Passé en retour – épisode 1
Passé en retour – épisode 1
Lorsque je découvre le message sur le réseau professionnel, j’ai un moment d’hésitation en voyant le nom de l’expéditeur, pensant à un homonyme. Mais quand je prends connaissance du contenu, je suis aussi surpris et plutôt content de constater qu’il s’agit bien d’Isabelle Marin, une de mes « ex » à l’époque où je vivais encore en province chez mes parents.
Ça doit faire plus de vingt ans qu’on s’est perdus de vue.
J’ai bien eu ensuite épisodiquement des nouvelles par des vieux copains que j’ai depuis aussi perdus de vue mais rien de plus. Je garde un bon souvenir d’Isabelle. C’était une petite blonde tirant sur le roux toujours pétillante mais complexée par un cul trop lourd et une poitrine de gamine qui se limitait à deux épais tétons roses.
Nous étions sortis ensembles en terminal pendant plusieurs mois. Après le bac, elle était partie poursuivre ses études sur Bordeaux et moi Paris. Même si nous n’étions plus à la colle à cette époque, nous nous étions juré une amitié éternelle et nous ne nous étions bien entendu plus revus après.
Mais je me souviens surtout d’Isabelle au lit.
C’était une vicieuse qui ne s’assumait pas.
Le genre à qui on peut tout faire dès lors qu’on prend l’initiative en la bousculant. J’adorais son regard honteux sous lequel couvait l’excitation quand elle me reprenait en bouche après que je lui ai éjaculé sur le visage et que je la traitais de chienne. Mais ce que j’aimais plus que tout, c’était quand elle se mettait à quatre pattes puis se cambrait en écartant ses fesses à deux mains, attendant en tremblant que je choisisse sa chatte ou son cul.
Le plus souvent, c’était son cul.
C’était la première fille que j’enculais, et elle est d’ailleurs restée la seule durant très longtemps. A l’époque, les filles acceptant la sodomie étaient considérées comme les dernières des salopes, raison pour laquelle je n’ai jamais dit à personne que c’est ce qu’elle préférait.
Mais lorsqu’elle est sortie avec Martial un peu plus tard, il n’a pas eu les mêmes scrupules et l’image d’Isabelle en a été sévèrement altérée. Nous ne nous fréquentions plus vraiment elle et moi car Martial n’était pas à proprement parler un de mes copains loin s’en faut, et comme c’était la province, tout se savait rapidement.
Du coup j’entendais tout un tas de choses sur le compte d’Isabelle. Sur les soirées ou elle allait. Sur ce qu’on lui faisait. Sur le surnom qu’on lui donnait. Quand j’étais avec mes copains, je faisais le dégouté mais en fait, j’avoue que ça m’excitait. J’étais déjà un vicelard à l’époque, c’est juste que je n’assumais pas l’idée.
Je m’aperçois que cette rapide plongée dans mes souvenirs me fait bander.
Et c’est donc en bandant que je réponds au message d’Isabelle et lui propose de nous retrouver mercredi soir pour dîner et parler du « bon vieux temps ». L’avantage depuis mon divorce c’est que je n’ai plus besoin d’inventer des excuses pour expliquer l’inexplicable quand je sacrifie à mes envies.
J’arrive cinq minutes avant l’heure du rendez-vous. Isabelle est déjà attablée. Elle n’a pas beaucoup changé. Toujours un peu bouboule dans son tailleur mais sans excès, et le même pétillement dans les yeux quand elle se lève pour me faire la bise. Je l’étreins un peu plus longtemps que nécessaire et elle se laisse faire. Nous prenons une coupe et échangeons sur nos vies.
Plus de vingt ans de mariage et un divorce il y a trois ans pour moi, globalement la même chose pour elle sauf que pour le divorce : elle est encore en instance. Pas d’enfant de part et d’autre. Un voile passe dans ses yeux quand elle le dit. Je ne relève pas : je ne suis pas là pour ça et je m’en fiche.
Coté pro, elle est auditrice pour des boites internationales et depuis la séparation, elle est « boulot boulot à fond ». Nous commandons le diner puis nous passons en revue les nouvelles des copains que nous avons en commun. Ou plutôt avions. Je comprends que son divorce est compliqué et que ses amis ont majoritairement soutenu son mari. J’imagine que c’est une des raisons pour laquelle elle ratisse large au point de revenir à ses années lycée.
Avec les années, elle a appris à se protéger. Sa communication est réfléchie, posée. Elle a même acquis une forme d’assurance froide matinée d’arrogance. Ça me donne envie de la déstabiliser, qu’elle se retrouve à nouveau avec le même regard honteux que quand elle était à genoux avec le visage couvert de foutre. C’est pour ça que je lui demande sans cesser de sourire :
- Et ce mec que tu as eu après moi en terminal, Martial si je me souviens bien… Tu sais ce qu’il est devenu ?
