La barmaid intérimaire
Je fréquentais souvent un bar libertin à Toulon où les hétéros, les bi, les gays , les couples pouvaient entrer. Dans ce bar il arrivait souvent que des soirées chaudes étaient organisées et sa réputation avait traversé les frontières de la ville, du pays parfois. On croisait toutes les langues dans ce lieu magique où femmes et hommes se libéraient de bcp de tabous.
Avec le temps, j'avais sympathisé avec le personnel, notamment masculin, particulièrement avec le barman Marceau qui était à croquer avec son buste d'athlète romain au corps glabre et légèrement enduit de crème pour mieux étaler ses muscles.
Ses muscles m'avaient approché à plusieurs reprises déjà et je n'avais su résister....Une frêle demoiselle, timide et introvertie comme moi n'avait eu d'autre choix que d accepter d'aller dans l'arène pour affronter sa sodomie virile, son sexe de centurion romain.
Dans le même temps j avais aussi sympathisé avec Flora la barmaid en titre, celle qui excellait dans les cocktails aux noms paradisiaques comme le bloody mary, le sex on the beach et tant d autres. Lorsqu'elle officiait plusieurs heures en voyant les coïts des autres son corps se chargeait d adrénaline et son string de cyprine.
Elle se retenait longuement pendant le service mais plus la nuit avançait et plus elle se retenait pour ne pas nuir à son job, pour ne pas manquer les breuvages courus dans la région. Cependant elle n était pas de marbre et son corps le lui faisait forcément rappeler. Je la voyais agir et souvent cette petite salope me donnait des envies de folie.
Un soir, elle dut se décommander auprès du patron pour des raisons médicales.
Ce dernier paniqua en cherchant à la remplacer sachant pertinemment que ce serait la galère pour en trouver une compétente.
Ni une ni deux, présente à ce moment là je proposais ma candidature.
Ce dernier étudia la question un long moment qui dura 9 longues secondes avant d accepter. Il présenta son acceptation comme une idée d'innovation, idée qui devait donner du boost à la soirée en proposant une barmaid différente.
Bien entendu j avais vu flora faire ses cocktails et je pouvais les reproduire, surtout ceux sous les tables qu'elle réalisait avec un savoir faire inégalé. Les queues dans sa bouche étaient assurées de finir épongées comme les verres qu'elle servait. Le nectar masculin de ces chanceux finissaient tous dans sa gorge et aucune chance de voir un cocktail à liqueur de foutre, elle avait l exclusivité de la formule et avalait tout pour cacher ses recettes. Son corps était un vrai coffre fort de la banque du sperme.
Embauchée pour le soirée je me fis un honneur d'enfiler une petite jupette affriolante digne de faire monter la température estivale histoire de pousser à boire les consommateurs et dans ma tête, sans le dire, pas que ça !!!
Bas chair pour ne pas dépareiller dans la nuit méditerranéenne et talons vertigineux pour que mes fesses cognent entre elles plus vivement encore qu'à leur habitude.
Ce soir là, j arrive de bonne heure pour prendre mes marques et réviser mes classiques. J'avais mis un rouge à lèvres haut en couleur qui se voyait comme le nez au milieu de la figure.
Les premiers clients arrivent et entre les tables dès mes premiers services je sens des mains baladeuses caresser mes fesses qui ne détestent pas se faire flatter.... Pour remercier ces gentils hommes je patiente toujours quelques secondes (60s) pour qu'ils puissent profiter de mon cocktail maison. J ondule les fesses pour suivre le mouvement des mains, parfois mon string s'écarte laissant la place à un doigt inquisiteur que je ne connais pas, ou pas encore.
La soirée se déroule normalement jusqu'à ce que je trébuche dans le bar alors que je m apprête à servir une commande. Mon plateau vient atterrir sur le tee shirt blanc moulant de Marceau. Malheur, il était blanc ! Il ne l est plus !! Seul Marceau est blanc de colère et d incertitude. Comment il va faire pour opérer à son bar.
