Transport en commun
Tous les matins ils se croisaient dans le train.
Mel l'avait repéré une de ces fois où des avaries matériels les avaient bloqués sur le quai un peu plus d'une heure.
Un beau brun, d'une trentaine d’années. Il était large d’épaules, légèrement plus grand qu'elle.
Jusqu’à présent ils n'avaient fait que se regarder en coin. Parfois juste à la faveur de leurs têtes levées lors du trajet.
C’était un de ces trains de dernières générations sur les lignes de banlieue. Mel résidait à moins de 20 mn de Paris.
Elle entreprenait ce trajet que depuis six mois, ou à peine plus. Nouveau boulot.
Plus long que pour ces dernières missions. Et avec plusieurs correspondances. Mais la jeune femme préférait cependant ce travail en banlieue, à la foule parisienne.
Sa ligne de train traversait des forêts boisées entrelacées aux villes.
Elle dévorait les livres. Écoutait de la musique à plus soif. Passait cette heure à repenser sa vie, soigner les bons moments, déjà passés et révolus.
Les journées s’écoulaient sereines, à un rythme de vie beaucoup plus apaisé.
Au fil de ce quotidien Mel s’était habituée à certains corps et visages.
Un soir au quai de leur correspondance encore retardée, leurs regards se croisèrent, et timidement, ils échangèrent un sourire.
Mel était d’un tempérament avenant, et c’était une femme sûre d'elle. Mais solitaire.
Elle ne ressentait pas le besoin de faire le trajet à deux.
Ce matin, ça avait été la course…Pour s’extirper de son lit chaud.
Att****r au vol son dernier bus, direction la gare, avant d’être trop en retard. Sauter dans le train au départ.
Adossée au dernier rang, Mel regardait machinalement la ligne peu occupée ce matin là quand elle fut traversée d'un frisson.
C’était lui. A deux rangées en diagonale en face d’elle. Il la fixait . Du moins son regard glissait sur sa bouche, puis plus bas. Jusqu’à la jointure de ses jambes croisées.
Elle fut tentée de redescendre le tissu légèrement remonté de sa jupe. Mais elle ne put esquisser de gestes. Percée par le trouble qui l’envahissait.
Elle se faisait sans doute des idées… Et ne voulait pas exprimer sa gêne.
Mais la sensation de son regard se fit plus insistante. Sa proximité, leur isolement dans le wagon presque désert, lui donnaient chaud…
Mel senti son corps se raidir, comme prête à bondir.
Il ne la lâchait pas du regard. Mais qu’ est ce qui lui prenait à celui-là ?!
Mel Leva la tête dans sa direction , afin peut-être de reprendre un tant soit peu le contrôle.
Croiser son regard, et mettre fin à ce petit jeu.
Mais en retour, il esquissa un petit sourire. Presque carnassier. Ils se dévisagèrent ainsi une fraction de secondes de plus, puis il replongea le nez dans son livre, et ce fut comme si de rien était.
Mel ne savait plus que penser…troublée par l’attitude de cet inconnu.
Il était mignon certes. Viril, et élégant dans son manteau noir. Et elle se sentait étrangement excitée.
Mais il s’était passé quoi à l'instant ?
Mel fit semblant elle aussi de se plonger dans la contemplation des voies ferrées qui défilaient. Mais incapable d'apaiser son cerveau en feu.
Cinq minutes plus tard, ils arrivaient à leur correspondance commune. Elle descendit dans un bond, sans chercher à savoir s’il la suivait.
Et en cette matinée froide et brumeuse, tout s’enchaîna comme à son habitude.
L’attente de sa dernière correspondance. La chaleur apaisante et feutrée du bus.
Les 30/40mn de trajet, la circulation dense sur cet axe.
Parfois Mel s'assoupissait. D’autres fois elle lisait. Un casque sur les oreilles. La coupant ainsi des autres passagers.
Mais ce matin là, elle dû s'y reprendre à plusieurs fois avant d’intégrer le chapitre qu’elle lisait.
Ce mec l'avait franchement désarçonnée. Mel fantasmait de fait sur lui. Sur ce contexte qui les réunissait au quotidien.
Pour ne rien cacher, son appétit sexuel étant le sien, nombreux étaient les scénarios qu’elle avait pu échafauder lors de ces précédents trajets.
A la croisée d'une ligne. D'une gare. Un homme, parfois même une femme, ayant capté son attention. Aiguisant ainsi ses sens.
Mel était plutôt prompte aux plaisirs sexuels. Mais privilégiait la discrétion d'un lieu non public.
Néanmoins, ce matin là, cet inconnu lui avait donné envie de scénarios autrement plus osés…
D'un regard il avait éveillé la salope en elle. Et malgré elle, Mel se demanda si il était loin d'elle dans le bus. Car elle savait que leurs déplacements se rejoignaient aussi sur le trajet du bus.
Un matin, il s’assis à ses côtés. Mel n’avait pas remarqué sa présence sur la correspondance précédente.
Et qu’elle ne fût sa surprise en tournant la tête vers son voisin.
Elle lui fit un léger sourire. Puis détourna le regard, trop gênée pour agir autrement.
En premier lieu, ce fut la sensation de chaleur sur sa cuisse…
Puis le poids de son épaule, à l’occasion d'un virage un peu serré.
Un léger trouble commençait à l'envahir. Elle sentait ses sens en alerte, à l’affût du moindre souffle.
A cette heure matinale, il faisait encore sombre. Et l’ambiance calme et endormie les isolait des autres travailleurs, extirpés eux aussi de leur lit.
Mel avait envie de se laisser aller… Alanguie contre cette homme. Le moment était venu donc. Fini les jeux de regards et autres sourires de connivence.
Il n'avait jamais échanger un seul mot.
Comme si il lisait dans son esprit fébrile, il pressa un peu plus sa cuisse contre la sienne. Le message était clair. Le contact physique établi.
Mel resserra les cuisses. Juste un peu. Sans doute que nul ne pouvait les voir dans cette semi-obscurité, mais elle craignait de faire tous mouvements. Comme si chacun de ses gestes pouvaient les trahir, et mettre à jour les envies lubriques qui commençaient à assourdir son cerveau.
