Maryse

Ma collègue Maryse......c'était à Paris en 1969 à l'occasion de son départ pour sa mutation dans son pays, Avignon je crois, d'après son accent.

Maryse était très gentille, mais timide et habillée "vieille France", elle ne se faisait jamais remarquer.....

Nous avions organisé son "pot de départ" avec tout le service et nous avions bien vécu, on pouvait encore boire un peu, sans excès mais assez pour être gais.

Elle devait prendre son train dans la nuit et avec un copain qui avait une Simca 1000 , nous l'avons raccompagné à la Gare de Lyon.

Nous étions 3 derrière et Maryse au milieu, j'étais sur sa gauche et un peu en biais à cause de la place.

J'étais assez timide aussi mais, l'alcool aidant, je me suis enhardi à lui poser la main sur son genou gauche , en dessous de sa jupe plissée qu'elle portait souvent et je sentais ses bas nylon sous mes doigts et je commençais à m'aventurer à l'intérieur de sa cuisse, très lentement....

Je m'attendais à une réaction de sa part mais elle ne manifestait rien.....j'étais très surpris et je bandais fort, l'ambiance était à la rigolade dans la voiture et elle riait très fort.

Le trajet durait assez longtemps pour venir depuis la banlieue, une heure et demie environ et mes doigts avançaient lentement sur sa cuisse jusqu'au moment où je sentis le haut du bas nylon et mes doigts arrivaient sur sa peau, quelle chaleur délicieuse!!

A cette époque, les femmes mettaient des gaines à jarretelles et des bas, quel belle époque, n'est-ce pas?

Et alors que je craignais de m'en ramasser une, elle ramena le pan de son manteau sur ses genoux comme pour cacher ma main qui s'avançait et elle écarta très légèrement les cuisses......je bandais comme un fou......Maryse qui était si timide!!

Je sentais la chaleur de ses cuisses devenir de plus en plus humide.....

J'arrivais à deviner un peu le tissu de sa culotte à côté d'une jarretelle, je continuais à la caresser et elle s'amusait comme nous tous ....

Au moment où j'ai risqué un doigt à l'échancrure de sa culotte, elle s'est légèrement avancée et soulevée pour que je puisse l'écarter...j'étais stupéfait et ma queue n'en pouvait plus.....

Et lorsque mon doigt est venu effleurer son clitoris, j'ai senti chez elle comme un grand frisson, elle tenait fermement son manteau sur ses genoux comme pour me protéger et j'ai glissé alors mon doigt dans sa chatte.......elle était complètement trempée mais je ne pouvais pas aller trop loin, je sentais son clitoris se gonfler sous mon doigt mouillé et pendant le restant du trajet, elle s'est laissée aller à refermer ses cuisses et les écarter pour augmenter ses sensations....

Je n'en revenais pas......

Arrivés à la gare, nous sommes descendus  pour la raccompagner sur le quai et au moment de la bise, elle m'a dit à l'oreille " c'est dommage, c'était bien.......!" avec un grand sourire .

Ce fut un moment magique car je m'étonnais moi-même d'avoir eu cette audace!

Je suis reparti prendre le métro pour rentrer chez moi et sur le quai j'ai mis ma main dans ma poche pour sentir ma queue toute raide mais aussitôt, à peine touchée, je me suis mis à gicler dans ma culotte et je sentais les longs jets de sperme qui me brulaient le ventre et qui n'en finissaient pas, c'était absolument délicieux!!

Dans la pénombre, j'ai remarqué que mon pantalon était aussi mouillé, j'ai refermé mon imperméable pour cacher tout ça et je suis rentré.

Je n'ai jamais revu Maryse et comme elle disait " c'est dommage, c'était bien.......!"