Ma cousine, passage à l'acte - Partie 1

ENG : Story I wrote a long time ago and just edited now. Didn't take the time to translate it in English. Maybe an automatic translation can give you an idea, I recommend DeepL for this. This is not a real story, only fiction coming from my imagination. The only goal is to give some pleasure and I don't condone anything contentious I might have written.

Ceci est une histoire que j'ai écrite il y a longtemps. Pas parfaite du tout mais c'est un essai. Elle est seulement le fruit de mon imagination et n'est pas une histoire vraie. Son seul but est de donner du plaisir à ceux à qui elle plaît, et je ne soutiens en rien toute pratique controversée qui pourrait s'y trouver. Deuxième partie à venir selon ma motivation et les retours.

PREMIERE PARTIE

Marie va se doucher ! Alors ? Je me lance ? Elle est arrivée aujourd’hui chez nous, et j’ai pensé à ce moment dès que j’ai su qu’elle venait. Papa n’est pas là, il a pensé que sa fille de dix-huit ans pouvait bien s’occuper de sa cousine pour une soirée et a filé a sa soirée poker entre amis. Elle ferme la porte, à clé bien entendu. Cela doit faire deux ans qu’elle commence à me taper dans l’œil. La honte qui est née en moi de penser à ma cousine de cinq ans ma cadette de cette façon avait rapidement disparu. Un flash, une image d’elle derrière cette porte me traverse l’esprit et interrompt mon hésitation et mon excitation.
Oui, j’y vais. Presque machinalement, je pose mon téléphone, quitte le confort de mon canapé en même temps que l’inconfort de mes pensées, et me dirige vers notre salle de bain d’un pas décidé. Je bouge la poignée sachant très bien que la porte ne s’ouvrirait pas. Je toque.
- Marie ? C’est Camille.

Ma main sur la porte, je ressens et j’entends la serrure s’actionner. Le premier obstacle est franchi… Après tout, on ne s’est jamais retrouvées toutes deux dans l’intimité d’une salle de bain, bien qu’on se retrouve en famille régulièrement. Les prochains obstacles ne dépendent que d’elle et moi. Elle est là. Je sourirais bien, mais je suis trop concentrée. Elle s’écarte pour que je puisse entrer mais me dit :
- J’allais me doucher.
- Oh, d’accord.

Je referme la porte derrière moi. Elle a juste eu le temps de retirer son pantalon. Elle se retourne pour sortir shampoing et gel douche de sa petite trousse de toilette, et j’en profite pour jeter un œil à ses fines jambes et sa petite culotte blanche à petits cœurs rouges. Je fais mine de regarder mon visage dans le miroir quand elle se retourne. Je sens une légère hésitation avant qu’elle me demande :
- Tu voulais te doucher aussi ?
Du haut de ses 1m45, je sais que je l’impressionne un peu, j’ai toujours été la grande cousine pour elle.
- Oui, mais c’est pas grave.
- OK, je fais vite alors.

Elle se retourne, enlève son pull, ses cheveux noirs retombent sur sa nuque, elle retire sa culotte en se penchant, en sort ses pieds, enjambe la baignoire et ferme le rideau. Cela n’a duré que quelques secondes, mais l’impression qu’elle semble avoir laissée sur mes rétines m’immobilise. Sa peau si blanche, ses fesses rebondies, la vue de son petit sein un court instant… Je tente de me calmer… C’est en train de se passer… Je me regarde dans le miroir, dans les yeux, et souffle un coup. Je me déshabille entièrement, laissant un tas de vêtements au sol que je pousse d’un pied contre le mur.

