Martine, ma cousine. Chapitre 1 Préliminaires

Lorsque nous étions jeunes, je passais toutes mes vacances, de Pâques, d’été, de Noël et jour de l’an, dans la ferme familiale de mes parents qui continuait d’être exploitée par ma tante, Geneviève, mère de Martine et son mari Jules. Très jeune ma cousine était déjà attirée par le sexe et nous trouvions toujours des jeux pour apercevoir le sexe de l’un et de l’autre.

Quand elle allait faire pipi dans l’espèce de cabanon dans le jardin avec sa porte qui avait un trou d’aération – en forme de cœur –, elle relevait bien sa jupe jusqu'à sa taille pour s’asseoir sur le trou découpé dans l’assise en bois et elle écartait bien les cuisses pour faire pipi. Mais avant d’aller dans ces toilettes archaïques des campagnes, elle s’assurait bien que je la voie partir en m’adressant un sourire coquin.

Je la suivais discrètement et quand elle voyait mon œil apparaître dans la lucarne, elle commençait seulement à faire pipi.

Son jeu préféré, c’était de jouer au docteur. Elle se plaignait d’avoir mal au ventre et je devais l’ausculter pour savoir où elle avait vraiment mal.

Pendant que ses parents étaient aux champs, nous allions dans sa chambre et, allongée sur son lit, avec juste une petite robe légère quand on était en été, elle attendait le diagnostic du docteur. Moi, jeune étudiant en médecine – c’est ce que nous imaginions pour faire plus vrai et plus vieux –, je palpais son ventre, je tapotais en demandant :

« Si vous sentez un point sensible, vous me le dites ! »

Puis, je faisais semblant de réfléchir et elle me demandait :

« Vous croyez que c’est grave, docteur ?
– Il faudrait que je vous ausculte plus profondément, chère Madame. Pouvez-vous, vous déshabiller ?
– Bien sûr docteur, si c’est nécessaire ! »

Et ma petite cousine apparaissait nue sous mes yeux, juste en petite culotte. Elle avait déjà une petite poitrine qui promettait pour plus tard et je commençais par prendre ses seins dans mes mains en demandant :

« Pas de douleur par-là ?
– Non pas trop, juste un peu sur les bouts quand ils frottent sur le tissu de ma robe ! »

Naturellement, je prenais entre mais doigts ses petits tétons roses et je les titillais doucement.

« C’est sensible ?
– Ouiiii, un peu…
– Je vais te mettre de la crème calmante ! »

Et je mettais de la crème Nivea sur mes doigts pour masser consciencieusement sa poitrine et ses tétons déjà d’une belle taille. Ma cousine adorait qu’on lui touche ses seins et elle poussait des soupirs sous mes caresses.

« Ça fait du bien, Docteur, mais c’est surtout dans le bas de mon ventre que j’ai mal ! »

Je glissais ma main sur son ventre pour faire quelques palpations et elle ajoutait :

« C’est plus bas, Docteur ! »

Mes doigts se faufilaient sous l’élastique de son slip et je massais son pubis recouvert d’un fin duvet pour finir avec un doigt dans sa fente qui s’humidifiait.

Ma cousine soulevait même son cul pour mieux sentir mon doigt qui plongeait dans sa chatte.

« Il me semble que vous avez de la fièvre, Mademoiselle, je dois prendre votre température…, retirez votre culotte ! »

Et c’est ce qu’elle faisait en soulevant ses adorables petites fesses pour, ensuite, rester les genoux relevés et les cuisses écartées.

Moi je bandais vachement, mais comme elle ne voulait pas que je mette mon zizi dans le sien, je me contentais d’admirer sa chatte si jolie et son trou du cul en forme de bourgeon de fleur, tout en caressant ma bite avec une de mes mains dans mon pantalon.

Pour prendre sa température, je mettais de la crème sur son trou du cul et ensuite je poussais un de mes doigts dedans.

Puis, comme elle me l’avait appris, je bougeais mon doigt dans son cul en même temps que je caressais l’entrée de sa chatte avec mon pouce.
Je n’oubliais pas de m’attarder sur l’excroissance qui se situait en haut de sa fente, car c’était un de ses points les plus sensibles.

Je la doigtais comme ça jusqu'à ce qu’elle me dise d’arrêter après avoir eu plein de frissons dans son corps. Encore naïf sur beaucoup de choses sur le sexe, je ne savais pas qu’elle avait des petits orgasmes de plaisir, mais à chaque fois elle m’embrassait en me disant :

« Merci, Docteur, ça va beaucoup mieux ! »

Par la suite, entre ses 15 et 16 ans, elle est devenue beaucoup plus vicieuse. Elle espionnait ses parents lorsqu’ils faisaient l’amour et elle a commencé à sucer ma bite, comme elle avait vu que sa mère faisait à son père. Et elle aimait ça, ma cousine, à tel point que je ne devais plus mettre de slip pour que ma bite soit plus rapidement accessible. En contrepartie j’avais obtenu, qu’elle aussi, ne porte pas de slip ce qui me permettait de lui toucher sa chatte lorsque l’occasion se présentait.

