L'infirmière diplômée d état second
J'avais subi une hospitalisation de quelques jours en chambre double dans une clinique locale. Les infirmières pour certaines étaient canons.
Mon voisin de chambre hospitalisé en longue durée pour une infection à la jambe suite à une fracture bavait régulièrement lorsqu'une visite médicale était perpétrée. Il fantasmais sur Sabine une blonde plantureuse sous la blouse de laquelle on devinait des formes généreuses et un corps invitant. Elle avait un beau visage légèrement masculin et ça l 'excitait au plus au point car il trouvait le côté androgyne très hot.
Il me racontait continuellement qu il lui ferait bien la fête, que son cul bombé le mettait en érection. Il rêvait de la baiser et ses tentatives non dissimulées pour la charmer restaient sans résultat.
Je fus 5 jours durant son confident jusqu'à mon départ pour un retour maison. Avant de le quitter je lui promettais de revenir rapidement avec une surprise. Il acquiesça sans réellement me croire. Nous n'avions pas une forte et longue amitié.
Ses propos m'avaient quand même travaillés et arrivé à la maison je n eu de cesse de mettre en œuvre un stratagème coquin pour satisfaire ses pulsions. Je voulais être son infirmière et je décidais de retourner une nuit à la clinique en prétextant un oubli d affaires dans ma chambre. Je porterais sous mes fringues de mec toute la panoplie de dessous coquins qu'on imagine portés par une soignante.
Sur place je pu entrer facilement et rejoindre la salle de rdv des médecins de l étage. J'enlevais le jeans et enfilait une blouse blanche aux lignes rouges brodées sur le tissu empruntée dans le vestiaire des infirmières.
Perchée sur de hauts talons blancs, dans la blouse de la même couleur aux boutons placés en avant, une petite toque assortie dans les cheveux, je pouvais rejoindre la chambre convoitée. Mes bas noirs tranchaient avec le blanc immaculé de la tenue. Mon porte jarretelle noir ne se cachait pas à cause de la micro hauteur de la blouse. Une vraie bimbo excitante.
J'entrais doucement dans la pièce et compris aussitôt que mon ex voisin somnolait.
Pour le réveiller en douceur je décidais de lui tourner le dos et à piétiner le sol de mes talons. Le bruit des talons dans la chambre résonnèrent comme une alarme sexuelle, comme une hormone déclencheuse dans la petite tête du patient alité.
Je senti aussitôt un mouvement dans le lit et dans l'écran noir de la tv éteinte je constatais que le coquin me reluquait sans vergogne.
Je vérifiais aussitôt si le piège fonctionnait en cambrant plus encore mes reins, mes fesses bombées explosaient la blouse blanche, tiraient sur le tissu et les boutons résistaient tant bien que mal pour ne pas péter.
Je faisais mine de préparer des soins, une seringue dans la main, un coton dans l'autre je reculais ostensiblement vers le lit de mon ex voisin de chambre.
Le coquin ne résista pas et ne pu s empêcher de me mettre la main au panier croyant fermement avoir affaire à une nouvelle infirmière. Ces mains se heurtèrent cependant à mes couilles bien pleines et un oh de surprise vint interrompre le silence de la pièce.
Je penchais un peu plus pour laisser la chance à ses mains de saisir la totalité de mon anatomie. Il malaxa délicieusement bien mes couilles au point de me faire défaillir.
Je saisi ce moment de suspension pour aller verrouiller la porte afin de prévenir toute intrusion inopinée.
Je revins vers lui comme un mannequin dans un défilé, et ma marche sensuelle eu l air de ravir le blessé. Arrivée à hauteur de son lit je soulevais le drap blanc et aperçu son sexe qui manifestait une joie devant la situation inattendue.
Sa bite était dressée comme un doigt et soulevait le tissu du drap comme une tente Décathlon. Je fus prise d une envie immédiate de sucer cet engin tellement mes hormones avaient monté en flèches. Penchée sous le drap, je pris la queue bien en bouche et prodiguait une pipe de toute beauté. Les mains de mon ex voisin s acharnaient à maintenir ma tête coincée sur sa queue et je suffoquais d avoir les couilles en forme de ventouse épouser mes lèvres. Quelques soubresauts de toux et je lâchais prise contente de ma prise de fonction dans la chambre 9.
