Sexe sale

La route qui nous ramène chez nous est parfumée par les herbes des bas-côtés. Ça sent le thym, le romarin, l'origan…
Le soleil se couche. La nuit tombe. Une renarde profite de la chaleur restituée par l'asphalte. Elle est couchée sur le sol alors que ses quatre renardeaux chahutent autour d'elle. Nous passons un moment à les observer. Ils ne sont pas farouches. J'allume les phares, la renarde se lève et s'en va tranquillement suivi par sa petite troupe en désordre.
Nous avons passé une journée très agréable à visiter des jardins zen dans la région. Nous sommes plutôt détendus bien que concentrés encore sur les beautés que nous avons vues. Nous évoquons avec un sourire ce bonzaï taillé bizarrement en forme de bite en érection sous un certain angle. Ou ce coin de jardin ratissé proprement en forme de vulve, avec le clitoris. Est-ce qu'il ne faut pas être un peu vicieux pour voir des choses sexuelles dans ces lieux spirituels ? Ou bien les moines sont-ils autorisés à évoquer ces choses trop humaines ?
Nous sommes arrivés, nous rentrons à la maison. Je me sens bien dans cette petite maison avec toi. Nous l'avons bien arrangée, à notre image. Mais j'ai bien envie de vérifier tout de suite quelques choses que je t'ai demandées. J'hésite, pas par timidité, mais par crainte d'être déçu.
Ton sexe me donne à boire souvent — merci mon amour de me désaltérer à volonté et plus — mais maintenant j'ai envie qu'il me donne aussi à manger. J'en ai déjà eu un aperçu. Pour mettre toutes les chances de mon côté, j'ai élaboré une série de mesures que je t'ai demandé d'observer pour une fois et pour tester.
Ça fait plusieurs, cinq, jours que je t'ai demandé de ne plus te laver la chatte. Les seuls contact et changements d'état autorisés ne concernent que la masturbation que je t'encourage à pratiquer plus souvent encore et tes règles si elles surviennent. Oh, une tache de sang sur la culotte, c'est la cerise sur le gâteau. Mais il me semble que c'était il y a peu. Je ne sais pas si tu t'es pliée à cette requête, mais je m'en doute.
Bien que je sache que tu ne le fais pas systématiquement, je t'ai aussi prié de ne plus du tout essuyer ton sexe après avoir pissé. Il t'es permis aussi d'appuyer sur le fond de la culotte pour aider tes jus à l'imprégner.
J'ai insisté aussi pour que tu ne quittes plus ta culotte, que tu la portes en permanence même la nuit. Tu ne baisseras ta culotte que pour satisfaire tes besoins de pisser et de chier. Au passage, tu n'iras plus pisser au réveil, tu devras attendre que je sois réveillé et que je décide ce que tu vas en faire. Je crois que je vais commencer une collection de culottes pas propres. Oh et puis non. Ça voudrait dire que jamais plus ton sexe ne serait librement accessible. Quoique, ça ne m'empêcherait pas de conserver celles des autres femmes que je rencontrerais. Ça ne m'empêchera pas de conserver le temps des odeurs et des saveurs, celle que tu ôteras après quelques jours. Et surtout, si de ton sexe s'écoulent tes fluides, laisse-les couler, ne fait rien pour les empêcher, pour les essuyer, qu'ils imprègnent le fond de ta culotte.
Si avec tout ça je n'obtiens pas ce que je recherche… c'est à désespérer de ta bonne volonté. Ou de la nature.