Je vois que j’ai fait mouche. Elle n’arrive pas à contrôler le léger tremblement de ses lèvres quand elle répond :
- Non je... On ne… Je n’ai pas vraiment cherché à savoir pour être honnête.
Elle baisse les yeux, mal à l’aise. Ça suffit à me faire bander et c’est toujours en souriant que j’ajoute d’un ton neutre :
- J’imagine… Et sinon entre deux audits et avec le divorce, tu trouves encore le temps de te faire enculer ?
Elle s’empourpre d’un coup et me regarde comme si je venais de la gifler. J’avoue que j’aimerai bien d’ailleurs. Pour autant, elle n’est visiblement pas choquée, juste abasourdie que j’ai osé dire ça ici. Elle regarde autour de nous, probablement pour vérifier que personne n’a entendu. Ma queue durcit encore et j’insiste, utilisant à dessein le surnom qui lui pourrissait la vie :
- Eh bien, réponds, Isanal : tu aimes toujours te faire défoncer le cul ?
- Je… Oui.
- Oui quoi ?
- Oui j’aime toujours me faire… défoncer le cul.
- Et c’est pour ça que tu as souhaité renouer avec moi ?
- Mais non ! Je voulais juste qu’on se revoit. Qu’on passe un bon moment. Discuter.
- C’est ce qu’on fait non ?
- Oui, c’est ce qu’on fait mais…
- Mais quoi ? Finalement même après 20 ans, même drapée dans ton joli tailleur de marque, tu restes la même paillasse qui se faisait tourner par le cul dans les caves non ?
- Tu es un salaud…
- Ça on est bien d’accord. Et je suis sûr que ça te fait mouiller. Tellement mouiller que ça te coule dans la raie des fesses et que ça graisse ton trou de pute.
Je vois ses narines qui se dilatent. Son souffle devient plus court. C’est ça qu’elle aime : être percée à jour, humiliée. Probablement même encore plus qu’avant. Je vois bien qu’elle oscille entre m’envoyer chier et continuer le jeu. Elle doit vraiment être en manque vu qu’elle répond :
- Oui ça me fait mouiller.
Maintenant que j’ai eu ce que je voulais, j’abandonne le sujet comme je l’avais lancé et relance la discussion sur des banalités. Vu comme elle était ferrée, la frustration est évidente et Isabelle est totalement déstabilisée. Elle tente plusieurs commentaires aussi salaces que maladroits pour ramener l’échange sur le sexe mais je contre habilement. Du coup, alors que nous sommes au café, c’est elle qui propose d’un ton léger :
- Tu souhaites que nous prolongions nos retrouvailles chez moi ?
- Après toutes ces années, j’ai beaucoup changé, Isabelle. Mes goûts et mes… envies aussi.
C’est vrai mais à moitié.
Comme déjà indiqué, j’ai toujours été un pervers, c’est juste que depuis que je suis à nouveau célibataire, je concrétise mes fantasmes violents et sordides. Bien entendu, ma mise en garde n’a pas d’autre objectif que de l’intriguer afin que ce soit elle qui me propose de les exercer sur elle. Je sais bien qu’elle n’est pas dupe mais vu son état d’excitation, c’est bien entendu ce qu’elle s’empresse de faire :
- Et alors ? Ça pourrait me plaire…
- Ça pourrait… Mais il faudrait dans ce cas que tu aimes qu’on te fasse mal. Vraiment mal. C’est ça qui me fait vraiment bander. Et après, je peux t’éclater l’anus en force.
Elle est ferrée. Je le vois. Mais je sais qu’elle ne va pas se rendre aussi facilement donc je ne suis pas surpris quand elle répond avec un mépris étudié :
- C’est le genre SM. Ces trucs de malades ?
- Ces trucs de malade là, oui.
- En effet tu as raison, ça ne collerait pas. Je veux bien être un peu bousculée mais ça doit rester ludique.
Ludique, tu parles !
Et se faire enculer à la chaîne par des inconnus jusqu’à ce que ton trou reste béant, c’est ludique peut être ?
Je vois bien que c’est plutôt elle qu’elle cherche à convaincre quand elle continue son laïus, expliquant ce qui « se fait » et ce qu’on ne doit pas faire.
Comme je l’imaginais, on se quitte un peu froidement même si Isabelle essaie de plaisanter. Mais j’ai l’habitude.
La graine est semée, je n’ai plus qu’à attendre...
