L'initiation de Lola (1)
Bonjour, je suis Lola, la fille de Caro et Ber que vous connaissez déjà bien de par les récits de leur vie. Nous avons décidé que ce serait moi qui vous raconterais mon évolution dont vous avez eu les résultats dans certains épisodes de ses histoires. Ma mère m'a un peu aidée car elle a un peu plus l'habitude d'écrire.
Comme ma mère vous l'a déjà dit, j'ai l'habitude du naturisme depuis ma naissance. Non seulement j'ai toujours vu les membres de ma famille et leurs amis totalement nus, mais aussi qu'ils soient épilés. Surtout que jusqu'à un certain âge, je n'avais pas de poils moi non plus.
Je savais déjà par notre mode de vie qu'il y avait des différences notables entre les hommes et les femmes, que ce soit les seins comme ce qu'ils avaient en bas du ventre. Je n'ai donc rien appris à ce niveau dans les cours sommaires d'éducation sexuelle qui nous ont été prodigués en CM2 puis au collège. Mais mes parents m'avaient bien fait comprendre depuis longtemps qu'il ne fallait pas trop en parler en dehors de la maison car certaines personnes voient ça d'un mauvais œil pour diverses raisons.
Forte de ce savoir, je n'ai pas eu de surprise à l'arrivée de ma puberté. Règles, poussée des seins et des poils, etc. Comme nous avons une bonne liberté d'expression entre nous, j'ai demandé des explications un peu plus poussées que celles scolaires sur la sexualité à ma mère et à mon père.
C'est donc tout naturellement que je leur ai demandé de me montrer certaines choses. Par exemple elle a bien voulu me montrer tous les détails de son anatomie intime et j'ai pu voir un clitoris autrement qu'en planche anatomique. De même à ma demande pour un sexe en érection et décalotté. Celui de mon père est assez imposant, mais je ne le savais pas à l'époque car c'était le premier que je voyais dans cet état, tous ceux que j'avais l'occasion régulière de voir à la maison étaient toujours au repos.
Et puis j'ai eu des premiers émois et j'ai commencé à me caresser les parties sensibles, sous la douche ou le soir dans ma chambre. Récemment, peu après mes 16 ans, j'ai fini par en parler à ma mère et elle m'a dit que c'était tout à fait normal, et qu'elle aussi le faisait encore parfois. Comme nous étions seules sur le canapé du salon car mon père était absent plusieurs jours pour son travail, elle m'a proposé d'en profiter pour le faire ensemble.
Elle a commencé en me montrant comment bien caresser les seins et faire durcir les bouts entre les doigts. Ça m'a fait tout drôle de voir ses tétons se dresser sous cette manipulation comme ça m'arrivait quand je le faisais dans ma chambre sur les miens, qui soit dit en passant étaient déjà un peu plus volumineux que les siens, Je n'ai donc pas hésité à faire comme elle côte-à-côte. Tout ça m'a bien excitée et j'ai bien regardé quand elle est passée à la suite. Elle m'a expliqué comment bien lubrifier ses doigts en les passant sur sa fente avant de s'en servir sur le clitoris dans un mouvement tournant.
Evidemment, j'en ai fait de même, heureuse de ce moment de complicité familiale. Et c'est comme ça que nous nous sommes masturbées jusqu'à la jouissance. J'étais tellement partie que je n'ai pas retenu mes soupirs ni mon gémissement au moment de l'orgasme. Ma mère a été un peu plus longue à venir et elle a fait ça plus silencieusement. Je crois que je n'avais jamais eu un tel orgasme dans la salle de bains ou dans mon lit. Je pense que le fait de voir ma mère en pleine action y était certainement pour quelque chose.
Une fois calmées, nous en avons parlé et elle m'a promis que nous pourrions le faire plus souvent, puisque ça m'avait plu. Dans la discussion, elle m'a dit :
— Tu sais certainement que c'est pareil pour les hommes.
— Oui, on en a parlé brièvement à l'école. Que quand ils jouissent, c'est comme ça qu'ils éjaculent leur sperme pour féconder la femme.
— C'est ça. Et ton père est pareil que les autres.
— Dis, tu crois que je pourrais le voir faire ? Ce serait plus concret que les cours.
— On verra, si l'occasion se présente, pourquoi pas ?
Nous l'avons donc refait plusieurs fois, toujours juste toutes les deux. Et nous avons même poussé un peu plus loin, sur le canapé, puis sous la douche. A ma demande, alors que nous étions en train de nous savonner chacune de notre côté, elle m'a demandé de lui frotter le dos. Je m'en suis chargée d'abord tranquillement, puis comme je m'étais déjà bien tripotée partout et que ça m'avait mis dans un état d'excitation assez avancé, je suis descendue sur ses fesses que j'ai bien pétries.
