Mes pensées de dominatrice travesti

J’ai commencé à dominer vers 30 ans. À cette époque, un moment de célibat m’a permis d’aller plus loin dans mes désirs de travestissement. Je possédais beaucoup de très jolies tenues et magnifiques chaussures et bottes, je passais du temps à me maquiller, je pouvais m’épiler intégralement, et je faisais 20kg de moins…. Lorsque je me préparais, je me faisais parfois bander moi-même dans la glace tant j’arrivais à un résultat de qualité.

Je rencontrais alors des hommes, souvent bien plus âgés, je me faisais baiser, je sortais me faire baiser. J’étais très attirée par les hommes dominateurs, mais déçue dans 99 % des cas. Entre les bourrins, ceux sans aucune imagination, ceux qui pensent que dominer se limite à frapper ou se faire sucer, je restais largement sur ma faim.

Puis un soir, alors que je recevais un homme, celui-ci me dit qu’il me trouvait sublime, qu’il voulait une femme comme moi, qu’il ferait n’importe quoi pour moi. Mon rôle de domina s’est alors réveillé tout naturellement.

Dominer pour amener du jeu dans le sexe.

Ce que j’aime dans le sexe, c’est le jeu, les situations ou l’excitation est palpable, les moments de désirs où l’on sait que l’on va devoir attendre afin d’obtenir satisfaction ou pas.
Il y a aussi cette admiration pour la gent féminine, cette excitation que provoque de suite chez moi une femme sexy. Et en retour, le sentiment de provoquer cela chez autrui quand j’excite moi-même mon partenaire quand je me travesti.

Avec cet homme, j’ai commencé à jouer, à lui imposer d’attendre ne serait-ce que pour poser ses lèvres sur l’intérieur de mes cuisses, à lui imposer des gages, des positions humiliantes pour voir jusqu’où il jouerait le jeu. Puis les rencontres de ce type se sont enchaînées. J’avais déjà très confiance en moi naturellement et je n’avais qu’à mettre au service de mon personnage mon caractère imaginatif et mon goût pour le sexe original.

S’intéresser à l’autre

Mon métier de l’époque m’avait depuis longtemps fait comprendre que c’est en questionnant, en étant attentive aux attitudes, aux réactions, que l’on en découvrait le plus sur autrui. J’appliquais cela pour dominer, pour explorer les perversions de mes sujets, les faire aller plus loin, les maintenir excités, les rendre amoureux… en ne leur donnant jamais tout ce qu’ils auraient souhaité.

Je suis de manière naturelle une personne saine, n’aimant pas l’injustice, plutôt agréable. Il est évident que ces traits de caractère influencent ma façon de dominer. Je ne suis pas une brute, je suis même plutôt sensuelle. J’amène plus mes partenaires à s’offrir d’eux-mêmes, ou à accéder à mes demandes, car ils souhaitent me faire plaisir de par mon attitude générale.

Le sexe en fil conducteur

Disons le franchement, je suis aussi une incroyable salope, j’aime le sexe, j’aime les bites, j’aime jouir analement, que ce soit en me faisant lécher, doigter, goder, baiser.
Ceci m’amène aussi à une domination très sexuelle, car tant qu’à faire, autant utiliser mon pouvoir sur mes soumis pour me procurer le plaisir que je souhaite moi-même. Je suis extrêmement vicieuse, et joueuse.


La diversité des attentes et possibilités

Au fil du temps, j’ai rencontré une multitude de personnes très différentes dans leurs désirs de soumission. Du coquin aimant avant tout être humilié, traité de manière hautaine par une déesse inaccessible. Au maso réel appréciant vraiment la douleur et en tirant beaucoup de plaisir (je sais, ceci peut paraître bizarre à certains, mais je vous assure que certains ne jouissent que comme cela, et d’ailleurs la jouissance par l’éjaculation n’est que rarement un but pour eux).

Entre les deux, la variété des profils de soumis est aussi indénombrable que le nombre d’individus.
J’ai même un soumis qui a passé une après-midi entière sous mon bureau à me lécher les pieds alors que je travaillais. La notion de soumission étant très cérébrale, chaque perversion se cache souvent dans les détails, même si de grands classiques restent très courus (sucer a 4 pattes entre mes cuisses, ramper à mes pieds, se faire fouetter, se faire goder, le facesitting, etc. restent de grands classiques).

Je remarque chez de nombreuses personnes cette envie d’essayer ce qu’ils ont vu. Cela va de la bougie sur la queue, à l’uro sur le corps, dans le cul, dans la bouche, le fist, être attaché et baisé, etc.

