Le début d'une nouvelle vie...
/// Histoire vécue...
Ce matin, j'avais rendez-vous avec un membre du site. Malheureusement comme souvent, il n'est pas venu. Il n'a même pas envoyé de notification, aarrhh !
Aucun problème pour moi, j'ai alors modifié mon plan dans ma lancée
Suis donc allé à un autre parc, au fond du stationnement en contrebas des toilettes, il n'est pas large mais très long et il s'enfonce dans le bois
J'étais déjà en tenue de salope. Sous un trench noir, j'avais enfilé la nuisette rose à pois blancs de ma femme et le soutif en dentelle noir de sa copine qui l'avait oublié chez nous un jour où elle était passée chercher ma femme pour aller à la plage, elle s'était changée avant de partir
C'est leur rituel. Sa copine vient, elles papotent toutes les 2 pendant 30 minutes voire 1h et après elles partent. Mais juste avant, sa copine se change et laisse ses dessous, culotte et soutif
Nul besoin de vous dire que j'adore les sentir, en particulier goûter à sa mouille sur sa culotte, me branler avec, la tartiner de mon foutre et me délecter du savoureux mélange de nos fluides, quelle salope sa copine !
C'est une acheteuse compulsive, elle a des dizaines de paires de hauts-talons, entre autres choses intéressantes. Une histoire plus tard là-dessus ;-)
Elles se connaissent depuis leurs études, on habite dans la même résidence, à 100m de distance, je me demande même si elles ne se gouinent pas toutes les 2, j'aimerais bien ;-)
Pour continuer sur ma tenue, j'ai mis les bas résilles que j'ai chipés à ma belle-mère, et avec sa culotte en dentelle noire. Les dessous de ma belle-mère sont beaucoup plus affriolants que la plupart de ceux de ma femme
Ma femme m'envoie chez sa mère arroser son jardin quand celle-ci s'absente plusieurs jours et aussi quand il fait très chaud
À ces occasions, j'en profite pour faire ses placards et son panier à linge. Elle aime la baise car je trouve chez elle bas nylon et résilles, porte-jarretelles, culotte fendue, etc.
Quand je viens et qu'elle est là, j'adore aller dans la salle de bain pour essayer une culotte sachant qu'elle est en train de s'affairer à côté. À tout moment elle peut venir car la porte de sa salle de bain ne ferme pas à 100%. L'idée qu'elle pourrait me surprendre m'excite tout comme celle qu'elle se demande où ses dessous ont bien pu passer (voir ma première histoire avec ma belle-mère "Petit fantasme deviendra grand...")
Pour en terminer avec ma tenue, j'ai chaussé des sandales rose à très haut talon. J'ai mesuré, ils font 14cm. Je les ai eus en répondant à l'annonce d'une charmante donatrice sur une application mobile de dons
C'est une appli gratuite qui permet aux personnes de se débarrasser des affaires qu'ils ne veulent plus. Au lieu de les jeter, ils les donnent simplement, pas d'envoi, les gens se déplacent les récupérer. C'est comme Vinted mais ça ne coûte rien, si ce n'est le déplacement. J'ai mis une alerte pour les paires de chaussures, et j'en récupère 1 ou 2 par trimestre.
Je suis très sociable, donc j'adore rencontrer les donatrices, les faire parler, les connaître quoi. Il faut dire que dans mes jeunes années, j'ai suivi des cours de PUA (pick-up artistry, en anglais), en français l'art de "lever" les filles.
Flirter avec mes donatrices me rajeunit, certaines ont 17 ans (hmmm) et d'autres un peu plus (hmmmm), voir plus (hummmm). Et parfois ça débouche sur plus que le simple don de leur paire de talons, mais ça ce sont 6 autres histoires à écrire, dont 3 sublimes !
