JOSY: AVANT-DERNIERE ETAPE (3 ième partie)

"- Ca fait longtemps que tu connais Esther?
- A peu près 15 ans.
- C'est une longue histoire, alors.?
- Bon, j'aime pas trop en parler, mais à toi j'ai envie.
J'avais 20 ans, je vivais avec mon amoureuse Thaïs. Un soir on est venues diner dans ce routier, dont tout le monde disait du bien. C'était déjà Esther qui faisait le service. On a parlé un peu toutes les 3 en prenant le café.
Et voilà.
Sauf que 2 jours plus tard, en rentrant du travail, il y avait un mot :"je suis chez Esther, t'inquiète pas, je rentre demain".
Bon, ça nous arrivait à l'une ou à l'autre de faire quelques "extra", et on se le disait. C'était notre façon de nous aimer.
Le lendemain, pas de Thaïs. Pas inquiète, je me disais qu'elle allait appeler. Vers 22h, j'ai appelé: pas de réponse. Un message, puis 2 et 3. Et j'ai appelé Esther au restau.
"- Esther, j'ai pas de nouvelle de Thaïs depuis hier, qu'est-ce qu'il se passe?
- On ferme dans 1 h, viens me voir"
J'ai attendu sur le parking qu'Esther ferme le restau, et je suis allé vers elle.
"- Viens chez moi, j'habite juste-là."
"-t'as vu la petite maison pas loin du restau? C'est là qu'habite Esther.
- et Thaïs, alors?
- Thaïs, elle est venue hier, elle a déjeuné au restau. Une fille est arrivée, à jeté un oeil dans la salle, s'est approchée de la table de Thaïs et lui a dit: Je n'aime pas déjeuner seule. Je peux m'installer à votre table?" Elles discutaient, rigolaient bien. Moi, je faisais mon service, jusqu'à 15h, alors elles ne gênaient pas dans la salle. Vers 2h et demie, elles sont sorties. Je pensais que Thaïs raccompagnait la fille jusqu'à sa voiture. Je suis allé débarrasser les tasses sur la table. Il y avait un petit mot " je pars avec Evelyn faire le tour du monde. Préviens Josy". Tiens, le mot."
J'ai finis la nuit chez Esther. Au bout de 15 jours, on a su qu'il fallait rester séparées. Mais depuis 15 ans, on se voit régulièrement, et on fait l'amour avec toujours autant de plaisir.
Et crois-moi, Helène chérie, quand vous ferez vraiment l'amour toutes les 2, qu'elle te fera t'allonger, qu'elle se mettra à, cheval entre tes jambes et qu'elle commencera à caresser ta fente avec son gros clitoris tout dur, tu n'oublieras jamais cette sensation. et elle sait faire monter le plaisir doucement, par étapes. tu le sens monter, tu veux plus, mais elle te contient, elle s'amuse avec ton corps. Et tu finis par croire que ton clito à toi à grandit aussi.
-Arrete! arrete! Je vais salir le siège tellement je mouille.
- T'as raison, j'arrete. De toute façon on arrive."
-Et Thaïs, t'as eu des nouvelles?
- Elle est toujours avec Evelyn, en Australie. Elles se sont mariées il y a 4 ans maintenant"
Le camion était garé, a quelques dizaines de mètres de l'entrée principale du centre commercial.
"- j'imagine que je descends comme ça, nue sous le trench.
- Oui chérie. Tu vas vers le fond du centre, tu longes les caisses de l'hyper, en regardant à gauche. Tu verras une boutique "FIRMINE". Fais attention, l'entrée est petite, tu peux passer devant sans la voir. Une fois entrée, tu demandes Marvin.
- C'est tout?
- Tu veux quoi de plus? C'est une boutique de vêtements, tu vas trouver des choses pour toi. Ca te tente pas? Tu préfères rester comme ça? Bon, prends ton temps, je serai de retour dans 2h/2h30."
Petite la devanture? plus petite encore que l'échoppe du serrurier dans le hall.
A peine la porte refermée, je n'ai même pas eu à demander quoique ce soit. La fille qui était à la caisse a fait un geste de la main, sans me regarder, du genre, "va au fond, qu'on te voit pas à l'entrée.