Une fois terminé mon massage, elle s'est retournée et m'a prise dans ses bras. Nos seins se frottaient, bien glissants par le savon qui les couvraient et j'ai bien aimé cette sensation. Ses mains me caressaient le dos et une d'entre elles est descendue sur mes fesses. Elle ne s'est pas contentée de me les malaxer mais s'est insinuée dans mon sillon, me frottant l'anus au passage. J'ai adoré cette sensation et je lui ai rendu la pareille. Son autre main est passée entre nous et s'est occupée de mon clitoris. Je me suis laissée faire un moment pour bien en profiter, puis je suis venue lui faire la même chose et nous avons joui en chœur.
Ma mère a aussi suggéré à mon père de ne plus trop se gêner pour bander à sa guise étant donné que je l'ai déjà vu en pleine érection et que ça ne lui avait pas donné l'impression que ça me gênait moi non plus. C'était la vérité, et même j'attendais de revoir ça car ça m'avait bien plu, et même assez excitée. Il est donc arrivé plusieurs fois qu'il se retrouve devant moi avec la bite à l'horizontale et le gland à l'air sans qu'il n'y fasse plus attention vu que j'avais l'air de ne pas du tout m'en formaliser.
Et voici comment tout s'est déclenché.
Dimanche 24 mars 2013
Même s'il est encore un peu tôt dans la saison pour mettre en route la piscine, il fait maintenant assez chaud pour se faire bronzer sur la terrasse. Nous en profitons pleinement cet après-midi car le soleil est éclatant dans ce ciel sans nuages.
Mes parents sont installés confortablement dans des transats pendant que moi je suis allongée à plat-dos sur un matelas de bain sans trop prêter attention à eux. Tout est calme jusqu'au moment où ma mère lance à mon père assez fort pour que j'entende :
— Notre fille a de beaux seins maintenant, tu trouves pas ?
— Oui, c'est vrai qu'ils sont magnifiques, presque plus beaux que les tiens.
Ma mère rigole de cette pique et mon père la suit. Comme je me retourne sur le ventre, je demande comme d'habitude à ma mère :
— Dis, M'man, tu voudrais bien me passer la crème dans le dos, ce sera plus facile— Volontiers, ma chérie.
Elle m'enduit gentiment les épaules et le dos, allant largement sur les côtés pour effleurer la base de mes seins. Je ne dis rien car j'ai compris qu'elle veut me faire découvrir une nouvelle chose. Ses mains s'attardent sur le bas de mes reins, puis elle s'occupe généreusement de mes fesses avant de passer ses doigts au milieu. Comme elle me l'a déjà fait, je la laisse agir. Mais soudain je sens qu'un doigt insiste un peu plus sur mon œillet et le caresse ostensiblement comme elle me l'avait déjà fait sous la douche. Je tourne la tête vers elle, mais ce que je voit surtout c'est mon père qui est maintenant en pleine érection en nous regardant faire.
Ma mère s'en doutait certainement car elle se tourne vers lui et lui dit :
— Tu sais, Lola connait déjà bien la masturbation féminine, mais en en parlant l'autre jour, elle a dit qu'elle aimerait savoir à quoi ça ressemble pour un homme. Donc…
Il n'hésite pas trop et prend sa bite en main. Je me retourne donc un peu plus sur le côté pour mieux voir pendant que ma mère me titille toujours l'anus et que son autre main s'est emparée d'un de mes seins. C'est une chose d'avoir entendu parler de tout ça, c'en est une autre de le voir de près.
Il se branle un moment pendant que ma mère me fait plaisir entre mes fesses, de l'anus au clito. Comme ça dure un peu, elle me laisse en lui disant :
— Bon, on va pas y passer des heures, je vais t'aider.
Elle se place à genoux à côté de lui et prend le relais avec sa main. Je me redresse sur le matelas et m'assois face à ce spectacle nouveau pour en profiter au maximum. De voir ma mère aller et venir sur cette tige bien raide m'excite de plus en plus, surtout après les caresses qu'elle m'a prodiguées. Donc je n'hésite plus à me masturber moi aussi devant eux. Le résultat ne se fait pas trop attendre et j'assiste à ma première éjaculation.
Mon père retient un gros soupir et je vois une première giclée sortir puissamment de son engin et venir s'écraser sur le carrelage. Les autres giclées se succèdent de moins en moins fournies. Ma mère le libère et son sexe redescend lentement se reposer sur ses couilles. Pendant ce temps j'ai aussi joui, avec plus d'intensité que d'habitude mais j'ai fait attention de ne pas trop le manifester.