Bref, fin avec ma tenue, je suis au parc, dans ma tenue de salope. Comme d'habitude, quelques voitures sont garées au début et puis une tous les 20m
Arrivée tout au fond, je fais demi-tour devant la barrière du chemin et me gare en marche arrière 15m avant la barrière
À cet heure-là c'est le ballet des voitures des voyeurs qui viennent faire demi-tour et puis s'en vont, dans leur très grande majorité
Au bout de 10 min, une voiture arrive, commence à faire son demi-tour et se gare perpendiculairement à moi en me faisant face, à 2m, vitre baissée, le chauffeur avec le bras sur la portière me regarde
Dans son assurance, je sens de suite le pêcheur, ou plutôt le chasseur. À l'affût de chaire fraîche à mettre sous son fusil
Il voit le haut de ma nuisette rose sous mon trench, je le sais, je le sens. Il voit aussi le rose à lèvres que j'ai chipé à ma femme car la couleur répond exactement à celle des mes talons et de ma nuisette
Je décide d'entrouvrir ma portière, je passe mon pied gauche pour le poser à terre, j'ai les sandales rose à très haut talon avec les bas résilles
Il siffle, je tourne la tête, il me dit :
- Espèce de petite pute ! T'aime ça t'exhiber, hein ? Approche, ma salope, viens là tout de suite !
Ce porc me fait mouiller avec ses mots
Il y a des invitations qu'il est difficile de refuser, alors je sors, rapide coup d'oeil aux alentours, personne à l'horizon
En sortant de ma voiture, je laisse la portière grande ouverte et réajuste mon trench noir mais il n'est pas très long et laisse voir à ce gros cochon la bride du porte-jarretelles sur chacune de mes cuisses, ça m'excite
J'arrive à sa portée, il tend son bras pour atteindre le côté de ma cuisse, sur mon bas résilles qu'il caresse. Sa main s'enhardit en remontant sous mon manteau. Il me caresse la fesse maintenant, avec ses gros doigts de pervers
Sa main est puissante. Il me fait faire un demi-tour sur moi-même pour lui présenter ma croupe et me dit :
- T'aime te faire caresser le cul, ma chérie, t'as un vrai cul de salope, t'es bonne !
Pendant qu'il m'apostrophe, je sens qu'il a des mains de maçons, des doigts forts, secs et râpeux. Il ajoute :
- Est-ce que tu aimes avaler ?
Je lui tourne le dos. Je lui réponds que j'adore ça. Que j'adore que l'on me gicle sur la gueule et me force à ramasser avec mes doigts et tout avaler. Il m'ordonne alors :
- Penche-toi, penche ton petit cul de putain
Je m'exécute, je laisse tomber mes épaules en avant et mets mes mains sur mes genoux, je sens qu'il remonte mon trench et la nuisette rose à pois blancs de ma femme. Je me sens femme à sa merci, avec les dessous de ma femme et de sa copine
Je sens ses doigts descendre la culotte en dentelle noire, celle chipée à ma belle-mère, et d'un coup sec il me fesse. Un première claque sur mon cul me surprend, suivie d'une salve d'autres, toutes plus chaudes les unes que les autres. Je ne vois rien pas mais je sens que j'ai le cul qui commence à rougir. Ça fait maintenant plusieurs minutes qu'il fesse mon cul qui lui est offert, qu'il me punit. Il me noie d'insultes, j'aime ça. Et il enfonce le clou :
- Espèce de salope, tu aimes ça, t'es vraiment qu'une putain !
Ces mots crus crachés sur mon cul rougi ne font que répandre dans tout mon corps la chaleur qu'il a fait naître en moi.
- Laisse-moi t'enculer avec mes doigts, penche-toi encore plus
Ce que je fais. J'ai maintenant les jambes bien écartées, le buste bien penché, je vois mes pieds dans les hauts-talons offerts par une autre donatrice, mes jambes sublimées par les bas résilles eux aussi chipés à ma belle-mère. Je me sens femme, je me sens salope, je me sens pute
Et je sens surtout les doigts de mon gros porc qui s'enfoncent en moi. Je les sens glisser, aller et venir pour à chaque fois aller plus loin. Je ne sais pas combien il en a mis mais ils forment une bite de bon calibre à eux seuls. Il a mis un quelconque lubrifiant car je les sens me pénétrer plus profondément alors que j'ai la chaude impression qu'ils écartent ma chatte encore plus à chaque fois presque sans effort. Je n'en peux plus, c'est trop bon, il me possède, je suis sa chose, utilisée comme une salope, exposée comme une pute. Il pourrait me demander tout ce qu'il veut, me faire faire les choses auxquelles je me serais toujours refuser que je le ferais sans rechigner, ici et maintenant. À ce moment-là, je me sens à lui, soumise complètement
C'est à ce moment précis d'extase qu'il arrête brusquement de me faire du bien et m'ordonne :
- Viens me sucer salope !