Ma main continuait à se balader sous le drap afin de maintenir une érection que je ne souhaitais pas laisser faiblir. J'allais et venait sur cette colonne de direction. Je regardais le patient fermer les yeux sous l effet conjugué de ma main et de la sienne sur mes fesses. Il appréciait la prescription médicale.
J'avais le cul en feu mais mon clitoris demandait des soins buccaux que seul un patient alité pouvait prodiguer. Je décidais de lui planter mon thermomètre dans la bouche afin de prendre la température. Sa réaction fut immédiate et je senti le mercure crever le plafond haut des statistiques. Le patient faisait de la fièvre et je devais, s'il suçait bien, lui délivrer un onctueux médoc sensé faire tomber la température de son corps.
Il suçait agréablement bien et je sentais le dosage monter. Mon clito avait pris un volume conséquent et remplissait sa gorge au fond de laquelle je pensais asperger mon produit.... je m'enfonçais profondément dans celle ci pour aller masser la luette écarlate et apaiser ses maux de gorges persistants.
Je remuais mon bassin comme on je visse un clou dans un meuble. Il suffoquait mais étrangement son érection décuplait. Je tapotais sa bite pour tester son élasticité. Ah oui, le ressort répondait bien :!!!
J hésitais un long moment, 2 secondes bien pesées avant de saisir la "bête" et l'introduire dans mon cul comme un goupillon. Me voilà à califourchon sur un levier de vitesses que je dois manipuler . J'ondule, je monte, je redescend sur le manche...je coulisse dessus avec la dextérité d'une conductrice chevronnée. Je remonte mon bassin sur les 19 cms de l'engin avant de faiblir sur mes appuis et replonger dessus en freinant des deux cuisses pour ne pas risquer un impact douloureux...
J'entends mon ex voisin de chambrée lâcher un OUF de soulagement, de plaisir aussi.
Il devient plus actif comme si sa jouissance le turlupinait. Ses mains saisirent mes hanches afin d imprimer à mon bassin des mouvement ascendants, descendants.
Mon anus épousait se membre comme une deuxième peau. Je sentais le coeur du monstre palpiter contre ma paroi. Je serrais l'anus pour aider l'engin à cracher son venin blanc....je sentis un vif mouvement de plaisir. Des mains tapèrent mes fesses comme pour m inviter à recommencer. J'optempérais.
J'étais telle une fusée à Canaveral sur le pas de tir, les moteurs allumés, l hydrogène de mon corps en combustion brûlait mes chairs, enflammait le sexe du patient. Le paradis ne s'invente pas, il se vit sur une bite, sur un sexe bien membré. Faites vous enculer et vivez un voyage intersidéral.
De longues minutes s'écoulèrent pendant que j'hésitais à quitter le pas de tir. Il fallait pourtant que je goute l'odeur me mon intimité et seule une pipe magistrale pouvait me délivrer ce plaisir. Je descendis de mon piédestal en prenant soin de pas exciter outre mesure mon amant afin de ne pas le laisser délivrer sa semence sans mon consentement.
Une fois déssoudés, je plongeais sur sa queue comme une gourmande, comme une chienne avide de bite. Ma bouche épousa cette verge sans le consentement du maire ni du curé et prodigua une lente et sensuelle danse de la pipe, très connue dans les milieux hospitaliers. L'infirmière engouffre les sexes malades d oublis conjugaux et administre généralement une fellation de classe. Elles laissent comme moi des marques de rouge à lèvres comme un souvenir au bénéficiaire. L'intéressé terrassé par un orgasme se réveille croyant sortir d un rêve mais les empreintes buccales le rappellent à la réalité. Non ce n était pas un rêve. Une créature pulpeuse a sévit sur son sexe et l'a dégorgé totalement.