Je me précipite sur lui pour m excuser et l aider à se débarasser d un tee shirt qui fait tâche dans cette ambiance feutrée et classe. Devant l'assemblée générale je l aide à passer son shirt au dessus de sa tête et son musc corporel envahit mes narines immédiatement. Très sensible aux odeurs ce musc remue mes sens sans explication. Le mâle dans toute sa virilité, l'homme qui décide, qui impose. Médusée par son flegme britannique je reste un instant en suspension tandis que les clients scandent à l'unisson : Candice le bisou, le bisou !!! Candice le bisou, le bisou !!!
Un piège dont je dois m extirper au plus vite au risque de devenir incontrôlable. Je connais ma faculté de résister devant les mets croustillants.
Candice le bisou ! Le bisou ou PLUS continue de crier la foule du bar.
Je n'arrive plus à me maîtriser et me voilà entrain d embrasser son torse si beau, si invitant....je dépose des baisers partout au point de ressembler à une championne de tags au rouge à lèvres écarlate.
Les clients sont ravis et m invitent à décorer le barman sur tout son corps....
J'ai maculé son corps de rouge déjà, que veulent ils de plus ?
Où dois je embrasser encore, où sont les parties clean restantes...les parties ???
Je viens de parler de parties !!!
Malheur me voilà entrain de débraguetter Marceau qui ne résiste pas une seconde. Il faut dire que mes mains vernies n ont cessé de caresser le reste de son corps pour le mettre en ébullition. Le troublions caresse son boxer comme pour montrer le volume de son épée
Je plante une main dans son caleçon en coton VERSACE et je sens en effet une protubérance significative déformer le tissu. Afin de préserver l élasticité du boxer je sors l'engin qui y est confiné et un instrument de belle facture s'offre à moi.
Le sexe de Marceau est "énorme" à mes yeux. Je sais que ma bouche va adorer le calmer.
Je plonge dessus pour contenter la foule qui s'obstine à me voir sucer une bite. Je ne souhaite pas d émeute et je dépose ma marque de fabrique rouge sur la base du gland. Voilà Marceau promu Colonel avec un galon attribué sans cérémonie.
Je viens de saisir en bouche cette queue chaude et moelleuse et je m'agenouille pour mieux sucer.
LA foule hurle de déception. Mes actes sont masqués par le comptoir et elle ne peut apprécier la scène.
Marceau et moi même contournons le bar et je me place à ses genoux devant une clientèle en liesse qui encourage mes actes.
Je prends le gland de mon barman préféré et je le caresse partout sur le torse, le ventre, les fesses. Je sens qu il apprécie cette caresse et j accentue cette dernière pendant que mes lèvres s occupent intensément de son gland. J'hume ses couilles qui sentent l effort, qui sente le gaillard viril, pleines de testostérones. L'enfoiré se régale de jouer les acteurs pornos. Il veut enflammer la foule féminine qui regarde en mouillant abondamment les culottes en dentelles. Des flaques de mouille pourraient bientôt apparaitre sur le plancher.
S imaginent elles à ma place ou à la sienne entrain de se faire brouter leurs minous.
Nos ébats à peine entamés ont mis le feu aux poudre, le bar est devenu une salle d orgie, un baisodrome. Des femmes se font sucer le clito dans le coin tout en suçant une bite baladeuse, certaines se doigtent frénétiquement. Des hommes caressent des femmes seules, des hommes se branlent aussi, certains ont déjà tout craché ou en sont sur le point de le faire. Des hommes se sucent ou se sodomisent sans craindre les jugements de leurs épouse ou compagnes. Ces dernières s essayant à leur tour au lesbianisme ou à des pratiques inédites pour elles.
Toutes les odeurs de plaisirs, de sexe débridé se dégagent dans la pièce et épicent les lieux d un puissant aphrodisiaque qui me pousse à performer sur la bite de Marceau et celles qui se sont ostensiblement rapprochées.
