Dressage d une femme fidèle 4
Après cette soirée, j’ai eu du mal à me remettre. Les choses avaient pris une tournure complètement imprévue, l’idée de retourner au travail me tracassait beaucoup. D’ailleurs est ce que j’avais même encore un travail ?
Mes émotions se mélangeaient. Il faut dire que j’avais toujours été une fille très droite, simple. J’avais jusque-là toujours adhéré à des valeurs traditionnelles, un monde sans adultère. Je n’avais connu que mon mari puisque je l’avais rencontré à l’âge de 15 ans et lui avait toujours été fidèle, à l’exception de mon imagination lors de mes plaisirs solitaires. Je n’avais jamais envisagé ce genre de vie non plus. Pourtant, mon corps ne l’entendait pas de la même manière. Mes sens étaient en éveil, je découvrais de nouvelles sensations. J’avais l’impression que tous les regards étaient sur moi. Ou peut être était ce mon attitude qui avait changé. Quoiqu’il en soit, alors que je me débattais intérieurement avec ma moral, mes désirs les plus inavouables prenaient de plus en plus de place. Je ne pouvais m’empêcher d’envisager tous les regards comme une invitation à faire de nouvelles folies. Les hommes que je croisais, comme de potentiels amants parfois même d’autres femmes. Cela me déroutait complètement.
Mon mari quant à lui, se contentait de me prendre dans ses bras et de m’embrasser langoureusement. Son regard aussi avait changé. Son corps à lui aussi était clairement en ébullition et son appétit pour moi, débordant.
Le lundi arriva trop vite à mon gout. Lorsque je poussais la porte de l’agence, mon cœur était sur le point d’exploser. Je ne savais plus où me mettre et je décidais de faire comme si de rien n’était en attendant que John (mon patron) arrive. Je m’installai donc à mon ordinateur et consultai mes mails. Je reçu un sms de mon époux qui me souhaitait une bonne journée. Je le connais suffisamment pour deviner qu’il m’a envoyé ce message narquois en étant dure et serrer dans son pantalon. Je ne sais pas lequel de nous deux est le plus excité de la situation.
Lorsque John arriva, il dit bonjour à tous comme à son habitude. Il me remercia d’avoir pris son rdv au pied levé et me dis :
- « Apparemment tu as fait des miracles, Mathias à signer un énorme contrat. »
Je cru voir dans son sourire un petit air malicieux mais j’étais bien trop concentrée sur mon cœur qui battait à tout rompre pour en être vraiment sur.
De toute la semaine, je n’eus plus aucune autre remarque sur ce fameux client. Pourtant le samedi, je suis en tête à tête avec John, nous sommes toujours tous les deux ce jour là. Les autres ne travaillent pas. J’avais beau douté que mon mari aille vraiment envoyé la vidéo à John, je n’étais pas pressée de découvrir ce qu’il m’en dirait une fois seul. Malgré ce stress, ma semaine avait été rude, mes culottes s’imbibaient d’excitation les unes après les autres. Ma tête était sans cesse perdue dans mes fantasmes, le rappelle de cette soirée. J’avais toujours le clitoris gonflé et l’envie permanente de glisser ma main le long de mon sexe pour me soulager. Pourtant ce n’étais pas possible et je devais attendre le soir, la douche pour me caresser longuement. Ensuite, je laissais mon homme me prendre sans y sentir un réel plaisir. J’avais déjà conscience qu’il n’était pas un amant fabuleux mais depuis que j’avais gouter à la brutalité de vrais hommes, s’était encore pire.
Bref, Samedi arrive et j’attend John à l’agence. Je n’ai pas de RDV la matinée mais beaucoup de dossiers à traiter avec le patron. Je reçois un appel :
John : « Justine, je ne vais pas savoir venir aujourd’hui, tu vas devoir te débrouiller seule, je te resonne plus tard pour voir comment tu te débrouilles ».
Alors que j’avais redouté ce moment toute la semaine, j’étais déçue. J’avais secrètement espéré que nous pourrions avoir une conversation et que je puisse ainsi passer à autre chose. Je ne su pas me mettre au travail directement. J’imaginais la conversation que je pourrais avoir avec John et cela me procurait une envie indéniable. L’idée de discuter de mes récentes folies avec mon patron me faisait simplement perdre la tête. Ma vie me semblait tellement plus facile avant que je ne puisse imaginer sérieusement de coucher avec tout qui me plait.
Mon patron été un homme charmant, grand brun, avec un regard troublant et un corps puissant. J’avais toujours trouvé qu’il était bel homme mais forcément, je ne m’arrêtais plus à cela, j’imaginais cet homme me prendre sauvagement. Je senti mon clitoris se gonfler de nouveau et mes tétons se durcir sous ma chemise. Alors que j’imaginais toutes sortes de choses, ma main se glissa dans mon soutien gorges, l’autre sous ma jupe déjà relevée. J’étais seule et avant de pouvoir me remettre au travail, il me fallait sortir de ma tête toutes ces chaudes pensées, du moins si c’était possible.
