Roselyne, ma voisine !
Voici une histoire qui m'est arrivée quand j'étais ado, entre 15 et 18 ans....
Mes parents se sont séparés quand j'avais 15 ans. Avec ma mère, mon frère et mes soeurs nous avons alors déménagé pour aller en HLM, une barre de 10 étages, dans un quartier que l'on qualifiait à l'époque de ZUP, une zone à urbaniser en priorité, un ghetto quoi !
Un jour en descendant au sous-sol un sac poubelle qui ne pouvait pas passer dans la descente qui fait tous les étages dans ce genre d'habitation, je tire la grosse poubelle dans laquelle tombe les choses que les gens jettent pour y jeter mon sac et au même moment j'entends quelque chose qui tombe dans la descente et paf! tomber par terre.
Au moment où je le ramasse pour le mettre dans la poubelle, je me rends compte au toucher que c'est une paire d'escarpins. J'ouvre le sac et découvre une superbe paire de talons très usagée, avec un collant à l'intérieur que je prends pour le sentir.
J'ai tout de suite su de quel appart cela provenait car j'avais déjà remarqué la femme qui portait cette paire de talons, elle était immanquable...
Je retire le collant de la chaussure et je constate que dans l'avant-pied ses orteils on laissé de superbes petites traces, quel régal visuel !
Je porte le collant à mes narines et je m'enivre de cette fragrance qui est un savant mélange de ses pieds et de son parfum, une sorte de sucré-salé olfactif.
Finalement, je m'aperçois que le collant n'a qu'une jambe, il est long, il a bande élastique qui le ferme au niveau du haut de la cuisse. Pas de doute, ce n'est pas un collant mais un bas nylon autofixant.
Toutes les images de cette femme que je croise souvent et qui a porté ces bas défilent alors dans ma tête à l'aune de cette information très confidentielle.
Une superbe femme dans la 40aine, son mari commercial, parti sur les routes 50% du temps, avec 2 enfants qui étaient plus jeunes que moi, genre 10 et 8 ans, je la connais comme voisine depuis mes 15 ans, j'en avais 18 maintenant et étais en terminale.
Je voyais très bien cette femme car, quand j'étais dans l'escalier et que j'entendais des talons descendre sur les marches en pierre, je courais dans l'escalier de la cave, fermait la porte en laissant juste un filet, et me couchais sur les premières marches pour me mettre au niveau du sol afin de voir au plus près ses pieds passer sous mes yeux.
Je me disais déjà à l'époque que, si elle allait dans la cave et me surprenait comme ça, je lui avouerai mon fantasme.
Une superbe femme bien gaulée...
C'est à cette époque que j'avais commencé à m'intéresser à l'urbex (exploration urbaine qui consiste à aller visiter des lieux abandonnés).
Et à l'ouverture fine (lockpicking en anglais) qui consiste à apprendre les techniques pour ouvrir sans effraction toutes sortes de verrous, cadenas, serrures (ce qu'on voit dans les films).
Et un jour, dans ma folie d'ado excité, j'ai pensé que je pourrais pénétrer chez elle pour fouiller ses tiroirs, apprécier ses dessous et ses talons.
Alors un jour où elle était en vacances avec toute sa famille, je suis monté chez elle.
J'avais mes outils d'ouverture avec moi, mais la première chose que j'ai testée a été la clé de la porte de chez moi car dans ce genre d'appart, la probabilité qu'une clé d'un appart en ouvre un autre est loin d'être nulle.
Bingo ! La porte s'est ouverte. A l'époque, il n'y avait pas de porte de sûreté, les gens faisaient 2 tours de clé et basta.
J'avais le coeur qui battait à sortir de ma poitrine, mais je suis entré puis ai refermé à clé doucement. Je suis resté quelques secondes l'oreille collée à la porte pour savoir si les voisins avaient remarqué quoi que ce soit, avaient ouvert leur porte, ou si un autre voisin montait ou descendait l'escalier. Rien...
Je me suis alors retourné dos à la porte, j'étais chez elle, tout ce qu'elle possédais était à moi, ici maintenant !
Réflexe d'urbex, j'ai enfilé une paire de gants en latex.