En fait la boutique, à l'intérieur était plutôt spacieuse, très lumineuse, avec assez peu de vêtements exposés, mais tous superbement mis en valeur. j'allais doucement vers le fond, en jetant un oeil, voir si quelque chose attirait mon attention, quand tout d'un coup, le choc!!!!
Métis, grand, 1.85 au moins, les cheveux assez courts mais un peu épais dessus, jaune sable. pas blond, vraiment jaune sable, et un léger effet vague désorganisé. En fait c'était genre sorti de l'eau.. Je m'étais arrêtée net.
il tenait le rideau à moitié ouvert d'une cabine d'essayage occupée par une dame qui au reflet que je voyais dans la glace avait dépassé la cinquantaine.
Il a tourné la tête vers moi, et avec un sourire, m'a fait signe d'approcher. Mais je ne pouvais pas. J'étais tétanisée. Ce sourire ! un vrai rayon de soleil qui vous brulait la peau.
Il portait un tee-shirt assez près du corps, qui laissait deviner sa musculature, mais sans ostentation, et un pantalon qui faisait un peu plus que laisser deviner qu'il était plus que normalement constitué.
Tant de beauté pour un seul homme, c'était pas possible. Un homme, oui, mais 24/25 ans pas plus.
j'ai réussi à réagir et j'étais à 2 pas des cabines quand la dame sortait. La cinquantaine, oui, mais finissante.
"- Je vous laisse aller voir Sofia, Mme la préfete.
- tu es toujours aussi beau Marvin. et c'est dans ta boutique qu'on passe les meilleurs moments de sa journée"
il s'est approché pendant qu'elle partait, m'a tendu la main:
"- Venez Hélène, pour vous c'est par ici."
Hélène! Josy avait encore tout organisé dans les moindres détails.
Toujours tenant ma main, il m'a guidée devant une porte quasi dissimulée derrière les cabines d'essayage. La porte d'une réserve apparemment.
Il est passé devant moi. La pièce était noire.
"- C'est quoi ici?
- Ici? Votre cabine d'essayage"
Ce disant, il a appuyé sur un commutateur et la pièce s'est éclairée.
"- Marvin, expliquez-moi. Ce n'est pas une cabine d'essayage, c'est un peep-show!
- Non Hélène. Avant nous, c'était un sex-shop. On voulait tout refaire, puis on s'est dit que cet endroit serait une superbe cabine d'essayage pour nos clientes VIP. Toutes les vitres ont été remplacées par des miroirs, mais le podium fonctionne toujours. Vous voyez le bouton par terre. Si une cliente veut se voir sous toutes les coutures, elle appuie, et elle peut s'admirer.
- et vos clientes VIP viennent essayer ici avec leur mari, ou leur amant."
C'est avec la même courtoisie, et de nouveau ce sourire qui m'a faite fondre un peu plus, qu'il m' a répondu:
"- Ce magasin est interdit aux hommes. Je suis le seul à pouvoir y entrer. De même, si vous êtes observatrice, vous avez remarqué qu'il n'y a pas de caisse. Les clientes ne peuvent pas payer, puisqu'il n'y a aucun prix sur les vêtements. C'est, comme vous dites, leur mari ou leur amant qui reçoit la facture et qui fait un virement directement à la banque du magasin."
Sa voix était chaude, douce, sensuelle.
J'ai baissé les yeux comme une petite fille prise en faute.
Son pantalon avait pris de l'ampleur, à l'endroit qu'il devait cacher.
Lui, sa voix, l'ambiance du magasin, cette pièce.... et ce moment inachevé avec Esther, j'ai senti ma chatte devenir humide, et un frisson m'a parcourue.
Il l'a vu. Je n'aurai de toute façon pas pu le cacher. J'ai littéralement tremblé debout des pieds à la tête.
Un autre sourire. là je coulais vraiment. Il m'a prise par les épaules, doucement mais fermement et m'a fait me retourner. Machinalement j'ai un peu cambré les reins, pour effleurer cette bosse, et qu'il comprenne que oui, maintenant, tout ce qu'il veut.
