Chapitre 2: l'étudiant soumis
Une fois que tout a été ranger, lit fait et valise dans les placards, je descends chez MADAME. Je frappe à la porte du séjour, MADAME vient m’ouvrir et me présente sa fille DENISE, blonde, environ 20 ans, très classe, porte un chemisier noir, une jupe rouge et de superbe cuissardes noires à talons hauts. MADAME me présente à sa fille et lui montre le contrat que nous avons passé entre nous. DENISE semble ravie de ce contrat et me demande avec son plus beau sourire, si elle pourrait profiter un peu de cet accord particulier. Je lui dis bien sur que oui, comment refuser mes services à une si charmante demoiselle. Elle me sourit et me remercie. MADAME ELEONORE me demande alors si je sais un peu cuisiner, me montre sa cuisine, ses tiroirs et placard, puis me fait visiter son appartement dont je dois faire le ménage quotidiennement et bien l’entretenir. Elle me montre les quelques bricoles à faire, un mur à repeindre, un peu d’électricité, un peu de plomberie, des étagères à monter, etc. Puis vienne ensuite les services un peu plus personnels. MADAME ELEONORE me dit : « Voila Pascalou ce que j’attend de toi pour les soirs et les weekends ou tu sera à ma disposition. Nous allons commencer par ce soir pour ton éducation à mon obéissance et à celle de ma fille puisque tu es d’accord ». Oui MADAME ELEONORE, je m’engage à vous obéir à toutes les deux et je suis prêt à être puni si cela ne vous convient pas. MADAME ELEONORE et sa fille DENISE éclatent de rire et me disent : « Ho mais tu ne crois pas si bien dire, cela fait aussi partie du contrat, mais bien sur je ne pouvais pas l’écrire ». Voici une petite liste de tes missions à accomplir pour nous satisfaire :
Chaque weekend ou chaque soir défini ensemble, tu devras te présenter à genoux devant nos pieds en tenue de boniche, c'est-à-dire que tu seras nu avec seulement un tablier de soubrette, une paire de bas noir et des escarpins à talons hauts. Nous irons demain t’acheter tes nouveaux habits dans un magasin spécialisé dont la gérante est ma meilleure amie. Il va falloir que tu t’y habitue à les porter tout un weekend et tu verras que ce n’est pas facile de marcher avec des talons de 12 centimètres.
Une fois que tu seras à genoux, tu nous baiseras les pieds, qu’ils soient nu ou avec des chaussures, dans ce cas la, tu devras les lécher intégralement, nous n’accepterons pas que tu laisses un seul grain de poussières ou de saleté dessus. Il en sera de même à chaque fois que nous rentrerons à l’appartement, tu devras te mette à genoux derrière la porte et nous lécher les chaussures avant de nous les retirer, est ce bien clair pour toi pascalou !!! Oui MADAME ELEONORE, puis je regarde DENISE et lui dit OUI DENISE. Je reçu une belle gifle de DENISE qui me dit « MADEMOISELLE DENISE », tu me répondras à chaque fois OUI MADEMOISELLE DENISE. Je rougis et posa ma mains sur la joue, je baisse la tête et je lui réponds OUI MADEMOISELLE DENISE. Les deux femmes éclatèrent de rire ce qui me fait encore plus rougir. Ensuite tu nettoieras tout l’appartement, tu rangeras tout ce qui traine, tu nous feras la cuisine, et tu feras les quelques travaux dont je t’ai parlé tout à l’heure. Puis tu devras nous obéir à nos exigences particulières le soir après le repas. Ne t’inquiète pas pour tes études, tu auras tout le temps désiré pour apprendre et réviser, pour aller au cours et faire quelques sortis. Je voulais aussi te dire, si tu nous montre ton admiration et ton courage pour nous satisfaire, tu seras aussi nourri, et ainsi tu n’auras pas besoin de débourser un seul centime tant que tu resteras à notre service. Je l’ai remercié beaucoup et je leur dit que je ferai de mon mieux pour les satisfaire.
