Une invitée de taille 8

Je me rends bien compte qu’Alice a été douce dans les sévices qu'elle m'a infligés. Je sais bien que cette fille en a bien plus sous la pédale, et qu’en tant que novice elle m’a ménagée. Après lui en avoir voulu, je lui en suis finalement reconnaissante. Mais ce que j’ai bien compris aussi, c’est qu’elle est faite d’une autre eau que moi. Je sens imperceptiblement combien ce corps est fait pour supporter les pires sévices, son petit air revanchard lorsque je la fouettais en disait long sur sa capacité à encaisser bien plus que je lui infligeais à ce moment-là. Alors dans mon esprit corrompu par ces heures de soumissions, de douleurs et de plaisirs mêlés, nait un sentiment dont je ne suis pas forcément fière, mais j’ai envie de lui faire mal, tout simplement. Un plaisir vicieux m’accapare, je me sens comme pervertie. Est-ce cette semi-pénombre qui nous enveloppe ? Toute cette tension qui m’habite depuis que j’ai mis un pied dans cette maison ? Je ne saurais expliquer ce qui m’arrive. C’est peut-être tout bonnement Alice, qui m’inspire ce désir de plaisirs encore plus retords.
Je me défais de son étreinte, l’attrape pas sa longue chevelure et vient la coller dos au mur, celui aux anneaux. Son regard est intense, regard de défi encore et toujours. Je me demande qui cherche-t-elle à défier, elle ou moi ?
Sans un mot, je l’attache, bras et jambes écartés, la voilà crucifiée sur l’autel de mes plaisirs.
Les démons lubriques qui sommeillaient dans les tréfonds de mon âme se réveillent. Le tableau qui s’offre à moi donne des ailes à mon imagination, j’imagine tous les supplices que je pourrais faire subir à ce corps magnifique. Je décide d’aller découvrir ce qui se cache dans le sac à mAlice dans lequel cette petite chienne avait trouvé le vibromasseur. J’y découvre tout un arsenal des plus surprenant pour une novice de cet art. Il va falloir que je fasse un choix judicieux. Mon but est autant de faire souffrir ma complice que de lui donner du plaisir.
Je trouve une petite boîte noire aux attrayantes enluminures dorées. Curieuse je l’ouvre et y découvre deux pinces à tétons agrémentées chacune d’une chaîne au bout desquelles sont fixées deux boules d’acier rutilantes. Je les retire de la boîte pour constater qu’elles pèsent leur poids. Ces petits bijoux accrochés aux tétons d’Alice seront du plus bel effet pour laisser connaître à ses tétons à l'allure arrogante l'effet de la gravité. D’autant plus, que j’ai remarqué que cette salope appréciait tout particulièrement qu’on maltraite sa poitrine.
Ravie de cette première découverte je continue de fouiller dans ce sac plein de surprises. J'en extrait un superbe gode ceinture d’une taille peu commune : ouvrir le cul de la petite catin avec ce membre hors de proportion n’est pas fait pour calmer mes ardeurs. Je vais de découverte en découverte et cela ne fait qu’accroitre mon excitation.
Je mets la main sur deux globes de plastique translucide, reliés à deux tuyaux, un tire lait… J’imagine que si cette machine incongrue est arrivée ici, c’est pour l’utiliser. Alors, je vais m’en servir… Pour terminer, je m’empare d’une cravache.
Riche de mes précieuses découvertes je m’en retourne vers ma compagne de jeu, écartelée dos au mur. Pourquoi cette vision crée en moi des pulsions inavouables ? Je suis partagée entre l’envie de caresser, embrasser, lécher ce corps ainsi offert et une furieuse envie de le maltraiter de multiples manières. Notre Maître nous a demandé de nous faire plaisir, alors je vais sans l’ombre d’une hésitation répondre à cette demande.