Toujours dans mon dos, il a passé ses bras autour de moi et a commencé à détacher les boutons du trench coat.
Il allait être surpris en me voyant nue dessous.
"- Hélène, si belle, je ne sais pourquoi vous portez une telle horreur!"
Il s'est reculé et a posé le trench sur le dos d'une chaise.
"- Là, Helene, derrière le rideau, il y a des vêtements qui devraient vous convenir. Choisissez ce qu'il vous plaira. Je repasse vous voir dans 45 mn."
Non, non, non, non. NON!!!!!
Ce n'est pas possible, pas lui, pas un si beau spécimen. GAY. Juste gay!!!!!!
Je me suis presque jetée sur lui, ma main sur son pantalon;
"- Tu vas pas me dire que tu es gay. J'ai bien vu que tu n'étais pas indifférent. Et sous ma main, je le sens encore mieux. Baise-moi. Touche, je suis déjà mouillée. J'en peux plus, depuis ce matin c'est trop dur."
Tout en parlant j'avais baissé sa braguette, et je commençais à baisser son boxer pour sortir son membre.
Il se laissait faire sans bouger.
Son sexe était à l'égal du reste. Droit, fort, légèrement luisant. Le gland légèrement moins sombre que le reste, mordoré, avec comme des reflets de vieux cuire patiné.
"- Prends-moi comme ça, debout. Mets-là moi jusqu'au fond, d'un coup."
J'étais collée à lui, les mains appuyées sur ses épaules, une jambe déjà levée. Offerte à sa queue.
"- Hélène, je crois que vous perdez votre contrôle. Josy vous a bien dit ce matin "journée SANS sexe"
- Comment ça, Josy? Qu'est-ce qu'elle a à voir ici?
On est tous les 2. Je sais que tu as envie et moi je suis en train de fondre sur place.
- Non!"
Cette fois la voix était ferme. Il m'a doucement repoussée, et c'est tourné pour se diriger vers la porte.
je me suis mise devant la porte.
"- Laisse-moi te sucer au moins. C'est pas du sexe. Par charité."
Il m'écartait un peu du bras en refermant sa braguette.
Je me suis mise à genoux.
"- Prends que ma bouche si tu préfères. Baise-moi en bouche. Enfonce-là au fond de ma gorge. Fais moi baver, étouffe-moi avec ta belle queue. Et quand tu veux, tu jouis dedans. J'avalerai tout."
Il m'a regardée. Il en avait autant envie que moi.
"- Tu veux décevoir Josy? Moi, pas"
Et il est sorti.
Je me suis assise sur la chaise vexée, honteuse, les larmes aux yeux, la chatte trempée, frustrée.
J'ai pensé à Josy.
Oui bien sûr, elle savait que je serai comme folle. Et elle a tout prévu!
Je me suis précipitée sur le rideau qui cachait quelques étagères. J'ai balayé d'un revers de bras les vêtement qui étaient pliés.
Forcément il y avait quelque chose, n'importe quel objet qu'elle avait fait mettre là pour que je me satisfasse, que je calme ce feu brûlant en moi.
Mais rien, rien, rien.
Tout était vide. Alors c'était peut-être tombé avec les vêtements que j'avais jetés par terre.
J'ai baissé les yeux;
Les vêtements?
Quels vêtements?
Il y avait 2 malheureuses choses par terre.
La première que j'ai ramassée, c'était un porte jarretelle. Très joli du reste. en dentelle blanche, finement travaillée.
"- Alors ma Josy, c'est ça que tu veux que je porte?"
Je me calmais. Elle avait tout deviné, mes gouts, ma sensibilité au beau travail qui se rapproche de l'art, et la couleur qui peut m'apaiser ou, quant il le faut commencer à m'exciter.
Là, il me fallait du blanc.
Evidemment le porte jarretelle m'allait parfaitement.
J'ai ramassé les bas, et je suis allé m'assoir sur le sofa, au milieu du podium.