Je sentais le gland du patient et y retrouvait mes effluves anales que j avais pris soin de bien laver avant la sodomie. Elles sentaient la marée haute, les embruns de verge, les vagues successives de plaisir qui avaient monté minutes par minutes dans le sexe visiteur.
Je pris un méga plaisir à le sucer sauvagement avant de baisser la cadence et faire retomber la pression.
Soudain je soulevais ma blouse blanche et la remontait jusqu'au bassin. Je m appuyais les deux mains sur le second lit libre et implorait mon ex voisin de reprendre des forces pour venir m enculer comme une chienne. Il faut dire que mon attitude d'infirmière chaude et salope, mes minauderies exagérées eurent vite fait de gagner la partie.
Sa queue rigide se planta en levrette dans mon cul que je cambrais savemment. Cette position ne laissait jamais indifférents mes amants.
Son gland frappa les restants de ma prostate et m'obligea à gémir de plaisir. Je voulais sentir son sperme jaillir et je mettais toute mon énergie à l exciter: Fuck me, fuck me !!
Je criais dans la chambre, baises moi fort, baises moi ! Je suis ta putain de soignante, vient honorer mon orifice merde !!!
Salope !! Sale putain que tu fais ajouta t il !! Putain de cochonne, tu m excites comme un bourrin, je vais tout te décharger sur les fesses !!! T es vraiment une sacrée pute !!
Ce disant il fut pris par une lame de fond qui débuta dans ses talons, remonta dans ses mollets, ses genoux et il failli s'affaisser. Se reprenant, l'orgasme montant poursuivi sa route dans ses cuisses, son bassin. Les spasmes pressèrent sa vésicule séminale, ses testicules et il lâcha une abondante vague de liquide onctueux et chaud. Elle vint s'écraser comme promis sur mes fesses écarlates. Un tapis de sperme macula mon intimité.
Je sortais à peine d une torpeur post orgasmique que le patient fouillait déjà de la langue mon anus. Il léchait la semence qui fuyait sur mes fesses. Un gant de toilette à la langue veloutée parcourait mon corps et me faisait cambrer à nouveau.
J'étais offerte, la chatte humide prête à un nouvel assaut.
Mon voisin de chambre hospitalisé en longue durée pour une infection à la jambe suite à une fracture bavait régulièrement lorsqu'une visite médicale était perpétrée. Il fantasmais sur Sabine une blonde plantureuse sous la blouse de laquelle on devinait des formes généreuses et un corps invitant. Elle avait un beau visage légèrement masculin et ça l 'excitait au plus au point car il trouvait le côté androgyne très hot.
Il me racontait continuellement qu il lui ferait bien la fête, que son cul bombé le mettait en érection. Il rêvait de la baiser et ses tentatives non dissimulées pour la charmer restaient sans résultat.
Je fus 5 jours durant son confident jusqu'à mon départ pour un retour maison. Avant de le quitter je lui promettais de revenir rapidement avec une surprise. Il acquiesça sans réellement me croire. Nous n'avions pas une forte et longue amitié.
Ses propos m'avaient quand même travaillés et arrivé à la maison je n eu de cesse de mettre en œuvre un stratagème coquin pour satisfaire ses pulsions. Je voulais être son infirmière et je décidais de retourner une nuit à la clinique en prétextant un oubli d affaires dans ma chambre. Je porterais sous mes fringues de mec toute la panoplie de dessous coquins qu'on imagine portés par une soignante.
Sur place je pu entrer facilement et rejoindre la salle de rdv des médecins de l étage. J'enlevais le jeans et enfilait une blouse blanche aux lignes rouges brodées sur le tissu empruntée dans le vestiaire des infirmières.
Perchée sur de hauts talons blancs, dans la blouse de la même couleur aux boutons placés en avant, une petite toque assortie dans les cheveux, je pouvais rejoindre la chambre convoitée. Mes bas noirs tranchaient avec le blanc immaculé de la tenue. Mon porte jarretelle noir ne se cachait pas à cause de la micro hauteur de la blouse. Une vraie bimbo excitante.
J'entrais doucement dans la pièce et compris aussitôt que mon ex voisin somnolait.