Pendant que je suce mon barman un gland caresse mon cou tandis qu un autre agace mes tétons hypers sensibles ce qui décuple mon excitation. Je saisi ses membres perturbateurs et cela m excite plus encore.
Me voilà à 4 pattes devant les couilles de Marceau. Mes mains telles un shaker brassent ses boulles comme pour réussir une chantilly. Ma bouche toujours en action sur sa bite de compétition sent la veine principale se gorger de sang; elle épouse parfaitement sa hampe et longe cette dernière jusqu'à irrigué son gland cramoisi....Je suçote se dernier comme une garce en fixant mon bel Appolon droit dans les yeux.... Je sens que sa volonté de résister est entrain de perdre la partie malgré sa résistance acharnée. Il cherchait à épater les dames de la salle en montrant sa capacité à tenir longtemps comme un combattant retranché à Verdun.
Le voilà de moins en moins solide sur ses jambes. Je continue mon travail de sape et pompe sa queue comme une trayeuse de ferme sur le pis d une vache.
Je profite de quelques faiblesses pour sucer d autres bites à proximité....
Je souhaite lubrifier certaines d entre elles avec ma salive en vue de m offrir corps et âme devant l'immense foule rassemblée en arc de cercle.
Je soulève ma jupe et invite ma dernière victime à me prendre sauvagement pendant que je suce MArceau.
Ce dernier m att**** la tête et me force à faire une gorge profonde que je fais mine de détester.
J ai les lèvres en contact avec ses couilles tandis que mon baiseur arrière flatte mes couilles avec les siennes. Il m'encule si profondément que je me sens totalement possédée.
Il soulève mes tibias en prenant mes talons dans ses doigts et pousse fort sur mon cul. Puis il accélère en devinant que Marceau monte terriblement dans les tours et que ça température dépasse les 38°.
Mes mains saisissent deux couilles bien pleine et pressent dessus tandis que je suce langoureusement mon monstre sportif....19 cms sur 5 s agitent dans ma bouche pendant que son propriétaire gémit tendrement comme un gamin dans son sommeil.
Il dialogue avec moi dans une langue faite de oh et de humm, de ah et de oh ouiiiiii.....
Mon partenaire arrière l'imite avec le talent de Thierry le Luron et ne tarde pas à clore la conversation par un aaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaahhh libérateur.
Marceau s excite aussitôt dans ma bouche en entendant ce cri de plaisir et me pulvérise une giclée de sperme aromatisée aux fruits secs, au cacahuètes salées....(le salaud s est servi dans les coupelles destinées aux clients)
J'avale le tout, selon ma devise, ne rien gâcher alors que des gens meurent de faim sexuelle. J ai le cul comme un braiser et je dois continuer mon service sous un feu d applaudissements. Des mains se lèvent dans la salle pour prendre un ticket sur mon postérieur, d autres bites viennent se poser sur ma bouche car j'ai eu le malheur de proposer open bar.... sans préciser lequel.....
Marceau s est proposé pour me lécher le cul et me nettoyer des souillures des gars expressifs.
Il me mange le cul comme un dégustateur de bonbons. Je suis justement ce bonbon candice qu'il attendait. Je ne résiste pas tandis que sa langue de velours s agite frénétiquement sur mon corps.
Je ne comprends pas ce qui lui arrive quand au détour d"un regard je vois que le garnement se fait manger le cul par une belle et jeune demoiselle sous son charme....elle branle sa queue avec la délicatesse d'une couturière de lingerie fine. Experte elle a déjà réussi à lui redonner de la vigueur. Peut être serais je la grande bénéficiaire de ces caresses revigorantes... si mademoiselle consent à céder sa place et me glisser cette queue de compétition dans ma rondelle... Gentille fille je n'eu pas longtemps à attendre son abdication sexuelle pour ce gland convoité.