Mel se cala un peu plus dans son siège. Se trémoussant, indécise. Cette fois-ci elle le voyait de près. Du moins son profil. Car ils regardaient tous deux, droit devant. Elle pouvait sentir sa chaleur à travers leurs vêtements d'hiver. Il était beaucoup plus grand qu'elle. Et plus fin qu'elle ne le croyait.
De longues jambes. Des bras tout aussi longs. Une bouche très sensuelle pour un homme.
Un nez fort.
Lasse de réfléchir, et de lutter contre cette cuisse masculine qui prenait de plus en plus de place, Mel lui rendit son mouvement. Elle aussi avança sa jambe. Ce qui eu pour effet celui de légèrement entrouvrir ses cuisses.
Elle espérait qu'il comprendrait l’invitation, car si Mel était vite d’humeur salope, elle n’irai pas jusqu’à prendre les choses en mains. Il la voulait. Qu'il la prenne.
Il commença par approcher sa main de l'ouverture entre ses cuisses. Mel était ravie de porter ce jour cette jupe à tissu fin. Il remonta ses doigts le long de sa cuisse. Fit des aller retours de plus en plus appuyés. Au bout de quelques minutes de ce traitement, Mel avait déjà la pointe des seins tendus. Le tissu de sa culotte adhérait aux plis de sa vulve. La jeune femme se retenait maintenant d’ouvrir largement les jambes. De se laisser aller au fond du dossier. Peut-être même de passer sa jambe par-dessus celle du jeune homme pour des caresses plus franches.
Les yeux toujours rivés sur les coutures du siège. Parfois la tête tournée vers la route qui défilait, et ses voitures aux seuls passagers.
Entre temps il s’était montré plus hardi. Ses doigts étaient remontés plus haut. Sa paume largement aplatie sur son pubis. Du majeur il titillait son clitoris. Entre ronds durs et exigeants. Et comme si ça ne lui suffisait pas, sentant sans doute le petit bout de chair gonfler, se tendre plus, il le prit entre deux doigts. Dans de douces et douloureuses petites pressions.
A ce manège, Mel Brûlait de l’intérieur. Elle se sentait partir. Au bord de l'orgasme. Elle aurait voulu accompagner son exploration de mouvements de hanches désordonnés. Sauvage. Renverser la nuque, et hurler de plaisir.
Elle devait se contenter de fermer les yeux. Les fermer aussi serrés que ses poings…Les lèvres pincées sur ses gémissements de plaisir.
Il approcha son visage du sien. Et tournée vers le dehors obscur, elle sentait son regard la transpercer. Il la surprit en posant ses lèvres contre son oreille. Sa langue s’enroulant doucement autour de son lobe.
La jeune femme se crispa malgré elle, ce qui par réflexe, lui fit refermer les cuisses sur cette main baladeuse. Comme pour l’emprisonner. Ou l’empêcher d'aller plus loin.
« J'ai envie de te sucer la chatte…mais je ne le ferai pas.
Pas ici. Pas tout de suite.
Ecarte les cuisses. Je veux glisser ma main sous tes collants. Sentir ta chatte couler sur mes doigts. »
Au son rauque de sa voix dans le creux de son oreille, Mel ouvrit aussitôt les yeux. Les paroles de cet inconnu se répercutèrent en ondes de choc dans tout son corps jusqu’à se nouer dans son ventre.
Elle n'osait ni bouger, ni émettre de son. Avaient-ils des voisins ? Les sièges de la rangée d’à coté n étaient pas occupés . Mais devant eux, si. Et impossible pour Mel de vérifier si derrière eux, il en était de même. Elle se sentait incapable de se retourner. Même de trois quart.
Elle n’arrivait plus à réfléchir. Ca allait trop vite…
Apres tout, ils seraient amenés à se revoir, empruntant tous deux le même trajet.
Si ça se passait mal. Ou que ce mec au final était cinglé.
La sensation de cette main dure entre ses cuisses se fit dès lors, très gênante.
Il devait avoir senti son hésitation. Et son léger recul.
Il ôta sa main. Descendit le tissu de sa jupe sur ses cuisses et se replaça face à son siège.
Mais pour son plus grand soulagement, il n'abandonna pas leurs jeux pour autant.
Il prit la main de la jeune femme et la posa sur son entrejambe.
Sur la braguette de son jean. Mel sentait son membre compressé sous le tissu.
Courbé. Prête à se tendre, une fois libéré.
Ce geste électrisa Mel. Un frisson lui parcouru le creux des reins jusqu’à la naissance de ses cheveux.
Elle ouvrit la bouche pour expirer l'air qu’elle semblait retenir depuis dans ses poumons.
Sa bouche s'ouvrant dans un souffle. Peut-être pour accueillir cette queue, si elle venait à sortir de sa cage.
Mel se dit que c’était l’occasion de se positionner. Dire non clairement. Ou balayer ses craintes, et jouir de l’instant.
Alors elle su quoi faire au moment où leurs regards se croisèrent dans la pénombre.
Elle lui lécha le coin de la lèvre. Lui octroyant la première caresse assumée. Furtivement.
Puis sa main à elle se fit plus pressante. Elle voulait caresser ce membre. En éprouver la taille. La longueur. Son élasticité. Le sentir palpiter. Et se dérouler entre ses doigts fébriles.
Elle voulait le sentir durcir dans sa bouche. Mais Mel se tenait droite. Regardant fixement devant elle. Comme si cela se passait en dehors d’elle.
Elle branlait un mec dans un bus. Tout ça sur le trajet du travail.
Dans ce même bus, certains lisaient, discutaient. Dormaient. Dans l’espoir de prolonger le confort du lit, rentabiliser le temps.
Mais dans quel état il la mettait..
Car il avait réussi à isoler Mel de ce monde. Elle ne percevait plus que le ronflement régulier du chauffage soufflant son air chaud sur ses mollets, et le sang qui affluait à ses tempes.
La queue de son voisin de siège avait durci sous la pression de ses mains. Elle était même carrément dure. Et l’érection franche du jeune homme excitait terriblement la jeune femme.
Mel sentait son cœur qui battait à tout rompre dans sa cage thoracique. Elle se retenait de se pencher pour lécher le tissu rigide du vêtement. Le frottement de la matière, et cette chair chaude juste en dessous, l’affolaient. Elle se sentait saliver.
