Les bites d’Assouan -2-
Le soleil me réveille de bonne heure. J’entends le bruit des bateaux sur le Nil et la conversation de leurs pilotes.
Je me lève avec une trique phénoménale ,la joie de vivre de ma jeunesse conscient de vivre un moment exceptionnel.Les autres touristes ont quitté l’hôtel encore plus tôt , ayant réservé une extension à Abou Simbel,excursion trop onéreuse pour ma bourse.Je prends seul un petit déjeuner dans le jardin,saluant de loin les militaires qui m’ont donné hier soir leurs semences à déguster .
Un GO (pas débordé par les GM) me conseille de visiter l’Ile Kitchener sorte de jardin botanique puis de me rendre ensuite au mausolée de l’Agan Kahn III sur la rive opposée du Nil.D’ailleurs,notre bateau va te conduire au jardin botanique me dit-il.
Toilette rapide,je choisis un mini short blanc addidas qui met mes fesses et mon paquet en valeur...et un polo Lacoste classique.Dans la fougue de ma jeunesse je me sens irrésistible avec une envie terrible de croquer l’existence à pleine dent.
Effectivement,mon short attire de très nombreux regards particulièrement celui du pilote de la felouque qui me conduit au Jardin botanique.Il n’arrête pas de se tripoter la queue à travers sa gandoura me laissant deviner la taille de l’objet.Le pilote que j’aie sucé hier soir était beaucoup mieux.En quittant la felouque je laisse ma main quelques instant sur sa queue lui faisant espérer d’autres délices au retour.
Un essaim de guides me tombe dessus au débarcadère.Je prends conscience de l’effet que je produit sur les mâles méditerranéens.On m’interpelle en allemand mon physique pouvant laisser penser que je suis germanophone .
Ils sont tous en gandoura sauf un en jean’s.Il a une bonne tête avec un sourire charmant,il se propose de me faire visiter le jardin pour quelques livres égyptiennes.iI se nomme Samir,il est étudiant en histoire à la faculté de la Basse-Egypte d’ Assouan et parle un Français très très correct.En passant devant les boutiques souvenirs,je m’arrête devant un marchand de gandouras et sarouals hommes et femmes
.Le vendeur me propose d’essayer une gandoura. »Tu seras magnifique « me dit-il en me prenant par les hanches.
»Veux-tu essayer le saroual qui se porte avec ? »,je passe dans l’arrière boutique pour essayer ce pantalon du dessous.Je l’enfile sur mon short,mais celui-ci est beaucoup trop grand.Les vendeurs égyptiens sont redoutables,il va en chercher un autre plus petit chez un concurrent mais néanmoins ami,car ils se tiennent tous les deux devant moi avec l’air de gourmands dans un pâtisserie. »Enlève,enlève,enlève ton short,c’est mieux « ,mais ce foutu pantalon est encore trop grand.Samir,le guide qui est resté dans l’embrasure de la porte suggère qu’un modèle femme pourrait peut-être faire l’affaire.
Un des vendeurs me dit que je dois être nu pour être a même d’apprécier ce modèle.Je retire mon slip ,et me trouve
à poil devant ces mecs dans une totale impudeur.Il revient effectivement avec un saroual bleu ciel qui me semble être d’une bonne taille.Ils sont tous trois autour de moi pour l’essayage....qui tourne rapidement au pelotage de mon cul et accessoirement de ma queue.Ils s’organisent pour que l’un fasse la surveillance pendant que les deux autres puissent profiter de mon fion.L’un dans ma bouche pendant que le second se vide les burnes,puis on change.Samir qui était désigné pour la surveillance ,préfère regarder en se branlant.Bon gars,j’achèterai le saroual et la gandoura (que je porte toujours 25 ans après).La visite du jardin sera moins intéressante que cet arrêt boutique.
Je retrouve à l’endroit convenu le pilote du bateau de l’hôtel,plein de sollicitudes à mon égard,m’aidant à monter à bord en me tenant les fesses ,puis me caressant le bras.Nous partons vers la rive opposée en passant par les célèbres rochers de l’île Éléphantine .