Un dernier coup d’œil au miroir pour prendre de l’assurance, et je tire le rideau de quelques centimètres, prête à cette intimité, conquérante nerveuse. Elle est juste là. Je ne laisse à aucune de nous deux le temps d’être surprise et je prends appui sur son épaule pour grimper dans la baignoire. Ma jambe effleure la sienne et elle s’écarte alors que je referme le rideau. Le pommeau de douche est juste au-dessus de moi et je le laisse arroser mon corps. Face à elle, j’essaie de ne pas regarder trop intensément. Je sais qu’elle fait de même avec moi. Je sais que je ne suis pas la plus sexy, mais j’ai toujours été plutôt fière de ma poitrine, et d’autant plus en cet instant, devant cette jeune adolescente qui attend encore l’essentiel de son développement. De bonne taille mais encore hauts et fermes, aspergés par la douche chaude. Mes cheveux châtains absorbent l’eau, qui s’écoule ensuite sur le reste de mon corps de sportive, ma poitrine, mon dos, mon ventre plat, dans mon entrejambe rasé.

Je la regarde un moment. Je trouve sa poitrine parfaite aussi, à sa manière. De petits mamelons aux bas sommets de seins que je pourrais sans aucun doute tenir entiers dans mes mains. Un ventre pâle dont seul le nombril brise la pureté. Mon regard s’attarde certainement trop longtemps sur son sexe, dont les courts poils semblent trop timides pour se multiplier et recouvrir trop de ses douces lèvres. Un duvet commence à la moitié de ses cuisses et continue sur ses petites jambes, y ajoutant de la douceur. Douce, c’est ce qu’elle est.

C’est au tour de sa jeunesse et de son innocence de m’intimider, mais j’ai un rôle à tenir : la grande cousine qui lentement envahit son intimité. Je me sers une noisette de gel douche et me la frotte sur la poitrine. Je parle pour briser le silence et ne pas seulement la regarder dans le blanc des yeux et de la peau.
- Ça te dérange pas, si ?
Elle détourne légèrement le regard.
- Non non…
- Entre filles. (Je souris) Moi c’est vrai que j’ai l’habitude avec le club.
- Ah… oui…

Mes mains descendent entre mes cuisses, par hasard en même temps qu’elle fait de même. Elle me fait de plus en plus envie. Je fais tomber sa bouteille de shampoing qui sort de son équilibre contre le mur, glisse contre mon pied et se retrouve derrière moi. Je ne veux pas la brusquer mais je le fais quand même : je me retourne et me baisse, certainement de manière exagérée, pour la ramasser. J’espère qu’elle a regardé. J’espère que je l’intimide. J’espère que je l’intéresse, en somme.
Je me relève. Elle a terminé de se savonner. Toujours sous le pommeau de douche, je recule, juste assez pour lui laisser un peu de place. Elle s’approche, tout près de moi. Elle ferme les yeux pour se rincer le visage. Qu’elle est belle, et si proche. Elle excite mes pensées, c’est comme si j’essayais de lui intimer mes envies par télépathie. « Oui, viens… Tout près… Frotte-toi… ». Je vois bien qu’elle ne veut pas s’attarder. Elle fait vite, se frotte tout son jeune corps de ses mains délicates, et veut déjà sortir.
- Attends, ton dos !
C’est vrai qu’il reste de la mousse. Je décroche le pommeau de douche et l’asperge. Ma main passe sur son dos.
- T’as la peau super douce !
Je glisse ma main sur tout son dos. Ses fesses sont rincées, seuls des filets d’eau qui coulent de son dos viennent les lécher, mais je ne peux pas y résister. Je passe rapidement une main en frottant, une fesse, puis l’autre… La toucher m’émoustille. J’en veux plus. Absolument. Elle sort. Je dois me hâter.

