des photos de ma Princesse adorée.
Il avait "flashé" de suite, une jolie petite brune au regard de braise et au visage d'ange, toute menue, toute fragile, avec cette taille mince qui laisse deviner des jolies fesses rebondies, cette poitrine modeste mais ferme et soutenue, un corps d'adolescente qu'aucune grossesse n'avait abîmée,
un corps qu'on pourrait croire être celui d'une jeune Japonaise mais qui était Belle et Bien ton corps, celui que j'aime chérir, celui que je vénère.
Il était prévu, qu'il attende patiemment derrière la porte entrebaîllée notre venue dans les draps et qu'après les préliminaires, au moment le plus fort de ton excitation, je donne le "feu vert" en lâchant :
- " Il est là, il te mate "
Ce soir là, rien ne s'est passé comme prévu, tu avais envie que je m'occupe de toi mais sans me rendre la "pareille", tu t'es allongée sur le ventre, en slip et soutien-gorge, en plaquant bien ton pubis contre le matelas, tu avais un magazine entre les mains, ton petit cul était offert à ma vue sous le coton de ta culotte, tu semblais me dire :
- " Aller, tu sais ce que tu as à faire "
J'ai commencé par dégrafer ton sous-tif afin de dégager ton dos, puis j'ai saisi cette huile de massage coco/ananas que nous apprécions particulièrement car en plus de sentir très bon, elle ne graisse pas trop le corps (ni les draps) et a la particularité d'être comestible, la radio jouait des morceaux de musique classique, la température de la pièce et de notre peau était au dessus des " normales saisonnières ", tout cela annonçait un bon moment à venir !
En posant mes mains sur ta nuque puis en te massant le cuir chevelu, je t'entendais pousser des petits cris étouffés qui m'encourageaient à poursuivre mon exploration un peu plus loin encore, je ne tardais pas à laissé glisser mes doigts le long de tes épaules pour ensuite gagner ton dos,ton bassin et tes hanches.
Toi tu dressais bien ton p'tit cul, histoire de m'en mettre plein la vue et de m'exciter un peu plus, comme si la bosse que j'avais dans le slip ne t'avais pas échappée, l'air de rien, comme ça, tes jolies fesses exposées sous mon nez, innocemment, tu te laissais faire : destination un petit massage sympa et plus si bonne volonté !
Alors là ma chérie, tu allais être servie, peut être même un massage à quatre mains si les dieux de l'amour l'ont décidé !
Tu lâchais ta revue dont je suis sûr, tu n'avais pas lu une seule ligne puis tu plongeais ton visage entre les deux oreillers, ce qui était bien utile pour la suite de mon plan "diabolique".
Je poussais alors la porte avec mon pied afin que notre ami ne perde pas une miette du spectacle très très privé qui n'allait pas tardé à être donné en avant première au nez et à la barbe de deux mâles surexcités !
Bruno compris le changement de programme et je vis son visage surgir de la pièce sombre, ses yeux écarquillés, sa bouche entrouverte semblait vouloir me dire :
- "là maintenant, je peux ?"
- "Surtout pas, pas encore, c'est trop tôt, tu vas tout faire rater"
Lui répondis- je dans notre langage de sourd muet, il ne fallait surtout pas te brusquer, te "cabrer", t'imposer quoi que ce soit. Au contraire, il fallait que tu ai l'impression de gérer la situation, tout en nous donnant l'impression que tu l'a subissait, histoire de te dédouaner, de te déculpabiliser pour les heures qui suivraient la "chose".
Je commençais par poser mes lèvres sur tes hanches, puis de baiser en baiser, je gagnais du terrain, je me dirigeais vers ton cul, sortais ma langue puis la faisait glisser en toi, dans ta petite raie qui fait office de frontière entre tes fesses, je "t'explorais" et tu aimais ça !
Notre ami aussi avait l'air d'apprécier et afin qu'il n'en "perde pas une miette", je faisais en sorte de bien t'écarter et je me décalais légèrement pour qu'il puisse bien admirer ton anus.
Ma langue faisait des petits cercles autour de ton trou bien serré dans le but de l'ouvrir, je le titillais, le lubrifiais, l'aspirais tel une abeille butinant les pistils d'une fleur, moi aussi en quelque sorte, je faisais mon travail avec application tel un bon ouvrier, je "préparais le terrain" pour mon ami voyeur.
10 jaar geleden
j'ai hâte de lire la suite
merci