Puis nous reprenons notre séance de bronzette pour laisser passer ce moment spécial. Et il ne se passe plus rien jusqu'au soir. Une fois dans ma chambre je me branle en y repensant.
A suivre…
Comme ma mère vous l'a déjà dit, j'ai l'habitude du naturisme depuis ma naissance. Non seulement j'ai toujours vu les membres de ma famille et leurs amis totalement nus, mais aussi qu'ils soient épilés. Surtout que jusqu'à un certain âge, je n'avais pas de poils moi non plus.
Je savais déjà par notre mode de vie qu'il y avait des différences notables entre les hommes et les femmes, que ce soit les seins comme ce qu'ils avaient en bas du ventre. Je n'ai donc rien appris à ce niveau dans les cours sommaires d'éducation sexuelle qui nous ont été prodigués en CM2 puis au collège. Mais mes parents m'avaient bien fait comprendre depuis longtemps qu'il ne fallait pas trop en parler en dehors de la maison car certaines personnes voient ça d'un mauvais œil pour diverses raisons.
Forte de ce savoir, je n'ai pas eu de surprise à l'arrivée de ma puberté. Règles, poussée des seins et des poils, etc. Comme nous avons une bonne liberté d'expression entre nous, j'ai demandé des explications un peu plus poussées que celles scolaires sur la sexualité à ma mère et à mon père.
C'est donc tout naturellement que je leur ai demandé de me montrer certaines choses. Par exemple elle a bien voulu me montrer tous les détails de son anatomie intime et j'ai pu voir un clitoris autrement qu'en planche anatomique. De même à ma demande pour un sexe en érection et décalotté. Celui de mon père est assez imposant, mais je ne le savais pas à l'époque car c'était le premier que je voyais dans cet état, tous ceux que j'avais l'occasion régulière de voir à la maison étaient toujours au repos.
Et puis j'ai eu des premiers émois et j'ai commencé à me caresser les parties sensibles, sous la douche ou le soir dans ma chambre. Récemment, peu après mes 16 ans, j'ai fini par en parler à ma mère et elle m'a dit que c'était tout à fait normal, et qu'elle aussi le faisait encore parfois. Comme nous étions seules sur le canapé du salon car mon père était absent plusieurs jours pour son travail, elle m'a proposé d'en profiter pour le faire ensemble.
Elle a commencé en me montrant comment bien caresser les seins et faire durcir les bouts entre les doigts. Ça m'a fait tout drôle de voir ses tétons se dresser sous cette manipulation comme ça m'arrivait quand je le faisais dans ma chambre sur les miens, qui soit dit en passant étaient déjà un peu plus volumineux que les siens, Je n'ai donc pas hésité à faire comme elle côte-à-côte. Tout ça m'a bien excitée et j'ai bien regardé quand elle est passée à la suite. Elle m'a expliqué comment bien lubrifier ses doigts en les passant sur sa fente avant de s'en servir sur le clitoris dans un mouvement tournant.
Evidemment, j'en ai fait de même, heureuse de ce moment de complicité familiale. Et c'est comme ça que nous nous sommes masturbées jusqu'à la jouissance. J'étais tellement partie que je n'ai pas retenu mes soupirs ni mon gémissement au moment de l'orgasme. Ma mère a été un peu plus longue à venir et elle a fait ça plus silencieusement. Je crois que je n'avais jamais eu un tel orgasme dans la salle de bains ou dans mon lit. Je pense que le fait de voir ma mère en pleine action y était certainement pour quelque chose.
Une fois calmées, nous en avons parlé et elle m'a promis que nous pourrions le faire plus souvent, puisque ça m'avait plu. Dans la discussion, elle m'a dit :
— Tu sais certainement que c'est pareil pour les hommes.
— Oui, on en a parlé brièvement à l'école. Que quand ils jouissent, c'est comme ça qu'ils éjaculent leur sperme pour féconder la femme.
— C'est ça. Et ton père est pareil que les autres.
— Dis, tu crois que je pourrais le voir faire ? Ce serait plus concret que les cours.
— On verra, si l'occasion se présente, pourquoi pas ?
Nous l'avons donc refait plusieurs fois, toujours juste toutes les deux. Et nous avons même poussé un peu plus loin, sur le canapé, puis sous la douche. A ma demande, alors que nous étions en train de nous savonner chacune de notre côté, elle m'a demandé de lui frotter le dos. Je m'en suis chargée d'abord tranquillement, puis comme je m'étais déjà bien tripotée partout et que ça m'avait mis dans un état d'excitation assez avancé, je suis descendue sur ses fesses que j'ai bien pétries.