Je suis chaudasse, bouillante, je suis à lui. Il le sait et va me faire ce qu'il veut. Il ouvre sa portière, pivote sur son siège pour sortir ses jambes qu'il pose sur la terre battue du fond du parking. Il baisse son pantalon de survêtement, relève son haut de survêtement pour exposer sa ventre bedonnant et sors sa bite. Elle est déjà bien raide et de bon diamètre. Je vois ses couilles, elles sont plus grosses que la moyenne. Ça m'excite. Elles doivent contenir une sacrée quantité de foutre, me dis-je. Pas le temps de réfléchir que mon pervers décalotte son gland en me le fourrant dans la bouche tout sec. Il me tient par le derrière du crâne avec sa main pour m'empêcher d'éviter toute jérémiade et reculade :
- Prends ça, espèce de salope ! Tu vas me nettoyer ma bite de ce sperme de 3 jours...
Il est en train de me limer la bouche rapidement sous ses insultes. Je n'ai pas eu le temps de faire attention mais je sens dans ma bouche une âpreté qui monte et qui devient dégoût. Mais je suis coincée. En effet, dans le mouvement du viol rapide de ma bouche je n'ai pas fait attention, mais je réalise maintenant que son gland était encore souillé de reliquats blanchâtres de sperme. Je sens présentement ces agrégats de multiples jouissances passées sur ma langue, physiquement et gustativement. C'est dégueulasse Il assène un coup décisif psychologique :
- Regarde comme tu te délectes de mon nectar spermé, ma belle...
Je le sens plus dur que jamais. M'humilier comme ça l'excite assurément. Et franchement, moi aussi, ne suis-je pas sa soumise après tout. Il retire alors sa bite de ma gorge et continue :
- Lèche-moi bien tout ça, sale pute ! Regarde comme tu en redemandes...
Telle une patiente acceptant les suggestions de son hypnothéraapeute, j’acquiesce à sa demande et me mets charnellement à nettoyer son chibre de tout ce sperme qui maintenant est redevenu liquide avec ma mouille. Ma langue parcours toute sa tige, du gland aux couilles. Je le besogne pour me délecter comme il disait de sa semence précieuse.
Cette odeur putride qui me dégoûtait au départ m'excite maintenant au plus haut point, je redouble d'efforts. Je me remets à le sucer encore plus vigoureusement. Cela lui fait de l'effet, je veux faire plaisir à mon maître qui redouble d’invectives :
- T'es vraiment qu'une traînée ! Moi, les traînées, voilà ce que j'en fais...
Mon cochon se met alors à jouir à pleine bouche. Comme je le présentais, il a des couilles pleines, de vrais réservoirs à jus. Je sens ma gorge se remplir puis ma bouche et je sens son sperme se répandre dans mes joues.
- Avale tout salope, me dit-il en me tenant la bouche bien fermée la bouche avec ses mains râpeuses
Je m'y reprends à plusieurs fois pour tout ingurgiter et finalement sentir son nectar infuser complètement mon corps. Son regard lubrique me transperce et ses mains m'enserrent toujours la figure :
- T'es vraiment qu'une pute ! Moi, les putes, voilà ce que j'en fais...
Et là, je ressens encore cette chaleur dans ma bouche. Ce goret se met encore à jouir à grands jets dans ma bouche engeôlée. Je suis sa chose, je lui appartiens, il m'inonde la gorge, j'ai l'impression que ses jets me transpercent. Ma bouche enfle, gonfle. J'ai l'impression que je ne vais plus pouvoir respirer, je suffoque. Il me tient toujours :
- Avale, espèce de putain !
Je n'ai pas d'autre choix que d'avaler en plusieurs fois, encore une fois. Il relâche alors son étreinte, et là je réalise à ce que je sens maintenant qu'il n'a pas joui mais qu'il m'a remplie de sa pisse
Je sens le début d'une nouvelle vie...