Elle tenta agacée d’ouvrir un bouton. N’en pouvant plus. Elle n'irai pas jusqu’à le sucer là ainsi, mais elle voulait le toucher. Prendre son membre entre les doigts de sa main. Faire coulisser sa peau, dégager son gland.
Il comprit son besoin impérieux. Et malgré le fait qu’il soit côté couloir, il n’hésita pas un instant. Son manteau entrouvert, il ouvrit son pantalon d’une main. L autre ayant retrouvé sa place sur la cuisse de la jeune femme.
Cette fois-ci Mel décida que le plaisir devait être mutuel.
En plus de l’excitation que lui procurait cette chair douce et chaude au creux de la main, elle voulait la caresse de ses doigts à lui.
Qu'il rejoue sa partition sur les plis de sa chatte. Ouvre grand les lèvres humides de son sexe. En caresses appuyées sur son clitoris. Elle voulait qu’il la fasse jouir.
Une fois sa queue libre de toutes contraintes, Mel pu en apprécier la vigueur.
Elle fit sa main remonter et descendre en douceur.
Et dans l’obscurité du bus, elle laissa ses doigts se repaître de la chaleur de cette queue raide et gonflée.
Sous son pouce, la fragilité et l’humidité de son gland.
Dans la paume de sa main, les tressaillements de son membre dressé.
Mel s’humecta les lèvres. Une envie sourde au ventre de se pencher, et de l’engloutir.
Prudente, elle glissa deux doigts entre ses lèvres pour les mouiller, puis trop gourmande, enfonça carrément la main.
Elle lécha ses doigts généreusement. Sans se presser. Lui la fouillait de plus en plus fort.
Ses mains avaient écartées son collant. Ses doigts glissaient entre les lèvres de sa chatte. Parfois s'enfonçaient dans son trou devenu gluant de sève.
Malgré l’excitation, elle ne put s’empêcher de craindre qu’ils ne soient surpris.
Mel prenait l’odeur de sa chatte qui montait. Entendait le bruit de succion de ses doigts lorsqu’il s’enfonçait en elle. La jeune femme était mortifiée . Mais incapable de se contenir. Ou d’arrêter.
Mel jugea que sa main était assez mouillée pour le faire glisser en douceur entre ses doigts.
Elle passa d’abord le pouce sur son gland. En éprouva la douceur. Elle sentit le bassin de son partenaire se tendre d’un coup sous la caresse. Elle continua les ronds concentriques jusqu’à le faire mouiller lui aussi.
Elle avait tellement envie de le sucer. Recueillir cette première goutte du bout de la langue.
Fallait qu’ils se retiennent tous deux. Elle voulait que ça dure.
Mel sentait la chaleur de leurs deux corps. Leurs odeurs qui se mêlaient. Ils s’empêchaient encore de se regarder. De se tourner l'un vers l’autre. Deux inconnus qui partagent côte à côte la même banquette de bus.
Quand son partenaire de jeux décida qu’ils iraient encore plus loin.
« Je veux te baiser. Ici tout de suite. T’es tellement ouverte…tu m’excites trop"
La baiser ?! Paniquée Mel ne su que faire, ni dire.
« Lève un peu ton cul de salope. Ne t inquiète pas. Je veille. Personne ne s'occupe de nous. »
Mel, devenue chaude et docile, souleva les pans de son manteau. Glissa jupe et collants jusqu’à mi-cuisses.
Se retrouvant ainsi, chatte et culs offerts sous son manteau.
Il ne se fit pas prier. La minute suivante Mel se sentit envahie par deux doigts durs et épais.
Il avait passé ses mains dans son dos. Mel se trouvait maintenant assise sur son bras. Pas d’autres choix que de s’empaler sur les doigts fichés en elle.
Mel se retenait de ne pas se mouvoir sur cette main qui la fouillait franchement.
Avec les va et vient, son poignet et son bras frottaient le sillon de ses fesses.
Mel sentait son anus s'ouvrir. L'anneau se gonfler de sang.
Encore une fois , soit il lu dans ses pensées, soit c'est son traître de corps qui appela trop fort à cette caresse.
La jeune femme sentit qu’il lui enfonçait le pouce dans le cul.
Et à son corps défendant, elle s'empala un peu plus loin, plus fort.
Les doigts de son voisin de trajet la ravageait.
C’était trop bon.
Mel n'avait pas lâché la queue raide de son partenaire. Et dans des mouvements parfois désordonnés, elle faisait coulisser son membre entre ses doigts. Sa queue devenue aussi brûlante que son intérieur à elle.
Mel se sentait devenir folle…Elle aurait voulu se pencher en avant. Tendre son cul. Offrir ses trous à cette main, jusqu’au poing.
La tête entre les chevilles. Sa bouche ouverte dans une symphonie de cris.
Entre ça, et toutes les sensations qui la traversaient , Mel ne savait plus où donner de la tête.
Elle se laissait faire. Comme une heureuse poupée de chiffons.
Et ne se retenait plus de jouir. Les dents serrées. La tête en feu, et en plein délire.
La jouissance l’avait prise quelques secondes après avoir eu son cul écartelé.
Les yeux fermés, des spasmes parcourant le creux de ses reins, et la peau nue de ses fesses.
Faisant se contracter la chatte. Mel ne savait plus si le nombre de doigts qui la fouillait était le même. Mais il s’enfonçait toujours plus profondément. Chatte et cul, sans se lasser.
Et Mel s'accrochait à sa queue pour ne pas chavirer.
Il se pencha vers elle et lui chuchota à l’oreille :
« T’arrêtes pas de mouiller. Même ton cul est grand ouvert.
J’ai tellement envie de te remplir.
T as de la chance que l'on soit dans ce putain de bus. Sinon tu serai déjà sur ma queue petite salope »
Et sur ces mots, il reprit ses attouchements de plus belle.
« Je veux que t’écartes les cuisses pour moi. Tu vas me faire juter. Et je veux jouir sur ton corps de pute. Ecarte encore…et colle au maximum ta jambe contre moi.
Je vais t’en mettre partout salope ! Dis tu veux bien ?! »
Et alors que sa main s’était extraite de son cul pour passer devant entre les cuisses de la jeune femme, Mel s’exécuta sans dire un mot.
Certes, elle s’inquiétait de son aspect par la suite. Mais sur le coup, la situation était bien trop excitante pour qu’elle puisse se réfréner.
