JOSY: AVANT DERNIERE ETAPE (2ième partie)

"- A peine 9h et on repart. Direction Toulouse. on s'arretera quelques Km avant pour déjeuner dans un routier sympa. Là où je livre, à Toulouse, tu peux pas venir.
- Comment ça je ne peux pas venir. Si je reste bien tranquille sur la couchette avec les rideaux tirés.
- Non ma douce. L'entrée est très contrôlée, faut une autorisation. Et les rideaux de la couchette doivent être ouverts.
- je vais faire quoi alors?
- Tu te doutes que j'ai mon idée, et que je ne te dirai rien.
- Je vais prendre un café alors, et enlever ce truc et mettre des habits
- Déshabille-toi avant ton café, je veux vérifier quelque chose."
On avait quitté la ZI, et on s'engageait sur une 2x2 voies rectiligne.
Juste ce trench coat à quitter. Quelques secondes.
"- Assieds-toi au plus près de moi et écarte les cuisses"
Sa main droite tendue s'est posée sur mon pubis, et son majeur recourbé a remonté toute ma fente, juste en écartant les grandes lèvres, jusqu'au capuchon protecteur qu'il a légèrement écrasé pour caresser mon bouton qui s'y cache.
Puis elle a porté le doigt à son nez, l'a sucé délicatement.
"- j'en était sûre. Tu t'es lavée, savonnée et rincée, et le temps que les 4 rangent leur sexe, tu as à nouveau mouillé. Tu ne me déçois pas. Tu es vraiment la superbe salope que j'ai deviné en toi dès le premier moment. La chatte, pas que la chatte. Le cul, la bouche. Tout ton corps en demande de sexe permanent. et toi, c'est pas juste faire "papa/ maman" dans un lit. Il te faut du spécial, de l'invention, des surprises. Toi tu mouilles comme une bonne jouisseuse en attente de tout ce qui pourra la caresser, l'exciter, la pénétrer. Tu penses qu'à jouir. T'es comme une femelle écureuil."
Tout en me disant tout ça, elle avait reposé sa main sur ma chatte et caressait de plus en plus intensément ma fente et mon clitoris qui durcissait.
Je commençais à soupirer sous ses caresses et sous ses mots. "Salope", "bonne jouisseuse". c'était un peu comme la musique qui manquait parfois à certaines étreintes.
"-Tu sais ce qu'il fait l'écureuil quand il en a fini avec Mme écureuil?
- No.... nonnnn.Sais pas
- Il fait un bouchon de sperme qui durcit instantanément, comme une ceinture de chasteté. Et elle fait quoi Mme, dès qu'il s'est éloigné?
- Sais pas sais pas. tu caresses bien. Enfonce un peu tes doigts mon amour. c'est bon
- Elle se met en boule et ronge ce sperme durcit, quitte à se blesser la vulve. Et dès qu'elle est libérée, elle appelle un autre mâle. Autant qui viennent, autant de fois elle fait pareil."
Elle a remis sa main sur le volant.
"-Bois ton café ma femelle écureuil. juste, je sais que toi tu es plus salope. Un peu pute aussi. Une vraie pétasse à jouir.. et reste a poil.
- Mais tu vas pas me laisser comme ça! Ou alors je me finis toute seule.
- Si tu te touches, je te menotte.
- En plus comme tu me parles ça me fait des frissons partout, jusque dans la tête. Tu m'avais jamais dis des choses comme ça avant.
- Tout vient en son temps, ma chiennasse de gouine vidangeuse de couilles. Maintenant, bois ton café, assieds toi à l'autre bout de la banquette, reste nue, et sans une caresse ni un frôlement.
- Sinon, les menottes?
- Non, tu aimerais trop ça. Tu mouillerais encore rien que de te sentir attachée.
- Alors sinon quoi?
- Sinon, tu fais ce que tu veux, et je me désintéresse de toi et de tes plaisirs de garce lubrique. Et tu vas t'ennuyer pendant les 2 jours qui viennent."
J'ai pris un café, je suis resté assise tranquillement à regarder la route qui défilait, sans un mot. Josy non plus ne parlait pas. Il n'y avait que la radio, et un appel CB de temps en temps, signalant une difficulté, des flics, ou un orage.
Vers midi, on s'est arrêtées pour se changer.
Josy bien sûr avait choisi pour moi. Cherche pas de petite culotte, tu pourras pas en mettre. Effectivement.
C'était un bermuda en lycra, bleu acier, tellement ajusté que mes grandes lèvres faisaient comme des couillettes d'enfants compressées dans un slip de bain trop petit. Et mes fesses légèrement séparées par le tissu qui s'incrustait entre elles paraissaient plus volumineuses. Le haut?
Le haut!
C'était un haut-court en jean, très échancré, qui arrivait à peine sous mes seins, avec 2 boutons, juste dans le sillon, pour bien les séparer.
En fait, j'étais plus nue que sans vêtement.
Josy, quant à elle, toujours élégante et assez distinguée, avait enfilé un jean, pas très propre, un tee-shirt avec une grosse pub Ricard devant, et un gilet de cuir sans manche. A un passant de la ceinture du jean elle avait accroché un mousqueton avec plusieurs clés, et d'une poche arrière dépassait une paire de gants de chantier. Je la regardais, plus éberluée par sa tenue que par la mienne.
"-Là, c'est bien, on va au restau. tu fais vraiment pute à gouine. Dès qu'on sera entrées, tout le monde saura que tu es à moi. et t'avise pas à lancer des oeillades à des mecs. S'il y a des femmes, pourquoi pas., mais pas les hommes. Compris belle pouf?