En pensant à mon maître, je me retourne vers lui, il est devenu tellement discret, je l’avais oublié l’espace d’un instant. Il est assis dans la pénombre, je le distingue à peine, impossible de voir ses traits, de deviner quels sont ses sentiments à cet instant, comme s’il voulait s’effacer pour ne pas nous déranger pendant nos jeux impudiques. Je suis un peu surprise par ce manque d’implication soudain, ce manque d’intérêt, c’est peut-être aussi une manœuvre de sa part… Mais pour le moment j’ai d’autre chatte à fouetter.
Je m’en retourne donc à mes réjouissantes occupations et croise le regard intense d’Alice ; la petite salope semble impatiente de connaître le sort que je vais lui faire subir.
Je commence par brancher le tire-lait prête à la traire comme une vache. Mais avant, l’envie de la fouetter de quelques coups de cravache me tente énormément. Je m’en saisis, m’approche et sadique lui demande si elle est prête.
- Je n’attends que ça.
Je m’approche encore plus près, elle sent la pisse et le sperme, sa magnifique chevelure est par endroit poisseuse.
- Tu as une fière allure de traînée.
- Je te plais ?
- Enormément.
Elle dégage une telle attraction sexuelle, qui pourrait lui résister ? Je pose mes lèvres sur les siennes, je l’embrasse, glisse ma langue pour la mêler à la sienne. Deux trainées aussi excitées l’une que l’autre. Ce baiser a le don de me faire mouiller, mais je dois me concentrer sur la tâche qui m’est assignée.
- Ça t’a fait mouiller de me torturer tout à l’heure ?
- Oh que oui ! me répond-elle avec un sourire carnassier.
- Je pense que je vais y prendre autant de plaisir.
- Ton plaisir sera le mien… répond-elle toujours à me défier.
Sans prévenir, je me recule et lui assène un premier coup de cravache sur cette poitrine qu’elle a si magnifique. La petite blonde, me lance toujours ce même regard de défi, qui je dois l’admettre a tendance à m’énerver un peu.
- Tu aimes ça quand on maltraite tes seins ?
- Tu n’imagines même pas à quel point.
Elle est à ce moment-là, dans ses atours de provocatrice, sublime. Je constate combien cette fille est dans son élément, combien la douleur fait partie de son essence. Bien entendu pour moi qui n’ait fait qu’effleurer ce monde, ça reste encore un mystère, une incompréhension même. Pourtant, j’ai pu apprécier ce subtil moment où je me suis sentie basculer, où d’une façon incompréhensible la douleur est devenue plaisir. Mais je n’ai pas, sans aucun doute possible, le même seuil de tolérance que cette effrontée. A sa façon, elle m’entraîne sur les chemins tortueux de la soumission et je n’en suis qu’au tout début je le reconnais humblement.
Mon bras se lève de nouveau pour cingler ses tétons qui réclament que je les traite avec plus de vigueur. Le claquement de la cravache raisonne dans le silence ouaté de la pièce, elle pousse un léger gémissement, je recommence en intensifiant un peu la force d'un nouveau coup. Elle ne me lâche pas des yeux, son regard semble m’encourager à continuer. Je fais de nouveau claquer la cravache sur sa poitrine, qui commence à se strier de rouge. Une excitation malsaine s’empare peu à peu de moi, je prends plaisir à malmener cette jeune poitrine fièrement dressée. Je la fouette, et renouvelle mon geste en augmentant chaque fois un peu plus la pression des coups portés. Alice gémit de plus en plus fort, mais je ne saurais dire si c’est de plaisir ou de douleur. En voyant ses seins marqués par mes coups, je suis subitement envahie par un sentiment de toute puissance. Cette fille est sous mon joug et j’adore ça. Je peux choisir de la malmener comme d’être plus douce avec elle. Céder aux caprices de mes envies, jouer avec son corps comme bon me semble. Je lâche la cravache et vient caresser puis lécher ses plaies. Ses tétons aux allures d’appétissantes framboises me tentent irrésistiblement, je les prends tour à tour dans ma bouche pour les lécher, les sucer goulument. Alice semble apprécier ce changement de traitement, ses tétons sont très réactifs, je m’en amuse. La donzelle se tortille sous mes coups de langue, mes coups de dents. Pour m’en assurer je glisse un doigt dans la fente de sa chatte, la petite salope est trempée. Je lui barbouille les lèvres de sa cyprine.