Ils étaient blancs bien sûr. A résille, mais avec un maille moyenne. Pas les grosses mailles qui font pute à 2 sous, ou trop petites, qui raccourcissent les jambes.
Juste comme il fallait.
Je les avais bien enfilés, en caressant doucement mes jambes, profitant de la sensation que provoque un bas qu'on déroule, puis du plaisir de le fixer aux jarretelles.
J étais à nouveau complètement détendue. Je me regardais dans la glace en face de moi. Je me trouvais belle. Et ma légère toison blonde bien soulignée par le porte jarretelle.
J'ai passé mes doigts sur ma fente, juste pour remettre en place quelques poils désordonnés. Je m'étais levée, et presque par instinct, j'ai appuyé sur le bouton au sol.
Le podium s'est mis à tourner assez doucement, passant lentement devant chaque miroir. En tournant un peu la tête, je voyais mon reflet dans les autres miroirs, et ça changeait tout. je souriais de bonheur de me regarder, moi et les 7 ou 8 autres Helene qui tournaient avec moi.
Je me suis rassise, et l'image d'Esther m'est apparue. Les mots de Josy me sont revenus.
J'&i écarter les grandes lèvres avec 2 doigts et j'ai commencé à caresser mon bouton, pour le faire gonfler. Je m'étais déjà regardée comme ça dans une glace, comme toutes les filles je crois, mais là, avec tous ces miroirs! Et en tournant, j'allais peut-être le découvrir mieux. Et le voir sortir, comme celui d'Esther;
Evidemment, tous ces désirs non assouvis, ma fente qui n'avait plus le temps de sècher., j'ai vite fermé les yeux pour me concentrer sur ma vulve enflammée, sur mes 3 doigts qui étaient entrés sans que je le décide, et sur mon pouce qui frottait mon bouton comme un désespéré.
Ce n'était pas du sexe, c'était de la survie, Josy. Pour éviter de tourner folle.
J'ai vite jouis, violemment, en me jetant en arrière au point de tomber du sofa, les doigts toujours dans ma chatte et le podium qui tournait plus vite me semblait-il.
Et d'un coup, un éclair de lumière !
Les miroirs s'étaient allumés. des glaces avait dit Marvin. Il n'avait pas précisé "sans tain".
Dans une alvéole, "Mme la préfète", bien assise, les jambes écartées, Sofia à genoux en train de la lecher, et Marvin, debout, le sexe dans la bouche de la "préfète", tous 2 me regardant en applaudissant sans bruit.
Je me suis relevée, encore un peu hagarde. Je ne savais pas quoi faire, quelle attitude adopter, quand les lumières se sont à nouveau éteintes. Je descendais juste du podium quand Marvin est entré.
"- Je la sucerai un jour moi aussi. Et je la sentirais partout. Tu ne m'échapperas pas 2 fois.
- Je n'essaierai pas de m'échapper Hélène. Mais aujourd'hui c'était un véto de Josy.
- Maintenant il faut se dépêcher un peu pour pas qu'elle vous attende.
- Mais je ne vais pas sortir comme ça, et il n'y a pas d'autres vêtements ici.
- D'abord il y a le soutien-gorge que vous n'avez pas mis.
-Mais il est trop petit. C'est des bonnets C. Il me faut du D
- Non, il vous va parfaitement. Laissez-moi l'attacher."
C'était un soutien-gorge à armature. Marvin a réussi à le fermer, mais en comprimant tellement mes seins qu'ils ressortaient vers le haut. Il n'y avait presque que mes tétons de cachés.
"- Et dessus?
-Tenez!
Il m'a tendu un haut en résille, couleur fuchsia, à maille plus petites que celles des bas, et a manches longues. Très décolleté, le tour du cou complètement dégagé;
Avec les bas blanc, je trouvais ça très joli.
"- Et pour le reste?
- Je reviens avec."
"- Non, c'est quoi ça?
- Ca, c'est un magnifique châle en dentelle dont le jaune paille s'harmonise avec le fuchsia, de votre top, et qui bien organisé autour de vos hanches fera une magnifique robe gitane".
Il positionnait le châle tout en parlant.