Je souhaite prendre quelques photos de ce lieu en me mettant debout il me montre mes fesses mais je ne comprends pas du tout pourquoi il me montre avec autant d’empressement mon arrière train.Il se lève vient vers moi me mets la main au cul qu’il me me montre tachée d’un peu de sang.Pas facile sans miroir de voir ce qui se passe.Il me fait baisser mon short mon me montrer une grosse tâche de sang ainsi que dans le slip.Je retire le tout pour le plus grand plaisir de mon navigateur qui s’émerveille bruyamment de ce cadeau tombé du ciel.Allah est grand !!
Je me rince avec l’eau du Nil ainsi que mes vêtements.Je pense qu’une petite hémorroïde a du lâcher pendant l’assaut de mes deux vendeurs.Mais difficile d’aller dans le mausolée de l’Aga Khan le short mouillé .Me vient l’idée d’utiliser mon saroual tout neuf.Impeccable je me sent prêt à gravir cette colline qui me permettra de visiter ce lieu.J’y arrive rapidement tout heureux de ma liberté.Il règne une grande sérénité à l’intérieur de ce monument.Sa femme,la Begum,a demandé qu’une rose rouge soit déposée chaque jour sur la tombe de son regretté mari.A la sortie on retrouve les inévitables vendeurs de souvenirs.Je m’éclipse rapidement souhaitant prendre en photo d’un peu plus en hauteur malgré la peur que j’aie de voir un serpent dans ce pierrier.
Un jeune garçon me hèle près d’un petit monticule il y a un âne à ses côtés.Il m’attend avec une jarre en terre remplie d’eau fraîche.Nous nous assoyons et partageons une orange que le réceptionniste de l’hôtel a eu la bonne idée de me donner ce matin.L’âne apprécie les épluchures et crie de plaisir.Pour faire bonne mesure il me gratifie d’une belle érection.Le môme rigole en voyant la bite de son âne ,en un éclair il baisse son pantalon afin de me montrer que lui aussi n’a rien à envier à son auguste monture Certes moins volumineuse que celle de son destrier mais d’une taille impressionnante pour son âge.Je le félicite de ses mensurations sans y toucher n’étant pas du tout intéressé par les trop jeunes garçons.
Par un chemin que je n’avais pas remarqué arrive un vendeur de souvenirs,c’est la vérole des sites touristiques.Il fait fuir le gamin avec son âne pour se réserver ma clientèle.
D’un sac en plastique il sort,cendrier,feuille de papyrus (made in China) quelques amulettes et une belle bite en pierre dure. Lui désignant son entrejambe je lui demande s'il a servi de modèle au sculpteur..?..il me répond que la sienne est plus grosse encore...Joingnant le geste à la parole il ouvre sa braguette et sort une bite de rêve
.Les bites d’Arabes sont toujours bien décalottées avec un gland proéminent et d’une hygiène impeccable .A l’abri du monticule il ne refuse pas ma bouche.Pendant que je lui astique le manche il me lubrifie la rondelle.Je viens de saigner et je me demande si cela est bien raisonnable de m’enfiler un tel morceau.Lui ne se pose pas de question att**** la bite en pierre dure pour me défoncer le cul.A ma grande surprise cela rentre facilement,il est vrai qu’il y a à peine une heure je me faisais grimper par deux pharaons.Il se lasse rapidement de son manège préférant me faire déguster son chibre au naturel.Grâce a ma souplesse rectale je supporte vaillamment le pilonnage de mon vendeur de souvenirs.A peine rassasié à la fin de sa prestation, il reprend son argumentation pour me refiler un objet.Évidemment c’est la bite en pierre dure que j’achèterai ,elle est sur mon bureau depuis 25 ans.Dans mon cabinet de travail il y a sur les murs des photos de Robert Mapplethorpe et cette bite à la vue de tous.
Quand un patient m’interroge sur l’objet en question,je lui propose de venir à mon domicile pour en parler le soir après le travail
FIN
mais d’autres bites pharaoniques m’attendent à Louxor..