Lorsque je découvre le message sur le réseau professionnel, j’ai un moment d’hésitation en voyant le nom de l’expéditeur, pensant à un homonyme. Mais quand je prends connaissance du contenu, je suis aussi surpris et plutôt content de constater qu’il s’agit bien d’Isabelle Marin, une de mes « ex » à l’époque où je vivais encore en province chez mes parents.
Ça doit faire plus de vingt ans qu’on s’est perdus de vue.
J’ai bien eu ensuite épisodiquement des nouvelles par des vieux copains que j’ai depuis aussi perdus de vue mais rien de plus. Je garde un bon souvenir d’Isabelle. C’était une petite blonde tirant sur le roux toujours pétillante mais complexée par un cul trop lourd et une poitrine de gamine qui se limitait à deux épais tétons roses.
Nous étions sortis ensembles en terminal pendant plusieurs mois. Après le bac, elle était partie poursuivre ses études sur Bordeaux et moi Paris. Même si nous n’étions plus à la colle à cette époque, nous nous étions juré une amitié éternelle et nous ne nous étions bien entendu plus revus après.
Mais je me souviens surtout d’Isabelle au lit.
C’était une vicieuse qui ne s’assumait pas.
Le genre à qui on peut tout faire dès lors qu’on prend l’initiative en la bousculant. J’adorais son regard honteux sous lequel couvait l’excitation quand elle me reprenait en bouche après que je lui ai éjaculé sur le visage et que je la traitais de chienne. Mais ce que j’aimais plus que tout, c’était quand elle se mettait à quatre pattes puis se cambrait en écartant ses fesses à deux mains, attendant en tremblant que je choisisse sa chatte ou son cul.
Le plus souvent, c’était son cul.
C’était la première fille que j’enculais, et elle est d’ailleurs restée la seule durant très longtemps. A l’époque, les filles acceptant la sodomie étaient considérées comme les dernières des salopes, raison pour laquelle je n’ai jamais dit à personne que c’est ce qu’elle préférait.
Mais lorsqu’elle est sortie avec Martial un peu plus tard, il n’a pas eu les mêmes scrupules et l’image d’Isabelle en a été sévèrement altérée. Nous ne nous fréquentions plus vraiment elle et moi car Martial n’était pas à proprement parler un de mes copains loin s’en faut, et comme c’était la province, tout se savait rapidement.
Du coup j’entendais tout un tas de choses sur le compte d’Isabelle. Sur les soirées ou elle allait. Sur ce qu’on lui faisait. Sur le surnom qu’on lui donnait. Quand j’étais avec mes copains, je faisais le dégouté mais en fait, j’avoue que ça m’excitait. J’étais déjà un vicelard à l’époque, c’est juste que je n’assumais pas l’idée.
Je m’aperçois que cette rapide plongée dans mes souvenirs me fait bander.
Et c’est donc en bandant que je réponds au message d’Isabelle et lui propose de nous retrouver mercredi soir pour dîner et parler du « bon vieux temps ». L’avantage depuis mon divorce c’est que je n’ai plus besoin d’inventer des excuses pour expliquer l’inexplicable quand je sacrifie à mes envies.
J’arrive cinq minutes avant l’heure du rendez-vous. Isabelle est déjà attablée. Elle n’a pas beaucoup changé. Toujours un peu bouboule dans son tailleur mais sans excès, et le même pétillement dans les yeux quand elle se lève pour me faire la bise. Je l’étreins un peu plus longtemps que nécessaire et elle se laisse faire. Nous prenons une coupe et échangeons sur nos vies.
Plus de vingt ans de mariage et un divorce il y a trois ans pour moi, globalement la même chose pour elle sauf que pour le divorce : elle est encore en instance. Pas d’enfant de part et d’autre. Un voile passe dans ses yeux quand elle le dit. Je ne relève pas : je ne suis pas là pour ça et je m’en fiche.
Coté pro, elle est auditrice pour des boites internationales et depuis la séparation, elle est « boulot boulot à fond ». Nous commandons le diner puis nous passons en revue les nouvelles des copains que nous avons en commun. Ou plutôt avions. Je comprends que son divorce est compliqué et que ses amis ont majoritairement soutenu son mari. J’imagine que c’est une des raisons pour laquelle elle ratisse large au point de revenir à ses années lycée.
Avec les années, elle a appris à se protéger. Sa communication est réfléchie, posée. Elle a même acquis une forme d’assurance froide matinée d’arrogance. Ça me donne envie de la déstabiliser, qu’elle se retrouve à nouveau avec le même regard honteux que quand elle était à genoux avec le visage couvert de foutre. C’est pour ça que je lui demande sans cesser de sourire :
- Et ce mec que tu as eu après moi en terminal, Martial si je me souviens bien… Tu sais ce qu’il est devenu ?