"- un beau noeud sur le coté de la hanche. Et voila. Remontez sur le podium et admirez"
c'était sublime. La pointe du châle tombait légèrement au dessus de la limite du bas de ma jambe droite, quand à la gauche, elle était complétement dégagée jusqu'à la taille.
Quelqu'un venant à gauche en face de moi, verrait à chacun de mes pas que je n'avais pas de culotte.
"- Vous êtes sublime, Hélène. Josy va adorer. restent les chaussures."
Il m'a tendu une boite, avec des escarpins vernis rouge, avec des talons de 12 cm.
"- Je vous accompagne jusqu'à la porte du centre commercial. Josy doit être là"
Arrivés près de la porte du magasin, la "préfète" était en discussion avec Sofia.
"- Marvin, lorsque Mademoiselle viendra faire un nouvel essayage, tu me préviens. Tu sais que j'ai des amies qui apprécieront beaucoup assister.
- J'imagine que cela ne vous dérange pas Mademoiselle? je suis même sure que vous y prendrez grand plaisir
- J'aurai effectivement plaisir à vous revoir, Madame"
En moi-même je pensais: "ce jour là, c'est Marvin que j'essaierai sur le podium tournant"
Sortis du centre commercial, Marvin me montrait le camion de Josy.
Il était stationné tout au bout du parking, alors qu'elle aurait pu venir plus près. Il y avait au moins 30 m de parking libre, à part une voiture isolée, je ne sais pas pourquoi.
En fait je savais. Elle voulait me voir traverser tout le parking dans cette tenue. Prendre plaisir aux regards des hommes ou des femmes sur mon passage près de leur voiture.
J'ai avancé tranquillement, sans me presser. M'arrêtant parfois pour laisser passer un charriot plein.
Que Josy prenne tout son plaisir.
En m'approchant de la voiture isolée, j'ai vu qu'elle était occupée. Alors au lieu de l'éviter, je suis passée juste à coté.
Un homme était assis sur le siège passager. A la façon dont le rétro intérieur était orienté, j'ai compris que lui, comme Josy n'avait pas perdu une seconde de mon parcours. La fenêtre était ouverte. Il était en érection, un billet de 50 euros entourait son sexe, et il se masturbait.
Je me suis arrêtée, j'ai passé ma main par la fenêtre et je l'ai masturbé à mon tour, avec le billet de 50 euros autour de son sexe.
Puis j'ai pris le billet, écarté une partie du châle, qu'il voit bien ma chatte nue et si bien encadrée par le porte jarretelles. J'ai déroulé le billet, je l'ai passé dans ma fente, bien le mouiller de mon jus. Je lui ai collé sur le front, et j'ai repris ma marche jusqu'au camion de Josy.
"- C'était qui dans la voiture?
- allons Josy, c'était un de tes amis que tu sèmes sur mon chemin.
- Ah non, pas lui.
- un voyeur alors dont ça a été le jour de chance."











































































"-
Published by SoifdeSex2
3 years ago
Comments
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ADD77640 3 years ago
je lis je lis et  j'imagine  waaaaw c'est chau, c'est mouillé , j'dore tes recits , merci beaucoup pour,l'effort partagé, si bandant , biz
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switcherwan
switcherwan 3 years ago
Quelle plume Hélène.... Pour le reste, retrouvons nous dans ce centre commercial...
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rickwalk
rickwalk 3 years ago
Vivement que tu repasses à la casserole 
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rickwalk
rickwalk 3 years ago
Très très bon... 
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caso29
caso29 3 years ago
Une écriture qui me donne toujours autant la trique !!! une journée sans sexe mais au combien brûlante pour toi Hélène :wink:
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4ass2 3 years ago
Mmmmmm ... Que c'est bon de te lire ! On te "voit", on te "mate", on ressent toute ton excitation ! Chaque fois que tu mouilles, tu me fais bander, chaque fois que tu branles, je m'astique et chaque fois que tu jouis, j'éjacule !!! ...
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