La soirée dura une nuit et les oscars furent décernés au petit matin dans une ambiance d allégresse.
J'attends désormais les maux de tête de Flora avec une impatience non dissimulée. La garce prend des doliprane maintenant !!
Avec le temps, j'avais sympathisé avec le personnel, notamment masculin, particulièrement avec le barman Marceau qui était à croquer avec son buste d'athlète romain au corps glabre et légèrement enduit de crème pour mieux étaler ses muscles.
Ses muscles m'avaient approché à plusieurs reprises déjà et je n'avais su résister....Une frêle demoiselle, timide et introvertie comme moi n'avait eu d'autre choix que d accepter d'aller dans l'arène pour affronter sa sodomie virile, son sexe de centurion romain.
Dans le même temps j avais aussi sympathisé avec Flora la barmaid en titre, celle qui excellait dans les cocktails aux noms paradisiaques comme le bloody mary, le sex on the beach et tant d autres. Lorsqu'elle officiait plusieurs heures en voyant les coïts des autres son corps se chargeait d adrénaline et son string de cyprine.
Elle se retenait longuement pendant le service mais plus la nuit avançait et plus elle se retenait pour ne pas nuir à son job, pour ne pas manquer les breuvages courus dans la région. Cependant elle n était pas de marbre et son corps le lui faisait forcément rappeler. Je la voyais agir et souvent cette petite salope me donnait des envies de folie.
Un soir, elle dut se décommander auprès du patron pour des raisons médicales.
Ce dernier paniqua en cherchant à la remplacer sachant pertinemment que ce serait la galère pour en trouver une compétente.
Ni une ni deux, présente à ce moment là je proposais ma candidature.
Ce dernier étudia la question un long moment qui dura 9 longues secondes avant d accepter. Il présenta son acceptation comme une idée d'innovation, idée qui devait donner du boost à la soirée en proposant une barmaid différente.
Bien entendu j avais vu flora faire ses cocktails et je pouvais les reproduire, surtout ceux sous les tables qu'elle réalisait avec un savoir faire inégalé. Les queues dans sa bouche étaient assurées de finir épongées comme les verres qu'elle servait. Le nectar masculin de ces chanceux finissaient tous dans sa gorge et aucune chance de voir un cocktail à liqueur de foutre, elle avait l exclusivité de la formule et avalait tout pour cacher ses recettes. Son corps était un vrai coffre fort de la banque du sperme.
Embauchée pour le soirée je me fis un honneur d'enfiler une petite jupette affriolante digne de faire monter la température estivale histoire de pousser à boire les consommateurs et dans ma tête, sans le dire, pas que ça !!!
Bas chair pour ne pas dépareiller dans la nuit méditerranéenne et talons vertigineux pour que mes fesses cognent entre elles plus vivement encore qu'à leur habitude.
Ce soir là, j arrive de bonne heure pour prendre mes marques et réviser mes classiques. J'avais mis un rouge à lèvres haut en couleur qui se voyait comme le nez au milieu de la figure.
Les premiers clients arrivent et entre les tables dès mes premiers services je sens des mains baladeuses caresser mes fesses qui ne détestent pas se faire flatter.... Pour remercier ces gentils hommes je patiente toujours quelques secondes (60s) pour qu'ils puissent profiter de mon cocktail maison. J ondule les fesses pour suivre le mouvement des mains, parfois mon string s'écarte laissant la place à un doigt inquisiteur que je ne connais pas, ou pas encore.
La soirée se déroule normalement jusqu'à ce que je trébuche dans le bar alors que je m apprête à servir une commande. Mon plateau vient atterrir sur le tee shirt blanc moulant de Marceau. Malheur, il était blanc ! Il ne l est plus !! Seul Marceau est blanc de colère et d incertitude. Comment il va faire pour opérer à son bar.