Elle pressa sa queue un peu plus. Se concentra sur le souffle du jeune homme devenu court, et le regarda enfin.
Se tournant légèrement vers lui, elle colla sa cuisse sur la sienne, ouvrant largement ses jambes nues. Seule la culotte enroulée autour de ses genoux l’empêchaient de les ouvrir plus.
Elle voulait qu’il la souille. Qu'il l’inonde. Elle soutint son regard. La bouche entrouverte.
Accentuant la masturbation de son sexe tendu, jusqu’à le sentir se répandre sur ses doigts. Des jets chauds arrivant jusqu’à l’intérieur de ses cuisses.
Mel eut l’envie brutale de se pencher pour gober les premières gouttes. Lécher les filets de sperme sur sa main. Accueillir chaque jet sur sa langue. Ou directement au fond de sa gorge.
Mais elle ne le connaissait pas. Là encore elle se tempéra. Peut-être pour une prochaine fois.
Mel le laissa reprendre son souffle. Il s’avachit dans le fauteuil, la nuque renversée.
Machinalement, Mel continua à le caresser, entre ses doigts devenus collants.
Elle joua avec sa queue qui montrait les premiers signes de repli .
Il se tourna alors vers elle. Lui sourit. Passa une main encore brûlante sur ses cuisses entrouvertes et souillées.
« Tu m as excité dès la première fois…si j'avais su que ca serait aussi bon, j aurais bandé dans mon jean direct.
Et t arrête pas…j’aime bien quand tu t'occupes de ma queue. Et je crois qu'elle aussi t'aime bien ! «
Humm…t’es tellement belle. Encore plus les cuisses ouvertes et pleine de mon foutre.
Dis…ils sont opaques tes collants…ça te dirait de les remettre sans te nettoyer.
Je veux penser à toi ainsi toute la journée »
Il grognait un flot de paroles à l’oreille de la jeune femme tout en étalant le sperme tiède sur ses cuisses.
Mel sentait sa queue reprendre vigueur entre ses mains. Les doigts de la jeune femme agglutinés à ses chairs. Elle sentait le membre palpiter et frémir.
Mel avait envie de consentir à sa demande. C’était insensé. Et risqué, car il ne se connaissait pas. Mais elle avait envie de jouer. Et ce genre de jeux répondait à ses envies les plus perverses.
Elle le fixa du regard et remonta sa culotte, puis les collants. Le tissu adhérait à ses cuisses. Et la variation entre les zones sèches et humides rajouta à son trouble.
Elle était folle de faire ça … ses vêtements étaient maintenant définitivement souillés, et elle ne savait pas si ça se remarquerait. Déjà à la descente du bus.
Loin de se douter de toutes ces prises tardives de conscience, il la regardait le regard illuminé, comme fou. Et prêt à la baiser là dans le bus.
Tourné vers elle, il lui pinçait la pointe des seins. Glissait fiévreusement l’autre main entre ses cuisses.
La palpait frénétiquement, comme si il la touchait après une longue attente.
Mel se sentait à nouveau partir. Incandescente.
Il s’était approché d'elle, ne se retenant plus de la presser, de la coller à lui.
« Tu m’excites trop… » soufflait -il dans sa nuque.
Ses mains pressant de plus en plus fort sa poitrine. Roulant presque brutalement la pointe de ses seins entre ses doigts. Cherchant fébrilement à dénuder sa poitrine.
Il tira sur les vêtements de la jeune femme. Souleva sans peine un pan de son tee-shirt et prit la pointe dénudée de son sein gauche dans la bouche.
Mel n’y tenant plus, pressa la tête du jeune homme plus fort contre elle. La gorge renversée. Totalement livrée aux envies de ce presqu’inconnu.
Et comme à la dérive lui aussi, a****l, il aspirait et tétait. Grognant de plaisir, mordant à pleines dents ses globes de chairs. Ses mains triturant sans répit sa poitrine à vif.
La jouissance arriva sans crier gare. Et c’est le point serré sur la bouche qu’elle étouffa ses cris de plaisir.
Le jeune homme était maintenant carrément couché sur elle. L’enfoncant contre la paroi glacée et moite.
Elle le sentait se branler contre sa cuisse. Son ventre.
Il se branla sur elle ainsi quelques minutes. L’abreuvant de mots crus et d’insultes bien choisies.
Et dans le creux de son oreille. Le visage plaque contre la vitre du bus, Mel se laissa utiliser en vide couilles docile et servile.
« T’es trop bonne..une vraie salope qu s’ignore. Une pute à baiser tous les matins. Une bonne vide couilles.. »
Mel encore hagarde, dans son brouillard de sensations et de chairs repues, se fit plus molle, plus douce, plus chaude, afin qu’il lui jouisse encore dessus.
Elle sentit un long jet chaud lui taper sur le ventre..il avait levé son tee-shirt, et se regardait juter sur son corps offert.
Quelques gouttes éclaboussèrent ses seins.
Elle sentait son foutre s’écouler attiré par la gravité.
Il avait été moins généreux en sperme cette fois ci, mais l’avait définitivement souillée.
Il replaca presque délicatement ses vêtements par-dessus. Le tissu adhérant de suite aux coulures de sperme.
Il l’aida à se redresser…Boutonna son manteau. Caressant au passage tantôt son visage, tantôt l arrête de son poignet. Ou le pli de son genou..
Mel se laissa faire tout le long. En poupée de porcelaine. Quand il se cala enfin sur son siège, la tête penchée vers elle, Mel reprit ses esprits.
Mon dieu…que c’était t-il passé ?!
Était ce allé au si loin ?? Au point qu’elle ne soit plus sure de son état physique et vestimentaire !
Mel était mortifiée.
Et encore une fois, comme si sa consternation se lisait sur son visage, il prit son portable et les éclaira discrètement.
Et passant le faisceau de lumière sur leur tenue respective il tenta de la rassurer sur son aspect.
Ils se fixèrent du regard enfin tous deux pour la première fois depuis le début du trajet.
Son regard chaud, était franc et doux.
Mel parti dans un fou rire libérateur.
Au fond elle savait qu’elle passerait une bonne journée..
Après tout, on a toujours le cœur et l’esprit plus légers après avoir joui.