Je commençais par malaxer légèrement mes seins, et pincer mes tétons. De l’autre main je caressais doucement d’abord mon clitoris, reprenant mon jus entre mes lèvres avant de revenir. J’enfonçais un doigt puis deux de plus en plus frénétiquement. Je soupirais de plaisir et je n’entendis pas la porte du bureau s’ouvrir. Ce n’est que bien des minutes plus tard que j’aperçus dans l’entrebâillement de la porte John, sexe en main qui me regardais.
« Si tu savais comme j’ai bandé toute la semaine sur ta vidéo. Je savais que tu n’étais pas aussi sage que tu voulais le laisser croire, en réalité tu es une vraie petite salope. Lève-toi ! »
J’étais bien trop excitée pour réfléchir, son sexe était si dur qu’il n’y avait aucun doute sur l’effet que je lui faisais. J’exécutais donc sa demande sans réfléchir. Il s’approcha et m’agenouilla. Sans un mot, il m’agrippa ma queue de cheval et m’enfourna sa bite dans la bouche.
« Suce-moi bien ! mmm vas-y bien fort » Il m’encourageait à la glisser de plus en plus profondément dans ma gorge et me maintenait la tête. Je sentais sa verge se gonfler de plus en plus. D’un coup il me repoussa et me dit
« Putain tu suce vraiment trop bien j’ai failli venir mais ce serait trop facile, je veux moi aussi te baiser comme la chienne que tu es. Viens par ici, ça se voit que tu aimes obéir. » Il arracha alors ma chemise pour laisser mes seins déjà sortis de ma lingerie apparaitre. Il mordillait mes tétons tout en fouillant ma chatte avec ses doigts. Je gémissais de plus en plus. Je n’avais même plus d’hésitation. Ma morale était bien loin.
Il s’assit alors sur le siège de bureau et m’ordonna de m’empaler sur sa queue. Je ne me fis pas prier. Alors qu’il me donnait le rythme en me tenant par les hanches, je me perdais dans un orgasme si puissant que mes jambes tremblaient en entier.
« Lève-toi et mets toi à genoux devant moi, je vais te donner ce que tu veux ma petite pute ! »
Il me gicla sur les seins tout ce qu’il avait. Ses cris étaient si fort que je ne pouvais douter qu’il avait pris son pied à me prendre de la sorte. Il ajouta.
« Ainsi ton cocu de mari pourra voir l’étendue de tes prouesses, maintenant rentre chez toi. Je veux te voir lundi à la première heure mais sache que tu n’as plus jamais le droit de porter une culotte dans ce bureau. Si tu veux garder ton travail, je veux pouvoir me vider aussi souvent que j’en ai envie dans ma nouvelle petite salope »
Mes émotions se mélangeaient. Il faut dire que j’avais toujours été une fille très droite, simple. J’avais jusque-là toujours adhéré à des valeurs traditionnelles, un monde sans adultère. Je n’avais connu que mon mari puisque je l’avais rencontré à l’âge de 15 ans et lui avait toujours été fidèle, à l’exception de mon imagination lors de mes plaisirs solitaires. Je n’avais jamais envisagé ce genre de vie non plus. Pourtant, mon corps ne l’entendait pas de la même manière. Mes sens étaient en éveil, je découvrais de nouvelles sensations. J’avais l’impression que tous les regards étaient sur moi. Ou peut être était ce mon attitude qui avait changé. Quoiqu’il en soit, alors que je me débattais intérieurement avec ma moral, mes désirs les plus inavouables prenaient de plus en plus de place. Je ne pouvais m’empêcher d’envisager tous les regards comme une invitation à faire de nouvelles folies. Les hommes que je croisais, comme de potentiels amants parfois même d’autres femmes. Cela me déroutait complètement.
Mon mari quant à lui, se contentait de me prendre dans ses bras et de m’embrasser langoureusement. Son regard aussi avait changé. Son corps à lui aussi était clairement en ébullition et son appétit pour moi, débordant.
Le lundi arriva trop vite à mon gout. Lorsque je poussais la porte de l’agence, mon cœur était sur le point d’exploser. Je ne savais plus où me mettre et je décidais de faire comme si de rien n’était en attendant que John (mon patron) arrive. Je m’installai donc à mon ordinateur et consultai mes mails. Je reçu un sms de mon époux qui me souhaitait une bonne journée. Je le connais suffisamment pour deviner qu’il m’a envoyé ce message narquois en étant dure et serrer dans son pantalon. Je ne sais pas lequel de nous deux est le plus excité de la situation.
Lorsque John arriva, il dit bonjour à tous comme à son habitude. Il me remercia d’avoir pris son rdv au pied levé et me dis :
- « Apparemment tu as fait des miracles, Mathias à signer un énorme contrat. »
Je cru voir dans son sourire un petit air malicieux mais j’étais bien trop concentrée sur mon cœur qui battait à tout rompre pour en être vraiment sur.