Je me précipite sur lui pour m excuser et l aider à se débarasser d un tee shirt qui fait tâche dans cette ambiance feutrée et classe. Devant l'assemblée générale je l aide à passer son shirt au dessus de sa tête et son musc corporel envahit mes narines immédiatement. Très sensible aux odeurs ce musc remue mes sens sans explication. Le mâle dans toute sa virilité, l'homme qui décide, qui impose. Médusée par son flegme britannique je reste un instant en suspension tandis que les clients scandent à l'unisson : Candice le bisou, le bisou !!! Candice le bisou, le bisou !!!
Un piège dont je dois m extirper au plus vite au risque de devenir incontrôlable. Je connais ma faculté de résister devant les mets croustillants.
Candice le bisou ! Le bisou ou PLUS continue de crier la foule du bar.
Je n'arrive plus à me maîtriser et me voilà entrain d embrasser son torse si beau, si invitant....je dépose des baisers partout au point de ressembler à une championne de tags au rouge à lèvres écarlate.
Les clients sont ravis et m invitent à décorer le barman sur tout son corps....
J'ai maculé son corps de rouge déjà, que veulent ils de plus ?
Où dois je embrasser encore, où sont les parties clean restantes...les parties ???
Je viens de parler de parties !!!
Malheur me voilà entrain de débraguetter Marceau qui ne résiste pas une seconde. Il faut dire que mes mains vernies n ont cessé de caresser le reste de son corps pour le mettre en ébullition. Le troublions caresse son boxer comme pour montrer le volume de son épée
Je plante une main dans son caleçon en coton VERSACE et je sens en effet une protubérance significative déformer le tissu. Afin de préserver l élasticité du boxer je sors l'engin qui y est confiné et un instrument de belle facture s'offre à moi.
Le sexe de Marceau est "énorme" à mes yeux. Je sais que ma bouche va adorer le calmer.
Je plonge dessus pour contenter la foule qui s'obstine à me voir sucer une bite. Je ne souhaite pas d émeute et je dépose ma marque de fabrique rouge sur la base du gland. Voilà Marceau promu Colonel avec un galon attribué sans cérémonie.
Je viens de saisir en bouche cette queue chaude et moelleuse et je m'agenouille pour mieux sucer.
LA foule hurle de déception. Mes actes sont masqués par le comptoir et elle ne peut apprécier la scène.
Marceau et moi même contournons le bar et je me place à ses genoux devant une clientèle en liesse qui encourage mes actes.
Je prends le gland de mon barman préféré et je le caresse partout sur le torse, le ventre, les fesses. Je sens qu il apprécie cette caresse et j accentue cette dernière pendant que mes lèvres s occupent intensément de son gland. J'hume ses couilles qui sentent l effort, qui sente le gaillard viril, pleines de testostérones. L'enfoiré se régale de jouer les acteurs pornos. Il veut enflammer la foule féminine qui regarde en mouillant abondamment les culottes en dentelles. Des flaques de mouille pourraient bientôt apparaitre sur le plancher.
S imaginent elles à ma place ou à la sienne entrain de se faire brouter leurs minous.
Nos ébats à peine entamés ont mis le feu aux poudre, le bar est devenu une salle d orgie, un baisodrome. Des femmes se font sucer le clito dans le coin tout en suçant une bite baladeuse, certaines se doigtent frénétiquement. Des hommes caressent des femmes seules, des hommes se branlent aussi, certains ont déjà tout craché ou en sont sur le point de le faire. Des hommes se sucent ou se sodomisent sans craindre les jugements de leurs épouse ou compagnes. Ces dernières s essayant à leur tour au lesbianisme ou à des pratiques inédites pour elles.
Toutes les odeurs de plaisirs, de sexe débridé se dégagent dans la pièce et épicent les lieux d un puissant aphrodisiaque qui me pousse à performer sur la bite de Marceau et celles qui se sont ostensiblement rapprochées.
Pendant que je suce mon barman un gland caresse mon cou tandis qu un autre agace mes tétons hypers sensibles ce qui décuple mon excitation. Je saisi ses membres perturbateurs et cela m excite plus encore.