Mel l'avait repéré une de ces fois où des avaries matériels les avaient bloqués sur le quai un peu plus d'une heure.
Un beau brun, d'une trentaine d’années. Il était large d’épaules, légèrement plus grand qu'elle.
Jusqu’à présent ils n'avaient fait que se regarder en coin. Parfois juste à la faveur de leurs têtes levées lors du trajet.
C’était un de ces trains de dernières générations sur les lignes de banlieue. Mel résidait à moins de 20 mn de Paris.
Elle entreprenait ce trajet que depuis six mois, ou à peine plus. Nouveau boulot.
Plus long que pour ces dernières missions. Et avec plusieurs correspondances. Mais la jeune femme préférait cependant ce travail en banlieue, à la foule parisienne.
Sa ligne de train traversait des forêts boisées entrelacées aux villes.
Elle dévorait les livres. Écoutait de la musique à plus soif. Passait cette heure à repenser sa vie, soigner les bons moments, déjà passés et révolus.
Les journées s’écoulaient sereines, à un rythme de vie beaucoup plus apaisé.
Au fil de ce quotidien Mel s’était habituée à certains corps et visages.
Un soir au quai de leur correspondance encore retardée, leurs regards se croisèrent, et timidement, ils échangèrent un sourire.
Mel était d’un tempérament avenant, et c’était une femme sûre d'elle. Mais solitaire.
Elle ne ressentait pas le besoin de faire le trajet à deux.
Ce matin, ça avait été la course…Pour s’extirper de son lit chaud.
Att****r au vol son dernier bus, direction la gare, avant d’être trop en retard. Sauter dans le train au départ.
Adossée au dernier rang, Mel regardait machinalement la ligne peu occupée ce matin là quand elle fut traversée d'un frisson.
C’était lui. A deux rangées en diagonale en face d’elle. Il la fixait . Du moins son regard glissait sur sa bouche, puis plus bas. Jusqu’à la jointure de ses jambes croisées.
Elle fut tentée de redescendre le tissu légèrement remonté de sa jupe. Mais elle ne put esquisser de gestes. Percée par le trouble qui l’envahissait.
Elle se faisait sans doute des idées… Et ne voulait pas exprimer sa gêne.
Mais la sensation de son regard se fit plus insistante. Sa proximité, leur isolement dans le wagon presque désert, lui donnaient chaud…
Mel senti son corps se raidir, comme prête à bondir.
Il ne la lâchait pas du regard. Mais qu’ est ce qui lui prenait à celui-là ?!
Mel Leva la tête dans sa direction , afin peut-être de reprendre un tant soit peu le contrôle.
Croiser son regard, et mettre fin à ce petit jeu.
Mais en retour, il esquissa un petit sourire. Presque carnassier. Ils se dévisagèrent ainsi une fraction de secondes de plus, puis il replongea le nez dans son livre, et ce fut comme si de rien était.
Mel ne savait plus que penser…troublée par l’attitude de cet inconnu.
Il était mignon certes. Viril, et élégant dans son manteau noir. Et elle se sentait étrangement excitée.
Mais il s’était passé quoi à l'instant ?
Mel fit semblant elle aussi de se plonger dans la contemplation des voies ferrées qui défilaient. Mais incapable d'apaiser son cerveau en feu.
Cinq minutes plus tard, ils arrivaient à leur correspondance commune. Elle descendit dans un bond, sans chercher à savoir s’il la suivait.
Et en cette matinée froide et brumeuse, tout s’enchaîna comme à son habitude.
L’attente de sa dernière correspondance. La chaleur apaisante et feutrée du bus.
Les 30/40mn de trajet, la circulation dense sur cet axe.
Parfois Mel s'assoupissait. D’autres fois elle lisait. Un casque sur les oreilles. La coupant ainsi des autres passagers.
Mais ce matin là, elle dû s'y reprendre à plusieurs fois avant d’intégrer le chapitre qu’elle lisait.
Ce mec l'avait franchement désarçonnée. Mel fantasmait de fait sur lui. Sur ce contexte qui les réunissait au quotidien.
Pour ne rien cacher, son appétit sexuel étant le sien, nombreux étaient les scénarios qu’elle avait pu échafauder lors de ces précédents trajets.
A la croisée d'une ligne. D'une gare. Un homme, parfois même une femme, ayant capté son attention. Aiguisant ainsi ses sens.
Mel était plutôt prompte aux plaisirs sexuels. Mais privilégiait la discrétion d'un lieu non public.
Néanmoins, ce matin là, cet inconnu lui avait donné envie de scénarios autrement plus osés…
D'un regard il avait éveillé la salope en elle. Et malgré elle, Mel se demanda si il était loin d'elle dans le bus. Car elle savait que leurs déplacements se rejoignaient aussi sur le trajet du bus.
Un matin, il s’assis à ses côtés. Mel n’avait pas remarqué sa présence sur la correspondance précédente.
Et qu’elle ne fût sa surprise en tournant la tête vers son voisin.
Elle lui fit un léger sourire. Puis détourna le regard, trop gênée pour agir autrement.
En premier lieu, ce fut la sensation de chaleur sur sa cuisse…
Puis le poids de son épaule, à l’occasion d'un virage un peu serré.
Un léger trouble commençait à l'envahir. Elle sentait ses sens en alerte, à l’affût du moindre souffle.
A cette heure matinale, il faisait encore sombre. Et l’ambiance calme et endormie les isolait des autres travailleurs, extirpés eux aussi de leur lit.
Mel avait envie de se laisser aller… Alanguie contre cette homme. Le moment était venu donc. Fini les jeux de regards et autres sourires de connivence.
Il n'avait jamais échanger un seul mot.
Comme si il lisait dans son esprit fébrile, il pressa un peu plus sa cuisse contre la sienne. Le message était clair. Le contact physique établi.
Mel resserra les cuisses. Juste un peu. Sans doute que nul ne pouvait les voir dans cette semi-obscurité, mais elle craignait de faire tous mouvements. Comme si chacun de ses gestes pouvaient les trahir, et mettre à jour les envies lubriques qui commençaient à assourdir son cerveau.
Mel se cala un peu plus dans son siège. Se trémoussant, indécise. Cette fois-ci elle le voyait de près. Du moins son profil. Car ils regardaient tous deux, droit devant. Elle pouvait sentir sa chaleur à travers leurs vêtements d'hiver. Il était beaucoup plus grand qu'elle. Et plus fin qu'elle ne le croyait.