Ce qui était formidable, c’est qu’elle avalait tout mon jus quand j’éjaculais dans sa bouche car elle adorait le sperme, comme toute future salope qui se respecte. En plus, elle avait entendu sa mère dire :

« C’est bon pour la santé et le teint…, et c’est plein de vitamines ! »

Une fois, au cinéma, elle ouvert ma braguette pour branler ma bite tout en regardant le film. Elle était placée entre moi et un copain et, heureusement, que nous étions au dernier rang. Mon pote c’est bien vite rendu compte qu’elle avait sa main sur ma queue et il a pris son autre main pour qu’elle fasse pareil avec son sexe qu’il avait sorti de son short.

Au bout d’un moment, j’ai eu une idée vicelarde et je lui ai dit dans le creux de son oreille :

« Suce-lui sa bite, ce sera une première pour lui ! »

Rien que de penser qu’elle sera la première à lui faire ça, ma cochonne de cousine a lâché ma queue et elle s’est penchée vers mon copain pour lui faire une pipe.

Mon pote a poussé un grognement et il a fini par mettre ses mains sur sa tête pour la maintenir sur sa bite quand, en serrant des dents pour ne pas crier, il a joui dans sa bouche. Elle s’est redressée en léchant ses lèvres, puis ses doigts et elle m’a murmuré dans l’oreille :

« Je préfère ton jus, Bernard, il est plus crémeux, moins liquide !
– Alors, ne te gêne pas, cousine, ma queue attend ta bouche et ta langue ! »

Et elle recommencé avec moi sous les yeux de mon pote qui avait passé sa main sous sa robe pour lui peloter les fesses et sûrement autre chose, car j’ai bien senti la main de ma cousine se crisper sur ma queue lorsqu’elle a eu un orgasme avant de replonger dessus pour me finir, en prenant soin de tout avaler.

Du coup mon pote ne nous quittait plus, afin de pouvoir, lui aussi, bénéficier des perversités de ma cousine. Et dieu sait qu’elle était perverse ! Quand Rémy et moi avions envie de se faire sucer, il fallait que l’un de nous lui suce sa chatte en doigtant son cul pendant qu’elle faisait une pipe à l’autre. Ma cousine, jouissant assez rapidement, elle prenait son pied à chaque fois que l’un d’entre nous lui crachait son sperme dans sa bouche.

Un été, juste avant que je ne rentre chez moi j’ai eu droit à un cadeau d’adieu merveilleux.
Un après-midi, elle m’entraîne dans les bottes de foin entreposées dans la grange ou nous avions aménagé un coin avec une couverture.

« Bernard ! Si tu savais ce que j’ai vu !
– Quoi ? Qu’est-ce que tu as vu ?
– Après le repas mon père est parti avec le tracteur dans les champs et maman m’a dit : « Chérie, je vais faire une petite sieste, je suis fatiguée ! Et ne me dérange pas ! Va donc faire un tour en vélo, ça te fera de l’exercice ! »

« Je suis allée préparer mon vélo et juste avant de partir te rejoindre, j’ai vu mon oncle Georges qui entrait dans la maison ! J’ai couru derrière lui pour lui dire que maman faisait sa sieste et qu’il ne fallait pas la déranger, mais quand je suis entrée dans la maison, je ne l’ai pas vu !
..Par contre, j’entendais parler dans la chambre de maman. Je me suis approchée de l’escalier qui longe le côté de sa chambre pour regarder par la fente qui est dans la cloison ! Tu ne vas croire ce que j’ai vu ?
– Quoi ? Qu’est-ce que tu as vu ?
– Ma mère et mon oncle !
– Et alors, ils s’engueulaient ?
– Pas tout ! Maman se faisait prendre comme une vache !
– Non… !
– Si ! Elle était à quatre pattes sur le lit, sa robe au-dessus de ses hanches, le cul en l’air et tonton avait déjà sa bite dans sa chatte !
– Putain ! Ton oncle baise ta mère ! Ce n’est pas vrai !
– Si ! Et il y allait de bon cœur et maman criait presque « Vas- y plus fort ! Ouiiiiiiii, comme ça ! Encore ! »
.. Elle n’arrêtait pas de gémir et tonton lui disait :
« Tiens salope ! Prends ça dans ton cul ! Putain que t’es bonne ! »
– Ben ça, alors ! Ta mère avec tonton Georges !
– Oui, mais attends, ce n’est pas ça le plus beau !
– Quoi ?
– Ben, quand tonton lui a dit : « Marie, t’as un cul du tonnerre de Dieu ! Juste à la dimension de ma bite et je te sens beaucoup mieux que dans ta chatte. Je vais t’arroser tes entrailles ! »
.. J’ai compris qu’il avait sa queue dans son trou du cul !
– Merde ! Dans son petit trou !
– Oui Bernard ! Il enculait maman ! Et elle aimait ça ! Et elle en redemandait ! »