Me voilà à 4 pattes devant les couilles de Marceau. Mes mains telles un shaker brassent ses boulles comme pour réussir une chantilly. Ma bouche toujours en action sur sa bite de compétition sent la veine principale se gorger de sang; elle épouse parfaitement sa hampe et longe cette dernière jusqu'à irrigué son gland cramoisi....Je suçote se dernier comme une garce en fixant mon bel Appolon droit dans les yeux.... Je sens que sa volonté de résister est entrain de perdre la partie malgré sa résistance acharnée. Il cherchait à épater les dames de la salle en montrant sa capacité à tenir longtemps comme un combattant retranché à Verdun.
Le voilà de moins en moins solide sur ses jambes. Je continue mon travail de sape et pompe sa queue comme une trayeuse de ferme sur le pis d une vache.
Je profite de quelques faiblesses pour sucer d autres bites à proximité....
Je souhaite lubrifier certaines d entre elles avec ma salive en vue de m offrir corps et âme devant l'immense foule rassemblée en arc de cercle.
Je soulève ma jupe et invite ma dernière victime à me prendre sauvagement pendant que je suce MArceau.
Ce dernier m att**** la tête et me force à faire une gorge profonde que je fais mine de détester.
J ai les lèvres en contact avec ses couilles tandis que mon baiseur arrière flatte mes couilles avec les siennes. Il m'encule si profondément que je me sens totalement possédée.
Il soulève mes tibias en prenant mes talons dans ses doigts et pousse fort sur mon cul. Puis il accélère en devinant que Marceau monte terriblement dans les tours et que ça température dépasse les 38°.
Mes mains saisissent deux couilles bien pleine et pressent dessus tandis que je suce langoureusement mon monstre sportif....19 cms sur 5 s agitent dans ma bouche pendant que son propriétaire gémit tendrement comme un gamin dans son sommeil.
Il dialogue avec moi dans une langue faite de oh et de humm, de ah et de oh ouiiiiii.....
Mon partenaire arrière l'imite avec le talent de Thierry le Luron et ne tarde pas à clore la conversation par un aaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaahhh libérateur.
Marceau s excite aussitôt dans ma bouche en entendant ce cri de plaisir et me pulvérise une giclée de sperme aromatisée aux fruits secs, au cacahuètes salées....(le salaud s est servi dans les coupelles destinées aux clients)
J'avale le tout, selon ma devise, ne rien gâcher alors que des gens meurent de faim sexuelle. J ai le cul comme un braiser et je dois continuer mon service sous un feu d applaudissements. Des mains se lèvent dans la salle pour prendre un ticket sur mon postérieur, d autres bites viennent se poser sur ma bouche car j'ai eu le malheur de proposer open bar.... sans préciser lequel.....
Marceau s est proposé pour me lécher le cul et me nettoyer des souillures des gars expressifs.
Il me mange le cul comme un dégustateur de bonbons. Je suis justement ce bonbon candice qu'il attendait. Je ne résiste pas tandis que sa langue de velours s agite frénétiquement sur mon corps.
Je ne comprends pas ce qui lui arrive quand au détour d"un regard je vois que le garnement se fait manger le cul par une belle et jeune demoiselle sous son charme....elle branle sa queue avec la délicatesse d'une couturière de lingerie fine. Experte elle a déjà réussi à lui redonner de la vigueur. Peut être serais je la grande bénéficiaire de ces caresses revigorantes... si mademoiselle consent à céder sa place et me glisser cette queue de compétition dans ma rondelle... Gentille fille je n'eu pas longtemps à attendre son abdication sexuelle pour ce gland convoité.
La soirée dura une nuit et les oscars furent décernés au petit matin dans une ambiance d allégresse.
J'attends désormais les maux de tête de Flora avec une impatience non dissimulée. La garce prend des doliprane maintenant !!
1 tahun lalu