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Ce matin, j'avais rendez-vous avec un membre du site. Malheureusement comme souvent, il n'est pas venu. Il n'a même pas envoyé de notification, aarrhh !
Aucun problème pour moi, j'ai alors modifié mon plan dans ma lancée
Suis donc allé à un autre parc, au fond du stationnement en contrebas des toilettes, il n'est pas large mais très long et il s'enfonce dans le bois
J'étais déjà en tenue de salope. Sous un trench noir, j'avais enfilé la nuisette rose à pois blancs de ma femme et le soutif en dentelle noir de sa copine qui l'avait oublié chez nous un jour où elle était passée chercher ma femme pour aller à la plage, elle s'était changée avant de partir
C'est leur rituel. Sa copine vient, elles papotent toutes les 2 pendant 30 minutes voire 1h et après elles partent. Mais juste avant, sa copine se change et laisse ses dessous, culotte et soutif
Nul besoin de vous dire que j'adore les sentir, en particulier goûter à sa mouille sur sa culotte, me branler avec, la tartiner de mon foutre et me délecter du savoureux mélange de nos fluides, quelle salope sa copine !
C'est une acheteuse compulsive, elle a des dizaines de paires de hauts-talons, entre autres choses intéressantes. Une histoire plus tard là-dessus ;-)
Elles se connaissent depuis leurs études, on habite dans la même résidence, à 100m de distance, je me demande même si elles ne se gouinent pas toutes les 2, j'aimerais bien ;-)
Pour continuer sur ma tenue, j'ai mis les bas résilles que j'ai chipés à ma belle-mère, et avec sa culotte en dentelle noire. Les dessous de ma belle-mère sont beaucoup plus affriolants que la plupart de ceux de ma femme
Ma femme m'envoie chez sa mère arroser son jardin quand celle-ci s'absente plusieurs jours et aussi quand il fait très chaud
À ces occasions, j'en profite pour faire ses placards et son panier à linge. Elle aime la baise car je trouve chez elle bas nylon et résilles, porte-jarretelles, culotte fendue, etc.
Quand je viens et qu'elle est là, j'adore aller dans la salle de bain pour essayer une culotte sachant qu'elle est en train de s'affairer à côté. À tout moment elle peut venir car la porte de sa salle de bain ne ferme pas à 100%. L'idée qu'elle pourrait me surprendre m'excite tout comme celle qu'elle se demande où ses dessous ont bien pu passer (voir ma première histoire avec ma belle-mère "Petit fantasme deviendra grand...")
Pour en terminer avec ma tenue, j'ai chaussé des sandales rose à très haut talon. J'ai mesuré, ils font 14cm. Je les ai eus en répondant à l'annonce d'une charmante donatrice sur une application mobile de dons
C'est une appli gratuite qui permet aux personnes de se débarrasser des affaires qu'ils ne veulent plus. Au lieu de les jeter, ils les donnent simplement, pas d'envoi, les gens se déplacent les récupérer. C'est comme Vinted mais ça ne coûte rien, si ce n'est le déplacement. J'ai mis une alerte pour les paires de chaussures, et j'en récupère 1 ou 2 par trimestre.
Je suis très sociable, donc j'adore rencontrer les donatrices, les faire parler, les connaître quoi. Il faut dire que dans mes jeunes années, j'ai suivi des cours de PUA (pick-up artistry, en anglais), en français l'art de "lever" les filles.
Flirter avec mes donatrices me rajeunit, certaines ont 17 ans (hmmm) et d'autres un peu plus (hmmmm), voir plus (hummmm). Et parfois ça débouche sur plus que le simple don de leur paire de talons, mais ça ce sont 6 autres histoires à écrire, dont 3 sublimes !