- Josy chérie, me parles plus comme ça. Si je commence à mouiller ça va transpercer.
- T'es ma femelle, et si j'ai envie que tout le monde voit que tu mouilles, tu finiras trempée, et je te ferai faire le tour du restau"
Trop tard.
Je savais que le lycra avait déjà une auréole.
C'est vrai que notre entrée au restaurant a été remarquée. Il y avait un trentaine de clients, presque tous des hommes, et encore beaucoup de place dans la salle. Mais Josy à montré une table à l'autre bout, près de la fenêtre.
"-Là-bas c'est possible? Je verrai mon camion"
On a traversé toute la salle, Josy devant moi. j'ai senti quelques mains sur mes fesses, mais j'ai fait comme si de rien n'était.
Le temps de se mettre face à face, et pour Josy le signe de lui donner un baiser au dessus de la table que la serveuse était là.
"- Tu ramènes des putes, maintenant Josy?"
Elle avait une cinquante d'années, plutôt bien faite, les seins assez lourds sous son tablier de service. Pas très souriante.
"- Elle? je l'ai ramassée au bord de la route. Je peux pas nier que c'est une poufiasse, mais elle sait lécher partout. et elle mouille comme comme un glaçon qui fond. regarde son entre-jambes."
Elle a eu un regard et une moue.
"- Bon, 2 "jour", ça vous va?"
On a mangé le plateau de crudités, et Josy a fait un signe à la serveuse;
"-Avant de nous servir la suite, montre lui où sont les toilettes, qu'elle aille s'essuyer un peu. Ca va finir par se voir trop que c'est une vraie truie"
La serveuse m'a fait un signe de tête pour que je la suive.
On a retraversé la salle. Et c'est vrai que la marque sur le lycra s'était étendue. Quand je commence à mouiller, même après avoir joui, ça coule encore pendant plusieurs minutes.
Je savais que tous les regards se portaient sur cette tache, qui en plus rendait le lycra presque transparent.... et ça me faisait mouiller un peu plus.
Arrivées devant les toilettes, la serveuse est passé devant moi.
J'ai été surprise par la propreté et la dimension des toilettes. du carrelage partout, des urinoirs individuels, et 3 WC avec des portes.
Quand je suis entrée, la serveuse a fermé la porte principale à clef.:
"- Je veux pas d'émeute ici. Alors personne n'entrera."
Elle s'est mise devant moi; les yeux fixés dans les miens;
"-T'es une vraie femme ou un trans?"
En disant ça, tout en me fixant, elle a mis sa main entre mes cuisses et a .suivi toutes les formes dessinées sous le lycra,
Ma fente de haut en bas, mes grandes lèvres qu'elle a un peu pincées, puis elle a glissé sa main sous l'élastique. mais le lycra était tellement serré qu'elle a juste compris que je ne me rasais pas entièrement.
Alors elle a pris ma main, s'est assise sur un urinoir, a retroussé sa jupe en écartant les cuisses.
"- Josy dit que tu lèches bien. Fais vite, j'ai pas beaucoup de temps"
Sa chatte était complétement lisse, avec des lèvres épaisses, très épaisses. Je ne pouvais pas aspirer les 2 ensemble en faisant jouer ma langue entre elles.
Je les ai tétées l'un après l'autre, en aspirant fort, pour qu'elles me remplissent la bouche. Quand elle a commencé à gémir, je les ai écartées et tenues contre l'intérieur de ses cuisses et ma langue a suivi le sillon jusqu'à son clitoris.
Je pensais le chercher;
Il était énorme. Il dépassait du capuchon, comme un micropénis en érection.
je l'ai pris entre mes lèvres, un peu serré, et je l'ai titillé avec la pointe de ma langue. puis sucer, aspiré, rejeté. Et aspiré encore, en le mordillant doucement. En même temps, j'avais entré 2 doigts dans sa vulve.
Elle soufflait fort et ses gémissements commençaient à devenir des râles;
Alors j'ai délaissé son clito pour coller ma bouche à sa vulve ouverte, et j'ai soufflé dedans, du plus fort de mes poumons.
Au moment où j'allais reprendre mon souffle, elle a laché comme une sorte de hennissement, long, pas très fort, mais comme si elle était à bout de force.
Je me suis un peu reculée pour reprendre mon souffle. Je n'avais pas remarqué avec quelle force elle frottait son clito, sa petite bite plutôt, toute sortie, gonflée.
j'étais fascinée.
Elle m'a repoussée d'un coup, avec le pied. je suis tombée par terre.
Elle continuait de le frotter avec frénésie.
Je voulais voir ce qui allait se passer quand des grands coups ont résonnés dans les toilettes.
"- Bon, ça suffit. vous sortez de là. Et tu nous sers de suite. Je dois livrer, moi"
Elle s'est levée de l'urinoir. Elle tremblait de partout. Je me suis approchée pour la soutenir, mais elle m'a repoussée.
Elle a ouvert la porte.
Josy est entrée.
"-J'ai eu raison ou pas de la ramasser cette bouffeuse de chatte?
T'as vu dans quel état elle t'a mise, ma pauvre Esther.
Et tu vas resté comme ça, parce que je l'emmène. Passe ta main sur sa chatte, lèche toi les doigts, viens nous servir, et après tu trouveras bien un ou une pour te faire cigler ton clito géant"
De retour dans le camion Josy m'a dit
"- je t'avais prévenue: journée sans sexe. T'as mouillé comme une vachette en rut, mais t'as pas joui. Elle non plus. mais dis merci à ta Josy; Tu as une nouvelle adresse où tu seras très bien reçue, quand tu voudras et le temps que tu voudras.
Maintenant quitte tout ça et remets juste le trench coat."