Premier pas...

Juillet 2008,

J'avais 40 ans et je venais d'obtenir mon diplôme d'encadrement et le poste qui allait avec...
Avec les vacances d'été, l'organisation de l'hôpital où je travaille était quelque peu perturbée et j'avais accepté un remplacement pour trois nuits comme cadre référent.
Outre mon travail habituel, je disposais d'un bip et d'un trousseau de clés pour accéder aux différents services en fonctionnement. Je devais faire trois "rondes" au minimum chaque nuit, entre 22 heures et 6 heures du matin, contrôler que tout allait bien et signer différentes main courantes pour attester de mon passage.
Lors de ma deuxième ronde, mon attention fut attirée par une pièce restée allumée à côté de la pharmacie. Je m'apprêtais à simplement aller éteindre la lumière quand je les entendis avant de les voir : des gémissements qui ne laissaient aucun doute quant à l'activité qui se déroulait dans ce local...
Intriguée et amusée, je m'attendais à trouver un interne entre les cuisses d'une infirmière comme c'est parfois le cas...Je me faisais discrète, retirais mes sabots à semelle de bois et m'approchais de ce qui est en fait une chambre d'astreinte. La porte était restée entrebaillée.
Je restais sans voix devant le spectacle que j'avais sous les yeux : Sonia, une collègue infirmière de ma promotion, la blouse relevée sur ses fesses nues, était en train se sucer Isabelle, une aide-soignante que je connaissais également. Isabelle était entièrement nue, les cuisses grandes écartées et semblait prendre beaucoup de plaisir aux coups de langue bruyants et précis de Sonia. Je constatais en plus que cette dernière avait un bijou planté entre les fesses et que les doigts d'Isabelle s'enfoncaient entre les lèvres de son sexe brillantes de désir. C'était la première fois que je voyais deux filles faire l'amour. Je ne pouvais détacher mes yeux des fesses de ma collègue que je voyais pour la première fois dans cette situation...
Au pied du lit, la blouse rose d'Isabelle et les sous-vêtements de mes deux collègues... Et Isabelle gémissait de plus belle :"Oui suce moi, salope! Mets-moi ta langue au fond! Oui! comme ça!"
Manifestement, ni l'une ni l'autre ne m'avait entendue arriver. Ou bien peut-être se fichaient-elles complètement de ma présence.
Je détaillais leur position : la main gauche d'Isabelle triturait les seins de Sonia, alternant des pincements de téton et des caresses très langoureuses sur toute sa poitrine. Son autre main explorait l'entre-jambes de Sonia. Trois doigts lui dilataient le sexe et son pouce caressait son petit bouton. Son petit doigt était enroulé autour du bijou enfoncé dans son derrière et le faisait délicatement bouger. Sonia appréciait manifestement ces caresses et haletait elle aussi : "Oui ma chérie, je suis à toi... Je suis ta pute!"
Je suis restée plus d'une minute à les regarder se "gnougnouter" sans qu'elles paraissent remarquer ma présence. Et puis mon bip a sonné....
Ca a été comme si un courant électrique les avait traversées. Elles se sont arrêtées net, les yeux ronds de surprise. J'ai pris mon bip et suis rentrée dans la chambre pour prendre le téléphone et appeler le service qui me sollicitait. L'urgence d'abord!
On m'appelait à l'autre bout de l'hôpital pour une admission en urgence. Quand je me suis retournée, Isabelle était en train de ré-aggraffer son soutien gorge et Sonia enfilait sa culotte sous sa blouse. A nouveau, elles ont arrêté net leur mouvement, ne sachant quelle attitude adopter pour retrouver une contenance vis à vis de moi...
Je me sentais toute puissante de par ma position de cadre et surtout par la surprise créée par mon intrusion dans leurs ébats.
Sans réfléchir, j'ai ramassé la culotte d'Isabelle, l'ai roulée en boule et mise dans ma poche. J'ai retraversé la chambre et au moment de sortir, je leur ai dit de venir à mon bureau à la fin du service sans leur laisser la possibilité de répondre quoi que ce soit.
Le reste de la nuit s'est passé sans autre anicroche. Ce n'est qu'à 6 heures du matin, à la fin de mon service que j'ai remis la main dans la poche de ma blouse. La culotte en dentelle d'isabelle s'y trouvait toujours... Au même moment, les deux femmes frappaient à la porte de mon bureau.
Je les ai faites entrer et asseoir en face de moi. A suivi un discours moralisateur sur la nécessité d'être disponible et attentif au travail tout au long de son poste...Isabelle, sans se démonter, m'a répondu : "Bon! Tu ne vas pas nous en faire un fromage! Si tu veux faire un rapport, tu le fais, sinon tu me rends ma culotte et on va déjeuner toutes les trois..."Je n'ai pas répondu à son agressivité. J'ai simplement posé le petit bout de dentelles noire qui lui servait de culotte sur le coin de mon bureau et je suis montée au bureau de la direction pour transmettre les paramètres de la nuit, le bip et les clés à une autre collègue qui prenait la garde et la responsabilité de jour.
Un quart d'heure après, je retrouvais mon bureau, rassemblais mes affaires et reprenais l'ascenceur pour le sous-sol où je voulais prendre une douche et me changer avant de rentrer chez moi pour dormir...

Il n'était pas loin de 6h30 quand je sortis du vestiaire pour aller à la salle de douche. Toutes les histoires de la nuit avaient quitté mes pensées. J'étais simplement fatiguée et aspirais à me rafraichir avant d'aller dormir. Je suis rentrée dans la première cabine de douche et je me suis détendue en faisant couler de l'eau tiède sur mes épaules.
De fait, je ne les ai ni vues ni entendues arriver! J'ai senti une main se poser sur ma bouche et pincer mon nez. Sonia était derrière moi pour éviter que je crie mais aussi pour m'immobiliser. Après un instant de surprise qui lui avait donné un avantage et une emprise sur moi, j'ai voulu me débattre pour relâcher son étreinte...
C'est à ce moment là qu'Isabelle est entrée dans mon champ de vision. Elle était aussi nue que moi. Sonia également ne portait aucun vêtement et je pris conscience du contact de la peau de sa poitrine collée à celle de mon dos. Avant qu'aucun son ne soit sorti de ma bouche, Isabelle enfonça sa culotte dedans et je sentis sa main se poser sur mon ventre sans aucun ménagement : elle m'empoigna le sexe à pleine main. Elle posa l'index de son autre main sur ses lèvres pour m'intimer l'ordre de ne pas crier.

Je me suis sentie agressée. J'ai eu une réaction d'instinct : j'ai donné un coup de coude dans le ventre de Sonia pour me libérer de sa prise. Elle en a effectivement eu le souffle coupé et s'est fortement appuyée sur mon dos avec un gémissement de douleur. Je n'avais simplement plus conscience de la main d'Isabelle fichée entre mes jambes. Quand elle a serré ses phalanges, c'est moi qui ai ressenti une douleur indiscible dans mon ventre. En voulant fuir, j'ai repoussé Sonia contre le mur carrelé. Sa joue a éclaté contre une patère où j'étais sensée accrocher mes vêtements.

Je me suis retrouvée assise sur le visage de Sonia, totalement nue, la culotte d'Isabelle enfoncée dans la bouche et les yeux ronds de surprise...et j'ai vu le flash du téléphone avec lequel Isabelle me prenait en photo!...