Bref, fin avec ma tenue, je suis au parc, dans ma tenue de salope. Comme d'habitude, quelques voitures sont garées au début et puis une tous les 20m
Arrivée tout au fond, je fais demi-tour devant la barrière du chemin et me gare en marche arrière 15m avant la barrière
À cet heure-là c'est le ballet des voitures des voyeurs qui viennent faire demi-tour et puis s'en vont, dans leur très grande majorité
Au bout de 10 min, une voiture arrive, commence à faire son demi-tour et se gare perpendiculairement à moi en me faisant face, à 2m, vitre baissée, le chauffeur avec le bras sur la portière me regarde
Dans son assurance, je sens de suite le pêcheur, ou plutôt le chasseur. À l'affût de chaire fraîche à mettre sous son fusil
Il voit le haut de ma nuisette rose sous mon trench, je le sais, je le sens. Il voit aussi le rose à lèvres que j'ai chipé à ma femme car la couleur répond exactement à celle des mes talons et de ma nuisette
Je décide d'entrouvrir ma portière, je passe mon pied gauche pour le poser à terre, j'ai les sandales rose à très haut talon avec les bas résilles
Il siffle, je tourne la tête, il me dit :
- Espèce de petite pute ! T'aime ça t'exhiber, hein ? Approche, ma salope, viens là tout de suite !
Ce porc me fait mouiller avec ses mots
Il y a des invitations qu'il est difficile de refuser, alors je sors, rapide coup d'oeil aux alentours, personne à l'horizon
En sortant de ma voiture, je laisse la portière grande ouverte et réajuste mon trench noir mais il n'est pas très long et laisse voir à ce gros cochon la bride du porte-jarretelles sur chacune de mes cuisses, ça m'excite
J'arrive à sa portée, il tend son bras pour atteindre le côté de ma cuisse, sur mon bas résilles qu'il caresse. Sa main s'enhardit en remontant sous mon manteau. Il me caresse la fesse maintenant, avec ses gros doigts de pervers
Sa main est puissante. Il me fait faire un demi-tour sur moi-même pour lui présenter ma croupe et me dit :
- T'aime te faire caresser le cul, ma chérie, t'as un vrai cul de salope, t'es bonne !
Pendant qu'il m'apostrophe, je sens qu'il a des mains de maçons, des doigts forts, secs et râpeux. Il ajoute :
- Est-ce que tu aimes avaler ?
Je lui tourne le dos. Je lui réponds que j'adore ça. Que j'adore que l'on me gicle sur la gueule et me force à ramasser avec mes doigts et tout avaler. Il m'ordonne alors :
- Penche-toi, penche ton petit cul de putain
Je m'exécute, je laisse tomber mes épaules en avant et mets mes mains sur mes genoux, je sens qu'il remonte mon trench et la nuisette rose à pois blancs de ma femme. Je me sens femme à sa merci, avec les dessous de ma femme et de sa copine
Je sens ses doigts descendre la culotte en dentelle noire, celle chipée à ma belle-mère, et d'un coup sec il me fesse. Un première claque sur mon cul me surprend, suivie d'une salve d'autres, toutes plus chaudes les unes que les autres. Je ne vois rien pas mais je sens que j'ai le cul qui commence à rougir. Ça fait maintenant plusieurs minutes qu'il fesse mon cul qui lui est offert, qu'il me punit. Il me noie d'insultes, j'aime ça. Et il enfonce le clou :
- Espèce de salope, tu aimes ça, t'es vraiment qu'une putain !
Ces mots crus crachés sur mon cul rougi ne font que répandre dans tout mon corps la chaleur qu'il a fait naître en moi.
- Laisse-moi t'enculer avec mes doigts, penche-toi encore plus
Ce que je fais. J'ai maintenant les jambes bien écartées, le buste bien penché, je vois mes pieds dans les hauts-talons offerts par une autre donatrice, mes jambes sublimées par les bas résilles eux aussi chipés à ma belle-mère. Je me sens femme, je me sens salope, je me sens pute
Et je sens surtout les doigts de mon gros porc qui s'enfoncent en moi. Je les sens glisser, aller et venir pour à chaque fois aller plus loin. Je ne sais pas combien il en a mis mais ils forment une bite de bon calibre à eux seuls. Il a mis un quelconque lubrifiant car je les sens me pénétrer plus profondément alors que j'ai la chaude impression qu'ils écartent ma chatte encore plus à chaque fois presque sans effort. Je n'en peux plus, c'est trop bon, il me possède, je suis sa chose, utilisée comme une salope, exposée comme une pute. Il pourrait me demander tout ce qu'il veut, me faire faire les choses auxquelles je me serais toujours refuser que je le ferais sans rechigner, ici et maintenant. À ce moment-là, je me sens à lui, soumise complètement
C'est à ce moment précis d'extase qu'il arrête brusquement de me faire du bien et m'ordonne :
- Viens me sucer salope !
