Mon fantasme

Je me suis fait un petit scénario hier soir. Tu étais en tenue de dominatrice. Un corset en latex noir laissait tes seins à l'air. Des jarretelles retenaient tes bas résilles et tes pieds étaient chaussés d'escarpins vertigineux. Quant à ta chatte elle était nue, s'offrant de manière impudique. A tes pieds je me trouvais agenouillée. Un collier duquel pendait une chaîne ceignait mon cou. Moi j'étais nue, hormis un petit top de résille noire, et des jarretelles retenant mes bas et chaussée aussi d’escarpins. Mon sexe encagé était contenu dans sa cage, tandis qu'un plug poney de bonne taille garnissait mon anus. Autre ornement, un large collier de cuir rose et noir muni d’un anneau enserrait mon cou. Bien entendu ma Maîtresse y avait fixé une laisse. Les yeux baissés en position de soumise, j'attendais le bon vouloir de ma maitresse. Ravie et à la fois craintive dans l'attente de ma punition.

-A quatre pattes salope !

Aussitôt je pris la position, croupe bien en l’air garnie du plug poney, reins creusés.

-Parfait ma salope, maintenant on va faire une petite promenade autour du salon.
Saisissant la laisse, elle donna un petit coup sec pour me faire avancer. Servilement, je m’exécutai.

-N'oublie pas es chiennes ça remue la queue.

Avançant à quatre pattes, agitant ma queue de poney, je fis ainsi plusieurs tours du salon tenue en laisse par Maîtresse.

-Hum ! J’adore voir les petites fiottes comme toi, et ce que j’aime le plus c’est en faire des petites soumises. Après cette petite promenade, tu vas honorer ta maîtresse, ma chatte est déjà dégoulinante de mouille et il serait dommage que tout cela se perde.

A peine dit, Maîtresse colla sa chatte trempée sur ma bouche. Aussitôt je me mis à laper son jus de femelle. Sa chatte était une vraie fontaine. Le jus dégoulinait sur mon visage et dans ma bouche. Un régal. Pendant un bon moment je lui broutai sa chatte. Je léchai les grandes lèvres, puis grignotait tendrement ses petites lèvres et son bouton d’amour. Tant et si bien que je finis par déclencher un orgasme chez cette superbe femelle dépravée. Son corps se secouait sous la jouissance. Une fois calmée, elle s’arracha à moi.

D'un coup sec sur la chaîne elle me fit lever, mes mains furent attachées dans mon dos, puis un masque de velours noir masqua mes yeux. Tenue en laisse je suivis ma maîtresse. Un moment d’arrêt, puis je sentis que mon collier était attaché à un point de fixation du mur. -Bien maintenant ma salope tu vas te mettre à quatre pattes et bien cambrer tes reins pour faire saillir ton cul de pute.
N’obéissant pas assez vite, une claque magistrale s'abattit sur mes fesses.
Une fois en position, je sentis le plug poney s'agiter dans mon trou. Il faisait des va vient rapides, m'arrachant des gémissements.

-Ca ma salope c'était juste un petit hors d'œuvre, plaisant n’est-ce-pas ?. Maintenant nous allons passer aux choses sérieuses. Tu sais que tu n'as pas été obéissante, tu as donc méritée d'être punie. Combien mérites-tu de coups de martinet petite conne ?

Indécise, je préférai indiquer un nombre important de suite, sachant que si je minorai trop le nombre de coups, la punition serait bien pire.

-Quarante coups de martinet Maîtresse.

-Bien je vois que tu es raisonnable et que tu as bien compris que c'est une punition méritée.
-Oui Maitresse, répondis-je timidement.
Le premier coup tarda à venir puis d'un seul coup je ressentis la morsure du cuir sur mes fesses. Le coup avait été violent m'arrachant un cri de douleur.
Ta main caressât un instant mes fesses atténuant la douleur, puis les coups se mirent à pleuvoir. A nouveau je criai.

-Ferme la salope sinon je serais obligée d'augmenter les coups. Tu as compris ?

- Oui maîtresse.

Ravalant mes cris et mes larmes, je serrai les dents pendant la nouvelle volée de coups. Malgré la douleur mon petit clito était tout gonflé dans sa cage, tandis qu'un liquide clair suintait du méat.