Pour le réveiller en douceur je décidais de lui tourner le dos et à piétiner le sol de mes talons. Le bruit des talons dans la chambre résonnèrent comme une alarme sexuelle, comme une hormone déclencheuse dans la petite tête du patient alité.
Je senti aussitôt un mouvement dans le lit et dans l'écran noir de la tv éteinte je constatais que le coquin me reluquait sans vergogne.
Je vérifiais aussitôt si le piège fonctionnait en cambrant plus encore mes reins, mes fesses bombées explosaient la blouse blanche, tiraient sur le tissu et les boutons résistaient tant bien que mal pour ne pas péter.
Je faisais mine de préparer des soins, une seringue dans la main, un coton dans l'autre je reculais ostensiblement vers le lit de mon ex voisin de chambre.
Le coquin ne résista pas et ne pu s empêcher de me mettre la main au panier croyant fermement avoir affaire à une nouvelle infirmière. Ces mains se heurtèrent cependant à mes couilles bien pleines et un oh de surprise vint interrompre le silence de la pièce.
Je penchais un peu plus pour laisser la chance à ses mains de saisir la totalité de mon anatomie. Il malaxa délicieusement bien mes couilles au point de me faire défaillir.
Je saisi ce moment de suspension pour aller verrouiller la porte afin de prévenir toute intrusion inopinée.
Je revins vers lui comme un mannequin dans un défilé, et ma marche sensuelle eu l air de ravir le blessé. Arrivée à hauteur de son lit je soulevais le drap blanc et aperçu son sexe qui manifestait une joie devant la situation inattendue.
Sa bite était dressée comme un doigt et soulevait le tissu du drap comme une tente Décathlon. Je fus prise d une envie immédiate de sucer cet engin tellement mes hormones avaient monté en flèches. Penchée sous le drap, je pris la queue bien en bouche et prodiguait une pipe de toute beauté. Les mains de mon ex voisin s acharnaient à maintenir ma tête coincée sur sa queue et je suffoquais d avoir les couilles en forme de ventouse épouser mes lèvres. Quelques soubresauts de toux et je lâchais prise contente de ma prise de fonction dans la chambre 9.
Ma main continuait à se balader sous le drap afin de maintenir une érection que je ne souhaitais pas laisser faiblir. J'allais et venait sur cette colonne de direction. Je regardais le patient fermer les yeux sous l effet conjugué de ma main et de la sienne sur mes fesses. Il appréciait la prescription médicale.
J'avais le cul en feu mais mon clitoris demandait des soins buccaux que seul un patient alité pouvait prodiguer. Je décidais de lui planter mon thermomètre dans la bouche afin de prendre la température. Sa réaction fut immédiate et je senti le mercure crever le plafond haut des statistiques. Le patient faisait de la fièvre et je devais, s'il suçait bien, lui délivrer un onctueux médoc sensé faire tomber la température de son corps.
Il suçait agréablement bien et je sentais le dosage monter. Mon clito avait pris un volume conséquent et remplissait sa gorge au fond de laquelle je pensais asperger mon produit.... je m'enfonçais profondément dans celle ci pour aller masser la luette écarlate et apaiser ses maux de gorges persistants.
Je remuais mon bassin comme on je visse un clou dans un meuble. Il suffoquait mais étrangement son érection décuplait. Je tapotais sa bite pour tester son élasticité. Ah oui, le ressort répondait bien :!!!
J hésitais un long moment, 2 secondes bien pesées avant de saisir la "bête" et l'introduire dans mon cul comme un goupillon. Me voilà à califourchon sur un levier de vitesses que je dois manipuler . J'ondule, je monte, je redescend sur le manche...je coulisse dessus avec la dextérité d'une conductrice chevronnée. Je remonte mon bassin sur les 19 cms de l'engin avant de faiblir sur mes appuis et replonger dessus en freinant des deux cuisses pour ne pas risquer un impact douloureux...
J'entends mon ex voisin de chambrée lâcher un OUF de soulagement, de plaisir aussi.