J’ai pour ma part une gentille affection pour les fétichistes des talons hauts et des jolis pieds vernis, l’étant moi-même. D’ailleurs, me faire correctement sucer les pieds par un véritable amoureux de la chose m’est devenu presque plus agréable que de me faire sucer la queue…

Mon attirance pour l’originalité et le lâcher prise

Évidemment, une jolie travesti très féminine ou une vraie jeune femme m’attireront naturellement, mais ce que j’aime avant tout ce sont les partenaires qui me demanderont des choses un peu originales, plus c’est hors des sentiers battus (et plus c’est pervers), plus j’aime.

J’aime aussi surtout les personnes qui se laissent totalement aller à leurs fantasmes. De gros poilus en collant m’on souvent bien plus excitée que des apollons, simplement car ils se lâchaient totalement, se laissaient porter par leurs fantasmes en les vivant à 100 %


La confiance ce paramètre indispensable

Lorsque je pratique des jeux d’étouffement, lorsque je fiste, lorsque que j’immobilise totalement quelqu’un qui s’offre sans défense, lorsque je joue du martinet ou de la cravache, la confiance est un point déterminant. Elle est totalement indispensable lorsque l’on avance dans des jeux moins communs, un peu plus limite que les classiques.

Cette confiance donnée apporte aussi une grande complicité, une intimité que j’apprécie particulièrement. J’ai des soumis réguliers qui d’ailleurs ont largement fait évoluer leurs pratiques, car ils savent que même si je les pousse tout naturellement à aller plus loin, je resterai raisonnable en fonction de leurs limites (pas facile de rentrer chez sa femme les fesses zébrées pour 8 jours même si on en a envie…).



Organiser et créer une ambiance

Croyez-le ou non, lorsque je fais baiser une salope dans une chambre d’hôtel par plusieurs mecs, le plus dur est de détendre ces messieurs pour qui la présence d’autres mâles est parfois dérangeante (eh oui, toujours l’histoire de celui qui aura la plus grosse). Tout comme un débutant devra souvent être relaxé et rassuré sur la normalité de sa démarche immorale lorsqu’il me rencontre.
Accueillir les gens, créer une ambiance est donc un incontournable pour un moment de perversité réussi qui laissera de bons souvenirs à toutes les parties.

Les dominants sont des frustrés

C’est ce que j’ai pu lire parfois. Les dominateurs seraient des frustrés manquant de confiance en eux. Dominer leur permettrait de contrer une peur de la castration (Freud inside).
C’est sans doute la cas de certains (notamment les bourrins dont je parlais initialement).

Pour moi la domination est surtout une occasion de laisser aller mon imagination sexuelle, de sortir des sentiers battus. Je n’ai absolument aucun problème à sucer un soumis si sa queue me plaît, j’adore offrir ma chatte aux soumis à belles queues pour les laisser baiser leur maîtresse. Si j’en ai envie, je ne vois vraiment pas pourquoi je me priverais alors que je dirige.
Et c’est justement pour cela que je dirige, pour varier les plaisirs, pour ne surtout pas rester enfermé dans du sexe à la papa/maman (je fais ça à la maison, c’est très bien, mais je cherche d’autres choses dans mes aventures extérieures).

Je ne me sens pas frustrée, mais plutôt avide de découvertes. Car pour être honnête, au fil des années, la variété des attentes de mes soumis(es) m’a beaucoup fait évoluer et progresser moi même.

Serais-je capable d’être soumise ?

Pourquoi pas ? Mais je place la barre assez haut. J’ai un caractère agréable, mais fort, le dernier dominateur qui m’a reçu a fini en buvant mon urine dans mes escarpins…

Pour me dominer, il faut savoir vraiment diriger, savoir être très attentif à mes attentes. Je suis sans doute capable d’être une véritable chienne et d’apporter beaucoup de plaisir sexuel à un dominant, mais il devra savoir créer cette ambiance, cette complicité, surtout être capable de me surprendre, provoquer chez moi l’envie de lui faire plaisir et d’accéder à toutes ses demandes sans broncher.

À ce jour, je n’ai jamais rencontré un tel individu, il faut dire que je suis aussi assez sapio-sexuelle pour ce type de relation.


Envie de subir mes caprices vicieux ?

Hummm, petit coquin…
Avec grand plaisir, recevez-moi, et lâchez-vous, laissez-vous aller dans les méandres de mes vices et de vos propres perversions. Mêlons-les pour vous faire vivre des moments intenses de plaisirs. Conjuguons nos fantasmes pour nous évader dans un monde lubrique ou vous me laisserez vous guider au-delà de vos envies coquines et cochonnes. Partageons nos jeux sans morale...


Maîtresse ALEX