A bientôt
Julien
Je me lève avec une trique phénoménale ,la joie de vivre de ma jeunesse conscient de vivre un moment exceptionnel.Les autres touristes ont quitté l’hôtel encore plus tôt , ayant réservé une extension à Abou Simbel,excursion trop onéreuse pour ma bourse.Je prends seul un petit déjeuner dans le jardin,saluant de loin les militaires qui m’ont donné hier soir leurs semences à déguster .
Un GO (pas débordé par les GM) me conseille de visiter l’Ile Kitchener sorte de jardin botanique puis de me rendre ensuite au mausolée de l’Agan Kahn III sur la rive opposée du Nil.D’ailleurs,notre bateau va te conduire au jardin botanique me dit-il.
Toilette rapide,je choisis un mini short blanc addidas qui met mes fesses et mon paquet en valeur...et un polo Lacoste classique.Dans la fougue de ma jeunesse je me sens irrésistible avec une envie terrible de croquer l’existence à pleine dent.
Effectivement,mon short attire de très nombreux regards particulièrement celui du pilote de la felouque qui me conduit au Jardin botanique.Il n’arrête pas de se tripoter la queue à travers sa gandoura me laissant deviner la taille de l’objet.Le pilote que j’aie sucé hier soir était beaucoup mieux.En quittant la felouque je laisse ma main quelques instant sur sa queue lui faisant espérer d’autres délices au retour.
Un essaim de guides me tombe dessus au débarcadère.Je prends conscience de l’effet que je produit sur les mâles méditerranéens.On m’interpelle en allemand mon physique pouvant laisser penser que je suis germanophone .
Ils sont tous en gandoura sauf un en jean’s.Il a une bonne tête avec un sourire charmant,il se propose de me faire visiter le jardin pour quelques livres égyptiennes.iI se nomme Samir,il est étudiant en histoire à la faculté de la Basse-Egypte d’ Assouan et parle un Français très très correct.En passant devant les boutiques souvenirs,je m’arrête devant un marchand de gandouras et sarouals hommes et femmes
.Le vendeur me propose d’essayer une gandoura. »Tu seras magnifique « me dit-il en me prenant par les hanches.
»Veux-tu essayer le saroual qui se porte avec ? »,je passe dans l’arrière boutique pour essayer ce pantalon du dessous.Je l’enfile sur mon short,mais celui-ci est beaucoup trop grand.Les vendeurs égyptiens sont redoutables,il va en chercher un autre plus petit chez un concurrent mais néanmoins ami,car ils se tiennent tous les deux devant moi avec l’air de gourmands dans un pâtisserie. »Enlève,enlève,enlève ton short,c’est mieux « ,mais ce foutu pantalon est encore trop grand.Samir,le guide qui est resté dans l’embrasure de la porte suggère qu’un modèle femme pourrait peut-être faire l’affaire.
Un des vendeurs me dit que je dois être nu pour être a même d’apprécier ce modèle.Je retire mon slip ,et me trouve
à poil devant ces mecs dans une totale impudeur.Il revient effectivement avec un saroual bleu ciel qui me semble être d’une bonne taille.Ils sont tous trois autour de moi pour l’essayage....qui tourne rapidement au pelotage de mon cul et accessoirement de ma queue.Ils s’organisent pour que l’un fasse la surveillance pendant que les deux autres puissent profiter de mon fion.L’un dans ma bouche pendant que le second se vide les burnes,puis on change.Samir qui était désigné pour la surveillance ,préfère regarder en se branlant.Bon gars,j’achèterai le saroual et la gandoura (que je porte toujours 25 ans après).La visite du jardin sera moins intéressante que cet arrêt boutique.
Je retrouve à l’endroit convenu le pilote du bateau de l’hôtel,plein de sollicitudes à mon égard,m’aidant à monter à bord en me tenant les fesses ,puis me caressant le bras.Nous partons vers la rive opposée en passant par les célèbres rochers de l’île Éléphantine .