- Tu apprécies que je te tête salope !
Pour seule réponse, elle passe sa langue sur ses lèvres. Je me précipite sur sa bouche pour goûter avec elle le goût de sa liqueur.
- Tu vas apprécier le sort que je te réserve alors.
Je saisis les deux globes transparents du tire lait, et les appose sur sa poitrine. Ces globes de bonne taille enveloppent la moitié de chaque sein.
- Je vais te traite comme une vulgaire vache.
En m’entendant prononcer ces mots, je ressens au fond de moi un vicieux plaisir à ce que je suis en train de faire.
Je mets la machine en route, qui aussitôt aspire avec force la poitrine d’Alice. Je vois avec joie que celle-ci ne reste pas insensible à cette violente aspiration, elle gémit aussi tôt de douleur et de plaisir sans aucun doute possible. C’est tétons grossissent à vue d’œil sous la force de la trayeuse, je m’approche d’elle, m’agenouille entre ses cuisses que je caresse de mes lèvres en remontant au creux de l’aine là où la peau est si sensible. Le bruit de la machine m’indispose un peu, mais ses gémissements viennent me ravir les oreilles, j’ai très envie de cette chatte dont l’odeur de cyprine ne fait qu’accroître mon désir. Mes lèvres sont maintenant sur les siennes, je glisse ma langue dans la fente détrempée de son miel. Je viens me désaltérer à la source de son plaisir, par petits coups puis bien plus voracement, cette salope m’excite au-delà du raisonnable. Je saisis la cravache qui gisait sur le sol, je tapote son sexe. Je vois clairement son corps réagir et le son de sa voix moduler à chaque petit coup donné.
De nouveau je sens en moi le désir de la maltraiter, alors je frappe sa chatte plus fort, visant son clitoris. La chienne glapit, je ressens le besoin de la faire crier. Mes coups se font encore plus forts, j’y prends un malsain plaisir. Vois sa chatte rosir me ravit. J’ai envie de faire jouir cette petite garce mais je prends goût dans le même temps à la faire souffrir.
J’attrape les deux pinces à tétons, et je ne sais pas comment cette idée m’est venue, mais je décide de les fixer sur chacune de ses lèvres béantes. Je m’emploie donc à fixer les pinces une par une, Alice tressaille, je ne relève pas la tête pour ne pas croiser son regard, je ne suis pas forcément fière du sort que je lui réserve, mais j’en ai très envie, il faut que j’aille au bout de l'idée que je vois de plus en plus clairement se dessiner dans mon cerveau devenu aussi diabolique que mes deux tortionnaires.
Je m’assois entre les jambes de la crucifiée, qui gémit au-dessus de moi. J’ai une vue imprenable sur sa vulve aux lèvres distendues par les pinces aux poids rutilants, sur l’entrée de son vagin gluant de cyprine ainsi que son anus, petit œilleton étoilé. C’est lui qui va faire les frais de mes désirs inavouables.
Je glisse ma main entre les lèvres de sa chatte, l’enduit de sa mouille et viens caresser cette petite rondelle objet de tant de fantasmes. Je me sens fébrile, je suis surexcitée, une vraie salope, un extra lucide pourrait voir pousser les cornes de diablesse sur ma tête…
J’accentue ma pression sur cet orifice avant d’y pénétrer le majeur et l’index, celui qui m’indique le chemin. Petit cri d’Alice, elle n’est donc pas insensible… je glisse maintenant quatre doigts que je fais aller et venir avec plus ou moins de délicatesse.
Le corps de la blondinette se tend, se cabre.
- Tu apprécies ma main dans ton cul chienne ?