-Je vois que tu aimes ça ma salope. Tu ne peux pas empêcher ton petit clito de mouiller.

Une fois la punition terminée, elle menotta mes mains derrière mon dos, puis elle me quitta. Toujours aveuglée par le masque, mon petit cul me lançant des ondes de douleur, et le visage ravagé de larmes, je me mis à attendre.
J’avais perdu la notion du temps et le temps que ma maitresse revienne, j’angoissai de plus en plus, imaginant les pires scénarios auxquels ma maîtresse sadique allait me soumettre. Enfin j’entendis le claquement de talons de ma dominatrice.

-Maintenant que ton petit cul est bien assoupli, il va avoir droit à un bon enculage. Tu vas aimer ma salope. Vu que ton petit trou est encore quasi vierge, tu vas goûter au plaisir de la défloration. Allez mets toi à quatre pattes que je puisse te saillir comme une bonne chienne.

Une fois en position, d'un coup sec elle retira le plug poney de mes reins malmenant mon petit trou. Un liquide froid et visqueux inonda ma raie puis ses doigts fouillèrent ma chatte, forçant l'entrée. Au fur et à mesure qu’elle forçait ma chatte, je sentais mon œillet se dilater. Un, puis deux, et enfin trois doigts œuvraient dans mon trou, Jusqu’à ce jour, nul n’avait investi mes reins. J’étais partagé entre l’humiliation du traitement subi, et le plaisir qui commençait à naitre. Mon trou bien lubrifié et le va et vient des doigts produisait des petits bruits liquides. Une fois prête je sentis le bout d'un gode épais glisser dans ma raie, puis il pointa mon œillet et s'enfonça brutalement en moi. Sous la violente pénétration je hurlai ma douleur. C’était comme si un fer rouge m’avait brutalement pénétré.

-Oui ma pute, crie comme une bonne truie, gueule, personne ne peut t’entendre..

L'enculage dura une bonne dizaine de minutes, heureusement la douleur s'était atténuée, faisant la place à un plaisir grandissant. Maîtresse me pénétrait avec des va et vient rapides, puis ralentissait, avant de m’enculer à nouveau, brutalement. Ses cuisses tapaient violement contre mon cul. De temps en temps elle ponctuait l’enculage en me claquant vigoureusement les fesses, tout en me traitant de toutes sortes d'insultes. Ma prostate malmenée par le violent enculage m'amena rapidement à la jouissance et brusquement une onde de plaisir s'éleva de mes reins malmenés, et des jets laiteux fusèrent de mon sexe toujours douloureusement comprimé dans sa cage.

-Ah tu jouis ma salope !

- Oh oui maîtresse.

Le gode sortit de mon cul. Une fois détachée et mes yeux libérés du masque, je constatai que ma jouissance avait provoqué une petite mare de sperme sur le carrelage.

-Une séance de nettoyage s'impose ma petite soumise. Tu vas commencer par mon gode.

Totalement asservie, je m'agenouillai devant ma maîtresse puis consciencieusement je me mis à lécher le gode souillé. Une fois propre je dus nettoyer le carrelage nappé de foutre.

-Alors ma salope, cette petite séance t'as plu ?

- Oh oui Maitresse, tout en pensant que je devenais de plus en plus soumise à cette femelle perverse.

-Ce soir quand ma fille sera là tu auras encore droit à une bonne séance d'enculage, et vu la dilatation de ton cul, je pense que nous passerons au calibre supérieur. Maintenant que ton trou du cul n’est plus vierge, tu auras le plaisir de te faire enculer tous les jours. Mes copines seront enchantées de baiser un mignon petit travelo comme toi. De plus mon mari adorera sûrement se faire sucer, avant de t’enculer. Lui aussi aime les petites tafioles .
En attendant tous ces délicieux plaisirs tu vas être à nouveau pluguée et tu vas en profiter pour faire un peu de ménage. Allez mets-toi au boulot connasse.

solenetv

Je suis sûre que beaucoup de copines ont dû subir ce genre de scénario. Pour ma part ce n'est pas encore le cas. En bonne petite salope prévoyante, j'ai déja le collier et le plug poney. Bises à toutes