Anne (partie 1)

Anne est une ex, avec qui j’ai vécu quelques petites années. Nous sommes en 1985, elle vient de l'Est de la France pour faire ses études de droit à la fac d’Aix, elle à 19 ans quand je la rencontre en boite de nuit, j’en ai 26, je travaillais à Marseille à cette époque.
Son père était originaire d’Aix, et elle logeait dans l’appartement (grand et agréable) de feu son grand-père, sur les hauteurs d’Aix.
Anne s’est vite révélée assez ouvertes aux différentes pratiques du sexe. Je l’ai faite progresser rapidement dans ce domaine, les premiers temps uniquement en duo : achats de lingerie, godes, baises en extérieur, dans les caves, … elle a vite pris goût à la pipe et la sodomie et les doubles pénétrations avec ma bite et des godes … elle a également très vite apprécié la vision de films pornos que nous regardions pour nous chauffer …
Elle est devenue sensible à un type de vidéos en particulier, les gang bangs dont on voyait alors les premières productions. La pluralité l’excitait. Elle se masturbait frénétiquement en regardant les filles se faire prendre à la chaîne. Elle est devenue accro à une vidéo en particulier « Savannah et 40 ». L’actrice était blonde comme elle, et elle s’est vite identifiée. J’ai multiplié les godes, pour lui donner l’impression d’avoir de multiples partenaires (longueurs, épaisseurs, couleurs différentes), ce qui nous a amené rapidement au triolisme avec moi participant, puis au triolisme passif pour moi (elle avec 2 hommes devant moi). J’ai pu monter la première de ces expériences à 3 + moi en passant une annonce dans la revue « swing », à l’insu d’Anne ; je recherchais 2 hommes complices pouvant nous recevoir. Dès la première parution, j’ai eu pas mal de retours. J’ai sélectionné deux hommes la trentaine. Rendez-vous fût pris un samedi après-midi. J’ai dit à Anne que nous allions faire un tour en voiture, et qu’il fallait qu’elle soit sexy. Ma demande n’avait rien pour la surprendre, nous le faisions assez souvent, nous partions et allions baiser soit dans la voiture, soit en extérieur. Elle s’est enfermée dans la salle de bains, douche, maquillage, et surtout, préparation rectale par un sain lavement à l’eau. Elle en ressortit, les cheveux attachés en queue de cheval, vêtue d’une guêpière noire et rouge, avec un haut pigeonnant, une mini culotte noire en dentelle (les strings étaient rares à l’époque), des bas tenus par des jarretelles, et assez fortement maquillée (elle aimait donner un côté outrancier à son maquillage pour mieux se lâcher, elle qui se maquillait très peu au quotidien – voir les photos). Elle a mis un manteau en peau retournée (c’était en automne, la température était un peu fraîche) et nous voilà partis pour Puyloubier, à une vingtaine de kilomètres d’Aix. En roulant, Anne assise sur une serviette éponge, pour protéger les sièges de ses écoulements », elle est partiellement exposée manteau ouvert, je pose ma main sur la cuisse d’Anne, et la chauffe en remontant sur sa culotte. Nous passons par les petites routes en évitant la nationale 7, afin de pouvoir s’arrêter dans des lieux tranquilles, ce que je fais un peu avant Puyloubier. On s’embrasse, je la caresse, elle masse ma bite, cela dure 5 à 10 minutes … et je lui dis, on va ailleurs … nous roulons, je lui prends la main et la dirige vers sa chatte pour qu’elle ne perde pas l’excitation … Puyloubier est désert, comme presque toujours à l’époque … je m’arrête et gare ma voiture sur le parking du village. Je lui dis « fermes ton manteau, on va un peu marcher ». Elle me regarde, un peu surprise, mais sans plus. Et nous marchons vers la maison de ville qui m’avait été indiquée par mon contact au téléphone. Je sonne, Anne ne comprends plus, un homme