- Ouiii ! Parvient-elle à prononcer dans un souffle.
Ce oui m’ouvre en grand la porte de son cul. C’est maintenant au tour de mon pousse de rejoindre ses petits camarades dans la chaleur de cet écrin de douceur.
Je serre les dents ; je veux sentir ma main entière pénétrer cet étroit fourreau.
D’une poussée, elle se trouve absorbée par le cul de la jeune demoiselle qui pousse un cri entre rage et plaisir. De mon côté, c’est tempête sous mon crâne, je suis comme transcendée par se fist, je ferme mon poing et défonce l’anus de la belle écartelée. Je n’ai plus aucune retenue, mon bras s’enfonce un peu plus loin à chacune de mes poussées. Et la belle cède enfin, ses cris emplissent la pièce. Prise dans l’étau subtile de la douleur et du plaisir, ses seins toujours aspirés par cette machine, ses lèvres distendues par les poids et mon poing qui s’engouffre dans ses entrailles et qui les fouille sans la moindre pitié, lui font perdre pied. Je suis hors de moi, mon ventre est tendu par le désir tellement tout cela m’excite. Je m’agenouille, mon bras bien empalé dans son petit cul, et je prends sans clito entre mes lèvres, sa cyprine me coule sur le visage. Ma langue s’agite sur son petit bouton devenu si dur.
Le parfum de son sexe m’enivre, le goût de sa cyprine est une merveille qui émoustille mes papilles et mes sens. Nous voilà embarquées vers l’Olympe de la décadence.
Ma main est délicieusement enveloppée par la moiteur de son cul, un gant d’une douceur comme je n'en avais jamais revêtu auparavant.
Sous la fébrile agitation de ma langue, la jeune enculée est en train de défaillir de plaisir, je sens tout son corps vibrer, palpiter avant de se tendre vers un onirique orgasme. Autour de mon avant-bras je ressens les contractions de sa rondelle distendue, déchaînement des sens sursollicités, elle rugit telle une lionne, je la regarde, véritable réincarnation d’Inanna, déesse du sexe et de la sensualité, au visage ruisselant de larmes et de sueur. Elle resplendit parée de la lueur moirée des bougies disposées tout autour de notre chambre entièrement dédiée à nos désirs les plus sombres.
Lorsque la tension redescend enfin, je retire doucement ma main du corps de la belle, délicatement j’hôte les pinces qui martyrisent ses lèvres, elle sursaute mollement. J’arrête la trayeuse et retire avec beaucoup de précaution les deux globes de ses seins. Ses tétons ont doublé de volumes.
Je la détache tout en la retenant, elle tremble sur ses fines gambettes. Une fois libérée je la dépose avec moulte précautions sur le lit. Son regard est d’une douceur que je ne lui avais pas encore vu. Je l’embrasse avec beaucoup de tendresse, comme si je désirais effacer par ce baiser les mauvais traitements infligés. Elle me rend ce baiser avec la même douceur. Je me redresse, lui souris quand nous sursautons en entendant la voix de Maître François.
- Quelle belle paire de salopes vous faites toutes les deux, il n’y en a pas une pour rattraper l’autre. Regardez-vous, vous êtes répugnantes, vous puez le stupre à plein nez, venez prendre ma bite dans vos bouches de putes.
Je ne sais pas ce qui se passe à ce moment-là, c’est comme une illumination et je sais que ce que je vais faire ne va pas plaire, mais c'est un choc, une véritable révélation.
Je me lève, me dirige lentement vers le Maître et, tout en marchant, je détache mon collier en le regardant fixement.
- Désolée, mais je vous rends ce collier. Ces derniers moments passés à dominer Alice m'ont révélé combien je prenais plaisir à faire subir plutôt qu'à subir et je veux continuer sur cette voie. Je vous remercie de m'avoir finalement permis de découvrir ce qui se cachait au fond de moi. Je pense que je ne suis pas faite pour continuer la relation dans laquelle vous avez voulu m’entrainer ; en tout cas j’arrête là avec vous et je vais poursuivre avec cette mignonne petite salope si elle le désire.