Il devient plus actif comme si sa jouissance le turlupinait. Ses mains saisirent mes hanches afin d imprimer à mon bassin des mouvement ascendants, descendants.
Mon anus épousait se membre comme une deuxième peau. Je sentais le coeur du monstre palpiter contre ma paroi. Je serrais l'anus pour aider l'engin à cracher son venin blanc....je sentis un vif mouvement de plaisir. Des mains tapèrent mes fesses comme pour m inviter à recommencer. J'optempérais.
J'étais telle une fusée à Canaveral sur le pas de tir, les moteurs allumés, l hydrogène de mon corps en combustion brûlait mes chairs, enflammait le sexe du patient. Le paradis ne s'invente pas, il se vit sur une bite, sur un sexe bien membré. Faites vous enculer et vivez un voyage intersidéral.
De longues minutes s'écoulèrent pendant que j'hésitais à quitter le pas de tir. Il fallait pourtant que je goute l'odeur me mon intimité et seule une pipe magistrale pouvait me délivrer ce plaisir. Je descendis de mon piédestal en prenant soin de pas exciter outre mesure mon amant afin de ne pas le laisser délivrer sa semence sans mon consentement.
Une fois déssoudés, je plongeais sur sa queue comme une gourmande, comme une chienne avide de bite. Ma bouche épousa cette verge sans le consentement du maire ni du curé et prodigua une lente et sensuelle danse de la pipe, très connue dans les milieux hospitaliers. L'infirmière engouffre les sexes malades d oublis conjugaux et administre généralement une fellation de classe. Elles laissent comme moi des marques de rouge à lèvres comme un souvenir au bénéficiaire. L'intéressé terrassé par un orgasme se réveille croyant sortir d un rêve mais les empreintes buccales le rappellent à la réalité. Non ce n était pas un rêve. Une créature pulpeuse a sévit sur son sexe et l'a dégorgé totalement.
Je sentais le gland du patient et y retrouvait mes effluves anales que j avais pris soin de bien laver avant la sodomie. Elles sentaient la marée haute, les embruns de verge, les vagues successives de plaisir qui avaient monté minutes par minutes dans le sexe visiteur.
Je pris un méga plaisir à le sucer sauvagement avant de baisser la cadence et faire retomber la pression.
Soudain je soulevais ma blouse blanche et la remontait jusqu'au bassin. Je m appuyais les deux mains sur le second lit libre et implorait mon ex voisin de reprendre des forces pour venir m enculer comme une chienne. Il faut dire que mon attitude d'infirmière chaude et salope, mes minauderies exagérées eurent vite fait de gagner la partie.
Sa queue rigide se planta en levrette dans mon cul que je cambrais savemment. Cette position ne laissait jamais indifférents mes amants.
Son gland frappa les restants de ma prostate et m'obligea à gémir de plaisir. Je voulais sentir son sperme jaillir et je mettais toute mon énergie à l exciter: Fuck me, fuck me !!
Je criais dans la chambre, baises moi fort, baises moi ! Je suis ta putain de soignante, vient honorer mon orifice merde !!!
Salope !! Sale putain que tu fais ajouta t il !! Putain de cochonne, tu m excites comme un bourrin, je vais tout te décharger sur les fesses !!! T es vraiment une sacrée pute !!
Ce disant il fut pris par une lame de fond qui débuta dans ses talons, remonta dans ses mollets, ses genoux et il failli s'affaisser. Se reprenant, l'orgasme montant poursuivi sa route dans ses cuisses, son bassin. Les spasmes pressèrent sa vésicule séminale, ses testicules et il lâcha une abondante vague de liquide onctueux et chaud. Elle vint s'écraser comme promis sur mes fesses écarlates. Un tapis de sperme macula mon intimité.
Je sortais à peine d une torpeur post orgasmique que le patient fouillait déjà de la langue mon anus. Il léchait la semence qui fuyait sur mes fesses. Un gant de toilette à la langue veloutée parcourait mon corps et me faisait cambrer à nouveau.
J'étais offerte, la chatte humide prête à un nouvel assaut.
1 jaar geleden