Comme c'était la même configuration que chez moi, je suis allé au fond du couloir directement dans sa chambre, j'ai fait ses tiroirs, suis tombé sur sa lingerie dont j'ai senti chaque élément. J'ai chipé une culotte mais ce qui m'intéressait le plus était ses talons.
Je suis retourné dans l'entrée, j'ai tout de suite trouvé son placard à chaussures et j'ai découvert ses merveilles. Parmi elles, une paire usagée de hauts talons bleu pétrole a attiré mon oeil, elle sentait divinement bon. Je me suis alors mis à me branler dessus, je lui ai laissé mon foutre dans l'avant-pied et ai tout laissé comme ça sachant que la famille était partie pour 2 semaines.
J'y suis allé plusieurs fois cette semaine-là uniquement. J'avais suivi les règles qu'ont se fixe en urbex, je m'étais dit que j'y irais une semaine et pas plus par sécurité, ce que j'ai respecté, et c'est ce genre de règles que je me fixe toujours et prends une attention particulière à respecter.
Finalement, ma voisine est revenue avec sa famille à la fin des vacances de Pâques.
À cette époque, j'étais en terminale C et suivais un parcours à l'école des beaux-arts de ma ville (je fais de l'illustration mais n'en ai pas fait mon métier).
La semaine où ma voisine est rentrée, j'avais élaboré un nouveau plan.
J'ai attendu que son mari soit absent et les enfants à l'école pour aller frapper chez elle.
Elle a ouvert, c'était la première fois que je me retrouvais véritablement en face d'elle mis à part les bonjours bonsoirs lorsqu'on se croisait dans l'escalier.
Je lui ai dit que j'étais aux beaux-arts en plus de la terminale et que j'avais un devoir à faire sur un thème libre, j'avais avec moi ma pochette d'esquisses que je lui ai montrées pour asseoir mon discours sur du tangible.
Je lui ai dit que je voulais être designer de chaussures pour femmes (un mensonge éhonté) et que je recherchais des paires ayant été portées car la chaussure prend la forme du pied et c'est là où elle devient magnifique, c'est texto les mots que j'ai employés !
Je lui ai dit que je n'avais pas pu faire autrement que de remarquer qu'elle portait de magnifiques chaussures alors je me suis dit que, peut-être, elle pourrait m'en prêter 2 des siennes pour quelques semaines. Et ainsi aider un étudiant dans son devoir...
Elle m'a fait entrer, m'a questionné sur mes projets présents et futurs. Elle montrait une réelle curiosité, je trouvais ça charmant et très flatteur pour moi.
Puis elle m'a ouvert son placard. Ensemble nous avons convenu de 2 paires qu'elle m'a prêtées.
Je les ai amenées chez moi et planquées au fond de mon armoire, j'en ai bien profité pour jouir mais aussi pour les dessiner car je voulais lui montrer le résultat de mon travail. Ce que j'ai fait en les lui rapportant après les avoir bien spermées. On devait être en mai.
En terminale, j'ai beaucoup fait la fête. Avec un copain qui habitait au dernier étage de ma cage d'escalier, on sortait souvent. Il faut dire que mes parents étaient séparés depuis la fin du collège. Je vivais avec ma mère qui était devenue alcoolique et délaissait ses enfants, jusqu'à ne plus avoir l'énergie de vraiment s'en occuper. Zola, quoi !
Donc, en bande on avait l'habitude tous les vendredi soirs d'aller dans une boîte du centre-ville qui s'appelait le Caprice et de rentrer au petit matin. Dans mon cas, j'enchaînais avec 3h de maths le samedi matin (à l'époque on allait encore au lycée le samedi matin).
On marchait 3 km pour aller au Caprice car on n'avait pas d'argent.
Cette boîte était bien car elle était aussi fréquentée par des personnes plus âgées, on aimait avec mon copain draguer les "veilles" et parfois en lever une...
Je dois dire aussi que c’est cette année-là que j'ai suivi des cours de drague (PUA en anglais pour PickUp Artistry). C'était plus l'aspect psychologique qui m'intéressait que la drague en elle-même. Ce qui me bottait, c'était d'apprendre les techniques de persuasion et d'influence (dont je me sers toujours aujourd'hui quel que soit le sexe de la personne). Ça m'est venu de ma prof de latin, mais c'est une autre histoire...