Elle me donna encore quelques détails croustillants, tout en branlant ma bite qu’elle avait sortie de mon short. Puis, à ma grande surprise elle me demanda :

« Bernard…, tu veux bien essayer de faire comme tonton Georges… ?
– Hein ! Tu…, tu veux que je mette ma bite dans ton cul ?
– Oui, c’est ça ! Je veux voir si c’est aussi bon que ce que j’ai vu ! En tout cas, maman aime vachement ça ! »

Deux minutes plus tard, elle avait son cul en l’air comme sa mère et elle me dit :

« Vas- y, Bernard ! Encule-moi comme maman ! »

Je posai le bout de ma bite sur sa rosace étoilée et je poussai. Mais je n’arrivais pas à ouvrir son petit trou.

« Martine, ça ne rentre pas ! Ton cul est trop petit !
– Mets ton doigt dans ma chatte, mouille-le bien et ensuite mets-le dans mon cul ! »

Je fis ce qu’elle me dit et, en effet, comme quand on jouait au docteur, je glissai facilement mon doigt dans son petit trou.

« Élargis-le, en tournant ton doigt ! »

Comme d’habitude, elle savait ce qu’il fallait faire et quelques minutes après, elle avait son trou du cul qui s’entrouvrait en palpitant.

Je repris ma bite en main et "paf", je l’enculai d’un seul coup !

« Waouh ! Doucement ! Merde, ça fait mal ! Ne bouge plus ! Attends un peu ! »

Je restai enfoncé dans le cul de ma cousine un instant, puis elle commença à bouger son cul tout doucement.

« Aaahh, ça va mieux ! Mais, putain, je la sens vachement, ta queue ! Vas-y, commence à me baiser le cul. Mais va doucement ! »

C’était sublime ! Son petit cul enserrait toute ma bite merveilleusement. Je commençai à aller-venir dans son boyau.

« C’est vachement bon ! Et toi, Méline…, qu’est-ce que ça te fait ?
– C’est un peu bizarre, mais continue…, je ressens de drôles de sensations ! »

Je continuais de lui baiser son cul en enfonçant ma queue le plus loin possible et elle soupirait :

« Huuumm, c’est bon de sentir ton sexe qui glisse en moi ! Ooohh, ouiiiii, je la sens bien ta bite ! Je vais fouiller ma chatte en même temps, comme maman ! »

Elle fourra ses doigts dans sa moule et cria.

« Ooohh, putain…, je sens ta bite sur le bout de mes doigts ! C’est dingue !
– Moi aussi ! Et je vais jour ! Dans ton cul !
– Non ! Pas tout de suite ! Attends un peu, mais va plus vite ! »

Je lui pilonnais à toute vitesse son petit trou du cul et quand elle cria :

« AAAAaahh, Bernard ! Je jouiiiisssss… ! »

J’en fis autant et je vidai mes couilles dans ses entrailles.

Nous reprîmes notre respiration et ma cousine me dit :

« J’n’ai jamais joui aussi fort ! Voilà pourquoi maman gueulait aussi fort quand tonton Georges lui défonçait son cul avec sa grosse bite ! Et crois-moi, elle est grosse ! »

J'adorais ma cousine et ce n'était qu'un début. On n'avait pas fini de s'amuser avec elle.
Gepubliceerd door wolfie91
3 jaar geleden
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aguadulce42
aguadulce42 11 maanden geleden
superbe récit....très excitant et très touchant en même temps....belle coquine la cousine!!
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wolfie91
wolfie91 Uitgever 1 jaar geleden
C'est gentil j'en ai plein d'autres pourquoi ne serions nous pas amis?
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aerosm
aerosm 2 jaar geleden
Hummmm une belle salope !
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davidtoulouse
davidtoulouse 3 jaar geleden
ce texte ( super bien écrit ) me rappel de tres bon souvenirs !!
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chiefconsultant
chiefconsultant 3 jaar geleden
Wonderful and fun story, I love it.
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