brun, les cheveux mi longs, assez grand, très mince nous ouvre. Moi « Bonjour, Anne et Marc, vous êtes Jean-Claude ? », il acquiesce et nous fait entrer et nous dirige vers l’étage. Une grande pièce qui fait office de séjour, avec un canapé et deux fauteuils, une table, une télé et un autre homme debout, plus petit, trapu brun également et barbu, portant des lunettes. Pas vraiment beau, mais athlétique ; il se présente, il se prénomme Marc, comme moi. Jean-Claude nous propose un verre, il a une bouteille de liqueur à la main. J’accepte, Anne hésite, n’ayant pas l’habitude de ce genre d’alcool. Elle ne comprend pas trop, nous sommes restés debout, sans rien se dire. Je prends le verre que me tends JC et le donne à Anne. « Vas-y, d’un coup, cul sec » elle boit d’un trait et fait la grimace. Nous sommes servis et faisons pareil. Je ressers Anne … « Allez, encore un » elle me regarde dans les yeux et bois … « c’est bien je savais que tu le ferais, voyons pour le reste … ». Je passe derrière elle et ouvre son manteau. Elle respire un grand coup. Nos deux nouveaux amis la regardent. JC ressert tous le monde. Anne prend son verre et le boit en regardant JC dans les yeux. Je m’écarte et me pose en retrait dans un des fauteuils. Marc s’approche d’elle. Il a des mains de paysan, épaisses, larges. Il prend les seins d’Anne, les malaxe et vient planter sa bouche contre celle d’Anne. JC passe derrière et l’embrasse dans le cou en lui palpant le cul. Elle se laisse faire. JC lui fait glisser la culotte aux chevilles, il la doigte, « Putain, elle est trempée ! », il se dépêche d’ouvrir son pantalon et sortir sa queue raide pour la frotter sur les fesses d’Anne. Il la fait se pencher et la plante dans sa moule. Anne est excitée, je le vois bien, elle se penche et déboucle la ceinture de Marc. Une belle bite noueuse surgit, qu’elle s’empresse de prendre en bouche. JC quitte ses vêtements tout en essayant de continuer à baiser la chatte d’Anne, qui me regarde avec la bite en bouche. Pour ma part, j’ai ouvert mon jean, la bite à la main, je me branle doucement. Anne se redresse, puis se retourne, elle offre maintenant sa chatte à Marc, et déguste la queue de JC, couverte de sa mouille.
Marc la pilonne, à la limite bestial, Anne adore, elle branle et suce JC. Il me demande de débarrasser la table basse, ce que je fais. Marc tire Anne et l’allonge sur la table, il prend ses jambes, et lui fait poser ses mollets sur ses épaules. Il reprend son pilonnage, mais en poussant les jambes d’Anne, il peut la baiser plus profondément. Elle tourne la tête pour att****r la bite de JC qui est venu se placer sur le côté. Il lui tient la tête par les cheveux. Ils sont endurants, ce que j’attendais d’eux. Je leur dit « allez, changez, elle aime quand on change de bite ». Ils se remplacent l’un l’autre. JC suit l’exemple de son copain et se met lui aussi à la piner sur un bon rythme. La poitrine d’Anne se gonfle, elle respire fort et l’orgasme arrive, assez violent. Je m’en mêle encore … JC dans cette position, tu peux lui prendre le cul, elle s’est préparée pour ça » elle se retourne vers moi et je lis dans ses yeux « pourquoi tu leur racontes tout ? » … JC ne se fait pas prier, il sort sa bite, prends de la mouille et de la salive, et pointe sur l’anus d’Anne. Marc se branle au-dessus du visage d’Anne, il lui jouit dessus, elle prend la bite et étale le sperme sur ses joues, sa bouche. Il embrasse Anne, il a besoin de faire une pause, il joue avec ses tétons. Je vois JC donner de petits coups de reins, il s’enfonce, Anne s’écarte les fesses, se cambre, il l’encule. Anne gémit et petit à petit, JC va plus vite, il fait couler de la salive sur sa bite pour mieux lubrifier. Anne se branle. Marc dont la