De longues jambes. Des bras tout aussi longs. Une bouche très sensuelle pour un homme.
Un nez fort.
Lasse de réfléchir, et de lutter contre cette cuisse masculine qui prenait de plus en plus de place, Mel lui rendit son mouvement. Elle aussi avança sa jambe. Ce qui eu pour effet celui de légèrement entrouvrir ses cuisses.
Elle espérait qu'il comprendrait l’invitation, car si Mel était vite d’humeur salope, elle n’irai pas jusqu’à prendre les choses en mains. Il la voulait. Qu'il la prenne.
Il commença par approcher sa main de l'ouverture entre ses cuisses. Mel était ravie de porter ce jour cette jupe à tissu fin. Il remonta ses doigts le long de sa cuisse. Fit des aller retours de plus en plus appuyés. Au bout de quelques minutes de ce traitement, Mel avait déjà la pointe des seins tendus. Le tissu de sa culotte adhérait aux plis de sa vulve. La jeune femme se retenait maintenant d’ouvrir largement les jambes. De se laisser aller au fond du dossier. Peut-être même de passer sa jambe par-dessus celle du jeune homme pour des caresses plus franches.
Les yeux toujours rivés sur les coutures du siège. Parfois la tête tournée vers la route qui défilait, et ses voitures aux seuls passagers.
Entre temps il s’était montré plus hardi. Ses doigts étaient remontés plus haut. Sa paume largement aplatie sur son pubis. Du majeur il titillait son clitoris. Entre ronds durs et exigeants. Et comme si ça ne lui suffisait pas, sentant sans doute le petit bout de chair gonfler, se tendre plus, il le prit entre deux doigts. Dans de douces et douloureuses petites pressions.
A ce manège, Mel Brûlait de l’intérieur. Elle se sentait partir. Au bord de l'orgasme. Elle aurait voulu accompagner son exploration de mouvements de hanches désordonnés. Sauvage. Renverser la nuque, et hurler de plaisir.
Elle devait se contenter de fermer les yeux. Les fermer aussi serrés que ses poings…Les lèvres pincées sur ses gémissements de plaisir.
Il approcha son visage du sien. Et tournée vers le dehors obscur, elle sentait son regard la transpercer. Il la surprit en posant ses lèvres contre son oreille. Sa langue s’enroulant doucement autour de son lobe.
La jeune femme se crispa malgré elle, ce qui par réflexe, lui fit refermer les cuisses sur cette main baladeuse. Comme pour l’emprisonner. Ou l’empêcher d'aller plus loin.
« J'ai envie de te sucer la chatte…mais je ne le ferai pas.
Pas ici. Pas tout de suite.
Ecarte les cuisses. Je veux glisser ma main sous tes collants. Sentir ta chatte couler sur mes doigts. »
Au son rauque de sa voix dans le creux de son oreille, Mel ouvrit aussitôt les yeux. Les paroles de cet inconnu se répercutèrent en ondes de choc dans tout son corps jusqu’à se nouer dans son ventre.
Elle n'osait ni bouger, ni émettre de son. Avaient-ils des voisins ? Les sièges de la rangée d’à coté n étaient pas occupés . Mais devant eux, si. Et impossible pour Mel de vérifier si derrière eux, il en était de même. Elle se sentait incapable de se retourner. Même de trois quart.
Elle n’arrivait plus à réfléchir. Ca allait trop vite…
Apres tout, ils seraient amenés à se revoir, empruntant tous deux le même trajet.
Si ça se passait mal. Ou que ce mec au final était cinglé.
La sensation de cette main dure entre ses cuisses se fit dès lors, très gênante.
Il devait avoir senti son hésitation. Et son léger recul.
Il ôta sa main. Descendit le tissu de sa jupe sur ses cuisses et se replaça face à son siège.
Mais pour son plus grand soulagement, il n'abandonna pas leurs jeux pour autant.
Il prit la main de la jeune femme et la posa sur son entrejambe.
Sur la braguette de son jean. Mel sentait son membre compressé sous le tissu.
Courbé. Prête à se tendre, une fois libéré.
Ce geste électrisa Mel. Un frisson lui parcouru le creux des reins jusqu’à la naissance de ses cheveux.
Elle ouvrit la bouche pour expirer l'air qu’elle semblait retenir depuis dans ses poumons.
Sa bouche s'ouvrant dans un souffle. Peut-être pour accueillir cette queue, si elle venait à sortir de sa cage.
Mel se dit que c’était l’occasion de se positionner. Dire non clairement. Ou balayer ses craintes, et jouir de l’instant.
Alors elle su quoi faire au moment où leurs regards se croisèrent dans la pénombre.
Elle lui lécha le coin de la lèvre. Lui octroyant la première caresse assumée. Furtivement.
Puis sa main à elle se fit plus pressante. Elle voulait caresser ce membre. En éprouver la taille. La longueur. Son élasticité. Le sentir palpiter. Et se dérouler entre ses doigts fébriles.
Elle voulait le sentir durcir dans sa bouche. Mais Mel se tenait droite. Regardant fixement devant elle. Comme si cela se passait en dehors d’elle.
Elle branlait un mec dans un bus. Tout ça sur le trajet du travail.
Dans ce même bus, certains lisaient, discutaient. Dormaient. Dans l’espoir de prolonger le confort du lit, rentabiliser le temps.
Mais dans quel état il la mettait..
Car il avait réussi à isoler Mel de ce monde. Elle ne percevait plus que le ronflement régulier du chauffage soufflant son air chaud sur ses mollets, et le sang qui affluait à ses tempes.
La queue de son voisin de siège avait durci sous la pression de ses mains. Elle était même carrément dure. Et l’érection franche du jeune homme excitait terriblement la jeune femme.
Mel sentait son cœur qui battait à tout rompre dans sa cage thoracique. Elle se retenait de se pencher pour lécher le tissu rigide du vêtement. Le frottement de la matière, et cette chair chaude juste en dessous, l’affolaient. Elle se sentait saliver.
Elle tenta agacée d’ouvrir un bouton. N’en pouvant plus. Elle n'irai pas jusqu’à le sucer là ainsi, mais elle voulait le toucher. Prendre son membre entre les doigts de sa main. Faire coulisser sa peau, dégager son gland.