Je vois que j’ai fait mouche. Elle n’arrive pas à contrôler le léger tremblement de ses lèvres quand elle répond :
- Non je... On ne… Je n’ai pas vraiment cherché à savoir pour être honnête.
Elle baisse les yeux, mal à l’aise. Ça suffit à me faire bander et c’est toujours en souriant que j’ajoute d’un ton neutre :
- J’imagine… Et sinon entre deux audits et avec le divorce, tu trouves encore le temps de te faire enculer ?
Elle s’empourpre d’un coup et me regarde comme si je venais de la gifler. J’avoue que j’aimerai bien d’ailleurs. Pour autant, elle n’est visiblement pas choquée, juste abasourdie que j’ai osé dire ça ici. Elle regarde autour de nous, probablement pour vérifier que personne n’a entendu. Ma queue durcit encore et j’insiste, utilisant à dessein le surnom qui lui pourrissait la vie :
- Eh bien, réponds, Isanal : tu aimes toujours te faire défoncer le cul ?
- Je… Oui.
- Oui quoi ?
- Oui j’aime toujours me faire… défoncer le cul.
- Et c’est pour ça que tu as souhaité renouer avec moi ?
- Mais non ! Je voulais juste qu’on se revoit. Qu’on passe un bon moment. Discuter.
- C’est ce qu’on fait non ?
- Oui, c’est ce qu’on fait mais…
- Mais quoi ? Finalement même après 20 ans, même drapée dans ton joli tailleur de marque, tu restes la même paillasse qui se faisait tourner par le cul dans les caves non ?
- Tu es un salaud…
- Ça on est bien d’accord. Et je suis sûr que ça te fait mouiller. Tellement mouiller que ça te coule dans la raie des fesses et que ça graisse ton trou de pute.
Je vois ses narines qui se dilatent. Son souffle devient plus court. C’est ça qu’elle aime : être percée à jour, humiliée. Probablement même encore plus qu’avant. Je vois bien qu’elle oscille entre m’envoyer chier et continuer le jeu. Elle doit vraiment être en manque vu qu’elle répond :
- Oui ça me fait mouiller.
Maintenant que j’ai eu ce que je voulais, j’abandonne le sujet comme je l’avais lancé et relance la discussion sur des banalités. Vu comme elle était ferrée, la frustration est évidente et Isabelle est totalement déstabilisée. Elle tente plusieurs commentaires aussi salaces que maladroits pour ramener l’échange sur le sexe mais je contre habilement. Du coup, alors que nous sommes au café, c’est elle qui propose d’un ton léger :
- Tu souhaites que nous prolongions nos retrouvailles chez moi ?
- Après toutes ces années, j’ai beaucoup changé, Isabelle. Mes goûts et mes… envies aussi.
C’est vrai mais à moitié.
Comme déjà indiqué, j’ai toujours été un pervers, c’est juste que depuis que je suis à nouveau célibataire, je concrétise mes fantasmes violents et sordides. Bien entendu, ma mise en garde n’a pas d’autre objectif que de l’intriguer afin que ce soit elle qui me propose de les exercer sur elle. Je sais bien qu’elle n’est pas dupe mais vu son état d’excitation, c’est bien entendu ce qu’elle s’empresse de faire :
- Et alors ? Ça pourrait me plaire…
- Ça pourrait… Mais il faudrait dans ce cas que tu aimes qu’on te fasse mal. Vraiment mal. C’est ça qui me fait vraiment bander. Et après, je peux t’éclater l’anus en force.
Elle est ferrée. Je le vois. Mais je sais qu’elle ne va pas se rendre aussi facilement donc je ne suis pas surpris quand elle répond avec un mépris étudié :
- C’est le genre SM. Ces trucs de malades ?
- Ces trucs de malade là, oui.
- En effet tu as raison, ça ne collerait pas. Je veux bien être un peu bousculée mais ça doit rester ludique.
Ludique, tu parles !
Et se faire enculer à la chaîne par des inconnus jusqu’à ce que ton trou reste béant, c’est ludique peut être ?
Je vois bien que c’est plutôt elle qu’elle cherche à convaincre quand elle continue son laïus, expliquant ce qui « se fait » et ce qu’on ne doit pas faire.
Comme je l’imaginais, on se quitte un peu froidement même si Isabelle essaie de plaisanter. Mais j’ai l’habitude.
La graine est semée, je n’ai plus qu’à attendre...
3 tahun lalu