Cinq jours, ça devrait suffire quand même. Je ne tiens plus, ma curiosité l'emporte et je te demande de t'étendre sur la table du salon. Tu es sur le dos, tes jambes pendent de part et d'autre de la table. Comme tes seins. Ton sexe est offert. Dans la fente qu'on aperçoit à peine au milieu de tous ces poils, c'est sombre. J'avance le visage et je pose mon nez dans ta toison. Je respire profondément. Ta chatte sent vraiment la chatte et le pipi. Odeurs de femelle familières. Je sors la langue, je lèche tes poils, je les peigne, je les sépare, je les repousse sur les côtés, je te fais une belle raie au milieu. Ta vulve est maintenant visible un peu plus ouverte, sans que je l'aie touchée. Ah, tous ces roses, ces rouges dans tout ce noir. Je scrute ton "entre-poils", ta fente découverte et offerte. Et je constate qu'un mince filet blanc s'en écoule doucement, une goutte alimentant la précédente et glissant lentement vers ton anus. Je te dis ma découverte. Tu as un geste réflexe vers ton sexe. Je t'empêche de l'atteindre en te prenant les poignets et en les éloignant. Eh, nos accords! C'est un élément de mon plaisir, tu le sais. Mais je me reprends, je viens de voir ton regard, une idée passe, je te laisse faire. Tu as vu que j'ai compris. Tes mains rejoignent tes poils, les caressent avec légèreté. Elles descendent vers ta vulve, ton majeur droit glisse de ton clito vers ton anus. Il récupère le jus à la commissure du bas avec l'ongle. Tu regardes de quoi il s'agit et en me fixant tu me le montres. Tu le déposes sur ma langue. Je le suce. Mmmm. Tu recommences. Cette fois, c'est sur ta langue que ton doigt se pose. Merci mon amour. Voilà une belle complicité.
Alors, je m'approche, je bécote ta chatte, je lui donne des petits coups de langue. Puis je saisis les poils des côtés et je tire doucement. Les grandes lèvres s'écartent. L'espace entre les grandes et les petites lèvres est couvert d'un mucus épais et grumeleux. Il y a là à manger. Ce mucus s'étend même jusqu'aux bords, dans les poils. Il a cette couleur entre le blanc et le jaune de la crème fraîche épaisse et crue. Mais, contrairement à la crème, il n'est pas homogène. Des petits endroits en sont dépourvu comme si le mucus s'en était décollé alors que d'autres ont une épaisseur importante. Sinon, il est réparti assez régulièrement tout le long du sexe de chaque côté. À table! tu dis, complice en tapotant ton sexe. Tu laisses ton empreinte digitale dans le mucus. Je n'en peux plus, je goûte ce dépôt épais. Il a un goût acidulé. Miam! Je lèche de bas en haut en insistant, le mucus a du mal à se décoller. Je donne de grands coups de langue. Je n'arrive pas à tout nettoyer. Les poils ne se laissent pas faire comme ça. Alors, par petits coups de langue localisés, j'insiste. Ça y est, c'est propre.
Et puis, je me doute que je n'ai pas encore fini. Montre-moi ton clito. Tu décalottes ton clito doucement en t'y reprenant à plusieurs fois. Dès le début, on voit bien qu'il y a longtemps qu'il n'a pas eu de visite nettoyante. Je m'y colle immédiatement sans rien demander à personne. Bien m'en a pris. J'ai eu le plaisir de te voir gigoter. Dès que le bout de ma langue a touché ton clito, tu t'es enflammée. J'aimerais être à ta place parfois pour connaître ça. Je continue de nettoyer, je souhaite n'en rien laisser. Ça te fait te tortiller, me repousser, te reculer, gémir, mouiller, me rapprocher. Mais tu ne demandes pas grâce, tu ne me demandes pas d'arrêter. Ton clito est maintenant propre jusqu'au recoin le plus secret. Je le recouvre tendrement avec son capuchon. Je reprends les caresses avec ma langue. Tu ne réagis plus violemment. Tu te laisses aller. Tu laisses monter le plaisir. Tu savoures. Tu sers ma tête entre tes cuisses. Je crois entendre « Continue ». Alors je continue, ému et excité. J'appuie un peu plus de la langue. J'insiste sur l'endroit que je sais le plus sensible chez toi, le côté droit. Et tu jouis mon amour, de ma bouche et de ma langue, en lâchant un jet d'urine inattendu mais bien-venu. Goûteux! Encore!
게시자: JeLesAimeSaggy
2년 전
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JeLesAimeSaggy
Merci beaucoup. Content que ça vous plaise.
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Très bon !
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superbe
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L'amour pur, oh comme c'est bon
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JeLesAimeSaggy
La vie vous laisse de ces souvenirs…
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jsamael
jolie ôde à la négligence assumée, construite pour l'envol des sens et la luxure
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