Chaude expérience pour son initiation

Il n’est pas facile de confier ce que j’ai osé faire en famille, il y a… j’avais 37 ans et j’étais hyper bandante d’après mon mari et mes amants, tout en restant mère de famille très bon chic bon genre catholique, avec cependant une réputation de moins en moins discrète de salope dans la ville où nous étions.
Les étés nous allions en vacances dans le sud de la France où nous fréquentions un lac à la fois familial et chaud : beaucoup de nudistes, beaucoup de contacts et nous nous étions insérés dans ce monde très très sexe !
Mon mari ne me tolérait exceptionnellement qu’un string ridicule et la plupart du temps j’étais totalement nue et avec un minuscule ticket de poils pubiens au-dessus de ma fente. Je me promenais ainsi, et allais souvent au bar de plage seule, y faisant des rencontres…
Pendant que mon mari s’occupait de tous nos enfants, j’allais faire du bateau nue avec un ou plusieurs hommes et au menu : baignades et sexe à gogo au milieu du lac, il arrivait que je me fasse aussi emmancher au bord de la plage dans l’eau à une trentaine de mètres de notre famille.
Souvent des hommes nus venaient discrètement me chercher quand je bronzais nue en famille et je les suivais dans les buissons épineux du midi de la France, et là je me faisais prendre par des inconnus, souvent nombreux, avant de revenir me baigner totalement en sueur, fatiguée et pleine de foutre !
Quand nos enfant étaient jeunes, ils n’y faisaient pas attention, mais notre fils ainé de treize ans à commencé visiblement s’intéresser à mes… ébats.
Il a posé des questions à son père pour savoir pourquoi maman s’absentait et laissait sa famille...
Je remarquais alors que quand je partais nue pour rejoindre des mâles, son slip comme celui de son père avait une grosse bosse dure.
Mon mari trouvait ça normal et rigolait, il avait dit à notre fils que sa mère avait de très gros besoins… sans lui dire lesquels, bref une réponse idiote.
Mais je remarquais alors des traces suspectes dans ma lingerie : visiblement quelqu’un se branlait avec ? Et je réalisais après, que j’avais déjà eu contre ma chatte, mon cul et mes tétons le sperme séché de mon fils !
L’année suivante, sur cette plage mon fils visiblement m’espionnait et prit l’habitude de me passer la crème à bronzer. Très vite il en profita pour glisser plus bas que mon dos et ainsi me peloter les fesses. Je le laissais faire, amusée.
Puis glissât ses mains sous moi pour s’occuper des seins de sa mère… il était si ému qu’il allait très vite se baigner ayant visiblement juté dans son slip de bain.
Une fin d’après-midi, alors que j’étais en pleine action au-dessus de la plage dans une clairière avec trois beaux jeunes hommes devant deux ou trois types qui se branlaient en attendant de venir balancer leur sperme sur moi, je vis clairement la tête de notre fils !
Je fermais les yeux et continuais à sucer et à jouir mais me branlait comme une folle le clitoris malgré les bites qui étaient dans ma chatte et mon cul et criais de plaisir comme rarement aussi fort.
Quand le lendemain il me mit de la crème à bronzer sa mains descendit sur mes fesses je ne lui interdit pas de descendre plus bas… et comme tout le reste de la famille était dans l’eau, je remontais mon ventre et écartais les cuisses pour qu’il puisse glisser sa main sous moi et puis mes doigts ont rejoint ceux de mon fils et je le guidais sur mon clitoris et il commença à donner du plaisir à sa mère !
Toujours sur le ventre je me déplaçais un peu et de l’autre main je saisi sa petite bite dans son slip et le branlait doucement… cela dura peu mais ce fut intense et je me retrouvais avec la main pleine du foutre de notre fils !
Mon mari devinât tout de suite ce qui c’était passé et me félicitât pour commencer à faire l’éducation sexuelle de notre ainé. Je lui demandais alors :
- S’il veut me baiser, moi sa mère ?
Il me répondit qu’il ne sera pas le premier à sauter sa mère, vu les centaines d’hommes qui étaient passés sur moi.
Un jeune homme de plus, et que j’aimais tellement, serait un non-événement si je n’étais pas sa mère !
Bref j’avais carte blanche…
Mais cela n’allât pas plus loin ce mois d’aout, il fallut attendre le mois d’octobre suivant !
J’avais depuis un an un amant régulier beau, vigoureux, très directif et vicieux… que j’avais connu par mon mari et qui avait une réputation de grand tombeur et de grand salaud avec les femmes.
J’avais décidé de le détester, mais au cours d’une soirée d’un club service, il avait su me faire rire, danser, m’amuser, flirter, me peloter discrètement et le soir même au fond du parc d’un restaurant renommé j’avais cédé : il m’avait prise en dogging, robe troussée, seins à l’air et string enfoncé dans la bouche pour ne pas trop crier de jouissance.
Il avait des exigences et me téléphonais souvent.
On se retrouvait chez moi où je devais l’accueillir qu’avec des talons aiguilles de dix centimètres de haut au minimum, des bas en soie à couture, un porte-jarretelles, un string transparent étant toléré…
Je devais lui ouvrir ainsi au risque d’être vue dans cette tenue… je faisais attention, sauf le jour où je me suis trompée et j’ai ouvert au facteur dans cette tenue !
On baisait en cette fin octobre et je le raccompagnais à la porte toujours ainsi peu habillée, et là j’ouvre et c’est mon fils ainé qui est là !!!
Mon amant, Bernard, lui dit bonjour, me roule un baiser, me caresse les seins et me dit :
- Je reviens te baiser dans trois jours !
Je dis à mon fils de rentrer, referme la porte : je suis dans une tenue plus qu’indécente, couverte de sueur, puant l’amour et le sperme, d’ailleurs j’en ai plein les cuisses, les bas et les seins et même au coin des lèvres…
Il est hypnotisé par mes seins, mon ventre, ma a fente soulignée par le string et le foutre… et moi par la bosse qui gonfle dans son pantalon…
Je bafouille alors :
- Tu as envie de ta maman ?