Il comprit son besoin impérieux. Et malgré le fait qu’il soit côté couloir, il n’hésita pas un instant. Son manteau entrouvert, il ouvrit son pantalon d’une main. L autre ayant retrouvé sa place sur la cuisse de la jeune femme.
Cette fois-ci Mel décida que le plaisir devait être mutuel.
En plus de l’excitation que lui procurait cette chair douce et chaude au creux de la main, elle voulait la caresse de ses doigts à lui.
Qu'il rejoue sa partition sur les plis de sa chatte. Ouvre grand les lèvres humides de son sexe. En caresses appuyées sur son clitoris. Elle voulait qu’il la fasse jouir.
Une fois sa queue libre de toutes contraintes, Mel pu en apprécier la vigueur.
Elle fit sa main remonter et descendre en douceur.
Et dans l’obscurité du bus, elle laissa ses doigts se repaître de la chaleur de cette queue raide et gonflée.
Sous son pouce, la fragilité et l’humidité de son gland.
Dans la paume de sa main, les tressaillements de son membre dressé.
Mel s’humecta les lèvres. Une envie sourde au ventre de se pencher, et de l’engloutir.
Prudente, elle glissa deux doigts entre ses lèvres pour les mouiller, puis trop gourmande, enfonça carrément la main.
Elle lécha ses doigts généreusement. Sans se presser. Lui la fouillait de plus en plus fort.
Ses mains avaient écartées son collant. Ses doigts glissaient entre les lèvres de sa chatte. Parfois s'enfonçaient dans son trou devenu gluant de sève.
Malgré l’excitation, elle ne put s’empêcher de craindre qu’ils ne soient surpris.
Mel prenait l’odeur de sa chatte qui montait. Entendait le bruit de succion de ses doigts lorsqu’il s’enfonçait en elle. La jeune femme était mortifiée . Mais incapable de se contenir. Ou d’arrêter.
Mel jugea que sa main était assez mouillée pour le faire glisser en douceur entre ses doigts.
Elle passa d’abord le pouce sur son gland. En éprouva la douceur. Elle sentit le bassin de son partenaire se tendre d’un coup sous la caresse. Elle continua les ronds concentriques jusqu’à le faire mouiller lui aussi.
Elle avait tellement envie de le sucer. Recueillir cette première goutte du bout de la langue.
Fallait qu’ils se retiennent tous deux. Elle voulait que ça dure.
Mel sentait la chaleur de leurs deux corps. Leurs odeurs qui se mêlaient. Ils s’empêchaient encore de se regarder. De se tourner l'un vers l’autre. Deux inconnus qui partagent côte à côte la même banquette de bus.
Quand son partenaire de jeux décida qu’ils iraient encore plus loin.
« Je veux te baiser. Ici tout de suite. T’es tellement ouverte…tu m’excites trop"
La baiser ?! Paniquée Mel ne su que faire, ni dire.
« Lève un peu ton cul de salope. Ne t inquiète pas. Je veille. Personne ne s'occupe de nous. »
Mel, devenue chaude et docile, souleva les pans de son manteau. Glissa jupe et collants jusqu’à mi-cuisses.
Se retrouvant ainsi, chatte et culs offerts sous son manteau.
Il ne se fit pas prier. La minute suivante Mel se sentit envahie par deux doigts durs et épais.
Il avait passé ses mains dans son dos. Mel se trouvait maintenant assise sur son bras. Pas d’autres choix que de s’empaler sur les doigts fichés en elle.
Mel se retenait de ne pas se mouvoir sur cette main qui la fouillait franchement.
Avec les va et vient, son poignet et son bras frottaient le sillon de ses fesses.
Mel sentait son anus s'ouvrir. L'anneau se gonfler de sang.
Encore une fois , soit il lu dans ses pensées, soit c'est son traître de corps qui appela trop fort à cette caresse.
La jeune femme sentit qu’il lui enfonçait le pouce dans le cul.
Et à son corps défendant, elle s'empala un peu plus loin, plus fort.
Les doigts de son voisin de trajet la ravageait.
C’était trop bon.
Mel n'avait pas lâché la queue raide de son partenaire. Et dans des mouvements parfois désordonnés, elle faisait coulisser son membre entre ses doigts. Sa queue devenue aussi brûlante que son intérieur à elle.
Mel se sentait devenir folle…Elle aurait voulu se pencher en avant. Tendre son cul. Offrir ses trous à cette main, jusqu’au poing.
La tête entre les chevilles. Sa bouche ouverte dans une symphonie de cris.
Entre ça, et toutes les sensations qui la traversaient , Mel ne savait plus où donner de la tête.
Elle se laissait faire. Comme une heureuse poupée de chiffons.
Et ne se retenait plus de jouir. Les dents serrées. La tête en feu, et en plein délire.
La jouissance l’avait prise quelques secondes après avoir eu son cul écartelé.
Les yeux fermés, des spasmes parcourant le creux de ses reins, et la peau nue de ses fesses.
Faisant se contracter la chatte. Mel ne savait plus si le nombre de doigts qui la fouillait était le même. Mais il s’enfonçait toujours plus profondément. Chatte et cul, sans se lasser.
Et Mel s'accrochait à sa queue pour ne pas chavirer.
Il se pencha vers elle et lui chuchota à l’oreille :
« T’arrêtes pas de mouiller. Même ton cul est grand ouvert.
J’ai tellement envie de te remplir.
T as de la chance que l'on soit dans ce putain de bus. Sinon tu serai déjà sur ma queue petite salope »
Et sur ces mots, il reprit ses attouchements de plus belle.
« Je veux que t’écartes les cuisses pour moi. Tu vas me faire juter. Et je veux jouir sur ton corps de pute. Ecarte encore…et colle au maximum ta jambe contre moi.
Je vais t’en mettre partout salope ! Dis tu veux bien ?! »
Et alors que sa main s’était extraite de son cul pour passer devant entre les cuisses de la jeune femme, Mel s’exécuta sans dire un mot.
Certes, elle s’inquiétait de son aspect par la suite. Mais sur le coup, la situation était bien trop excitante pour qu’elle puisse se réfréner.