Je suis chaudasse, bouillante, je suis à lui. Il le sait et va me faire ce qu'il veut. Il ouvre sa portière, pivote sur son siège pour sortir ses jambes qu'il pose sur la terre battue du fond du parking. Il baisse son pantalon de survêtement, relève son haut de survêtement pour exposer sa ventre bedonnant et sors sa bite. Elle est déjà bien raide et de bon diamètre. Je vois ses couilles, elles sont plus grosses que la moyenne. Ça m'excite. Elles doivent contenir une sacrée quantité de foutre, me dis-je. Pas le temps de réfléchir que mon pervers décalotte son gland en me le fourrant dans la bouche tout sec. Il me tient par le derrière du crâne avec sa main pour m'empêcher d'éviter toute jérémiade et reculade :
- Prends ça, espèce de salope ! Tu vas me nettoyer ma bite de ce sperme de 3 jours...
Il est en train de me limer la bouche rapidement sous ses insultes. Je n'ai pas eu le temps de faire attention mais je sens dans ma bouche une âpreté qui monte et qui devient dégoût. Mais je suis coincée. En effet, dans le mouvement du viol rapide de ma bouche je n'ai pas fait attention, mais je réalise maintenant que son gland était encore souillé de reliquats blanchâtres de sperme. Je sens présentement ces agrégats de multiples jouissances passées sur ma langue, physiquement et gustativement. C'est dégueulasse Il assène un coup décisif psychologique :
- Regarde comme tu te délectes de mon nectar spermé, ma belle...
Je le sens plus dur que jamais. M'humilier comme ça l'excite assurément. Et franchement, moi aussi, ne suis-je pas sa soumise après tout. Il retire alors sa bite de ma gorge et continue :
- Lèche-moi bien tout ça, sale pute ! Regarde comme tu en redemandes...
Telle une patiente acceptant les suggestions de son hypnothéraapeute, j’acquiesce à sa demande et me mets charnellement à nettoyer son chibre de tout ce sperme qui maintenant est redevenu liquide avec ma mouille. Ma langue parcours toute sa tige, du gland aux couilles. Je le besogne pour me délecter comme il disait de sa semence précieuse.
Cette odeur putride qui me dégoûtait au départ m'excite maintenant au plus haut point, je redouble d'efforts. Je me remets à le sucer encore plus vigoureusement. Cela lui fait de l'effet, je veux faire plaisir à mon maître qui redouble d’invectives :
- T'es vraiment qu'une traînée ! Moi, les traînées, voilà ce que j'en fais...
Mon cochon se met alors à jouir à pleine bouche. Comme je le présentais, il a des couilles pleines, de vrais réservoirs à jus. Je sens ma gorge se remplir puis ma bouche et je sens son sperme se répandre dans mes joues.
- Avale tout salope, me dit-il en me tenant la bouche bien fermée la bouche avec ses mains râpeuses
Je m'y reprends à plusieurs fois pour tout ingurgiter et finalement sentir son nectar infuser complètement mon corps. Son regard lubrique me transperce et ses mains m'enserrent toujours la figure :
- T'es vraiment qu'une pute ! Moi, les putes, voilà ce que j'en fais...
Et là, je ressens encore cette chaleur dans ma bouche. Ce goret se met encore à jouir à grands jets dans ma bouche engeôlée. Je suis sa chose, je lui appartiens, il m'inonde la gorge, j'ai l'impression que ses jets me transpercent. Ma bouche enfle, gonfle. J'ai l'impression que je ne vais plus pouvoir respirer, je suffoque. Il me tient toujours :
- Avale, espèce de putain !
Je n'ai pas d'autre choix que d'avaler en plusieurs fois, encore une fois. Il relâche alors son étreinte, et là je réalise à ce que je sens maintenant qu'il n'a pas joui mais qu'il m'a remplie de sa pisse
Je sens le début d'une nouvelle vie...
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3 years ago