Quand je sors du bain, son corps est enveloppé dans sa serviette et sa brosse à dents est dans sa bouche. Elle se sèche en restant cachée. Toujours nue, je prends mon temps pour installer une serviette dans mes cheveux. J’observe chacun de ses mouvements. Elle peut peut-être me voir dans le miroir, mais je n’en ai plus rien à faire. Elle approche son haut de pyjama, bleu, à manches longues. Sa serviette tombe à ses pieds. Elle enfile son haut de pyjama, sa brosse à dents toujours en bouche. Chaque centimètre carré caché de son corps est un gâchis à mes yeux… En sortant sa tête, elle croise mon regard insistant. Sa culotte est de mon côté, et son regard se pose dessus. Elle veut l’enfiler… je dois agir, faire quelque chose avant qu’elle ne scelle le jeune objet de mes désirs sous son inconvenant pyjama.
Je ramasse sa culotte, fais mine de la regarder et lui apporte.
- Jolie !
Elle me regarde approcher dans le miroir. Pourquoi ne se retourne-t-elle pas ? Pourquoi ne tend-elle pas la main pour la récupérer ? Pourquoi reste-t-elle face au miroir ? Je dois tellement l’intimider, moi et mon corps. Jamais elle n’a été aussi timide avec moi. Finalement, tout cela ne compte pas, je voulais agir…

Derrière Marie, proche de ses petites fesses nues, je la regarde dans les yeux. Elle ne bouge pas. Je laisse tomber sa culotte et passe ma main sur ses fesses, sans perdre son regard. Ses yeux sont écarquillés. Son visage est tellement mignon. J’ai chaud… Tout mon courage y est passé, mais l’envie prend maintenant le relai. Je presse doucement sa fesse droite avant de descendre ma main. Je la colle à sa jeune vulve, ma main entière entre ses jambes. Elle me regarde dans les yeux et j’ai du mal à lire ses pensées. Elle serre les fesses et les cuisses, mais ma main est bien là, appuyée à ses lèvres, mon majeur passant légèrement entre. Je sens sa texture, sa douceur, sa chaleur, ses poils. Elle entrouvre sa bouche délicieuse :
- … Qu’est-ce que tu fais ?
- Quoi ? Tu n’aimes pas ?
Je veux tellement que ça soit aussi évident pour elle que ça l’est pour moi. Je ne lui laisse pas le temps de répondre.
- Fais-voir ta main.
Et je la prends. Je fais passer ses doigts sur mon pubis. Ma main droite est toujours bloquée entre ses jambes. Je colle ses doigts à mon intimité humide et commence à glisser lentement sur sa tendre chatte de l’autre main.
- Tu as aimé me voir ? Moi j’ai aimé te voir, tu es tellement belle.
Ses joues commencent à rougir. Sa curiosité et son envie vont-elles suffire ? Je suis consciente d’exploser toutes ses limites de fille encore bien innocente pour son âge, et je n’en ai pas fini. Il faut que je la pousse, et alors on pourra faire l’amour. Je quitte son sexe et retourne ma cousine face à moi. Elle baisse le regard, embarrassée. Je l’encourage :
- Touche un peu, allez.
Après une longue seconde, je sens ses doigts fins bouger alors que je les plaque encore contre moi. Elle me rend folle, mais je me contrôle. Tout cela doit devenir une évidence pour elle, et non une simple folie de ma part.

- Allez, viens.
Je jette la serviette que j’ai sur la tête au sol, prends sa main coquine dans la mienne, ouvre la serrure et la porte, et nous emmène dans ma chambre juste en face. Une fois à côté de mon lit, elle m’interrompt.
- Attends… Tu veux… Tu veux faire quoi ?
- Ben, tu sais bien. T’inquiète pas.

J’agrippe son haut de pyjama et le soulève pour lui retirer. Elle lève faiblement les bras, me laisse découvrir son corps. Je ne l’ai jamais autant aimée. Sans quitter son regard, je jette son pyjama à l’autre bout de la pièce et je pousse ma cousine nue juste assez pour la faire asseoir sur mon lit. Je m’assois aussi et lui fais signe de se reculer sur le lit, ce qu’elle fait, sans grande conviction cependant. Il va falloir que je lui donne beaucoup de plaisir… Elle s’est allongé et attend, ne sachant que faire… Je la rejoins tout près et la redresse. Qu’est-ce qu’elle est légère… Je n’attends pas, passe un bras le long de son dos et viens chercher sa vulve. Je guide sa main à ma chatte excitée puis la lâche. Je n’ai eu qu’une expérience lesbienne auparavant, mais je sais que je vais la faire jouir.