Une fois terminé mon massage, elle s'est retournée et m'a prise dans ses bras. Nos seins se frottaient, bien glissants par le savon qui les couvraient et j'ai bien aimé cette sensation. Ses mains me caressaient le dos et une d'entre elles est descendue sur mes fesses. Elle ne s'est pas contentée de me les malaxer mais s'est insinuée dans mon sillon, me frottant l'anus au passage. J'ai adoré cette sensation et je lui ai rendu la pareille. Son autre main est passée entre nous et s'est occupée de mon clitoris. Je me suis laissée faire un moment pour bien en profiter, puis je suis venue lui faire la même chose et nous avons joui en chœur.
Ma mère a aussi suggéré à mon père de ne plus trop se gêner pour bander à sa guise étant donné que je l'ai déjà vu en pleine érection et que ça ne lui avait pas donné l'impression que ça me gênait moi non plus. C'était la vérité, et même j'attendais de revoir ça car ça m'avait bien plu, et même assez excitée. Il est donc arrivé plusieurs fois qu'il se retrouve devant moi avec la bite à l'horizontale et le gland à l'air sans qu'il n'y fasse plus attention vu que j'avais l'air de ne pas du tout m'en formaliser.
Et voici comment tout s'est déclenché.
Dimanche 24 mars 2013
Même s'il est encore un peu tôt dans la saison pour mettre en route la piscine, il fait maintenant assez chaud pour se faire bronzer sur la terrasse. Nous en profitons pleinement cet après-midi car le soleil est éclatant dans ce ciel sans nuages.
Mes parents sont installés confortablement dans des transats pendant que moi je suis allongée à plat-dos sur un matelas de bain sans trop prêter attention à eux. Tout est calme jusqu'au moment où ma mère lance à mon père assez fort pour que j'entende :
— Notre fille a de beaux seins maintenant, tu trouves pas ?
— Oui, c'est vrai qu'ils sont magnifiques, presque plus beaux que les tiens.
Ma mère rigole de cette pique et mon père la suit. Comme je me retourne sur le ventre, je demande comme d'habitude à ma mère :
— Dis, M'man, tu voudrais bien me passer la crème dans le dos, ce sera plus facile— Volontiers, ma chérie.
Elle m'enduit gentiment les épaules et le dos, allant largement sur les côtés pour effleurer la base de mes seins. Je ne dis rien car j'ai compris qu'elle veut me faire découvrir une nouvelle chose. Ses mains s'attardent sur le bas de mes reins, puis elle s'occupe généreusement de mes fesses avant de passer ses doigts au milieu. Comme elle me l'a déjà fait, je la laisse agir. Mais soudain je sens qu'un doigt insiste un peu plus sur mon œillet et le caresse ostensiblement comme elle me l'avait déjà fait sous la douche. Je tourne la tête vers elle, mais ce que je voit surtout c'est mon père qui est maintenant en pleine érection en nous regardant faire.
Ma mère s'en doutait certainement car elle se tourne vers lui et lui dit :
— Tu sais, Lola connait déjà bien la masturbation féminine, mais en en parlant l'autre jour, elle a dit qu'elle aimerait savoir à quoi ça ressemble pour un homme. Donc…
Il n'hésite pas trop et prend sa bite en main. Je me retourne donc un peu plus sur le côté pour mieux voir pendant que ma mère me titille toujours l'anus et que son autre main s'est emparée d'un de mes seins. C'est une chose d'avoir entendu parler de tout ça, c'en est une autre de le voir de près.
Il se branle un moment pendant que ma mère me fait plaisir entre mes fesses, de l'anus au clito. Comme ça dure un peu, elle me laisse en lui disant :
— Bon, on va pas y passer des heures, je vais t'aider.
Elle se place à genoux à côté de lui et prend le relais avec sa main. Je me redresse sur le matelas et m'assois face à ce spectacle nouveau pour en profiter au maximum. De voir ma mère aller et venir sur cette tige bien raide m'excite de plus en plus, surtout après les caresses qu'elle m'a prodiguées. Donc je n'hésite plus à me masturber moi aussi devant eux. Le résultat ne se fait pas trop attendre et j'assiste à ma première éjaculation.
Mon père retient un gros soupir et je vois une première giclée sortir puissamment de son engin et venir s'écraser sur le carrelage. Les autres giclées se succèdent de moins en moins fournies. Ma mère le libère et son sexe redescend lentement se reposer sur ses couilles. Pendant ce temps j'ai aussi joui, avec plus d'intensité que d'habitude mais j'ai fait attention de ne pas trop le manifester.
Puis nous reprenons notre séance de bronzette pour laisser passer ce moment spécial. Et il ne se passe plus rien jusqu'au soir. Une fois dans ma chambre je me branle en y repensant.
A suivre…
9 bulan lalu