bite s’est ramollie, se remet dans la bouche d’Anne qui le pompe avidement. D’où je suis, j’aperçois sa queue et la vois rendurcir. Je lui fais un signe pour qu’il échange avec son ami. Anne est prête pour prendre dans le cul la bite de Marc, bien plus grosse que celle de JC. Je la vois se tortiller pour la faire atteindre son rectum. Elle lèche le vier de JC qui sort de son cul. Lui aussi a visiblement envie de faire une pause. Il soulève sa queue pour se faire lécher les couilles, ce qu’Anne fait délicatement. Marc lui fait le cul comme il lui a fait la moule, mécaniquement, sur toute la longueur de sa tige. Je vois Anne grimacer, son sphincter doit chauffer. Elle lui demande de revenir dans sa chatte, elle a besoin de répit. Je me lève et m’approche. Je fais le tour, regarde, et écoute le clapotis que provoque la bite de Marc à chaque va-et-vient, je lui pose la question « elle mouille bien ? », il me sourit, je connaissais bien évidemment la réponse. Je tire sur un de ses tétons et demande à Anne, « Alors, elle sont bonnes ces queues ? » … elle me réponds par un « MMMMM OUUUiiiiiiiiiiiiiii » … Elle réclame « plus vite, je vais jouir » moi « tu en voudrai plus hein, petite salope ? » … elle remue la tête par l’affirmative … j’étire ses deux tétons … « réponds ! » … « OUUUiiiiiiiiii, j’en veux plus !!! », elle se cambre et lâche un cri de jouissance … Je la laisse reprendre sa respiration « Si tu en veux plus, alors je vais t’enculer, ça t’en fera trois » … Marc donne encore quelques grands coups, puis s’écarte, je badigeonne le trou d’Anne et ma bite avec la mouille qui coule, l’anus est souple, j’entre sans efforts. Je regarde Anne avec une queue de chaque côté de son visage, sa langue qui s’amuse avec les glands. Elle ne résiste pas, elle ‘s’enfonce des doigts dans la chatte, elle me regarde dans les yeux avec du défi j’y lis « vas-y, encules moi ». J’y vais, je lui ramone le cul, elle s’astique, et pompe alternativement les queues. Ils ont vu qu’elle aimait ça, alors ils prennent chacun un téton et le vrille, elle est trop excitée, elle jouit rapidement. Je ralentis, elle demande « laissez-moi respirer deux minutes ». On s’écarte, elle reprend sa respiration. « Tu veux qu’on arrête ? », elle me répond « non, prenez moi les uns après les autres », et se met à quatre pattes, je sais ce qu’elle veut, s’est sentir une bite sans savoir qui la lui met. Je fais signe à JC, il s’enfonce, la bourre littéralement pendant une dizaine de coups, puis sort et va se faire sucer, je prends le relai, je fais pareil un peu plus longtemps, puis au tour de Marc, que je remplace, puis c’est JC, … un bon quart d’heure à se succéder dans sa chatte et sa bouche, plus on alterne, plus elle râle, elle profite. JC qui s’était retenu de jouir n’en peut plus, il lui fout sa bite dans la bouche et lui dit « vides moi », Anne s’applique, la main serrée sur la tige, elle ne tarde pas à le faire cracher dans sa bouche, Marc et moi faisons encore quelques rotations, alors qu’elle garde JC en bouche. Marc me fait signe que lui aussi veut se finir dans la bouche d’Anne, il vient se faire vider, j’entends Anne prendre du plaisir à sucer sa queue et prendre son sperme, j’ai arrêté de la baiser, je la branle doucement. Nous reprenons nos esprits, tout le monde se rhabille, on échange quelques mots, puis nous prenons congé de nos « amis ». Sur le chemin du retour, Anne état trop excitée, il a fallu qu’elle se branle à nouveau. Moi j’ai attendu d’être rentré pour baiser Anne une dernière fois, et lui jouir dans la bouche comme nos « amis »

Nous avons recommencé avec eux deux, et d’autres, allant jusqu’à quatre intervenants en plus de moi, plus un passif, dont je te parlerai la prochaine fois …