- On va se toucher, d’accord ?
Je commence à la frotter en appuyant. Elle a l’air d’accord, puisque bientôt son index et son majeur font de petits ronds sur mon clitoris. Je gémis. Ça y est, elle est active… sa vie sexuelle a commencé et je vais en profiter pleinement. Après quelques passages entre ses douces lèvres, je me concentre aussi sur son clitoris, qui lui aussi se développera encore. De son côté, elle continue ses petits ronds, plus rapides maintenant. Est-ce comme cela qu’elle se touche, toute seule dans son lit ? Certainement. Je frotte son clitoris plus fort, joue avec entre mes doigts… Plus fort encore… je veux lui arracher une réaction, qui ne tarde pas à arriver. Sa petite poitrine monte et descend, sa respiration devient plus rapide. Je vois bien qu’elle est toujours très embarrassée, peut-être que je ne pourrai pas me débarrasser de ce sentiment, vu son inexpérience. Elle laisse échapper de très faibles couinements… Il ne m’en fallait pas plus.
Je la couche et me mets à genoux à côté d’elle. En quelques secondes, j’ai son jeune sexe dans ma bouche. Ma langue passe entre ses lèvres. Marie a mouillé.
- Camille…
- Touche-moi juste.
Je considère sa petite chatte. Je pourrais bien en tomber amoureuse. Je joue avec ses lèvres de mes doigts. Ma curiosité me pousse à les écarter pour bien observer. Sa chair rose luit de sa mouille. Je contemple son petit trou alors que ses doigts viennent rejoindre ma chatte. Elle me touche un peu au hasard. Il fait trop sombre mais je pense déceler son hymen, comme un point blanc dans son trou si petit, attestant de la virginité, dont personne n’aurait douté, de cette collégienne. Étrangement, cela m’excite encore plus et j’enveloppe toute sa vulve de ma bouche une fois de plus. Je la lèche, je la suce, je l’entends vraiment gémir maintenant. Mon esprit lui envoie encore des messages « C’est ça, gémis bien, Marie, sens-moi te lécher, te sucer le clito, je vais te donner ton meilleur orgasme… ».
Je me lâche sur son sexe. Je lèche sa vulve, suce son clito, de manière très erratique. J’en veux davantage. Je ne pense plus du tout à la ménager. J’arrête tout, respirant fort contre la chatte toute mouillée de Marie. Je passe une main derrière mes fesses, trouve son poignet, et le tire davantage en direction de mon trou surexcité. Sans résultat, mais Marie comprend bien ce que je désire, je sens un doigt se placer, et je l’enfonce.
- Vas-y oui… Deux doigts…
Ma voix est pleine de désir.
- OK.
Sa voix est jeune et innocente, contrastant avec ce qu’elle est en train de vivre. Elle prend même la peine de répondre… Je sens son deuxième doigt s’enfoncer. Ses doigts son petits mais je ne pouvais pas rêver mieux. Je replace mes doigts sur son petit clitoris.
- Enfonce bien et vas-y à fond.
Je suis en train de dire à ma cousine comment me donner du plaisir. J’oublie son âge, sa gêne, et espère seulement qu’elle le fera. Et elle le fait… Je sens qu’elle fait de son mieux et je gémis fort. En réaction, j’agite ma main rapidement sur son clito. J’ai envie de la doigter aussi, mais tant pis, je peux quand même lui donner son meilleur orgasme. J’y vais fort… ma main vibre sur elle, j’entends ses couinements, sa respiration forte. Je passe une trentaine de secondes à malmener son sexe de la sorte. Je comprends que c’est un peu trop pour elle quand sa main vient de poser sur la mienne. Je fais une pause, commençant à fatiguer aussi. Je veux la faire jouir !