Et je lui dépose le collier sur les genoux. François est visiblement dépité, mais reste fairplay.
- Cette décision t’appartient et je la respecte… Vous m’excuserez mais je ne vais pas rester plus longtemps, ma place n’est plus ici et de toute façon, j'ai un boulot à terminer avant de rentrer à la maison près de ma compagne.
Sur ce, il se lève et quitte la maisonnette sans se retourner.
Alice, assise en tailleur sur le lit, me dit alors :
- Alors comme ça tu veux jouer les Maîtresses ?
- Pourquoi pas, j’ai adoré abuser de toi, jouer avec ton corps, te réduire à l’état d’objet de mes désirs.
- Oui ce n’est pas aussi simple que ça. Mais soit, je serai ta soumise jusqu’à demain. Pour l'instant, allons nous décrasser et manger quelque chose, j'ai la dalle !
En nous dirigeant vers la salle de bain, nous passons devant le tableau qui m’avait interpellé à mon arrivée, le tableau sur lequel, Alice est peinte avec un cheval.
- Tu aimes les chevaux ? me demande-t-elle.
- Oui, beaucoup.
- On pourrait aller faire un tour à l’écurie demain si tu veux ?
- Ah oui avec plaisir……
Pubblicato da RoseMaryass
3 mesi fa
Commenti
11
Ti invitiamo ad or per pubblicare dei commenti
Toucantoucan1
Toucantoucan1 2 mesi fa
a RoseMaryass : Pourtant tu es douée 
Rispondi Mostra il commento originale
RoseMaryass
RoseMaryass Editore 2 mesi fa
a Toucantoucan1 : Merci beaucoup, non je ne pense pas en avoir la capacité, je suis consciente de mes limites 
Rispondi Mostra il commento originale
Toucantoucan1
Toucantoucan1 2 mesi fa
Je suis subjugué par ce récit, tu as déjà pensé à écrire des livres ? 
Rispondi
Frenchitude
Frenchitude 3 mesi fa
Incroyable récit. Tellement plus puissant que l'image. On est en direct dans ta tête. En direct avec tes envies aussi tordues que sensuelles. Au delà du talent d'écriture, c'est la passion qui transpire de ces lignes. Encore !
Rispondi
solcaliente
solcaliente 3 mesi fa
la malice...a fait éclore de jolis bourgeons..une ouverture sur la domination...le vice est plus que présent en toi...et la liberté retrouvée..
Rispondi
IDAELE 3 mesi fa
j'ai adoré , la fin est aride pour celui qui nous a lié toi et moi et j'ai hâte de lire la suite et que nous remettions en selle , pour la suite de cette aventure ...........
Rispondi
Daddy_Gentleman
Daddy_Gentleman 3 mesi fa
Alice a reçu un traitement comme elle les aime... totalement à ta merci, embrochée, sentant la sueur, la pisse et le foutre, les entrailles fouillées par ton poing... tes cuisses dégoulinantes de cyprine alors que tu découvres avec délice le plaisir de la soumettre totalement à tes envies dépravées...
Rispondi
RoseMaryass
RoseMaryass Editore 3 mesi fa
a hellyeeeeah : Une plume bien taillée rien de tel 😉
Rispondi Mostra il commento originale
ccandau
ccandau 3 mesi fa
superbe révélation te voila maitresse Rose dresse bien cette délurée d'Alice
Rispondi
hellyeeeeah
hellyeeeeah 3 mesi fa
mhmm Alors que la Rose sort ses épines, je dois sortir mon dard luisant... Dur de ne pas s'imaginer à la place de maître François, queue en main,  profitant du spectacle... Toujours la plume aussi fine :kissing_heart: 
Rispondi
caso29
caso29 3 mesi fa
De Soumise Rose Mary passe à dominatrice, cela annonce une belle suite surtout avec Alice
Rispondi