Bref, j'ai appris à ne pas avoir froid aux yeux et faire mienne la maxime "qui ne tente rien n'a rien".
Je venais de m'en servir pour aller demander à ma voisine de me prêter ses escarpins pour jouir dedans, n'était-ce pas cool ?
De retour à mon histoire, une nuit au Caprice en train de danser et s'éclater comme d'habitude, je vais au bar me prévaloir de la boisson qui était comprise dans le prix d'entrée (je n'ai jamais bu d'alcool alors je prenais un soda ou jus de fruit).
Et là, je tombe nez à nez avec ma voisine en train de s'amuser alors que je sais que son mari est en déplacement comme d'hab. Je me rends compte qu'elle est avec des amies et qu'elle se bécote avec un autre mec, je la vois, elle me voit, elle voit que je la vois et que je comprends qu'elle fait cocu son mari. Elle est assurément très mal à l'aise. Je souris poliment sans lui parler et en reste là. Je ne sais pas si elle est finalement partie ou restée, je n'en avais cure.
La semaine suivante, j'attends qu'elle soit seule chez elle pour aller frapper, entre temps j'ai ramassé dans ma tête toutes mes pratiques d'influence et élaboré un plan, je sais que je ne dois pas faire du par coeur et être le plus naturel, ne pas être menaçant mais honnête.
Je frappe, elle ouvre. Je me rends compte aujourd'hui que j'étais vraiment culotté...
Je vois à son langage corporel qu'elle s'attendait à ma visite, c'est un bon signe, très bon signe.
Je sais que d'après mon plan, je veux jouer cartes sur table et ne pas tourner autour du pot.
Avant que je lui dise quoi que ce soit, elle me demande d'entrer et m'exécute.
Je lui dis alors que cette situation me met très mal à l'aise et je sais qu'elle aussi, mais je l'assure que je n'en ai parlé à personne ni en parlerai à quiconque, elle fait ce qu'elle veut de sa vie et ce n'est pas à moi de juger, qu'elle se rassure.
Ensuite, je lui dis que là où certains auraient pu profiter de la situation pour prendre l'ascendant sur une très jolie femme, je la respecte et ne lui demanderai rien ni attends quoi que ce soit en échange.
Dans la discussion, j'esquisse une rotation de mon corps comme pour indiquer que je veux partir. Et là, elle pose sa main sur mon avant-bras, je reviens alors face à elle. On se regarde sans rien dire mais avec un léger sourire en commissure de lèvres. Je sais que je ne dois rien dire, attendre, à cet instant précis je vois l'ouverture.
Et chacun fait un pas vers l'autre et elle m'embrasse. C'était son initiative...
Elle me dit que ce sera la seule et unique fois qu'on se touche, et là elle se met à genou devant moi, me déshabille pour me prendre la queue qu'elle gobe, sans attendre que je sois bien raide, tout en me regardant.
Il ne faut pas bien longtemps à ma queue pour répondre à sa langue que je sens faire le tour de mon gland tandis que sa main fait le tour de mes couilles. Assurément, ma voisine prend plaisir, ses yeux me le disent. Alors moi aussi j'ai pris le mien, elle prendra bien soin d'avaler mon sperme sous mes yeux, quelle salope !f
C'était la 2e fois qu'une quasi inconnue (autre qu'une copine avec qui je sortais) me suçait. La première était la cousine de mon copain de fête, chez lui. Elle avait 4 ou 5 ans de plus que moi, ça faisait toute une différence à l'époque. Mon copain m'avait raconté que sa cousine le suçait aussi, alors je ne fus pas étonné de son comportement le jour où elle m'a pris en main, puis en bouche, sans crier gare !
Bref, je me retrouvais chez ma voisine adultérine qui était en pleine rédemption à mes pieds. Après sa besogne, sans rien dire d'autre, elle se relève et me demande de partir. Nous nous gratifiâmes alors l'un l'autre d'un au revoir banal dans sa forme, sachant que cela scellait notre secret...
Et ma voisine s'appelait Roselyne, quelle salope...
2 years ago
...je n'avais pas encore toutes les compétences dans mon jeu pour la f*rcer à faire des choses qu'elle n'aurait pas faites de son propre chef mais qu'elle aurait assurément appréciées
...agir dans le présent car le passé n'existe plus, et le futur peut-être pas LoL