Elle pressa sa queue un peu plus. Se concentra sur le souffle du jeune homme devenu court, et le regarda enfin.
Se tournant légèrement vers lui, elle colla sa cuisse sur la sienne, ouvrant largement ses jambes nues. Seule la culotte enroulée autour de ses genoux l’empêchaient de les ouvrir plus.
Elle voulait qu’il la souille. Qu'il l’inonde. Elle soutint son regard. La bouche entrouverte.
Accentuant la masturbation de son sexe tendu, jusqu’à le sentir se répandre sur ses doigts. Des jets chauds arrivant jusqu’à l’intérieur de ses cuisses.
Mel eut l’envie brutale de se pencher pour gober les premières gouttes. Lécher les filets de sperme sur sa main. Accueillir chaque jet sur sa langue. Ou directement au fond de sa gorge.
Mais elle ne le connaissait pas. Là encore elle se tempéra. Peut-être pour une prochaine fois.
Mel le laissa reprendre son souffle. Il s’avachit dans le fauteuil, la nuque renversée.
Machinalement, Mel continua à le caresser, entre ses doigts devenus collants.
Elle joua avec sa queue qui montrait les premiers signes de repli .
Il se tourna alors vers elle. Lui sourit. Passa une main encore brûlante sur ses cuisses entrouvertes et souillées.
« Tu m as excité dès la première fois…si j'avais su que ca serait aussi bon, j aurais bandé dans mon jean direct.
Et t arrête pas…j’aime bien quand tu t'occupes de ma queue. Et je crois qu'elle aussi t'aime bien ! «
Humm…t’es tellement belle. Encore plus les cuisses ouvertes et pleine de mon foutre.
Dis…ils sont opaques tes collants…ça te dirait de les remettre sans te nettoyer.
Je veux penser à toi ainsi toute la journée »
Il grognait un flot de paroles à l’oreille de la jeune femme tout en étalant le sperme tiède sur ses cuisses.
Mel sentait sa queue reprendre vigueur entre ses mains. Les doigts de la jeune femme agglutinés à ses chairs. Elle sentait le membre palpiter et frémir.
Mel avait envie de consentir à sa demande. C’était insensé. Et risqué, car il ne se connaissait pas. Mais elle avait envie de jouer. Et ce genre de jeux répondait à ses envies les plus perverses.
Elle le fixa du regard et remonta sa culotte, puis les collants. Le tissu adhérait à ses cuisses. Et la variation entre les zones sèches et humides rajouta à son trouble.
Elle était folle de faire ça … ses vêtements étaient maintenant définitivement souillés, et elle ne savait pas si ça se remarquerait. Déjà à la descente du bus.
Loin de se douter de toutes ces prises tardives de conscience, il la regardait le regard illuminé, comme fou. Et prêt à la baiser là dans le bus.
Tourné vers elle, il lui pinçait la pointe des seins. Glissait fiévreusement l’autre main entre ses cuisses.
La palpait frénétiquement, comme si il la touchait après une longue attente.
Mel se sentait à nouveau partir. Incandescente.
Il s’était approché d'elle, ne se retenant plus de la presser, de la coller à lui.
« Tu m’excites trop… » soufflait -il dans sa nuque.
Ses mains pressant de plus en plus fort sa poitrine. Roulant presque brutalement la pointe de ses seins entre ses doigts. Cherchant fébrilement à dénuder sa poitrine.
Il tira sur les vêtements de la jeune femme. Souleva sans peine un pan de son tee-shirt et prit la pointe dénudée de son sein gauche dans la bouche.
Mel n’y tenant plus, pressa la tête du jeune homme plus fort contre elle. La gorge renversée. Totalement livrée aux envies de ce presqu’inconnu.
Et comme à la dérive lui aussi, a****l, il aspirait et tétait. Grognant de plaisir, mordant à pleines dents ses globes de chairs. Ses mains triturant sans répit sa poitrine à vif.
La jouissance arriva sans crier gare. Et c’est le point serré sur la bouche qu’elle étouffa ses cris de plaisir.
Le jeune homme était maintenant carrément couché sur elle. L’enfoncant contre la paroi glacée et moite.
Elle le sentait se branler contre sa cuisse. Son ventre.
Il se branla sur elle ainsi quelques minutes. L’abreuvant de mots crus et d’insultes bien choisies.
Et dans le creux de son oreille. Le visage plaque contre la vitre du bus, Mel se laissa utiliser en vide couilles docile et servile.
« T’es trop bonne..une vraie salope qu s’ignore. Une pute à baiser tous les matins. Une bonne vide couilles.. »
Mel encore hagarde, dans son brouillard de sensations et de chairs repues, se fit plus molle, plus douce, plus chaude, afin qu’il lui jouisse encore dessus.
Elle sentit un long jet chaud lui taper sur le ventre..il avait levé son tee-shirt, et se regardait juter sur son corps offert.
Quelques gouttes éclaboussèrent ses seins.
Elle sentait son foutre s’écouler attiré par la gravité.
Il avait été moins généreux en sperme cette fois ci, mais l’avait définitivement souillée.
Il replaca presque délicatement ses vêtements par-dessus. Le tissu adhérant de suite aux coulures de sperme.
Il l’aida à se redresser…Boutonna son manteau. Caressant au passage tantôt son visage, tantôt l arrête de son poignet. Ou le pli de son genou..
Mel se laissa faire tout le long. En poupée de porcelaine. Quand il se cala enfin sur son siège, la tête penchée vers elle, Mel reprit ses esprits.
Mon dieu…que c’était t-il passé ?!
Était ce allé au si loin ?? Au point qu’elle ne soit plus sure de son état physique et vestimentaire !
Mel était mortifiée.
Et encore une fois, comme si sa consternation se lisait sur son visage, il prit son portable et les éclaira discrètement.
Et passant le faisceau de lumière sur leur tenue respective il tenta de la rassurer sur son aspect.
Ils se fixèrent du regard enfin tous deux pour la première fois depuis le début du trajet.
Son regard chaud, était franc et doux.
Mel parti dans un fou rire libérateur.
Au fond elle savait qu’elle passerait une bonne journée..
Après tout, on a toujours le cœur et l’esprit plus légers après avoir joui.
2 jaar geleden
Je n'ai pas pu m'empêcher de la relire cette fois isolé pour en jouir une seconde fois librement