Comme il est un peu tôt pour préparer le repas, tu vas commencer par nous lécher les chaussures, d’abord les cuissardes de ma fille, puis mes escarpins, et je veux voir ta langue très active et que tout soit bien lécher, nous serons très sévère sur la propreté de nos chaussures. Je commence par les cuissardes de MADEMOISELLE DENISE, elles sont superbes, elles sentent encore le cuir neuf, je m’applique à tout lécher, humm les superbes talons hauts, j’adore les lécher c’est trop bon, puis les semelles un peu poussiéreuse et les longues tiges noires qui vont au dessus des genoux, j’ai lécher pendant presque 40 minutes, c’était un vrai régal. Puis les escarpins noirs de MADAME ELEONORE, très jolis aussi, de très beaux talons fin argentés, un vrai délice aussi, mais sur une semelle il y a quelques chose de collé, un peu gluant avec ma salive, ca me dégoute, je regarde MADAME ELEONORE, elle me dit « tu mange tout boniche, ou plutôt esclave, je pense que nous allons t’appeler esclave à chaque fois que tu seras à notre disposition». Je mordille autour de cette partie gluante, elle se décroche et je l’avale en faisant la grimace. Le reste du léchage va tout seul. Une fois terminé, les deux femmes regardent leurs chaussures, elles paraissent satisfaite de mon travail, mais MADAME ELEONORE me fusille du regard et me demande de me mettre à 4 pattes, les fesses vers elle pour me punir pour avoir hésité à manger cette saleté sur sa semelle. MADEMOISELLE DENISE va chercher le martinet et commence à me donner 20 coups, j’ai un peu mal, c’est la 1ère fois que je reçois des coups de martinets, puis c’est MADAME ELEONORE qui me frappe et je dois compter jusqu’à 50 coups avant qu’elle s’arrête de frapper. Mes fesses me chauffe et j’ai très mal, j’ai les larmes aux yeux. Je me sens totalement impuissant et humilié devant ses charmantes dames à qui j’ai autorisé tout ce qu’elles désirent pendant leur temps accordé. Je connaissais le contrat et je l’ai accepté. MADAME ELEONORE me dit « pendant ces instant ou tu nous appartiens, tu devras nous appeler MAITRESSE ELEONORE et MAITRESSE DENISE, tu as bien compris Pascalou, enfin pour toi ça sera esclave pascalou, car c’est ce que tu seras pour nous pendant le temps que tu nous appartiennes ». Je leurs répond « très bien MESDAMES, je respecterais vos ordres ». Je venais de me rendre compte que j’avais dit MASDAMES au lieu de MAITRESSES, MAITRESSE ELEONORE m’a tout de suite donné une belle paire de gifles ainsi que MAITRESSE DENISE en me disant « tu n’as pas compris esclave ! ». Je baissais la tête et je leur dis « excusez moi MAITRESSES, je n’ai pas l’habitude, je vous promets de ne plus faire cet erreur. MAITRESSE ELEONORE va chercher un cahier d’école neuf dans un tiroir, me le donne en me disant « pour ne pas que tu recommence cette très grave erreur, tu vas me copier 1OO fois la phrase suivante : l’esclave pascalou s’adressera à MADAME ELEONORE et à MADEMOISELLE DENISE en les appelant MAITRESSE ELEONORE et MAITRESSE DENISE pendant les deux soirs et les deux week ends ou je serais à leur disposition ». MAITRESSE ELEONORE me dit aussi que si je fais une rature, elle arrache la page et je dois recommencer. Elle me demande de préparer le repas, leur servir, tout nettoyer et tout ranger avant de retourner dans mon appartement, d’écrire ma punition et de la lui montrer demain matin pour le petit déjeuner. Il est 23h30 quand je monte dans mon appartement. Je pose le cahier sur le bureau, je m’assoie, je fais le point de cette 1ere journée et sur ce contrat si particulier. Ce contrat et ces clauses non écrites sont tellement irréels et inimaginable pour moi que je me demande si je dois rester ou partir demain matin, car MAITRESSE ELEONORE m’a laisser 24 heures pour réfléchir. Je note sur une feuille le pour et le contre de ce contrat et je me laisse la nuit pour donner ma réponse définitive. Mais avant de me cocher, je vais écrire ma punition sur ce cahier. Il est 2h40 du matin quand j’éteins la lumière pour aller dormir, la punition est faite et ma décision est prise, JE RESTE.
Chaque weekend ou chaque soir défini ensemble, tu devras te présenter à genoux devant nos pieds en tenue de boniche, c'est-à-dire que tu seras nu avec seulement un tablier de soubrette, une paire de bas noir et des escarpins à talons hauts. Nous irons demain t’acheter tes nouveaux habits dans un magasin spécialisé dont la gérante est ma meilleure amie. Il va falloir que tu t’y habitue à les porter tout un weekend et tu verras que ce n’est pas facile de marcher avec des talons de 12 centimètres.
Une fois que tu seras à genoux, tu nous baiseras les pieds, qu’ils soient nu ou avec des chaussures, dans ce cas la, tu devras les lécher intégralement, nous n’accepterons pas que tu laisses un seul grain de poussières ou de saleté dessus. Il en sera de même à chaque fois que nous rentrerons à l’appartement, tu devras te mette à genoux derrière la porte et nous lécher les chaussures avant de nous les retirer, est ce bien clair pour toi pascalou !!! Oui MADAME ELEONORE, puis je regarde DENISE et lui dit OUI DENISE. Je reçu une belle gifle de DENISE qui me dit « MADEMOISELLE DENISE », tu me répondras à chaque fois OUI MADEMOISELLE DENISE. Je rougis et posa ma mains sur la joue, je baisse la tête et je lui réponds OUI MADEMOISELLE DENISE. Les deux femmes éclatèrent de rire ce qui me fait encore plus rougir. Ensuite tu nettoieras tout l’appartement, tu rangeras tout ce qui traine, tu nous feras la cuisine, et tu feras les quelques travaux dont je t’ai parlé tout à l’heure. Puis tu devras nous obéir à nos exigences particulières le soir après le repas. Ne t’inquiète pas pour tes études, tu auras tout le temps désiré pour apprendre et réviser, pour aller au cours et faire quelques sortis. Je voulais aussi te dire, si tu nous montre ton admiration et ton courage pour nous satisfaire, tu seras aussi nourri, et ainsi tu n’auras pas besoin de débourser un seul centime tant que tu resteras à notre service. Je l’ai remercié beaucoup et je leur dit que je ferai de mon mieux pour les satisfaire.