Je souhaite prendre quelques photos de ce lieu en me mettant debout il me montre mes fesses mais je ne comprends pas du tout pourquoi il me montre avec autant d’empressement mon arrière train.Il se lève vient vers moi me mets la main au cul qu’il me me montre tachée d’un peu de sang.Pas facile sans miroir de voir ce qui se passe.Il me fait baisser mon short mon me montrer une grosse tâche de sang ainsi que dans le slip.Je retire le tout pour le plus grand plaisir de mon navigateur qui s’émerveille bruyamment de ce cadeau tombé du ciel.Allah est grand !!
Je me rince avec l’eau du Nil ainsi que mes vêtements.Je pense qu’une petite hémorroïde a du lâcher pendant l’assaut de mes deux vendeurs.Mais difficile d’aller dans le mausolée de l’Aga Khan le short mouillé .Me vient l’idée d’utiliser mon saroual tout neuf.Impeccable je me sent prêt à gravir cette colline qui me permettra de visiter ce lieu.J’y arrive rapidement tout heureux de ma liberté.Il règne une grande sérénité à l’intérieur de ce monument.Sa femme,la Begum,a demandé qu’une rose rouge soit déposée chaque jour sur la tombe de son regretté mari.A la sortie on retrouve les inévitables vendeurs de souvenirs.Je m’éclipse rapidement souhaitant prendre en photo d’un peu plus en hauteur malgré la peur que j’aie de voir un serpent dans ce pierrier.
Un jeune garçon me hèle près d’un petit monticule il y a un âne à ses côtés.Il m’attend avec une jarre en terre remplie d’eau fraîche.Nous nous assoyons et partageons une orange que le réceptionniste de l’hôtel a eu la bonne idée de me donner ce matin.L’âne apprécie les épluchures et crie de plaisir.Pour faire bonne mesure il me gratifie d’une belle érection.Le môme rigole en voyant la bite de son âne ,en un éclair il baisse son pantalon afin de me montrer que lui aussi n’a rien à envier à son auguste monture Certes moins volumineuse que celle de son destrier mais d’une taille impressionnante pour son âge.Je le félicite de ses mensurations sans y toucher n’étant pas du tout intéressé par les trop jeunes garçons.
Par un chemin que je n’avais pas remarqué arrive un vendeur de souvenirs,c’est la vérole des sites touristiques.Il fait fuir le gamin avec son âne pour se réserver ma clientèle.
D’un sac en plastique il sort,cendrier,feuille de papyrus (made in China) quelques amulettes et une belle bite en pierre dure. Lui désignant son entrejambe je lui demande s'il a servi de modèle au sculpteur..?..il me répond que la sienne est plus grosse encore...Joingnant le geste à la parole il ouvre sa braguette et sort une bite de rêve
.Les bites d’Arabes sont toujours bien décalottées avec un gland proéminent et d’une hygiène impeccable .A l’abri du monticule il ne refuse pas ma bouche.Pendant que je lui astique le manche il me lubrifie la rondelle.Je viens de saigner et je me demande si cela est bien raisonnable de m’enfiler un tel morceau.Lui ne se pose pas de question att**** la bite en pierre dure pour me défoncer le cul.A ma grande surprise cela rentre facilement,il est vrai qu’il y a à peine une heure je me faisais grimper par deux pharaons.Il se lasse rapidement de son manège préférant me faire déguster son chibre au naturel.Grâce a ma souplesse rectale je supporte vaillamment le pilonnage de mon vendeur de souvenirs.A peine rassasié à la fin de sa prestation, il reprend son argumentation pour me refiler un objet.Évidemment c’est la bite en pierre dure que j’achèterai ,elle est sur mon bureau depuis 25 ans.Dans mon cabinet de travail il y a sur les murs des photos de Robert Mapplethorpe et cette bite à la vue de tous.
Quand un patient m’interroge sur l’objet en question,je lui propose de venir à mon domicile pour en parler le soir après le travail
FIN
mais d’autres bites pharaoniques m’attendent à Louxor..
A bientôt
Julien
3년 전