Je me replace en passant une jambe de l’autre côté de sa tête, ma chatte maintenant au-dessus de son doux visage. Elle me pénètre mieux et plus rapidement maintenant. Quelle vue, et quelle chose pour elle, qui ne peut pas encore se le faire à elle-même. Je la lèche un temps… puis la frotte à nouveau. Ses gémissements m’indiquent que l’effet est très présent cette fois, et j’accélère. J’adore la frotter fort comme ça. Ses lèvres étirées, des bruits humides incessants, son clitoris malmené. Elle gémit, fort. Puis plus fort encore. Je donne tout, et elle explose de plaisir, le souffle coupé plusieurs secondes avant de lancer un long gémissement qui meurt alors que je me délecte de sa mouille.
Ses doigts toujours en moi, elle a arrêté de bouger et tente de reprendre ses esprits. Je reste dans cette position obscène et la laisse respirer un moment. Elle reprend la pénétration d’elle-même et je dois me retenir de lui infliger ce même plaisir.
- Attends.
Je décide de changer de position et m’assois à côté d’elle. J’ouvre grand mes jambes et ma chatte devant elle.
- Vas-y, tes doigts.
Sans hésitation, elle retourne en moi. Que c’est bon de voir ses doigts me pénétrer. Elle fait de petits mouvements. Pas d’hésitation, mais je peux voir comme elle me regarde, ses yeux innocents se posant sur mon sexe adulte, puis dans les miens. Ses joues sont rouges. Elle est penché sur moi et je compte bien ne pas m’arrêter tant que je n’aurais pas joui, et elle doit le savoir également. Je contemple son visage juvénile et viens me stimuler le clitoris. Sa bouche… J’aimerais qu’elle m’embrasse, mais je ne veux pas la perturber davantage. Ses mouvements et les miens allant, je constate que je suis plutôt proche de l’orgasme. Déjà !
Je me caresse bien plus vite. Elle fait de même… ses doigts sont si fins, mais elle fait de son mieux. Je la prends par le poignet. Ses doigts luisent de mon plaisir. Je les suce rapidement en la regardant dans les yeux. Je sais que je la choque, mais elle est là maintenant. Je tends un troisième doigt, sans la quitter des yeux, et je m’enfonce ses trois doigts dans la chatte en la tenant par le poignet, comme je tiendrais un sextoy.
Je me pénètre avec sa main pour lui montrer ce que je veux d’elle. C’est-à-dire fort, et rapidement.
- J’y suis presque…
Je me caresse toujours plus vite… je lève les yeux aux ciels quand je réalise qu’elle garde le rythme. Elle appuie ses doigts dans mon vagin. Je l’aime.
- Marie… oh… oui…
Je gémis fort. J’y suis presque. J’y suis. Je rebaisse la tête pour trouver son regard et je jouis. Surprise, elle retire sa main trempée, trop tôt, mais je me caresse encore.
- OH OUUIII !!!
Son regard alterne entre ma main qui s’affaire sur mon vagin et mes yeux qui la fixent. Je tremble face à elle. Les dernières vagues de plaisir me traversent.

*CLAC*

La porte d’entrée. Mince, papa ! Il est de retour ! Il gâche tout, j’aurais tellement aimé passer un peu de temps avec elle après ça. Marie écarquille les yeux, alarmée. J’essaie de réfléchir, paniquée moi aussi.
- Ton pyjama, dans la salle de bain, vite !
Elle part au quart de tour et je la regarde sauter du lit, ses petites fesses rebondies sont à croquer… et alors que je ramasse ma nuisette et l’enfile, je la vois à travers les portes enfiler son pantalon de pyjama. Pensant avoir le temps, elle revient et une fois dans le couloir, je peux voir qu’elle aperçoit mon père… Peut-être l’a-t-il vue à moitié nue aussi… Je mets un peu d’ordre sur le lit, y essuie mes doigts, et elle enfile le haut de son pyjama. Elle me murmure de sa jeune voix paniquée :
- Il m’a vue… et j’ai oublié ma culotte.

Papa apparaît à la porte, nous surprenant un peu toutes les deux. Il regarde sa jeune nièce.
- Tout va bien, les filles ?
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