De toute la semaine, je n’eus plus aucune autre remarque sur ce fameux client. Pourtant le samedi, je suis en tête à tête avec John, nous sommes toujours tous les deux ce jour là. Les autres ne travaillent pas. J’avais beau douté que mon mari aille vraiment envoyé la vidéo à John, je n’étais pas pressée de découvrir ce qu’il m’en dirait une fois seul. Malgré ce stress, ma semaine avait été rude, mes culottes s’imbibaient d’excitation les unes après les autres. Ma tête était sans cesse perdue dans mes fantasmes, le rappelle de cette soirée. J’avais toujours le clitoris gonflé et l’envie permanente de glisser ma main le long de mon sexe pour me soulager. Pourtant ce n’étais pas possible et je devais attendre le soir, la douche pour me caresser longuement. Ensuite, je laissais mon homme me prendre sans y sentir un réel plaisir. J’avais déjà conscience qu’il n’était pas un amant fabuleux mais depuis que j’avais gouter à la brutalité de vrais hommes, s’était encore pire.
Bref, Samedi arrive et j’attend John à l’agence. Je n’ai pas de RDV la matinée mais beaucoup de dossiers à traiter avec le patron. Je reçois un appel :
John : « Justine, je ne vais pas savoir venir aujourd’hui, tu vas devoir te débrouiller seule, je te resonne plus tard pour voir comment tu te débrouilles ».
Alors que j’avais redouté ce moment toute la semaine, j’étais déçue. J’avais secrètement espéré que nous pourrions avoir une conversation et que je puisse ainsi passer à autre chose. Je ne su pas me mettre au travail directement. J’imaginais la conversation que je pourrais avoir avec John et cela me procurait une envie indéniable. L’idée de discuter de mes récentes folies avec mon patron me faisait simplement perdre la tête. Ma vie me semblait tellement plus facile avant que je ne puisse imaginer sérieusement de coucher avec tout qui me plait.
Mon patron été un homme charmant, grand brun, avec un regard troublant et un corps puissant. J’avais toujours trouvé qu’il était bel homme mais forcément, je ne m’arrêtais plus à cela, j’imaginais cet homme me prendre sauvagement. Je senti mon clitoris se gonfler de nouveau et mes tétons se durcir sous ma chemise. Alors que j’imaginais toutes sortes de choses, ma main se glissa dans mon soutien gorges, l’autre sous ma jupe déjà relevée. J’étais seule et avant de pouvoir me remettre au travail, il me fallait sortir de ma tête toutes ces chaudes pensées, du moins si c’était possible.
Je commençais par malaxer légèrement mes seins, et pincer mes tétons. De l’autre main je caressais doucement d’abord mon clitoris, reprenant mon jus entre mes lèvres avant de revenir. J’enfonçais un doigt puis deux de plus en plus frénétiquement. Je soupirais de plaisir et je n’entendis pas la porte du bureau s’ouvrir. Ce n’est que bien des minutes plus tard que j’aperçus dans l’entrebâillement de la porte John, sexe en main qui me regardais.
« Si tu savais comme j’ai bandé toute la semaine sur ta vidéo. Je savais que tu n’étais pas aussi sage que tu voulais le laisser croire, en réalité tu es une vraie petite salope. Lève-toi ! »
J’étais bien trop excitée pour réfléchir, son sexe était si dur qu’il n’y avait aucun doute sur l’effet que je lui faisais. J’exécutais donc sa demande sans réfléchir. Il s’approcha et m’agenouilla. Sans un mot, il m’agrippa ma queue de cheval et m’enfourna sa bite dans la bouche.
« Suce-moi bien ! mmm vas-y bien fort » Il m’encourageait à la glisser de plus en plus profondément dans ma gorge et me maintenait la tête. Je sentais sa verge se gonfler de plus en plus. D’un coup il me repoussa et me dit
« Putain tu suce vraiment trop bien j’ai failli venir mais ce serait trop facile, je veux moi aussi te baiser comme la chienne que tu es. Viens par ici, ça se voit que tu aimes obéir. » Il arracha alors ma chemise pour laisser mes seins déjà sortis de ma lingerie apparaitre. Il mordillait mes tétons tout en fouillant ma chatte avec ses doigts. Je gémissais de plus en plus. Je n’avais même plus d’hésitation. Ma morale était bien loin.
Il s’assit alors sur le siège de bureau et m’ordonna de m’empaler sur sa queue. Je ne me fis pas prier. Alors qu’il me donnait le rythme en me tenant par les hanches, je me perdais dans un orgasme si puissant que mes jambes tremblaient en entier.
« Lève-toi et mets toi à genoux devant moi, je vais te donner ce que tu veux ma petite pute ! »
Il me gicla sur les seins tout ce qu’il avait. Ses cris étaient si fort que je ne pouvais douter qu’il avait pris son pied à me prendre de la sorte. Il ajouta.
« Ainsi ton cocu de mari pourra voir l’étendue de tes prouesses, maintenant rentre chez toi. Je veux te voir lundi à la première heure mais sache que tu n’as plus jamais le droit de porter une culotte dans ce bureau. Si tu veux garder ton travail, je veux pouvoir me vider aussi souvent que j’en ai envie dans ma nouvelle petite salope »
3 years ago