SURPRISE
Promenade surprise.
De temps à autre, je vais faire un tour au bois.
Je stationne sur le parking en bas du chemin.
Sur ce dernier, juste une voiture et deux gamins qui écoute de la musique, les portières ouvertes.
Je prends ma serpe pour couper quelques branches qui vont me servir de rames à petits pois. Je m'enfonce dans le bosquet et commence ma coupe. Une demi-heure plus tard, je reviens à la voiture.
Sortant du bois sur le côté, je vois un des deux jeunes accroupis derrière la portière.
Il est en train de sucer l'autre.
Avec la musique personne ne m’a entendu arriver.
Je pose mes branches et m'approche de la voiture pour les regarder.
Celui assis sur le siège ouvre les yeux, me regarde et appuis sur la tête de l'autre pour bien enfoncer la bouche.
Il ne dit rien et me regarde.
Je m'approche et sort ma bite pour me branler.
Il me fais signe de m'approcher, tend la main et saisi ma queue qui grossi encore plus.
Ils sont jeunes, pas loin de vingt ans, mais il branle bien, sa main est chaude.
Tenant toujours la tête de l'autre, enfoncée sur sa bite.
Il me tire vers lui, se penche et avale ma bite sans hésiter.
L'autre s'aperçois de ma présence et veux arrêter.
Il lui ordonne de continuer, car exciter surement par ma présence, il s'agite et décharge dans la bouche de son compagnon.
Il s'excite sur ma bite, lâche son copain qui se redresse et nous regarde.
Je caresse la bosse de son pantalon de toile gonflé.
Je lui sors la bite raide et bien décalottée que je branle rapidement, en lui mettant un doigt dans le cul.
Je sens qu'il va jouir, alors je dis à celui qui me suce d’arrêter de boire son pote, que je viendrais après.
Je le regarde recevoir la semence dans sa bouche et il veut tout recracher.
Je lui ordonne d'avaler, quand on est une salope on avale, un point c'est tout.
Il le fait en faisant la grimace.
Sitôt avalé, je leur dis de me sucer, au bout de dix minutes de suçage, j'envoie quelques jets dans la bouche de celui que j'avais obligé à avaler.
Là il ne dit rien, me regarde et avale mon foutre épais, mais pas abondant.
Sans un autre mot, je remballe ma bite et leur dit peut-être à une autre fois.
Je retourne à ma voiture.
Les mecs me regardent partir.
Au moment de passer près d'eux, je leur dis :
- « Merci les p’tits gars. »
Je regarde dans mon retro et les vois de nouveau se branler contre la voiture.
De temps à autre, je vais faire un tour au bois.
Je stationne sur le parking en bas du chemin.
Sur ce dernier, juste une voiture et deux gamins qui écoute de la musique, les portières ouvertes.
Je prends ma serpe pour couper quelques branches qui vont me servir de rames à petits pois. Je m'enfonce dans le bosquet et commence ma coupe. Une demi-heure plus tard, je reviens à la voiture.
Sortant du bois sur le côté, je vois un des deux jeunes accroupis derrière la portière.
Il est en train de sucer l'autre.
Avec la musique personne ne m’a entendu arriver.
Je pose mes branches et m'approche de la voiture pour les regarder.
Celui assis sur le siège ouvre les yeux, me regarde et appuis sur la tête de l'autre pour bien enfoncer la bouche.
Il ne dit rien et me regarde.
Je m'approche et sort ma bite pour me branler.
Il me fais signe de m'approcher, tend la main et saisi ma queue qui grossi encore plus.
Ils sont jeunes, pas loin de vingt ans, mais il branle bien, sa main est chaude.
Tenant toujours la tête de l'autre, enfoncée sur sa bite.
Il me tire vers lui, se penche et avale ma bite sans hésiter.
L'autre s'aperçois de ma présence et veux arrêter.
Il lui ordonne de continuer, car exciter surement par ma présence, il s'agite et décharge dans la bouche de son compagnon.
Il s'excite sur ma bite, lâche son copain qui se redresse et nous regarde.
Je caresse la bosse de son pantalon de toile gonflé.
Je lui sors la bite raide et bien décalottée que je branle rapidement, en lui mettant un doigt dans le cul.
Je sens qu'il va jouir, alors je dis à celui qui me suce d’arrêter de boire son pote, que je viendrais après.
Je le regarde recevoir la semence dans sa bouche et il veut tout recracher.
Je lui ordonne d'avaler, quand on est une salope on avale, un point c'est tout.
Il le fait en faisant la grimace.
Sitôt avalé, je leur dis de me sucer, au bout de dix minutes de suçage, j'envoie quelques jets dans la bouche de celui que j'avais obligé à avaler.
Là il ne dit rien, me regarde et avale mon foutre épais, mais pas abondant.
Sans un autre mot, je remballe ma bite et leur dit peut-être à une autre fois.
Je retourne à ma voiture.
Les mecs me regardent partir.
Au moment de passer près d'eux, je leur dis :
- « Merci les p’tits gars. »
Je regarde dans mon retro et les vois de nouveau se branler contre la voiture.
2 anni fa