Comme il est un peu tôt pour préparer le repas, tu vas commencer par nous lécher les chaussures, d’abord les cuissardes de ma fille, puis mes escarpins, et je veux voir ta langue très active et que tout soit bien lécher, nous serons très sévère sur la propreté de nos chaussures. Je commence par les cuissardes de MADEMOISELLE DENISE, elles sont superbes, elles sentent encore le cuir neuf, je m’applique à tout lécher, humm les superbes talons hauts, j’adore les lécher c’est trop bon, puis les semelles un peu poussiéreuse et les longues tiges noires qui vont au dessus des genoux, j’ai lécher pendant presque 40 minutes, c’était un vrai régal. Puis les escarpins noirs de MADAME ELEONORE, très jolis aussi, de très beaux talons fin argentés, un vrai délice aussi, mais sur une semelle il y a quelques chose de collé, un peu gluant avec ma salive, ca me dégoute, je regarde MADAME ELEONORE, elle me dit « tu mange tout boniche, ou plutôt esclave, je pense que nous allons t’appeler esclave à chaque fois que tu seras à notre disposition». Je mordille autour de cette partie gluante, elle se décroche et je l’avale en faisant la grimace. Le reste du léchage va tout seul. Une fois terminé, les deux femmes regardent leurs chaussures, elles paraissent satisfaite de mon travail, mais MADAME ELEONORE me fusille du regard et me demande de me mettre à 4 pattes, les fesses vers elle pour me punir pour avoir hésité à manger cette saleté sur sa semelle. MADEMOISELLE DENISE va chercher le martinet et commence à me donner 20 coups, j’ai un peu mal, c’est la 1ère fois que je reçois des coups de martinets, puis c’est MADAME ELEONORE qui me frappe et je dois compter jusqu’à 50 coups avant qu’elle s’arrête de frapper. Mes fesses me chauffe et j’ai très mal, j’ai les larmes aux yeux. Je me sens totalement impuissant et humilié devant ses charmantes dames à qui j’ai autorisé tout ce qu’elles désirent pendant leur temps accordé. Je connaissais le contrat et je l’ai accepté. MADAME ELEONORE me dit « pendant ces instant ou tu nous appartiens, tu devras nous appeler MAITRESSE ELEONORE et MAITRESSE DENISE, tu as bien compris Pascalou, enfin pour toi ça sera esclave pascalou, car c’est ce que tu seras pour nous pendant le temps que tu nous appartiennes ». Je leurs répond « très bien MESDAMES, je respecterais vos ordres ». Je venais de me rendre compte que j’avais dit MASDAMES au lieu de MAITRESSES, MAITRESSE ELEONORE m’a tout de suite donné une belle paire de gifles ainsi que MAITRESSE DENISE en me disant « tu n’as pas compris esclave ! ». Je baissais la tête et je leur dis « excusez moi MAITRESSES, je n’ai pas l’habitude, je vous promets de ne plus faire cet erreur. MAITRESSE ELEONORE va chercher un cahier d’école neuf dans un tiroir, me le donne en me disant « pour ne pas que tu recommence cette très grave erreur, tu vas me copier 1OO fois la phrase suivante : l’esclave pascalou s’adressera à MADAME ELEONORE et à MADEMOISELLE DENISE en les appelant MAITRESSE ELEONORE et MAITRESSE DENISE pendant les deux soirs et les deux week ends ou je serais à leur disposition ». MAITRESSE ELEONORE me dit aussi que si je fais une rature, elle arrache la page et je dois recommencer. Elle me demande de préparer le repas, leur servir, tout nettoyer et tout ranger avant de retourner dans mon appartement, d’écrire ma punition et de la lui montrer demain matin pour le petit déjeuner. Il est 23h30 quand je monte dans mon appartement. Je pose le cahier sur le bureau, je m’assoie, je fais le point de cette 1ere journée et sur ce contrat si particulier. Ce contrat et ces clauses non écrites sont tellement irréels et inimaginable pour moi que je me demande si je dois rester ou partir demain matin, car MAITRESSE ELEONORE m’a laisser 24 heures pour réfléchir. Je note sur une feuille le pour et le contre de ce contrat et je me laisse la nuit pour donner ma réponse définitive. Mais avant de me cocher, je vais écrire ma punition sur ce cahier. Il est 2h40 du matin quand j’éteins la lumière pour aller dormir, la punition est faite et ma décision est prise, JE RESTE.
3年前
